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International

  • Euractiv - Élections portugaises : montée de l’extrême droite et fragmentation du parlement

    L’électorat portugais n’a pas répondu aux appels à un « vote utile » lors des élections législatives de dimanche (10 mars), ce qui a engendré le parlement le plus fragmenté de tous les temps et a fait de Chega, le parti d’extrême droite, le grand gagnant, selon les experts politiques qui se sont entretenus avec Lusa, partenaire d’Euractiv.

    Les portugais se sont rendus dimanche aux urnes pour des élections législatives anticipées suite à la démission du Premier ministre socialiste António Costa.

    Selon les résultats publiés au moment de la rédaction de cet article, l’Alliance démocratique (AD) de centre droit — une coalition entre le PSD (PPE), le CDS-PP (PPE) et le PPM (monarchistes) — est en tête avec 29,5 % des votes, obtenant 79 législateurs sur les 230 sièges de l’assemblée législative portugaise.

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    Le Grand Continent (abonnés) - La fin de l’exception portugaise ? L’extrême-droite remporte 18 % des voix aux législatives

    L’extrême-droite a remporté 18 % des voix et 48 sièges au parlement lors du scrutin législatif qui s’est tenu hier, dimanche 10 mars, au Portugal. Le Parti socialiste au pouvoir est le grand perdant de ces élections anticipées organisées suite au scandale de corruption qui a provoqué la démission du Premier ministre António Costa. 

  • L'Humanité - Mexique : Claudia Sheinbaum, l'ancienne maire de Mexico dépose sa candidature à la présidentielle

    L’ex-maire de Mexico a officialisé sa candidature à l’élection présidentielle de juin auprès de l’Institut national électoral (INE) du Mexique, ce 18 février. Claudia Sheinbaum a la certitude que le Mexique « est en train de devenir une puissance économique et de bien-être ».

    Elle espère être une pionnière : « Pour la première fois dans l’histoire, après deux cents ans, une femme progressiste arrivera à la présidence de la République. » Pour elle, « c’est le symbole que nous sommes en train de laisser derrière nous le Mexique machiste ». Âgée de 61 ans, la docteure en ingénierie environnementale et ancienne membre du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) voit au-delà de la science.

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    Le Vent se léve - Claudia Sheinbaum : « La participation des femmes au cœur de la transformation du Mexique »

    Au Mexique, le président Andrés Manuel López Obrador (AMLO) bénéficie d’une importante popularité. Élu en 2018, reconduit dans ses fonctions trois ans plus tard dans le cadre d’un référendum révocatoire, il a mis en œuvre une batterie de mesures sociales en faveur des classes populaires. Si leur ampleur demeure controversée, si plusieurs fondamentaux du néolibéralisme n’ont pas été entamés, elles ont permis un accroissement spectaculaire des bas salaires et une dynamique de syndicalisation sans précédent depuis plusieurs décennies. À Puebla, nous rencontrons Claudia Sheinbaum, candidate à la présidence du pays pour les élections de 2024, soutenue par la coalition qui a porté AMLO au pouvoir. Les enquêtes d’opinion la donnent largement gagnante. Entretien par Bruno Sommer, traduction par Nubia Rodriguez.

    Le Parisien - Mexique : qui sont Claudia Sheinbaum et Xóchitl Gálvez Ruiz, les deux femmes en course pour la présidence ?

    Claudia Sheinbaum, 61 ans, et Xóchitl Gálvez Ruiz, 60 ans, sont les principales candidates à l’élection présidentielle mexicaine, qui se tiendra le 2 juin.

  • Guillaume Ancel – Ne pas subir - Pourquoi nous ne nous préparons pas à la guerre, alors que nous voulons la paix ?

    J’aurais aimé faire un point de situation sur les conflits en Ukraine et au Proche-Orient, mais je dois reconnaître que la situation n’évolue guère. L’analyse de la semaine dernière pourrait être publiée de la même manière, deux guerres qui se prolongent et nous désespèrent, pour des raisons opposées : celle menée par le gouvernement Netanyahou contre la bande Gaza ne sert à rien en dehors des intérêts du Hamas et de Poutine, tandis que la guerre d’invasion de la Russie contre l’Ukraine ne cesse de menacer notre sécurité par manque de mobilisation de notre part. 

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  • Le Grand Continent - De l’Ukraine à la mer Rouge : 10 points sur la défense européenne en 2024

    Nous entrons dans la troisième année de la guerre russe à grande échelle contre l’Ukraine. Les conflits et les tensions s'enchaînent : ils ont éclaté au Moyen-Orient et menacent de faire basculer l'Indo-pacifique. Dans une année à hauts risques, qui sera aussi marquée par des élections cruciales, nous identifions 10 tendances à suivre pour penser la défense européenne. 

    En 2023, la guerre de la Russie contre l’Ukraine a clairement démontré que la sécurité européenne continue à être « made in the US ». La défense territoriale et la dissuasion nucléaire en Europe, faute de capacités européennes, reposent sur la volonté des États-Unis d’assurer la défense du continent. Or l’avenir de la défense européenne au-delà de 2024 et de la garantie de sécurité que constituent les États-Unis ne dépendra pas seulement de la bonne volonté de l’administration américaine, mais très concrètement de l’électorat républicain et de sa volonté ou non de soutenir un deuxième mandat de Donald Trump.

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  • LVSL - Le retour de l’austérité fera-t-il éclater les contradictions du « modèle allemand » ?

    Le 15 Novembre 2023, la Cour constitutionnelle de Karlsruhe a plongé le gouvernement allemand dans une nouvelle crise. Elle a contesté la légalité de l’utilisation de 60 milliards d’euros appartenant à un fonds créé lors de la crise du Covid-19, eu égard à la limite d’endettement fixée à 0,35 % du PIB par la Loi fondamentale allemande depuis 2009. Saisie par le parti chrétien démocrate d’opposition (CDU/CSU), la Cour a statué que cette somme ne pouvait échapper aux règles budgétaires. Une décision lourde de conséquences pour l’Allemagne, contrainte à un tour de vis austéritaire alors que son excédent commercial chute et que le nombre de pauvres atteint des records. En toile de fond, ce sont les contradictions du modèle allemand – qui recourait à des subventions aux exportations – qui s’accroissent. Le parti d’extrême droite Alternative für Deutschland (AFD) apparaît comme le grand gagnant de cette séquence.

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  • Fondation Jean Jaurès - Comment Olaf Scholz peut-il rebondir ?

    Pour Olaf Scholz, le début de l’année 2024 est marqué par une situation inédite. Agriculteurs en colère, citoyens exaspérés, troubles au sein du SPD : le chancelier et sa coalition perdent la faveur des électeurs. Ernst Stetter, conseiller spécial du président de la Fondation pour l’Europe, analyse ici les nombreux défis qui attendent le chancelier cette année.

    Les agriculteurs et les citoyens en colère

    La coalition gouvernementale doit répondre aux exigences de la Cour suprême et présenter un budget qui répond à la règle d’or, soit un déficit d’État fédéral limité à 0,35% du produit intérieur brut (PIB). Une des mesures envisagées pour y parvenir est d’abandonner certaines des subventions dont bénéficient les agriculteurs, notamment l’exonération de la taxe sur les véhicules agricoles et des avantages fiscaux accordés au diesel. Dès l’annonce de cette mesure, les agriculteurs se sont mobilisés en manifestant avec leurs tracteurs pour bloquer l’accès aux autoroutes et l’entrée dans les villes. 

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  • Telos - Trump II: une farce? Non, une tragédie. Mark Kesselman 2 janvier 2024

    Lorsque l’on considère l’histoire actuelle des États-Unis, on est tenté d’inverser la fameuse séquence identifiée par Marx dans Le 18e Brumaire de Louis Bonaparte. Certes, il est sans doute exagéré de voir dans le premier mandat présidentiel de Donald Trump une simple farce. Mais c’est bien à quoi il ressemblera en comparaison de la tragédie qui pourrait suivre si, comme c’est tout à fait possible, il est élu président en 2024.

    Aucun président américain, depuis l’investiture de George Washington en 1789, n’a été inculpé pour activité criminelle, jusqu’à ce que Donald Trump soit inculpé pour 91 crimes en 2023. Quatre procès sont prévus, pour des accusations comprenant la tentative de subversion de l’élection présidentielle de 2020, la fraude aux dépens de l’État, l’empêchement du collège électoral de certifier les résultats de l’élection de 2020, le refus du vote des citoyens, l’obstruction à la justice, la rétention de documents fédéraux classifiés et la corruption de témoin.

    Mark Kesselman Professeur émérite de science politique à l'Université Columbia de New York

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  • Pourquoi l’avenir du Moyen-Orient dépend autant d’Israël (Mappemonde Ep 10)

    7 janv. 2024 #Mappemonde La guerre entre Israël et le Hamas à Gaza aurait-elle pu être évitée ? En 2020, le président américain Donald Trump annonçait fièrement un accord de paix entre Israël, Bahreïn et les Emirats Arabes Unis. Ces accords dits « d’Abraham » sont alors un tournant pour la diplomatie des pays arabes vis-à-vis d’Israël et une victoire politique pour le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.

    Pour les défenseurs de la Palestine, c’est une trahison. Au cours de l’été 2023, des discussions laissaient même présager un rapprochement inédit avec un vieil ennemi d’Israël : l’Arabie Saoudite. Mais l’attaque du 7 octobre, menée par le Hamas, a mis à mal cette perspective.

    Cet épisode de notre série #Mappemonde s’appuie sur des archives, des données chiffrées et une cartographie détaillée pour raconter la complexe histoire des relations entre Israël et les pays du Moyen-Orient, de 1948 jusqu’à nos jours.

  • L'Argentine et Javier Milei

    LVSL - Javier Milei, le dollar et les BRICS : le vrai tournant dans la politique argentine

    Propos outranciers, style débraillé, slogans fantaisistes, propositions délirantes : la presse occidentale a dépeint le président argentin Javier Milei comme un OVNI. Pourtant, par bien des aspects, le « Trump argentin » s’inscrit dans la parfaite continuité de la « caste » qu’il a conspué durant sa campagne. Coupes dans les aides sociales et libéralisation du droit du travail, mais aussi allégeance au dollar et alignement sur les États-Unis contre les BRICS : autant d’orientations programmatiques que réclament une fraction des élites. Derrière sa rhétorique incendiaire et ses provocations multiples, Javier Milei est plus classique qu’il n’y paraît. Moins qu’une plongée dans l’inconnu, sa présidence semble préfigurer un retour aux années 1990…

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    The Conversation - Le dilemme Milei et l’avenir incertain de l’Argentine

    Ce 10 décembre, Javier Milei est investi président de l’Argentine. Cet économiste rendu célèbre par sa participation à de nombreuses émissions télévisées avait été élu le 19 novembre, avec 56 % des voix, contre 44 % pour Sergio Massa, ministre de l’Économie et candidat du parti péroniste du président sortant Alberto Fernandez.

    Sa victoire fut une grande surprise. Milei était un « outsider », un libertarien de droite qui s’identifie avec les idées anarchocapitalistes et minarchistes (une idéologie qui appelle à réduire le rôle de l’État au minimum, spécialement dans la vie économique) et qui flirte parfois avec la droite nationaliste en minimisant le nombre de personnes disparues pendant la dictature militaire ou en suggérant l’annulation de la loi sur l’avortement.

  • Euractiv- L’Allemagne va suspendre son « frein à l’endettement » en 2023

    L’Allemagne suspendra son « frein à l’endettement » prévu dans sa Constitution en 2023 en déclarant l’état d’urgence, a annoncé jeudi (23 novembre) le ministre des Finances Christian Lindner (Parti libéral-démocrate, FDP), à la suite d’un arrêt du Tribunal constitutionnel fédéral qui a remis en question la légalité du « bouclier énergétique » de 200 milliards d’euros mis en place par l’Allemagne pour stabiliser les prix de l’énergie.

    Le tribunal a jugé inconstitutionnel le transfert de la dette non utilisée de 2021 vers un fonds climatique, avançant que la dette justifiée par une situation d’urgence au cours d’une année ne peut être utilisée pour des dépenses au cours des années suivantes. Elle affecte donc également le « bouclier énergétique » de 200 milliards d’euros mis en place en 2022, dont une partie a été utilisée pour stabiliser les prix de l’énergie en 2023.

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  • Le Vent se lève - Aux États-Unis, les syndicats enchaînent les victoires

    La récente victoire des 146.000 membres du syndicat de l’automobile UAW dans leur grève contre le « Big Three » (Ford, General Motors et Stellantis) s’ajoute à une longue liste de succès syndicaux aux États-Unis. Le pays semble en proie à un renouveau du mouvement ouvrier qui s’observe aussi bien dans les conflits sociaux que la création d’antennes syndicales dans des secteurs réputés impossibles à mobiliser. Outre les augmentations de salaire et les améliorations des conditions de travail, les luttes portent parfois sur la gestion de la production et constituent une réponse efficace aux menaces induites par les bouleversements technologiques comme l’intelligence artificielle et la transition énergétique. Assistons-nous à un tournant dans l’histoire sociale du pays ?

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