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35 heures

  • Un peu d'histoire - France Culture - Qu'avons-nous fait de nos 35 heures ?

    La loi Aubry fixant la durée hebdomadaire du temps de travail à 35 heures fête ses 20 ans cette année. Depuis son entrée en vigueur elle n'a cessé d'être vilipendée par la droite et le patronat et sont aujourd'hui détricotées par les ordonnances Macron. Les 35 heures, totem ou tabou ?

    Dans les années 90, en Europe, l'idée du partage du travail passant par la réduction du temps de travail était une idée novatrice, faisant plutôt consensus dans les milieux politico-économiques. Des sociétés expérimentent la baisse de la durée hebdomadaire du travail, avec différentes formules, comme en Allemagne, par exemple Volkswagen. Ce thème est aussi repris par certains patrons français, comme Antoine Riboud, le fondateur de Danone, ou Claude Bébéar, le patron d'Axa. La droite, au pouvoir, propose une législation non contraignante basée sur le seul volontariat des entreprises : c'est la loi Robien, rédigée par Gilles de Robien. 

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  • Le Figaro - Les 35 heures ont 20 ans : deux économistes font le bilan

    Alors que le néo-keynésien Eric Heyer évoque «un bilan mitigé», le libéral Nicolas Bouzou estime que la mesure n'a «pas permis de créer d'emplois». Les deux économistes s'accordent en revanche à dire que la dégradation de la compétitivité de la France tient davantage à d'autres facteurs économiques.

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  • Un peu d'histoire : Projet de loi des 35 heures : encadré et résumé du contenu (INA, 1997)

    Ce matin, le Conseil des ministres a adopté le projet de loi de Martine Aubry sur la réduction du temps de travail à 35h hebdomadaires. Rappel en images d'illustration sur encadrés des objectifs du dispositif prévu par le gouvernement Jospin.

  • Un peu d'histoire : Martine Aubry et les 35 heures (INA, 1999)

    A propos de la seconde loi sur les 35 heures et le temps de travail, Martine Aubry, ministre de l'emploi et de la solidarité annonce, dans le journal le Monde qu'elle veut instaurer une épriode de transition d'un an pour la taxation des heures supplémentaires et pour préserver le pouvoir d'achat du SMIC". Réaction d'Ernest Antoine SEILLIERE.

  • Un peu d'histoire : Le débat sur les 35 heures

    Le projet de loi sur les 35 heures est en débat à l'Assemblée nationale : le ministre de l'emploi Martine AUBRY a donné quelques nouvelles pistes de discussion, comme l'établissement d'un SMIC à deux vitesses, horaire et mensuel. Réactions de divers députés : Yves COCHET, député des verts, Jean-Louis DEBRE, Président groupe RPR, Gilles DE ROBIEN, UDF. Décalration de Martine AUBRY :"Ce n'est pas un couperet, ce n'est pas un carcan, car le choix de la négociation est immense.".

  • Libé - Dominique Méda et Pierre Larrouturou: «Une véritable machinerie idéologique a été mise en place autour des 35 heures»

    Qui se souvient que le temps de travail annuel des salariés en France était de 2 700 heures il y a tout juste un siècle ? Après une longue décrue, ce temps n’est plus que de 1 387 heures. Durant toute cette période, et même avant, les pleurnicheries et autres grognes contre la réduction du temps de travail (RTT), accusée d’entretenir la fainéantise et de disloquer la compétitivité économique, n’ont cessé. Pourtant, comme le montrent la philosophe et sociologue Dominique Méda et l’économiste et homme politique Pierre Larrouturou dans leur dernier ouvrage, la réduction massive du temps de travail n’a pas seulement amélioré les conditions de vie depuis des décennies, elle est au cœur de la dynamique économique de tous les pays qui l’ont mise en œuvre. Voilà un livre qui tombe à point, en pleine discussion sur une loi El Khomri pour laquelle la RTT est loin d’être une priorité. S’appuyant sur une analyse finement documentée, les deux auteurs tournent le dos à des perspectives régressives qui tendent à vouloir déréguler encore plus le travail. «Il faut provoquer un choc de solidarité en passant à la semaine de quatre jours», estiment-ils. Loin des slogans sans fond, leur démonstration montre comment cette mesure peut créer des emplois sans coût supplémentaire pour les entreprises.

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