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  • Revue de presse : avec le NFP (mise à jour du 20 novembre)

    A LA UNE

    L'Humanité - Que le Front devienne vraiment populaire

    Au-delà d’un indispensable déplacement auprès d’un piquet de grève ou dans un local syndical, les forces politiques de gauche doivent écouter et entendre ensemble les salariés afin d’élaborer avec eux des issues à leurs difficultés. Toutes les luttes en cours et celles qui sont en germination sont en effet d’intérêt général et portent sur le droit de vivre, le sens et l’utilité du travail, la vie de la diversité des territoires et la défense du climat et de la biodiversité.

    19 novembre

    Alternatives Economiques - Entretien Lucie Castets : « La gauche doit placer les intérêts des classes populaires au centre du débat politique »

    La victoire de Donald Trump sur Kamala Harris lors de l’élection présidentielle des Etats-Unis, mais aussi celle des républicains « MAGA » (« Make America Great Again ») outranciers sur le parti démocrate au Congrès posent de nombreuses questions : pourquoi les démocrates ont-t-il été délaissés par les « blue collars » états-uniens alors que Joe Biden avait adopté une politique censée répondre à leurs aspirations économiques ? Quelles traces l’inflation a-t-elle laissé dans le vécu des catégories populaires ? Quels effets a produit la propagande identitaire des républicains ?

    15 novembre

    Radio France - Budget 2025 : frustration et déprime à gauche après le rejet du texte à l'Assemblée nationale

    Après le blues des députés macronistes, qui se sont peu mobilisés dans l'hémicycle, au tour des forces du Nouveau Front populaire d'accuser le coup après des semaines à défendre des amendements balayés par le rejet de la première partie du budget. C'est la version initiale du projet de loi de finances qui est partie au Sénat.

    14 novembre

    Challenges - « On savait que ce budget ne serait pas voté » : les limites de la stratégie radicale de la gauche à l’Assemblée

    Après le rejet à l’Assemblée du volet recettes du budget 2025 de l’Etat, largement remanié par les députés du Nouveau Front populaire, la question de la stratégie de la gauche se pose.

    Gagner des batailles, mais pas la guerre. C’est ce qu’il ressort de l’épisode du budget à l’Assemblée nationale, où les députés du Nouveau Front populaire ont affiché une présence qui a parfois surpris leurs adversaires. Cette mobilisation a permis à la gauche de faire adopter plusieurs amendements dans les débats sur le volet recettes du budget de l’Etat. En revanche, le vote sur l’ensemble du texte, largement remanié par le Nouveau Front populaire, a été rejeté en première lecture, mardi 12 novembre, par l’Assemblée nationale à 362 voix contre et 192 pour, ce qui correspond au nombre de députés de l’alliance de gauche formée pendant les dernières législatives.

    10 novembre

    Le Figaro - Législative partielle en Isère : la dissidente socialiste se retire et ouvre la voie à une candidature unique de LFI

    Estimant que «la gauche n’a aucune chance de gagner cette circonscription si elle n’est pas unie», Amandine Germain a décidé de respecter l’accord du NFP et de se ranger derrière le mélenchoniste Lyès Louffok.

    6 novembre

    Huff Post - Budget de la Sécu : la gauche réussit à remanier la copie du gouvernement

    Les députés ont adopté lundi 4 novembre dans la soirée le volet « recettes » du budget de la Sécurité sociale. Largement remanié à la sauce Nouveau Front populaire.

    POLITIQUE - Des équilibres totalement renversés. À rebours d’un socle commun censé donner le la à l’Assemblée, c’est bien le Nouveau Front populaire qui s’est réjoui ce lundi 4 novembre dans la soirée de l’adoption du budget de la Sécurité sociale. « Barnier et Macron sont désavoués, leur projet est rejeté », se sont félicités les députés de La France insoumise dans un communiqué, savourant notamment le fait d’avoir « repoussé les 15 milliards d’euros de coupes sauvages et injustes aux frais des patients, des apprentis, des malades, des retraités ».

    Politis - Budget 2025 : quand la gauche rafle la mise… en vain ?

    Depuis trois semaines, le Nouveau Front populaire enchaîne les victoires sociales et écologiques dans un hémicycle clairsemé. Au point que la copie actuelle du budget serait, selon Éric Coquerel, « NFP-compatible ». Jusqu’au 49.3 ?

    « Ce n’est pas un échec. Je dirai plutôt que ça n’a pas marché. » Il faut, parfois, reconnaître à notre chef de l’État, le sens de la formule. Et celle-ci, tout en litote, ne saurait mieux résumer l’état de la coalition gouvernementale après plus de trois semaines de débats sur le projet de loi de finances (PLF) et le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS). En commission, en séance dans l’hémicycle, article par article, amendement par amendement, les soutiens du gouvernement de Michel Barnier se font balayer. Ridiculiser.

    1er novembre

    La Vie des Idées - Entretien avec Étienne Ollion : l'étrange victoire de l'extrême droite

    Dans une publication récente, les chercheurs Michaël Foessel et Étienne Ollion interrogent les raisons qui ont conduit à la "victoire" électorale de l'extrême droite en France

    Dans Une étrange victoire : l’extrême droite contre la politique, le philosophe Michaël Foessel et le sociologue Étienne Ollion analysent les facteurs qui ont permis à l'extrême droite de s'installer dans le paysage politique français, au point d'apparaître comme un choix de gouvernement probable, sans que l'on sache combien de temps il pourra encore être contrecarré.

    31 octobre

    Le Vent se léve - Niche RN sur les retraites : la gauche ne peut pas faire l’autruche

    La réforme des retraites serait-elle un moindre mal ? C’est ce que pourrait laisser entendre la posture d’une majorité d’élus de gauche, qui refuse de voter le texte contenant son abrogation, présenté par le RN dans sa niche parlementaire ce jeudi 31 octobre. Si celui-ci est défaillant à bien des égards sur le fond et la méthode, la gauche donne une nouvelle occasion au RN de se présenter médiatiquement comme un outsider. Et court le risque d’apparaître comme l’assurance-vie du macronisme, aux yeux d’une partie importante des travailleurs et des travailleuses. Alors même que le RN a agi comme le grand défenseur des intérêts du capital et des plus riches dans le débat budgétaire.

    30 octobre

    Les Echos - A gauche, Bernard Cazeneuve n'abdique pas ses ambitions

    L'ancien Premier ministre, qui veut recentrer la gauche et éloigner les socialistes de La France insoumise (LFI), joint ses forces à l'effervescence sociale-démocrate. Avec Matignon et la présidentielle de 2027 dans le viseur.

    France Inter - En Isère, le nouveau test de résistance du NFP

    Le Nouveau Front populaire passe un nouveau « test de résistance » à l’occasion d’une législative partielle à venir dans la première circonscription de l’Isère, qui se transforme en bras de fer entre le PS et la France Insoumise.

    27 octobre

    BFM - Législative partielle à Boulogne-Billancourt: tensions au NFP après l'investiture d'une candidate PS

    La nomination de Stéphane Séjourné à la Comission européenne provoque une élection législative partielle dans la 9e circonscription des Hauts-de-Seine. La section locale du PS a investi une candidate contre l'accord national du Nouveau front populaire.

    30 octobre23 octobre

    Le Nouvel Obs - Sécurité sociale de l’alimentation : nous, députés du Nouveau Front populaire, proposons une loi pour l’expérimenter

    Treize députés du NFP viennent de déposer une proposition de loi d’expérimentation d’une sécurité sociale de l’alimentation (SSA). Ils et elles défendent dans cette tribune la création d’un nouveau droit à l’accès de tous à une alimentation choisie et de qualité. 

    22 octobre

    Eric Coquerel : Mesures de justice fiscale & sociale votées en commission : un "enfer fiscal", vraiment ?

    Les 4 vérités - Boris Vallaud

  • 20 minutes - Congrès du PS : Boris Vallaud peut-il prendre la place d’Olivier Faure à la tête du parti ?

    BISBILLESCertains socialistes imaginent une candidature du patron des députés PS Boris Vallaud pour rassembler un parti divisé

    Le changement, c’est maintenant ? A la tête du Parti socialiste depuis six ans, Olivier Faure devrait briguer un nouveau mandat au prochain congrès prévu en 2025. Si la date du congrès n’est pas encore décidée, le Premier secrétaire voit déjà ses opposants internes, toujours hostiles à sa stratégie d’alliance avec LFI, se préparer pour lui ravir le trône. Et même au sein de son propre camp, certains verraient bien émerger une autre figure, le député des Landes et président du groupe à l’Assemblée, Boris Vallaud, jugé plus consensuel.

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  • Boris Vallaud : « Je plaide pour un Parti socialiste réconcilié, uni et combattant »

  • Boris Vallaud : "Le report de la revalorisation des retraites est un impôt sur la vie"

    10 oct. 2024 #L_INVITE_POLITIQUE

    Avec Boris Vallaud, député des Landes, président du groupe PS à l'Assemblée nationale et auteur de "En permanence - ces vies que je fais miennes" (Odile Jacob)

  • Les Echos - D'autres vies que la sienne

    Le député Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, livre un témoignage précieux sur son expérience d'élu local dans les Landes. Un livre émaillé de rencontres, qui redonne du sens à l'engagement politique.

    Les politiques aiment se livrer, se raconter, et peu résistent à la tentation d'écrire d'un livre. Si Boris Vallaud, député socialiste des Landes, ne fait pas exception de ce point de vue, son livre n'a rien de comparable à ceux auxquels nous ont habitués la plupart de ses congénères. Ici, nous sommes très loin des salons lambrissés du Palais-Bourbon et des lieux de pouvoir parisiens. C'est le témoignage d'un élu local que l'auteur entend nous livrer, avec les portraits à la fois hauts en couleur et émouvants des personnes qu'il voit chaque semaine venir à sa rencontre dans sa permanence de Saint-Sever, petite cité de 5.000 âmes au coeur du pays gascon.

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  • Boris Vallaud « De peur de trop en dire, Michel Barnier n'a pas dit grand chose. »

    2 oct. 2024

    Mardi 2 octobre 2024, Boris Vallaud était l'invité de la matinale de France Inter. Retrouvez cet entretien en intégralité !

  • #CamPuS24 : Le temps des parlementaires

    4 sept. 2024

    Jeudi 29 août au #CamPuS24 à Blois, se tenait la plénière : « Le temps des parlementaires », animée par Nina Karam-Leder, secrétaire nationale du Parti socialiste à la Programmation des Grands événements. Avec : - Patrick Kanner, président du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain au Sénat - Boris Vallaud, président du groupe socialistes et apparentés à l'Assemblée nationale - Nora Mebarek, coprésidente de la délégation de la gauche sociale et écologiste au Parlement européen - Raphaël Glucksmann, coprésident de la délégation de la gauche sociale et écologique au Parlement européen, coprésident de Place Publique

  • EN DIRECT | #CamPuS24 : Lutter contre les violences sexistes et sexuelles, avec Judith Godrèche

    Diffusé en direct il y a 3 heures

    Vendredi 30 août à partir de 12h, suivez la table-ronde « Lutter contre les violences sexistes et sexuelles », avec Judith Godrèche, actrice, réalisatrice et autrice. Avec une introduction de Boris Vallaud, président du groupe socialistes et apparentés à l’Assemblée nationale, député des Landes.

  • Courrier aux parlementaires. Notre méthode et nos priorités pour la XVIIe législature.

     

    Le 12 août 2024

    Objet : Notre méthode et nos priorités pour la XVIIe législature

    Madame la Députée, Monsieur le Député,

    Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur,

    Plus d’un mois après le second tour des élections législatives, la France n’a toujours pas de gouvernement. Préoccupés par cet état de fait, et alors que les urgences demeurent nombreuses et la situation internationale alarmante, nous prenons l’initiative de vous écrire. Les 30 juin et 7 juillet derniers, appelés aux urnes, les Françaises et les Français se sont fortement mobilisés, donnant à la nouvelle Assemblée nationale une très forte légitimité et une centralité inédite. Le président de la République avait appelé à une forme de clarification. La voici.

    De ces élections législatives anticipées décidées par le président de la République seul, nous croyons devoir collectivement tirer quelques leçons.

    Les électeurs et électrices ont exprimé une très forte attente de changement sur le fond des politiques conduites depuis 2017. Ils ont dit leur demande de justice sociale et fiscale, de reconnaissance du travail, notamment sur le plan salarial, de soutien au pouvoir d’achat, de défense des services publics, afin de les rendre plus accessibles et de qualité, leur demande, enfin, de protection et de sécurité du quotidien.

    Ils ont également exprimé une demande de changement des pratiques politiques et démocratiques, après des réformes qu’ils se sont vu imposer sans concertation, contre leur avis majoritaire et souvent avec une forme de brutalité institutionnelle. Ils aspirent à être mieux entendus et à une démocratie continue respectueuse des corps intermédiaires autant que des citoyens eux-mêmes.

    Les électeurs et électrices ont également, à une très large majorité, refusé le projet de l’extrême droite, un projet régressif, qui trie et stigmatise les Français, à rebours de nos valeurs et de l’histoire de notre République. Ils ont fait barrage républicain contre le Rassemblement national et ses nouveaux alliés de circonstance. Nous ne devons jamais l’oublier.

    Les électeurs et les électrices ont, enfin, placé le Nouveau Front Populaire en tête au second tour des élections législatives et en ont fait la première force politique à l’Assemblée nationale. C’est à ce titre qu’il est attendu du président de la République qu’il nomme un gouvernement de Front populaire. À charge pour ce dernier d’entendre les aspirations des Françaises et des Français et de faire vivre une Assemblée nationale certes fragmentée et sans majorité, mais surtout pluraliste. Le Parlement doit, plus que jamais, être au cœur de nos institutions et de notre vie démocratique. Faisons-en une chance.

    Ce résultat nous oblige collectivement, et nous voudrions vous dire l’état d’esprit qui est le nôtre et le chemin qui nous paraît pouvoir être désormais suivi pour demeurer fidèle au résultat des élections législatives.

    Le gouvernement du Nouveau Front Populaire qui serait ainsi nommé par le président de la République devrait, à notre sens, prendre en compte l’ensemble des implications de ce scrutin. Il devra en premier lieu tenir compte du fait que la majorité sur laquelle il s’appuie n’est que relative et qu’il lui sera dès lors nécessaire de convaincre au-delà des rangs du Nouveau Front Populaire pour construire des majorités parlementaires. Cette situation appellera sans nul doute une évolution de nos pratiques parlementaires et des relations entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif: mieux articuler les fonctions d’évaluation et de contrôle avec la fonction législative, envisager de répartir les responsabilités de rapporteurs entre les groupes républicains sur certains textes débattus, partager l’ordre du jour parlementaire - y compris le temps gouvernemental, ou encore élaborer les textes en amont avec les rapporteurs et chefs de file pressentis des commissions, avant même la transmission de l’avant-projet de loi au Conseil d’État.

     Il devra, en second lieu, renouer le dialogue avec les corps intermédiaires et la société civile, en particulier avec les organisations syndicales et le monde associatif, qui doivent être partie prenante du renouveau des pratiques démocratiques, qui seul permettra de construire les majorités les plus larges, dans le pays comme au Parlement. Il devra considérer la République des territoires et ses 520 000 élus locaux, qui ont une connaissance intime des réalités quotidiennes des Français et sont les artisans de notre cohésion sociale. Cela nécessitera de renforcer les libertés locales dans l’esprit des lois de décentralisation, de renouveler la capacité d’agir et d’innover des collectivités de l’hexagone et des Outre-mer, pour accélérer la bifurcation écologique, porter des politiques de solidarité et défendre les services publics de proximité. Cela appellera de l'État local qu’il ait véritablement les moyens de les accompagner, dans le respect du principe d’égalité entre les territoires.

    Nous nous portons garant de ce changement de pratique. Dès sa nomination, le gouvernement du Nouveau Front Populaire mènera des discussions approfondies et transparentes avec les groupes parlementaires républicains, avec les syndicats et la société civile organisées ainsi qu’avec les associations nationales d’élus, sur le budget pour 2025 d’une part, et sur un programme de travail gouvernemental pour les mois à venir d’autre part.

    Sur le fond, nous vous proposerons que les deux assemblées travaillent sur le fondement de cinq grandes priorités pour la vie de nos concitoyennes et concitoyens, à partir desquelles seront déterminés ensemble les priorités budgétaires et le calendrier législatif :

    1. Améliorer le pouvoir d’achat et renforcer la justice sociale : augmenter les salaires, notamment le SMIC et les bas salaires, les minimas sociaux, abroger la réforme des retraites et redonner la main aux partenaires sociaux sur l’assurance chômage.
    2. Accélérer la bifurcation écologique de notre économie et soutenir les initiatives écologiques de proximité.
    3. Redresser l’Éducation nationale, renforcer l’égalité au sein de notre système éducatif pour garantir l’avenir de nos enfants.
    4. Accueillir à nouveau le service public de santé dans les territoires et garantir le bon fonctionnement de l'hôpital public.
    5. Rétablir une fiscalité juste qui permette de financer nos services publics, le pouvoir d’achat et la transition écologique tout en évitant de creuser la dette grâce à une hausse des ressources fiscales concentrée sur les foyers les plus aisés, les multinationales et la lutte renforcée contre la fraude et l’évasion fiscales.

    Nous vous proposerons également de renouer avec les travaux parlementaires de la XVIe législature qui ont été interrompus par la dissolution et notamment avec certaines initiatives législatives, comme celles concernant la fin de vie, la protection de l'enfance, les familles monoparentales, l’instauration d’un nombre minimum de soignants par patient hospitalisé ou les violences sexuelles dans le milieu culturel. Sur l’ensemble des sujets, le Parlement et ses élus doivent jouer leur rôle de cœur battant de la démocratie.

    Nous croyons fermement que les priorités ainsi débattues ensemble, le regain de place donnée au travail parlementaire, ainsi que le dialogue retrouvé avec les collectivités territoriales, les syndicats et les corps intermédiaires sont à même de réunir, au-delà de notre coalition, pour répondre aux besoins urgents du peuple. C'est aussi la mise en œuvre de cette méthode et de ces priorités qui permettra de montrer à nos concitoyens que leur vote a été compris et de restaurer la confiance dans nos institutions démocratiques.

    Nous espérons partager avec vous la volonté d’apporter au pays les réponses qu’il attend et la stabilité qu’il espère. Dans cette perspective, nous nous tenons à votre disposition pour évoquer les propositions formulées dans ce courrier et, plus largement, de pouvoir échanger sur vos priorités dès la rentrée.

    Nous vous prions d’agréer, Madame la Députée, Monsieur le Député, l’expression de nos salutations distinguées.

    Lucie Castets - Candidate du Nouveau Front Populaire au poste de Première ministre

    André Chassaigne - Président du groupe Gauche Démocrate et Républicaine Assemblée nationale

    Cyrielle Chatelain - Présidente du groupe Écologiste et Social Assemblée nationale

    Mathilde Panot - Présidente du groupe La France Insoumise Nouveau Front Populaire Assemblée nationale

    Boris Vallaud - Président du groupe Socialistes et apparentés Assemblée nationale