Pierre Rosanvallon, professeur au Collège de France, directeur d’études à l’EHESS, clôt les travaux de la deuxième journée, intitulée « Que s’est-il passé ? », du colloque « 2017 : la révolution de velours ? », co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde à la Maison de la Chimie à Paris les 6 et 7 septembre 2017.
Analyses - Page 162
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Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : clôture par Pierre Rosanvallon
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Fondation Lean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : quel est l’état de la démocratie française ?
Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une première table ronde consacrée à l’analyse de l’état de la démocratie, les intervenants sont Brice Teinturier, directeur général délégué de l’institut Ipsos, Karine Tuil, écrivain, Myriam Revault d’Allonnes, professeure des universités à l’EPHE, chercheure associée au Cevipof, et Laurent Bouvet, professeur de science politique à l’université de Versailles-St-Quentin-en-Yvelines, pour une discussion animée par Gérard Courtois, directeur éditorial du Monde.
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Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : second tour et stratégie des candidats
Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une cinquième table ronde consacrée au second tour et à la stratégie des candidats qualifiés, les intervenants sont Sylvain Crépon, maître de conférences en science politique à l’université de Tours, membre de l’Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès, et Philippe Guibert, ancien directeur du Service d’information du gouvernement, pour une discussion animée par Françoise Fressoz, éditorialiste au Monde.
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Fondation Retour sur les élections de 2017 : les clivages du premier tour
Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une quatrième table ronde consacrée aux clivages du premier tour, les intervenants sont Martial Foucault, directeur du Cevipof, Claudia Senik, professeure à l’université Paris-Sorbonne et à l’Ecole d’économie de Paris, Pascal Perrineau, professeur des universités à Sciences Po, chercheur au Cevipof, Bruno Cautrès, chercheur CNRS au Cevipof, et Hervé Le Bras, directeur d’études à l’EHESS et directeur de recherches émérite à l’Ined, pour une discussion animée par Daniel Cohen, professeur d’économie à l’Ecole normale supérieure et l’université Paris-1, président du Conseil d’orientation scientifique de la Fondation Jean-Jaurès.
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Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : les législatives
Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une sixième table ronde consacrée aux élections législatives, les intervenants sont Jérôme Jaffré, directeur du Centre d’études et de connaissance sur l’opinion publique (Cecop), chercheur associé au Cevipof, et Anne Muxel, directrice de recherches CNRS au Cevipof, pour une discussion animée par Patrick Roger, journaliste au Monde.
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L'Hetairie - L'exercice du pouvoir selon Emmanuel Macron : la défaite du politique face à un présidentialisme technocratique
Plus qu’aucun de ses prédécesseurs au cours des trois dernières décennies, et sans doute édifié par leurs errements, Emmanuel Macron a pensé l’exercice du pouvoir et institué cette réflexion en préalable de son action.Au-delà de la symbolique accumulation de signes extérieurs de « présidentialité », il a méthodiquement posé les jalons d’un présidentialisme absolu qui se préoccupe du détail et du quotidien. En connaisseur des rouages essentiels de l’Etat, il a en effet créé les conditions pour exercer une autorité sans bornes, loin des rodomontades de Nicolas Sarkozy.
Dans cette perspective, le nouveau chef de l’Etat peut bien sûr compter sur une majorité inexpérimentée et disciplinée (d’aucuns diraient docile), mais il a surtout servi sa volonté en offrant une extraordinaire délégation de pouvoir à une technocratie désormais affranchie de toute contrainte. Le pouvoir est donc exercé sans la nécessaire contrepartie d’une responsabilité politique tant par le Président de la République que par ceux qu’il considère comme ses féaux, les directeurs d’administration centrale.
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Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : les primaires
Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une seconde table ronde consacrée aux primaires, les intervenants sont Olivier Duhamel, professeur des universités à Sciences Po, président de la Fondation nationale des sciences politiques, Anne Levade, professeur à l’université Paris-Est Créteil Val-de-Marne, présidente de la Haute autorité pour la primaire de la droite et du centre, et Flore Santisteban, doctorante au Cevipof, pour une discussion animée par François Bazin, journaliste.
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Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : introduction de Martial Foucault
La Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde co-organisent un colloque intitulé « 2017 : la révolution de velours ? » qui se tient à la Maison de la Chimie, à Paris. Martial Foucault, professeur à Sciences Po et directeur du Cevipof, ouvre les travaux de la deuxième journée, le 7 septembre 2017, intitulée « Que s’est-il passé ? ».
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Alternatives Economiques - Dossier spécial La nouvelle loi travail décryptée
Un pas de plus va être franchi vers la flexibilité du marché du travail. Le gouvernement a dévoilé le 31 août le contenu des ordonnances qui vont modifier le code du travail. Une réforme contestée, mais aussi technique et très dense. Afin de décrypter les enjeux des bouleversements en cours, Alternatives Economiques vous propose une compilation des articles que nous avons publiés ces derniers jours à propos des différents volets de cette réforme.
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Observatoire des inégalités - La misère persiste en France, l’un des pays les plus riches au monde
5 septembre 2017 - La France compte 2,3 millions de personnes vivant avec moins de 672 euros par mois, 4 millions de mal-logés et 1,9 million de bénéficiaires de l’aide alimentaire. La grande pauvreté persiste en France.
Le seuil de pauvreté le plus utilisé en France, celui à 60 % du revenu médian, vaut 1 000 euros mensuels pour une personne seule. Sous ce seuil, on trouve à la fois de personnes qui vivent dans la misère, mais aussi des familles modestes qui disposent d’un logement et de conditions de vie décentes. Combien sont réellement les plus pauvres ? Plusieurs méthodes permettent de le savoir [1].
En France, 2,3 millions de personnes vivent avec au mieux 672 euros par mois pour une personne seule, ce qui correspond au seuil à 40 % du niveau de vie médian, selon l’Insee (données 2014). Pour elles, il est quasiment impossible notamment de se loger dignement sans des compléments de revenus : l’aide de parents, d’amis, des petits boulots ou du travail non déclaré.
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Alternatives Economiques - LOI TRAVAIL Les vraies leçons de l’étranger
La cause est entendue : avec les ordonnances présentées la semaine dernière par Muriel Pénicaud, la France va enfin se (re)mettre à l’heure européenne et engager les réformes du marché du travail grâce auxquelles ses voisins ont pu s’extirper de la crise. Mais quelles réformes ont-ils mené exactement ?
Des réformes au long cours
Un récent dossier de la Revue de l’Ires rappelle que nos voisins n’ont pas attendu 2008 pour flexibiliser leur marché du travail. Ces réformes s’étalent souvent sur une trentaine d’années. En Espagne, par exemple, c’est en 1988 que sont prises les premières mesures de flexibilisation de l’emploi, « autant pour répondre aux besoins des entreprises dans une économie de plus en plus ouverte que pour contourner les règles contraignantes de fonctionnement du marché du travail issues de la période franquiste ». La France elle-même n’est pas en reste, l’économiste Anne Fretel rappelant que selon les données de la Commission Européenne, sur la seule période 2000-2017, ce ne sont pas moins de 170 réformes du marché du travail qui ont été menées dans l’Hexagone.
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