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Analyses - Page 156

  • Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : les législatives

    Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une sixième table ronde consacrée aux élections législatives, les intervenants sont Jérôme Jaffré, directeur du Centre d’études et de connaissance sur l’opinion publique (Cecop), chercheur associé au Cevipof, et Anne Muxel, directrice de recherches CNRS au Cevipof, pour une discussion animée par Patrick Roger, journaliste au Monde.

  • L'Hetairie - L'exercice du pouvoir selon Emmanuel Macron : la défaite du politique face à un présidentialisme technocratique

    Plus qu’aucun de ses prédécesseurs au cours des trois dernières décennies, et sans doute édifié par leurs errements, Emmanuel Macron a pensé l’exercice du pouvoir et institué cette réflexion en préalable de son action.

    Au-delà de la symbolique accumulation de signes extérieurs de « présidentialité », il a méthodiquement posé les jalons d’un présidentialisme absolu qui se préoccupe du détail et du quotidien. En connaisseur des rouages essentiels de l’Etat, il a en effet créé les conditions pour exercer une autorité sans bornes, loin des rodomontades de Nicolas Sarkozy.

    Dans cette perspective, le nouveau chef de l’Etat peut bien sûr compter sur une majorité inexpérimentée et disciplinée (d’aucuns diraient docile), mais il a surtout servi sa volonté en offrant une extraordinaire délégation de pouvoir à une technocratie désormais affranchie de toute contrainte. Le pouvoir est donc exercé sans la nécessaire contrepartie d’une responsabilité politique tant par le Président de la République que par ceux qu’il considère comme ses féaux, les directeurs d’administration centrale.

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  • Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : les primaires

    Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une seconde table ronde consacrée aux primaires, les intervenants sont Olivier Duhamel, professeur des universités à Sciences Po, président de la Fondation nationale des sciences politiques, Anne Levade, professeur à l’université Paris-Est Créteil Val-de-Marne, présidente de la Haute autorité pour la primaire de la droite et du centre, et Flore Santisteban, doctorante au Cevipof, pour une discussion animée par François Bazin, journaliste.

     

  • Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : introduction de Martial Foucault

    La Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde co-organisent un colloque intitulé « 2017 : la révolution de velours ? » qui se tient à la Maison de la Chimie, à Paris. Martial Foucault, professeur à Sciences Po et directeur du Cevipof, ouvre les travaux de la deuxième journée, le 7 septembre 2017, intitulée « Que s’est-il passé ? ».

  • Alternatives Economiques - Dossier spécial La nouvelle loi travail décryptée

    Un pas de plus va être franchi vers la flexibilité du marché du travail. Le gouvernement a dévoilé le 31 août le contenu des ordonnances qui vont modifier le code du travail. Une réforme contestée, mais aussi technique et très dense. Afin de décrypter les enjeux des bouleversements en cours, Alternatives Economiques vous propose une compilation des articles que nous avons publiés ces derniers jours à propos des différents volets de cette réforme.

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  • Observatoire des inégalités - La misère persiste en France, l’un des pays les plus riches au monde

    5 septembre 2017 - La France compte 2,3 millions de personnes vivant avec moins de 672 euros par mois, 4 millions de mal-logés et 1,9 million de bénéficiaires de l’aide alimentaire. La grande pauvreté persiste en France.


    Le seuil de pauvreté le plus utilisé en France, celui à 60 % du revenu médian, vaut 1 000 euros mensuels pour une personne seule. Sous ce seuil, on trouve à la fois de personnes qui vivent dans la misère, mais aussi des familles modestes qui disposent d’un logement et de conditions de vie décentes. Combien sont réellement les plus pauvres ? Plusieurs méthodes permettent de le savoir [1].

    En France, 2,3 millions de personnes vivent avec au mieux 672 euros par mois pour une personne seule, ce qui correspond au seuil à 40 % du niveau de vie médian, selon l’Insee (données 2014). Pour elles, il est quasiment impossible notamment de se loger dignement sans des compléments de revenus : l’aide de parents, d’amis, des petits boulots ou du travail non déclaré.

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  • Alternatives Economiques - LOI TRAVAIL Les vraies leçons de l’étranger

    La cause est entendue : avec les ordonnances présentées la semaine dernière par Muriel Pénicaud, la France va enfin se (re)mettre à l’heure européenne et engager les réformes du marché du travail grâce auxquelles ses voisins ont pu s’extirper de la crise. Mais quelles réformes ont-ils mené exactement ?

    Des réformes au long cours

    Un récent dossier de la Revue de l’Ires rappelle que nos voisins n’ont pas attendu 2008 pour flexibiliser leur marché du travail. Ces réformes s’étalent souvent sur une trentaine d’années. En Espagne, par exemple, c’est en 1988 que sont prises les premières mesures de flexibilisation de l’emploi, « autant pour répondre aux besoins des entreprises dans une économie de plus en plus ouverte que pour contourner les règles contraignantes de fonctionnement du marché du travail issues de la période franquiste ». La France elle-même n’est pas en reste, l’économiste Anne Fretel rappelant que selon les données de la Commission Européenne, sur la seule période 2000-2017, ce ne sont pas moins de 170 réformes du marché du travail qui ont été menées dans l’Hexagone.

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  • Observatoire des inégalités - La misère persiste en France, l’un des pays les plus riches au monde

    5 septembre 2017 - La France compte deux millions de personnes vivant avec moins de 672 euros par mois, 3,8 millions de mal-logés et 3,9 millions de bénéficiaires de l’aide alimentaire. La grande pauvreté persiste en France.

    Le seuil de pauvreté le plus utilisé en France vaut 1 000 euros mensuels. Sous ce seuil, on trouve à la fois de personnes qui vivent dans la misère, mais aussi des familles modestes qui disposent d’un logement et de conditions de vie décentes. Combien sont réellement les plus pauvres ? Plusieurs méthodes permettent de le savoir [1].

    En France, 2,3 millions de personnes vivent avec au mieux 672 euros par mois pour une personne seule, ce qui correspond au seuil à 40 % du niveau de vie médian, selon l’Insee (données 2014). Pour elles, il est quasiment impossible notamment de se loger dignement sans compter sur des compléments de revenus : l’aide de parents, d’amis, des petits boulots ou du travail non déclaré.

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  • INSEE - Indicateurs pour le suivi des objectifs de développement durable17 objectifs de développement durable

    L’Assemblée Générale de l’ONU a adopté 17 objectifs de développement durable (ODD), déclinés en 169 cibles pour la période 2015-2030. Leur suivi s'appuie sur une première liste de 244 indicateurs.

    Ces objectifs et cibles constituent pour les États une feuille de route commune de la transition vers un développement durable. Une concertation sera prochainement engagée sous l'égide du Cnis pour proposer des indicateurs pertinents pour le suivi de la mise en œuvre nationale des ODD.

    Dans cette perspective, les indicateurs statistiques d'ores et déjà disponibles au niveau national, dans une version exacte ou approchée, parmi les 244 indicateurs internationaux, ont été recensés et collectés au sein du SSP, de la Banque de France et du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères.

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  • Centre d'Observation de la Société - Quel avenir pour la structure sociale de la France ?

    Où va le paysage social français ? L’Insee vient de livrer des données inédites pour la période 2003-2016 doublement intéressantes : elles portent sur l’ensemble de la population et permettent de mesurer l’évolution de la structure sociale depuis le début des années 2000 de façon détaillée. Ce qui permet de dresser des scénarios d’évolution.

    Premier intérêt de ces données, elles portent sur l’ensemble de la population de 15 ans et plus, non uniquement sur ceux qui ont un emploi comme c’est le cas le plus souvent : elles intègrent notamment les chômeurs et les retraités en fonction de leur dernier emploi occupé. De fait, ceux-ci n’abandonnent pas leur milieu social et leurs habitudes de vie en cessant de travailler. Seuls les chômeurs et les inactifs n’ayant jamais travaillé ainsi que les étudiants sont comptabilisés à part faute de pouvoir leur affecter un groupe social. Ces données permettent de mesurer le poids effectif des catégories sociales en France, indispensable pour comprendre les évolutions de notre société.

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  • LVSL - Comment le Brexit a sauvé le travaillisme anglais

    Le 8 juin dernier, lors des élections au Parlement britannique, les travaillistes ont remporté 40% des suffrages et près de treize millions de voix. Bien qu’insuffisants pour prendre le pouvoir, de tels résultats n’avaient pas été vus pour le Labour depuis la victoire de Tony Blair en 1997. Quels sont les clefs d’un succès qui pourrait déboucher sur un gouvernement travailliste en Grande-Bretagne dans les prochaines années ? Assurément, la refondation du Labour effectuée par Jeremy Corbyn depuis deux ans commence à porter ses fruits. Nul doute, cependant, que le vote du Brexit l’année dernière (suivi par la dissolution de l’extrême-droite anglaise) a permis aux travaillisme de dépasser ses hésitations sur la question de la souveraineté et de porter un discours social dénué d’ambiguïté europhile à l’attention des classes populaires du pays. 

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