Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 12

  • Observatoire des inégalités - Tous temps de travail confondus, quels sont les écarts de salaires ?

    Données 24 novembre 2017

    Tous temps de travail confondus, les écarts de salaires sont plus élevés qu’en comparant les salaires à temps plein. Les cadres supérieurs touchent en moyenne trois fois plus que les employés.

    Tous temps de travail confondus, un salarié touche 1 700 euros nets mensuels en moyenne (Insee, données 2014). Il s’agit du « revenu salarial » qui inclut les personnes en temps plein mais aussi les personnes employées en temps partiel et celles qui n’ont travaillé que quelques mois dans l’année [1]. Le revenu salarial montre concrètement de combien les salariés disposent chaque mois pour vivre.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • L'actualité des socialistes du 24 au 30 novembre

    AMAZON

    Alternatives Economiques - Les cadences éreintantes d’Amazon

    «Merci de vous rendre au bureau des managers.» Elodie Kahit, préparatrice de commandes chez Amazon, voit s’afficher cette injonction sur son boîtier qui lui indique où aller chercher puis scanner les produits dans l’entrepôt. Son supérieur hiérarchique désapprouve le temps trop important qu’elle passerait à ne pas travailler. « Il y a des périodes où, selon les managers, faut pas trop aller aux toilettes. Sinon on doit demander », dénonce celle qui est également déléguée CGT pour le site de Chalon-sur-Saône.

    HOLLANDE

    Le Monde - L’humour de François Hollande récompensé par un prix

    L’ancien président a reçu, mardi, le grand prix de l’humour politique pour avoir notamment lancé durant son quinquennat : « Aujourd’hui, je suis à deux doigts d’être aimé. »

    L’ancien président François Hollande a remporté le grand prix 2017 de l’humour politique pour l’ensemble de ses traits d’humour, a annoncé, mardi 28 novembre, le Press Club de France.

    L’ex-chef de l’Etat, venu en personne à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) recevoir ce prix, créé en 1988 et décerné par un jury de journalistes et d’humoristes présidé par Nelson Monfort, a déclenché le rire du public en prononçant un bref discours. « Je prends conscience qu’un hommage m’est rendu, il était temps. Ce n’est pas forcément l’abondance des hommages qui justifie qu’on les néglige. »

    HAMON

    Le JDD - Pour Benoît Hamon, entre Mélenchon et Macron, il y a un espace à gauche

    .... Ancien camarade de Benoît Hamon, le président du groupe socialiste à l'Assemblée, Olivier Faure, ne croit pas en l'aventure de Génération·s. "Benoît est populaire mais personne n'a envie de l'accompagner dans son délire politique. Mélenchon n'attend qu'une chose, qu'il s'essouffle et crève." Récemment, un proche de Hamon pariait que Mélenchon s'essoufflerait avant : "Il va mettre des coups de boutoir, mais il ne fera rien bouger. La majorité tiendra le cap. Au bout de deux ans, les gens vont se demander à quoi tout cela sert."

    Libé - Hamon et Génération·s au milieu des gauches

    Plusieurs formations de gauche ont assisté samedi au Mans au rassemblement organisé par le mouvement du candidat socialiste à la présidentielle. Elles jonglent entre la bienveillance et les doutes.

    Un rassemblement, plusieurs ambiances. Samedi, au palais des congrès du Mans (Sarthe), Benoît Hamon a réuni sa famille pour la fondation de son mouvement, Génération·s. De nombreuses formations de gauche étaient invitées. Elles se sont croisées dans les couloirs sans forcément être dans le même tempo.

    Le Monde - Pour relancer son mouvement, Benoît Hamon le rebaptise « Génération.s »

    Réunis au Mans, samedi, les partisans de l’ancien socialiste veulent construire un mouvement « écologiste, solidaire et humaniste ».

    La salle principale du Palais des congrès du Mans (Sarthe) est décidément trop petite. Ses 1 400 places ne sont pas suffisantes pour accueillir l’ensemble des sympathisants de l’ancien Mouvement du 1er juillet, rebaptisé aujourd’hui Génération.s. Un nouveau nom pour relancer l’initiative mise en place il y a cinq mois par Benoît Hamon.

    Le Monde - Benoît Hamon veut faire exister son mouvement à côté de La France insoumise

    Le M1717 prend un second départ et se cherche un nouveau nom.

    L’objectif de Benoît Hamon est clair : donner un nouveau départ au Mouvement du 1er juillet, cinq mois pile après sa naissance. Les « hamonistes » se réunissent donc le 2 décembre au Palais des congrès du Mans pour la « journée de fondation » de leur organisation. Quelque 1 400 personnes sont attendues. Soit à peu près le même nombre que les « insoumis », réunis une semaine auparavant à Clermont-Ferrand, pour leur convention définissant les campagnes prioritaires de la formation de Jean-Luc Mélenchon.

    Libé - Dans les coulisses de la campagne Hamon, mise en mouvement et cahots

    Une nouvelle équipe de campagne se décide, mais l'absence de Valls à la convention d'investiture et les atermoiements des sénateurs grippent le démarrage.

    Ancien directeur de campagne de Benoît Hamon durant la primaire et l’élection présidentielle, Mathieu Hanotin est actuellement conseiller départemental de la Seine-Saint-Denis en charge des sports et de l’organisation des Jeux olympiques et membre du bureau national du Parti socialiste. Il était également député de Saint-Denis, Pierrefitte et Villetaneuse lors du précédent mandat. Depuis le 21 avril 2002, son parcours s’est progressivement rapproché de celui de Benoît Hamon. En 2014, ils se retrouvent ensemble aux côtés des autres «frondeurs» de l’Assemblée nationale. Il fut également l’un des premiers soutiens du candidat. Il livre dans Libération le journal de cette campagne atypique vue de l’intérieur.

    PARADISE PAPERS

    Alternatives économiques - Paradise papers : on va y arriver !

    Mission impossible ? Non. Les paradis fiscaux ne pèsent jamais grand-chose sur le plan géopolitique : si la France et l’Allemagne se mettent d’accord, il n’y a pas besoin d’envoyer beaucoup de divisions pour mettre le Luxembourg au pas. Et il est en réalité aisé de savoir ce qui s’y passe. C’est même devenu nettement plus facile aujourd’hui avec des transactions électroniques, que naguère avec des valises de billets, comme nous l’ont montré la NSA et Edward Snowden.

    REVENU DE BASE

    Libé - Revenu de base : huit départements prêts pour le test

    Dans une tribune publiée ce dimanche, les présidents PS des conseils départementaux de Gironde, de l'Aude, de l'Ariège, du Gers, de Meurthe-et-Moselle, de Haute-Garonne, d'Ille-et-Vilaine et de Seine-Saint-Denis proposent d'expérimenter le dispositif sur leurs territoires.

    Emmanuel Macron en a fait la promesse jeudi, devant le congrès des maires de France. Il souhaite «réformer la Constitution pour assouplir le droit à l’expérimentation». Message bien reçu par huit présidents de départements socialistes qui ont déjà une idée : tester le revenu de base. Un «objet de curiosité qui, sans être une solution miracle, mérite d’être étudié sans dogme», confie à Libération Jean-Luc Gleyze, président du département de la Gironde et fer de lance de ce projet.

    USA

    Regards - Aux États-Unis, la gauche "socialiste" de Sanders remporte des élections

    La brillante campagne présidentielle de Bernie Sanders n’est pas restée sans lendemain malgré la victoire de Trump : les élections locales ont porté aux responsabilités nombre de ses partisans et autres figures de l’opposition au milliardaire-président.

    Il faut savoir reconnaître les bonnes nouvelles quand elles pointent leur nez, même timidement et sans fanfare, au milieu de la nuit trumpienne : les résultats des élections locales du 7 novembre dernier aux États-Unis ne reflètent pas seulement un fort rejet du Parti républicain du président, ils laissent espérer que la construction d’une force politique radicale amorcée par Bernie Sanders ne s’est pas essoufflée à la fin de sa campagne

    PLAN ETUDIANTS

    Alternatives économique - Sophie Orange : « le plan étudiants comporte des risques »

    La ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Frédérique Vidal a présenté hier en Conseil des Ministres son « Plan Etudiants ». Appelé à être mis en oeuvre immédiatement, il prévoit une transformation significative des modalités d’orientation, d’affectation et de parcours au sein du premier cycle universitaire. Objectif affiché : améliorer la réussite de tous les étudiants. Mais selon la sociologue Sophie Orange1, cette réforme repose sur un diagnostic erroné, et risque d’aggraver au contraire les inégalités entre établissements et entre étudiants.

    LAICITE

    Slate - Denis Maillard: «Les musulmans sont des salariés comme les autres»

    Le 22 novembre, la Cour de Cassation a reconnu à une entreprise le droit d’interdire le port de signes religieux à un salarié en contact avec des clients, à condition de l’avoir prévu dans son règlement intérieur. Entretien avec Denis Maillard, spécialiste des questions sociales, autour de l'épineux sujet du fait religieux en entreprise.

    En quelques années, la religion a surgi dans le monde du travail. Les études sur le sujet sont rares, les données aussi, à l’exception de celles que publie depuis 5 ans l’Observatoire du fait religieux en entreprise (OFRE).

    PS

    Libé - Les députés PS veulent plus de salariés dans les conseils d’administration

    En dévoilant ce mercredi leur proposition de loi pour une «entreprise nouvelle», les élus du groupe «Nouvelle gauche» veulent rappeler qu'ils ont un ADN social-démocrate à faire valoir.

    Ils ne veulent pas qu’on les oublie. Pour leur première niche parlementaire, les députés socialistes ont choisi un thème qui a pourtant empoisonné leur précédent quinquennat : l’entreprise.

    Boursorama - Le Parti socialiste se cherche une ligne et un chef

    PARIS (Reuters) - Toujours dans les cordes après les lourdes défaites électorales du printemps dernier et affaiblis par les défections en faveur de la majorité d'Emmanuel Macron, les socialistes se cherchent une ligne et un chef en vue de leur congrès d'avril 2018.

    Le départ d'Olivier Dussopt pour le gouvernement réduit provisoirement à 30 le groupe Nouvelle gauche de l'Assemblée, dix fois moins que pendant le quinquennat de François Hollande, en attendant l'arrivée, d'ici un mois, de Michèle Victory, la suppléante du nouveau secrétaire d'Etat à la Fonction publique.

    Sud Radio - François Kalfon (PS) : "Emmanuel Macron a détruit les partis politiques façon puzzle"

    Conseiller régional d’Île-de-France et membre de la direction collégiale du PS, François Kalfon était l’invité politique du Grand Matin Sud Radio ce lundi. Défection d’Olivier Dussopt, avenir du PS et profil du prochain leader étaient notamment au programme. Interview.

    C’est une nouvelle défection au sein du Parti socialiste. Pas la première, et peut-être pas la dernière, alors que le parti entame une douloureuse phase de reconstruction après le fiasco des élections du printemps dernier. Ce week-end, le député de l’Ardèche Olivier Dussopt a officiellement rejoint les rangs du gouvernement en acceptant le poste de secrétaire d’État à la Fonction publique. Conseiller régional d’Île-de-France et membre de la direction collégiale du PS, François Kalfon était l’invité politique du Grand Matin Sud Radio. Il réagit avec ironie à ce départ. 

    Le Parisien - Qui peut encore sauver le Parti socialiste ?

    Miné par la défaite, en proie aux dissensions internes et lâché par ses troupes, le vieux parti cherche à rebondir. Et la bataille pour le fauteuil de premier secrétaire a commencé.

    « D'abord des soupçons de harcèlement sexuel portant sur un ex-leader des Jeunes socialistes, ensuite les diatribes antisémites d'un cadre du parti et, maintenant, un des nôtres qui devient ministre. C'est novembre noir ! » Ce constat désabusé tenu par un membre du bureau national du PS en dit long sur la vague de découragement qui déferle sur ce parti.

    L'Obs - Carvounas, Le Foll, Vallaud-Belkacem... Qui pour reprendre le PS ?

    Plusieurs socialistes envisagent de briguer le poste de Premier secrétaire, et s'activent en coulisses..... Si aucun membre du parti n'a pour le moment déclaré officiellement sa candidature au poste de Premier secrétaire, en coulisses, nombreux sont les socialistes qui convoitent la direction de la formation politique et s'activent déjà en vue du Congrès du parti, qui devrait avoir lieu les 7 et 8 avril 2018, et dont les modalités pourraient être tranchées le 9 décembre prochain, lors d'un Conseil national.

    ALTERNATIVES ECONOMIQUES

    Alternatives Economiques, Philippe Frémeaux - Il est possible d’entreprendre, de produire et de consommer autrement !

    Avec 2 373 000 salariés en 2016, soit 10,5 % de l’emploi total en France, elle pèse aujourd’hui d’un poids considérable. Et par ses modes de gouvernance, par ses finalités, l’ESS témoigne qu’on peut entreprendre autrement, que la voie capitaliste n’est pas la seule possible et que notre société ne se réduit pas à une collection d’individus mus par leur seul intérêt économique.

    ECRITURE INCLUSIVE

    Alternatives Economiques - Ecriture inclusive : parlez-vous rose ou bleu ?

    Le rose et le bleu, selon que vous êtes fille ou garçons, ça agace… Surtout, ça vous renvoie, voire ça vous réduit, à une dimension de ce que vous êtes et une seule, votre sexe biologique ; alors que vous êtes tout autant jeune ou vieux, sportif ou contemplatif, solitaire ou parent de famille nombreuse, riche ou pauvre, etc. Cette dichotomie rose-bleu, qui semble décidément bien ringarde, n’est-elle pas en train de resurgir par le truchement de certains aspects de ce qu’on désigne sous le vocable de langage inclusif ? De prime abord, le débat est clair : d’un côté, s’y opposent tous ceux qui ont peur de tout ce qui semble remettre en cause l’ordre sexué actuel. De l’autre, il y a un certain nombre de féministes, qui veulent, avec le langage dit inclusif, donner ou redonner aux femmes toute leur visibilité dans la langue.

    ISLAMISME

    Slate - La tentation islamiste de l’extrême gauche britannique, Gaël Brustier

    LES DECODEURS

    Les Décodeurs du Monde - Les intox du débat entre MM. Mélenchon et Castaner dans « L’Emission politique »

    Le chef de file de La France insoumise, invité de l’émission de France 2, et le délégué général de La République en marche ont débattu jeudi soir. Le vrai du faux de leurs échanges.

    Tantôt blagueur, tantôt agacé, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de « L’Emission politique » de France 2, jeudi 30 novembre. Le chef de file de La France insoumise (LFI) y a débattu durant environ vingt minutes avec le nouveau délégué général de La République en marche (LRM), Christophe Castaner. Une discussion parfois tendue, où les deux dirigeants politiques se sont à plusieurs reprises accusés l’un l’autre de mensonge. Retour sur trois de leurs échanges.
     

    Une rumeur diffusée par plusieurs sites peu fiables affirme que 55 % des Français seraient déjà exonérés de taxe d’habitation. C’est faux.

    L’exonération de taxe d’habitation pour 80 % des ménages promise par le gouvernement, de la « poudre aux yeux » parce que la majorité des foyers en seraient déjà exonérés ? C’est ce qu’affirme une rumeur partagée des milliers de fois sur les réseaux sociaux ces derniers jours. C’est pourtant faux.
  • Courrier International - Mário Centeno, “le Ronaldo de l’Ecofin”, favori pour la présidence de l’Eurogroupe

    Le ministre des Finances portugais, soutenu par Berlin et Paris, est bien parti pour diriger la zone euro à partir de lundi 4 décembre. Mais ce transfert de Lisbonne à Bruxelles suscite craintes et critiques au Portugal.

    Son sport de jeunesse est le rugby, son terrain d’excellence l’économie. Mais c’est à un footballeur, son plus fameux compatriote, qu’on le compare aujourd’hui. Le ministre des Finances portugais Mário Centeno, surnommé “le Ronaldo de l’Ecofin” (le Conseil des Affaires économiques et financières de l’UE) par son homologue allemand, est officiellement candidat depuis jeudi 30 novembre à la présidence de l’Eurogroupe. Et il part favori pour succéder ce lundi au Néerlandais Jeroen Dijsselbloem à ce poste stratégique des institutions européennes, face à trois concurrents : la Lettonne de centre droit Dana Reizniece-Ozola, le social-démocrate slovaque Peter Kazimir et le libéral luxembourgeois Pierre Gramegna.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • Un peu d'histoire : Revenus : une allocation pour tous

    Reportage d'Amaury GUIBERT en Finlande consacré à l'idée d'un revenu minimum universel pour tous. Cette question divise les citoyens et les experts notamment au niveau de l'égalité de traitement entre les citoyens, la motivation pour chercher un travail, les conséquences sur l'économie du pays. La Finlande a longtemps pratiqué la formule de l'Etat providence, mais la situation économique du pays ne permet plus de financer l'ensemble des aides sociales. Le coût de celles ci devient trop important pour l'économie. L'instauration d'un revenu minimum universel permettrait une simplification administrative, une réduction de l'effectif des fonctionnaires et donc des économies. Microtrottoir, interviews d'Annika SAARIKKO, vice présidente du parti centriste finlandais, Aleksi SAREOLA, chômeur de longue durée, Janet VIRTANEN, étudiante en droit, Joonas RAHKOLA, économiste à l'association des syndicats finlandais, alternant avec un commentaire sur des images factuelles et d'illustrations.

  • L'Opinion - Stéphane Troussel: «Au PS, je ne veux pas qu’on exclut» ceux partis avec Benoît Hamon

    Président socialiste du département de la Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel annonçait en novembre dernier sa décision de ne pas verser à la CAF les 40 millions d’euros nécessaires au paiement du RSA. « Les 100 000 allocataires de Seine-Saint-Denis percevront leur RSA mensuel et ce sera le cas en décembre et en janvier », indique-t-il. « Mais je ne rembourserai pas à la CAF d’autant plus que le gouvernement vient d’annoncer qu’il renouvellerait un fond d’urgence pour les départements en difficulté mais avec un chiffre deux fois moins important que les années précédentes », déclare Stéphane Troussel.

  • Observatoire des inégalités - Inégalités : que peuvent nous dire les économistes ?

    Alors que les biens et les services sont désormais échangeables internationalement, faut-il taxer les richesses accumulées ou intervenir en amont sur les inégalités de revenus ? Petite leçon d’économie appliquée aux inégalités. Par Pierre-Noël Giraud, économiste, enseignant à MINES ParisTech et à l’université Paris Dauphine. Extrait de l’ouvrage Que faire contre les inégalités ?.

    La question des inégalités, leurs causes, leurs évolutions, leurs conséquences, leur caractère naturel ou social, juste ou injuste, les moyens de les combattre convoquent l’ensemble des sciences économiques et sociales, ainsi que la philosophie morale et politique. L’économie n’en aborde que certains aspects. Elle mesure certaines inégalités – de revenus, de patrimoine, d’accès à l’éducation, à la santé, au logement, à la culture, etc. – et propose une explication de leurs évolutions. Si les inégalités sont jugées excessives – un jugement, on le verra, entièrement politique – elle propose des moyens de politique économique pour les réduire.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • France Info - Dussopt chez Macron : "C'est comme s'il venait nous cracher au visage", déplore Boris Vallaud

    Boris Vallaud, député Nouvelle gauche des Landes, invité de franceinfo lundi 4 décembre, a vivement réagi à l'entrée au gouvernement d'Olivier Dussopt, maintenant ex-député PS de l'Ardèche. "Je ne m’y attendais pas", a-t-il déclaré. "Nous sommes 30 dans le groupe à l'Assemblée nationale, à se serrer les coudes", a-t-il ajouté. "C'est comme s'il venait nous cracher individuellement au visage (...) Malheureusement je ne découvre pas qu’on est prêt à se vendre pour un plat de lentilles. La jouer perso, ce n’est pas trop correct vis-à-vis des collègues", a poursuivi Boris Vallaud.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Conversations avec Anna Cabana : Jean-Noël Jeanneney et Olivier Faure

    Jean-Noël Jeanneney, historien et ancien secrétaire d'État à la communication, était l’invité d’Anna Cabana, dans Conversations, ce lundi 4 décembre 2017, sur i24NEWS. Il est venu présenter son livre "Le moment Macron" (Éd. du Seuil). Nous avons aussi reçu Olivier Faure, député PS de la Seine-et-Marne et président du groupe Nouvelle gauche à l'Assemblée nationale. L’occasion d’évoquer l’avenir du Parti socialiste.

  • Le Monde - Une exposition sur les « martyrs » fait scandale à Berlin

    Présentée par un collectif danois, elle met sur le même plan Socrate, Martin Luther King et l’un des auteurs de l’attaque du Bataclan ou Mohammed Atta, le chef du commando du 11-Septembre.

    Il y a Socrate, sainte Apolline d’Alexandrie et Martin Luther King. Et puis, il y a Ismaël Omar Mostefaï, l’un des trois terroristes qui ont attaqué le Bataclan, le 13 novembre 2015, laissant derrière eux 90 morts. Tous sont placés sur le même plan dans une exposition intitulée « Musée des martyrs », imaginée par Ida Grarup Nielsen et Henrik Grimbäck, deux artistes danois, membres du collectif The Other Eye of the Tiger (L’Autre œil du Tigre) et présentée à Berlin. Inaugurée la semaine dernière et prévue pour durer jusqu’à mercredi, elle suscite l’indignation, en Allemagne comme en France.
     
    Lire la suite
    __________________
    __________________