Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Analyses - Page 160

  • Slate - Alcool, tabac, sucres: la France classée parmi les États les plus «moralisateurs»

    Selon un indicateur calculé par un économiste britannique, «le niveau de tolérance en matière de modes de vie diminue» dans de nombreux pays européens.

    Voici un indicateur qui, à défaut d’être consensuel, fait preuve d’originalité. L’indicateur des États moralisateurs place la France parmi les six pays les plus «moralisateurs» de l’Union européenne, révèle L’Opinion.

    Selon l’Institut économique Molinari, qui fait partie des institutions associées à cette étude réalisée par l’économiste Christopher Snowdon (Institute of Economic Affairs de Londres), «cet indicateur permet de prendre le pouls de cette inflation réglementaire qui nous “veut du bien”». Il «inclut toutes les politiques qui visent à dissuader la consommation de produits légaux et imposent des coûts aux consommateurs.» Selon l’étude, la plupart des pays de l’UE ont durci leurs législations en matière de contrôle des modes de vie, qu’il s’agisse de législations sur la consommation d’alcool, de cigarettes, d’alimentation ou de boissons sucrées.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • La Vie des Idées - Une France moins xénophobe ?

    On pourrait croire que les attentats islamistes favorisent le vote d’extrême droite, en confortant des tendances xénophobes et autoritaires au sein de la population. Les données disponibles sur les opinions des Français et la tolérance qu’ils professent dressent pourtant un tableau plus nuancé.

    Les attentats de janvier 2015, de novembre 2015 et de juillet 2016 ont marqué les Français. Ils ont choqué, entraîné des manifestations spontanées ou non, des minutes de silence improvisées ou institutionnalisées, et suscité des besoins d’interprétation et de cadres d’analyse (Truc, 2016). En cela la situation ressemble à celle qu’ont connue les Américains après le 11-Septembre, les Espagnols après l’attaque de Madrid en 2004 ou les Anglais après les attentats de Londres en 2005.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Atlantico - Au PS, les intellos ne sont plus à la page

    Le costume cintré et le verbe ciselé, ils se ressemblent presque tous. À mille lieues de la vraie vie, ils n’ont, pour la plupart, jamais posé un orteil dans une entreprise ou une administration. Contrairement à leurs aînés, ils n’ont pas fait leurs classes à l’ENA, mais auprès d’un chef de parti ou d’un député-maire. Des «apparatchiks» comme on dit, qui excellent dans les coups de billard à trois bandes et l’art du placement. De François de Rugy (En Marche !) à David Rachline (FN) en passant par Razzy Hammadi (PS) et Guillaume Peltier (LR), les professionnels de la profession squattent tous les bancs. Or certains d’entre eux multiplient les dérapages incontrôlés et précipitent la mort des partis traditionnels : salaires en or, emplois fictifs, business trouble... Extrait de "La République des Apparatchiks" de Jean-Baptiste Forray aux Editions Fayard (1/2).

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • Atlantico - Pourquoi les jeunes musulmans deviennent de plus en plus religieux

    Le modèle d’assimilation français a-t-il encore un avenir ? La démographe Michèle Tribalat répond par la négative après une analyse en trois points. Tout d’abord démêler le vrai du faux dans les chiffres qui circulent sur l’immigration étrangère, ensuite examiner en quoi l’islam change la donne et enfin constater que les classes moyennes refusent désormais massivement le modèle multiculturaliste préconisé par l’UE. Extrait de "Assimilation : la fin du modèle français : Pourquoi l'Islam change la donne" de Michèle Tribalat aux Editions du Toucan (1/2)

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Centre d'observation de la société - La peur de perdre son emploi progresse

    Un quart des actifs occupés ont peur de perdre leur emploi dans l’année. La proportion était de 18 % en 2005, indique le ministère du Travail 1. Une évolution logique compte tenu de la très forte progression du chômage entre 2005 et 2013. La peur de perdre son emploi, déjà très élevée en 2005, n’a quasiment pas bougé parmi les contrats précaires, qu’il s’agisse du secteur public (de 40 % à 41 %), comme du secteur privé (47 % à 45 %). Pour nombre d’entre eux, il ne s’agit pas de « crainte », puisque leur contrat est d’une durée inférieure à l’année.

    La peur de perdre son emploi a fortement augmenté parmi les autres catégories d’actifs. Elle a même doublé chez les non-salariés, de 16 % à 30 %. Une part croissante des artisans et commerçants craignent pour l’avenir de leur activité. Cette crainte a aussi augmenté au sein des emplois dits « stables », en contrat à durée indéterminée dans le secteur privé (de 16 % à 24 %) et même chez les fonctionnaires (de 4 % à 10 %).

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ? Pierre-Yves Gomez, Cécile Jolly

    Robots et révolution numérique redessinent le travail. Sera-t-il plus rare ou riche en nouveaux emplois, plus envahissant ou moins pénible ? Saurons-nous inventer de nouvelles protections pour les salariés et les indépendants ? Le magazine Alternatives économiques et la Fondation Jean-Jaurès ont fait débattre plusieurs experts autour de questions clés touchant à l’avenir du travail, pendant que Pôle Emploi, grâce à ses vastes études et enquêtes, propose huit tendances pour l’emploi de demain. Présentes sous forme de dossier dans le numéro de mai du magazine, ces contributions sont à retrouver durant tout le mois de juin sur les sites de deux partenaires. 
    Pour entamer ce cycle de publications, Cécile Jolly et Pierre-Yves Gomez exposent leur conception du travail et des principales tendances aujourd’hui à l’œuvre. La première de nos cinq controverses sur le travail de demain. 

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • Fondation Jean Jaurès - La droite radicale dans la lignée des néo-fascistes italiens, Jean-Yves Camus

    Le lieu est inspiré du Casapound romain : des militants du GUD occupent un immeuble vide de Lyon pour le réserver à des personnes en situation de précarité, sur la base du principe de préférence nationale. Une action qui témoigne de l’existence d’une droite radicale mouvementiste. Retrouvez, en partenariat avec L’Œil sur le Front, l’analyse de Jean-Yves Camus.

    C’est à Lyon que l’extrême droite radicale a choisi de lancer, le 27 mai dernier, une expérience inédite en France et conçue sur le modèle de la Casapound romaine : un squat désormais baptisé « Bastion social », occupé par des militants du GUD. Cet immeuble du 2e arrondissement, désormais vide, est destiné par les gudards à héberger des personnes en situation de précarité, sur la base du principe de préférence nationale, formulé ainsi : « les nôtres avant les autres ». Selon le responsable du mouvement Steven Bissuel, cette action vise à populariser l’idée d’un « grand plan de construction et de réhabilitation de logements », ainsi que de « réquisition et rénovation totale des bâtiments publics abandonnés afin que les Français les plus démunis puissent avoir un logement décent ». Le groupe y ajoute « la facilitation de l’accès à la propriété par la mise en place de prêts aidés et de micro-crédits ».

    Lire la suite
    ___________
    ___________

  • Fondation Jean Jaurès - Comment le triomphe annoncé du Front national n’a pas eu lieu 26/05/2017 6’ Adrien Abecassis, Marie Gariazzo, Chloé Morin

    Pourquoi le Front national est-il finalement, contre toute attente, arrivé deuxième au premier tour de l’élection présidentielle ? Comment a-t-il échoué au second, alors qu’il était parvenu depuis plusieurs années, et plus encore depuis janvier 2015, à imposer ses thèmes et à faire des questions identitaires et sécuritaires l’alpha et l’oméga du débat politique ? Analyse de l’Observatoire de l’opinion.

    I - La digue et la vague

    La digue a donc, finalement, tenu. Contrairement au Royaume-uni. Contrairement aux États-unis. Dans le face-à-face tant redouté entre la digue et la vague, en France ce fut finalement la digue la plus forte.

    Pourtant, la vague était là, et bien là. D’une puissance indéniable. Le Front national a ainsi obtenu au second tour plus de voix qu’il n’en a jamais recueillies dans son histoire. Les scores des quatre principaux candidats témoignent des fractures profondes qui traversent la société. L’exigence de réussite qui pèse sur les épaules du nouvel exécutif est donc immense, les attentes gigantesques, la colère qui s’est exprimée dans les urnes ne disparaîtra pas d’un coup de baguette magique.

    Pourquoi le Front national est-il finalement, contre toute attente, arrivé deuxième au premier tour ? Comment a-t-il échoué au second, alors qu’il était parvenu depuis plusieurs années, et plus encore depuis janvier 2015, à imposer ses thèmes, et à faire des questions identitaires et sécuritaires l’alpha et l’oméga du débat politique ?

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Alain Duhamel : Emmanuel Macron "peut espérer obtenir la majorité absolue"


    Alain Duhamel : Emmanuel Macron "peut espérer... par rtl-fr

  • Acteurs Publics - J.-M. Eymeri-Douzans : “La politisation fonctionnelle de la haute administration française tendra à s’accroître”

    Réduction de la taille des cabinets ministériels, question de confiance posée aux directeurs d’administration, nouvelle gouvernance au sommet… Pour Jean-Michel Eymeri-Douzans, professeur des universités à Sciences-Po Toulouse, cette volonté de faire travailler les ministres et les directeurs en “comité de direction” pose la question du rôle de l’Élysée dans les nominations.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Début de quinquennat : emploi dynamique, chômage élevé

    24 mai 2017

    Département Analyse et Prévision (Equipe France)

    Les chiffres du chômage du mois d’avril 2017, publiés par Pôle emploi, font apparaître une baisse du nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) en catégorie A (-37 700 personnes en France). Cette baisse fait suite à une forte hausse au mois de mars, après deux mois de relative stabilité. Si l’on ajoute aux inscrits en catégorie A ceux ayant réalisé une activité réduite au cours du mois (catégories B et C), l’évolution mensuelle d’avril indique une hausse des demandeurs d’emploi de 30 900 personnes.

    Lire la suite
    _________________
    _________________