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Fiction

  • Aurélien Bellanger, Les Derniers Jours du Parti socialiste

    Télérama - Pourquoi le roman à clés d’Aurélien Bellanger fait polémique

    Dans “Les Derniers Jours du Parti socialiste”, il dénonce le sabotage de la gauche par une poignée d’intellectuels complaisants avec l’extrême droite. Vivement critiqué, notamment par ceux qui l’ont inspiré, Raphaël Enthoven en tête, le romancier invoque son droit à la satire.

    Avis de tempête sur la rentrée littéraire. Sorti ce 19 août aux éditions du Seuil, le nouveau roman d’Aurélien Bellanger, Les Derniers Jours du Parti socialiste, n’en finit plus de faire parler. En cause ? Un récit plus vrai que nature dénonçant le sabotage de la gauche par une poignée d’intellectuels peu scrupuleux de badiner avec l’extrême droite. Avec un titre fleurant bon la polémique, l’ouvrage apparaissait déjà, des mois avant sa sortie, sous un jour étrangement prophétique. Et, à la veille du premier tour des élections législatives, l’auteur ne manquait pas d’en clarifier le propos : « Il va sortir trop tard hélas, mais j’ai écrit un livre qui raconte comment une hérésie du Parti socialiste, le Printemps républicain, entouré d’un groupuscule d’intellectuels médiocres, aura rendu possible la victoire de l’extrême droite en France. »

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    France Culture - Derniers jours du Parti socialiste, premiers plaisirs de roman

    Le nouveau livre d'Aurélien Bellanger, dont le titre va sans doute attirer éditorialistes et amoureux de la politique française se révèle être avant tout un roman ludique, qui redonne vie à un milieu figé.

    J’ai évidemment lu les 311 romans français qui paraissent ce mois-ci en librairie, et parmi lesquels celui d’Aurélien Bellanger, intitulé Les derniers jours du Parti socialiste, tout juste sorti aux éditions du Seuil, et qui ne manque pas de faire parler de lui. Il faut dire que ce titre éloquent, un brin pompeux, tombe un contexte politique actuel où la gauche française se porte fort bien - tout le monde peut le constater... ça augurait de petites polémiques, et pourtant ce que j'en retiens moi, ce n’est pas tant le caractère censément partisan du roman mais sa teneur ludique, et aussi une forme de lyrisme bienvenue dans la manière de Bellanger.
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    Regards - Les Derniers Jours du Parti socialiste

    C’est le livre événement de la rentrée littéraire et politique, signé Aurélien Bellanger. Une si belle occasion, Arnaud Viviant ne pouvait omettre d’y consacrer sa chronique.

    Il y a peu, je lisais un tweet sur X qui disait : « Un jour on réalisera le mal profond qu’a fait le Printemps Républicain à la gauche et plus largement à l’unité du pays, en rendant acceptable d’avoir des discours et des actions clairement racistes et xénophobes sous le masque d’un laïcisme perverti ». Eh bien, ce jour est arrivé avec la parution, dans le cadre de la rentrée littéraire, du nouveau roman d’Aurélien Bellanger, Les derniers jours du Parti socialiste.

     
  • France Culture - Projet Orloff - L'alternance démocratique - 1/11

    Mai 1981 : François Mitterrand est élu Président de la République. Le Service de renseignement extérieur français de l’époque, qui deviendra la future DGSE, passe sous pavillon socialiste et Matthieu Fouché, son nouveau directeur, est chargé d’y mettre de l’ordre. À peine a-t-il pris son poste qu’Hector Créange, l’agent de liaison de la principale source de renseignements soviétique, nom de code Orloff, disparaît.

    Dans ce premier épisode, nous sommes le 21 mai 1981, François Mitterrand arrive au pouvoir et Mathieu Fouché prend la tête des services secrets. Au même moment, Hector Créange, diplomate français en Autriche, reçoit un mystérieux coup de fil…

    Une série de Tanguy Blum, Christian Brugerolle et Antoine Piombino, réalisée par Pascal Deux, en association avec la SACD, à écouter en son 3D au casque.

  • La stratégie du poulpe - Mélancolie ouvrière de Gérard Mordillat

    Le film Mélancolie ouvrière de Gérard Mordillat est l’adaptation du livre de Michelle Perrot. 

    Il sera diffusée le 24 août sur Arte en première partie de soirée.

     C’est Virginie Ledoyen  que j'ai eu la chance de rencontrer (photos) qui interprète le rôle de Lucie Baud ouvrière en soierie dans le Dauphiné, qui s'est battue pour défendre la cause ouvrière. Sur cette photo réalisée à Saint Romain D’ay entre deux scènes, suis-je avec Virginie ou Lucie ? Sans doute un peu des deux…Virginie a mis un blouson sur ses épaules car le vent est froid en Ardèche ce jour là et dessous on devine la tenue de Lucie…

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  • Le Figaro - Cambadélis demande à Valls de choisir entre le PS et La République en marche

    Pas de double appartenance possible, assure la direction du parti. Pour «punir» l'ex-premier ministre, les proches de Benoît Hamon souhaitent investir un candidat face à lui.

    Pas de cadeau pour Manuel Valls. Le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a souligné mardi qu'il était «impossible» à Manuel Valls d'avoir à la fois sa carte d'adhérent au PS et de briguer l'investiture En Marche! aux législatives comme l'ancien premier ministre l'a annoncé dans la matinée.

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  • La Vie des Idées - L’enfer du guichet, La cruauté bureaucratique selon Ken Loach

    Primé par la Palme d’or à Cannes, le dernier film de Ken Loach suit le combat d’un charpentier victime d’un accident cardiaque pour faire valoir ses droits à une allocation de chômage. I, Daniel Blake, offre une juste description de la déshumanisation subie par les plus démunis dans un Royaume-Uni miné par la désindustrialisation et les inégalités.

    L’inventivité formelle n’est pas la marque la plus évidente du dernier film de Ken Loach, I, Daniel Blake, ce qui a pu laisser penser que la Palme d’or qui l’a récompensé visait autant l’auteur et son œuvre, habituée des sélections cannoises (13 en tout) que cet opus en particulier. Ce film porte indéniablement la marque, singulière, de son auteur et constitue à nos yeux un bon cru dans sa production. L’apparente économie de moyens dont Loach fait preuve sert ici un propos d’une grande simplicité et d’une très forte charge émotionnelle sur les ravages de la pauvreté et la cruauté institutionnelle dans le Royaume-Uni néolibéral. Il jette un éclairage incarné, mais peut-être aussi idéalisé, sur le rejet que les classes populaires ont opposé à l’intégration européenne, accusée d’être à la source de la crise de l’État social (le National Health Service) et d’une immigration déstabilisante pour les ouvriers, anciens ouvriers et employés du pays.

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  • The Dissident- Etat islamique : le choix politique du Djihad universel

    Pierre Piccinin da Prata, rédacteur en chef du Courrier du Maghreb et de l’Orient, reporter de guerre et ancien otage en Syrie, revient sur les attentats du 13 novembre 2015 et apporte son éclairage sur la nature de l’Etat islamique et sur les ambitions de ses combattants. Entretien.

    The Dissident : Quelle a été votre première réaction quand vous avez appris les attaques terroristes qui ont touché Paris le 13 novembre dernier ? Selon vous, étaient-elles prévisibles ?

    Pierre Piccinin da Prata : Bien évidemment, quand un de nos correspondants à Paris m’a téléphoné, dès après que les premiers coups de feu ont été tirés, et m’a dit que « quelque chose était en train d’arriver, et probablement en rapport avec la guerre en Irak et en Syrie », j’ai eu un instant froid dans le dos. On a beau s’y attendre, c’est toujours saisissant d’émotion…Mais, très vite, l’analyste reprend le dessus et, bien sûr, il n’y a pas eu de surprise.

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