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Analyses - Page 162

  • Paul Alliès, Mediapart - Macron et la question démocratique: surprises?

    Emmanuel Macron a consacré une bonne part de ses ultimes propos sur Mediapart vendredi soir, à la question démocratique. Cela vaut qu’on y revienne tant il était resté quasi muet sur le sujet durant sa campagne.

     Face à l’insistance et à la précision des questions, le nouveau président de la République a déroulé une série de propositions qui ne manquent pas d’intérêt: garantir la moralité des candidats aux législatives (exigence d’un casier judiciaire vierge); instaurer « avant la fin de l’année » la proportionnelle pour l’Assemblée Nationale (en tout ou partie ?); réduire le nombre de parlementaires pour qu’ils exercent un mandat unique (et contrôlent mieux le gouvernement); « muscler » les commissions permanentes pour améliorer le travail législatif; transformer le Conseil Economique, Social et Environnemental en chambre de représentation de la vie associative et civile. Cette ouverture parlementaire des institutions de la V° République trouverait son débouché dans une réforme des institutions européennes qui devrait commencer par la parlementarisation de la zone Euro.
     
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  • Le Parisien - Législatives : «Cette fois, le Parti socialiste peut disparaître», selon un politologue

    FAIT DU JOUR. Déchirée entre des lignes antagonistes, asphyxiée par la tentation Macron que Valls souhaite rejoindre, la maison socialiste se fissure. Les législatives risquent de lui donner le coup de grâce. Rémi Lefebvre, politologue spécialiste du parti, met pourtant en garde devant toute déclaration prématurée.

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  • Kantar - Les Français et les élections législatives 2017

    Alors qu’Emmanuel Macron vient d’être élu à la Présidence de la République, la question de la majorité parlementaire dont il pourrait disposer à l’issue des élections législatives de juin se pose avec acuité.

    Notre enquête Kantar Sofres-onepoint réalisée les 4 et 5 mai 2017 – soit avant le 2ndtour de la présidentielle – montre que, pour les Français, ces élections législatives ne donneront pas nécessairement à Emmanuel Macron une majorité claire pour gouverner. Dans le contexte d’entre-deux-tours et sans que soit connu le nom du Premier ministre, ni l’ampleur de la victoire d’Emmanuel Macron, une partie conséquente de l’électorat semble en effet tenté de faire de ces élection législatives les 3e et 4e tours de l’élection présidentielle et ainsi d’infléchir la politique conduite par le nouveau Président.

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  • Les décodeurs du Monde - « Majorité relative » ? 4 électeurs sur 10 ont voté pour Emmanuel Macron au second tour de la présidentielle

    Le futur président a réuni plus de 65 % des suffrages exprimés au second tour, mais n’a pas réuni les votes d’une majorité d’électeurs inscrits. Explications.

    Malgré sa large victoire face à Marine Le Pen, Emmanuel Macron n’a pas remporté les suffrages d’une majorité des Français inscrits sur les listes électorales dimanche 7 mai. Le candidat d’En marche ! a certes obtenu environ 65,8 % des suffrages exprimés dimanche 7 mai face à Marine Le Pen, selon une estimation Ipsos-Sopra Steria pour France Télévisions, Radio France et Le Monde. Mais il ne dépassera pas la barre des 50 % des suffrages des électeurs inscrits.
     
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  • Jean Gadrey - Éloi Laurent, Ariel Français : la prospérité post-croissance ou la « bonne fortune »

    Il existe certes déjà de bons livres qui, d’une part, remettent en question le culte de la croissance économique, et qui, d’autre part, montrent que des perspectives désirables et crédibles existent pour en finir avec cette croyance économique qui « détruit plus qu’elle ne crée », comme l’affirmait avec aplomb en 2009 celui qui, un an plus tôt, voulait aller la chercher « avec les dents ». J’ai en particulier signalé sur ce blog le livre, publié l’an dernier, de Florence Jany-Catrice et Dominique Méda « Faut-il attendre la croissance ? ».

    Mais il faut croire que les réflexions sur ce thème sont en pleine croissance, quantitative et qualitative, car voici coup sur coup deux livres qui relancent, prolongent et précisent les précédents.

    Le premier est un petit livre de 70 pages, d’une lecture particulièrement agréable, pour tous publics, bourré d’exemples concrets et parlants. Son auteur est le prolifique économiste (OFCE, Stanford) Éloi Laurent, auquel je me suis très souvent référé parce qu’il est sans doute celui qui va le plus loin dans l’articulation du social et de l’écologie. Titre du livre : « Notre bonne fortune. Repenser la prospérité » (PUF, 12 euros).

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  • Les Echos - Emploi : la terrible prédiction de la Banque mondiale

    L’automatisation pourrait faire disparaître près de 70 % des emplois dans les pays en voie de développement, selon le directeur de l’institution.

    Voila de quoi relancer les polémiques sur la robotisation de l'économie. Le Président de la Banque mondiale Jim Yong Kim a annoncé lundi que les deux-tiers des emplois aujourd'hui existant dans les pays en voie de développement devraient disparaître avec l'automatisation de l'économie.

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  • Fondation Jean Jaurès - Les budgets participatifs, une révolution citoyenne : les introductions

    Comment renforcer la démocratie locale et améliorer la collaboration entre élus et habitants ? Les budgets participatifs sont l’une des réponses les plus prometteuses. Pour en parler, l’Observatoire de l’innovation locale de la Fondation Jean-Jaurès réunit l’élue parisienne chargée de les piloter, Pauline Véron, l’expert français sur le sujet, Antoine Bézard, et un spécialiste reconnu des questions démocratiques, Loïc Blondiaux. Retrouvez dans cette vidéo leurs exposés liminaires.

  • Centre d'observation de la société - Ces pauvres qu’on ne compte pas

    On comptabilise officiellement entre 5 et 8,8 millions de personnes pauvres selon le seuil utilisé. Mais ces données de l’Insee demeurent incomplètes. Elles portent sur les personnes qui occupent un logement et n’intègrent pas – par définition – l’immense majorité de ceux qui errent entre les squats, les bidonvilles ou la rue. Une partie des étrangers sans-papiers, notamment les demandeurs d’asile, échappent au dispositif statistique. Les « gens du voyage » sont eux-aussi mal recensés par ce type d’enquête.

    Ce n’est pas tout. Les données de l’Insee proviennent des déclarations d’impôts. Une partie de la population dispose de très faibles revenus mais dépasse le seuil de pauvreté en raison de la prise en compte de l’ensemble des ressources du ménage. Ces personnes ne vivent pas dans la pauvreté mais le serait sans l’apport d’un revenu tiers. C’est le cas des femmes inactives dont le conjoint dispose d’un revenu suffisant pour que l’ensemble du ménage se situe au-dessus du seuil de pauvreté (1 500 euros après impôts et prestations sociales pour un couple par exemple), mais qui, par elles-mêmes, n’ont pas de ressources.

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  • Centre d'observation de la société - Le nombre d’allocataires de minima sociaux diminue enfin

    Le nombre de ménages allocataires du RSA diminue depuis le printemps 2016. Entre décembre 2015 et décembre 2016, il a baissé de 91 000, ce qui marque une inflexion assez nette (-5 %). Le nombre de foyers qui perçoivent le RSA socle 1 était en effet passé de 1,3 à 1,8 million entre décembre 2008 2 et décembre 2015, une progression de 40 %. Il est beaucoup trop tôt pour en conclure un retournement de tendance. Mais l’évolution favorable de l’emploi se retrouve dans celles des titulaires de minima sociaux. La variation du nombre de chômeurs se répercute après un certain délai sur le nombre d’allocataires du RSA, en fonction des règles d’indemnisation du chômage.

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  • L'Opinion - Emmanuel Maurel: Macron et le second tour, un conte de printemps

    Après le premier tour, les Français sont en proie aux mêmes interrogations que le chœur d’Emilie Jolie dans le merveilleux conte musical de Philippe Chatel. « Est-ce la fin du début ou le début de la fin ? »

    Des « partis de gouvernement », nombreux sont ceux qui prévoient le début de la fin et pronostiquent l’éclatement ou la disparition. Les plus optimistes évoquent une possible renaissance, voire une refondation. Il faut dire que l’élimination des candidats du PS et de LR, si elle était attendue, n’en est pas moins inédite. Le régime semi-présidentiel français a ceci de particulier qu’il rend possible, à la faveur de l’élection phare au suffrage universel, cette tabula rasa politique qui est moins fréquente dans les régimes parlementaires classiques, qui valorisent les partis là où nous privilégions les hommes (et en l’occurrence, les femmes), qu’ils soient soutenus ou non par une grande formation.

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  • Alternatives économiques - La très libérale madame Le Pen

    Mention spéciale aux communicants de la candidate frontiste. Ils ont presque réussi le tour de force de faire passer le programme de La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon pour un copié-collé de celui du Front national. Contre Emmanuel Macron, le candidat « du système, des banques, de l’argent, de l’Europe et de la mondialisation », Marine Le Pen se revendique sociale, proche du peuple et surtout des laissés-pour-compte. Elle promet aux ouvriers de Whirlpool que leur usine ne fermera pas. Elle brandit le bouclier du patriotisme économique pour tenter de convaincre les « perdants » de la mondialisation qu’il faut glisser un bulletin frontiste dans les urnes le 7 mai prochain. Plus ambitieuse que Pierre Gattaz, le patron de Medef qui arborait son pin’s à 1 million d’emplois, elle affirme pouvoir en créer près de deux fois plus en trois ans.

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