Les carottages dans les glaces et glaciers permettent aujourd’hui de connaître l’évolution des rejets de ce gaz sur de très longues périodes.
En pleine COP 23, la conférence pour le climat, à Bonn (Allemagne), la question de la concentration de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère est centrale pour limiter les effets du changement climatique.
Ce gaz, dont la concentration dans l’atmosphère a augmenté de plus de 40 % depuis l’an 1000, favorise l’effet de serre et donc le réchauffement climatique. Il est incolore, inodore, à la saveur piquante selon la Société chimique de France, et s’il n’est pas intrinsèquement mauvais pour la santé, il l’est pour le climat.
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