vallaud - Page 3
-
Boris Vallaud - « C'est la fin du "en même-temps" et le début d'une cohabitation avec la droite d'Éric Ciotti. »
-
L'avenir de la NUPES (revue de presse mise à jour le 26 octobre)
La position des insoumis sur l’attaque du Hamas en Israël semble être l’étincelle qui fait lentement exploser la Nupes. Mais entre la stratégie de LFI pour bloquer la réforme des retraites, les élections européennes et les divergences de positions pendant les émeutes après la mort de Nahel, les désaccords au sein de l’union des gauches ne sont pas nouveaux. Derrière ces tensions, il y a un dénominateur commun, Jean-Luc Mélenchon, qui semble saboter un mouvement qu’il a lui-même lancé. Pour vous aider à comprendre la crise de la Nupes, Charlotte Belaïch et Sacha Nelken, journalistes politiques à Libération, étaienten direct sur Youtubece mercredi 25 octobre.
26 octobre
Libé - Critique de Jean-Luc Mélenchon, Raquel Garrido va devoir s’expliquer
La députée de Seine-Saint-Denis a été convoquée la semaine prochaine par la direction de LFI. Depuis plusieurs jours voire semaines, l’élue n’hésite pas à critiquer publiquement les prises de position du leader insoumis.
Le Parisien - [PODCAST] Comment la Nupes a viré à la désunion
En mai 2022, Jean-Luc Mélenchon célébrait avec les principaux dirigeants des partis de gauche une union historique baptisée Nupes, en vue des élections législatives. Mais aujourd’hui, l’avenir de la Nupes s’écrit en pointillé, après plusieurs mois de polémiques, de désaccords et de crises successives. Pour Code source, les journalistes Pierre Maurer et Julien Duffé qui couvrent la gauche au service politique du Parisien, reviennent sur les événements qui ont amené la Nupes à cette crise.
Face à une NUPES qui bat de l’aile, une autre expression fait discrètement son chemin. Avec le risque de ne pas réussir à faire mieux ?
« Mélenchon ne dit pas qu’il y a un point de non-retour sur le fait qu’on souhaiterait enterrer la NUPES, ce n’est pas vrai ». L’intervention de Mathilde Panot résonne étrangement, mardi 24 octobre, dans la salle des conférences de presse de l’Assemblée. Dimanche, le leader insoumis a pourtant écrit noir sur blanc sur son blog que « le point de non-retour est franchi » et encore plus explicitement envers son noyau dur : « Les bases LFI savent donc qu’elles doivent se passer des députés qu’elles ont élus il y a un an. ». Un nouvel épisode révélateur des tensions maximales au sein de l’ex (?) alliance de gauche et de la difficulté pour chacun d’acter ou non la mort de la Nupes.
25 octobre
Le député socialiste dénonce la stratégie de conflictualisation permanente des Insoumis, actant un peu plus la fin de la Nupes.
Il était l’un des premiers au sein du Parti socialiste (PS) à estimer que «la question» de rester dans la Nupes devait «se pose(r)» après les saillies controversées de La France insoumise (LFI) sur le Hamas. Invité sur Franceinfo ce mercredi, Jérôme Guedj continue d’invoquer le «désaccord principiel» qui distingue les troupes de Jean-Luc Mélenchon du reste de la gauche.
La Dépêche Louviers - Eure. Fin de la Nupes ? Le député socialiste Philippe Brun réagit
À la suite des prises de position des Insoumis, le parti socialiste a suspendu sa participation à la Nupes. Le député PS de la 4e circonscription de l'Eure réagit.
Créé en 2022 pour tenter de remporter les élections législatives, le grand rassemblement de la gauche (Socialistes, Communistes, Insoumis, Écologistes) à travers son mouvement le Nupes (Nouvelle Union populaire écologique et sociale) est mort cette semaine. Le chef de file de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a même annoncé que « le point de non-retour était franchi ». Après le départ du parti communiste de la Nupes, c’est au tour du parti socialiste de quitter le navire.
Dans un courrier, LFI demande des précisions sur le moratoire voté par le Parti socialiste dans la nuit du mardi 17 au mercredi 18 octobre pour suspendre sa participation à l’intergroupe de la Nupes.
Quel avenir pour la Nupes après les divergences autour de la guerre Israël-Hamas ? Alors que Jean-Luc Mélenchon estimait dans un post de blog qu’il « [était] devenu clair que le point de non-retour [était] franchi », Mathilde Panot, présidente du groupe parlementaire La France insoumise (LFI), assure que « Jean-Luc Mélenchon ne dit pas qu’il y a un point de non-retour sur le fait qu’on souhaiterait enterrer la Nupes, ce n’est pas vrai », mardi 24 octobre lors d’un point de presse à l’Assemblée nationale.
Le Parisien - Divergences au sein de la Nupes : LFI et les écologistes calment le jeu
Jean-Luc Mélenchon avait allumé la mèche dimanche, estimant que le point de non-retour concernant l’avenir de la Nupes avait été « franchi ». Les députés écologistes et insoumis assurent que la coalition n’est pas enterrée.
Comme une volonté d’éviter une séparation en mauvais termes. Il n’y a « pas de point de non-retour » qui empêcherait la coalition de gauche Nupes de survivre au sein de l’Assemblée, ont assuré successivement les députés LFI et écologistes mardi, en réaction à une phrase de Jean-Luc Mélenchon semblant déjà tourner la page.
L'Express - Nupes : des députés continuent de vouloir sauver l’alliance
A l'Assemblée nationale, les députés écologistes ont notamment assuré qu’ils signeraient tous ensemble la prochaine motion de censure de la gauche, lors du prochain 49.3 du gouvernement.
Même si la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) est en mort clinique, une partie des députés de gauche s’accrochent à l’union et tentent de trouver des terrains d’entente. Il n’y a "pas de point de non-retour" qui empêcherait la coalition de gauche de survivre au sein de l’Assemblée, ont ainsi assuré successivement les députés LFI et écologistes ce mardi 24 octobre, en réaction à une phrase de Jean-Luc Mélenchon semblant déjà tourner la page.
24 octobre
L'intergroupe n'a pas siégé à l'Assemblée nationale mardi 24 octobre, pour la première fois depuis la création de la Nupes, en juin 2022.Manuel Bompard, le coordinateur national de La France insoumise, a écrit une lettre à la direction du Parti socialiste pour demander des "précisions" sur le moratoire de la participation du parti à la Nupes, a appris le service politique de franceinfo, confirmant une information du Figaro (article réservé aux abonnés). "J'ai besoin de comprendre pour discuter avec certains socialistes. Je ne suis pas le seul à ne pas avoir compris" , explique à franceinfo un membre de la direction de La France insoumise.23 octobre
BFM - Nupes: Jean-Luc Mélenchon estime que "le point de non-retour est franchi"
Dans une note de blog, le leader insoumis cogne sur ses partenaires de la Nupes et semble acter encore un peu plus la fin de cette coalition.Une preuve de plus que l'alliance des gauches vit ses dernières heures? Dans une note de blog au vitriol intitulée "Tuer le père", Jean-Luc Mélenchon semble acter une nouvelle fois la fin de la Nupes: "Il est devenu clair que le point de non-retour est franchi", écrit le leader de La France insoumise
L'ancien Premier ministre a dit "craindre" qu'Olivier Faure ne soit "le dernier secrétaire du PS, au train où vont les choses".La France insoumise n'appartient pas "à la grande histoire de la gauche française" et est la "manifestation d'un extrémisme", estime l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve, sur franceinfo lundi 23 octobre. Il faut, selon lui, que le parti socialiste "coupe les ponts" avec le parti fondé par Jean-Luc Mélenchon.Europe 1 «La Nupes a échoué sur le réel», juge la socialiste Carole Delga
La présidente socialiste de la région Occitanie Carole Delga a affirmé que "la Nupes n'a rien transformé et a échoué sur le réel". Elle a appelé à une union "sur des valeurs communes", critiquant sans les citer les membres de la France Insoumise.
"La Nupes n'a rien transformé et a échoué sur le réel", estime la présidente socialiste de la région Occitanie Carole Delga à propos de la coalition de gauche en crise profonde, dans un entretien diffusé samedi sur le site du Point.
Politis le 19 octobre - Fin de la Nupes : vers une union sans Mélenchon
Les communistes veulent ouvrir « une nouvelle page » de la Nupes. Les socialistes ont voté pour un « moratoire » actant la fin de l’alliance. Mais les gauches ne renoncent pas à une autre coalition qui exclurait le clan du triple candidat à la présidentielle.
La gauche est historiquement coutumière des manœuvres politiques. Et elle n’est pas en train de perdre ses vieilles habitudes. Au contraire. En coulisses, les téléphones chauffent, des députés discutent et les têtes pensantes phosphorent. En pleine crise, personne n’a vraiment arrêté de se parler. « Il y a des échanges qui sont en cours. Rien de très concret. On est au début d’une nouvelle recomposition à gauche », glisse un cadre de la Nouvelle union, populaire, écologique et sociale (Nupes). D’une même voix, écologistes, communistes et socialistes veulent croire à un autre rassemblement de la gauche. Tout en tirant un trait sur l’union telle qu’elle existe. La situation peut sembler paradoxale. Mais elle pourrait permettre, selon eux, de se défaire du problème majeur au sein de l’alliance : Jean-Luc Mélenchon.
20 octobre
Dans une interview à L’Express mardi soir, le chef de file des députés socialistes Boris Vallaud entend «s'attaquer aux désaccords de fond» et «revoir le fonctionnement de l'intergroupe».
L’écart qui sépare La France Insoumise des autres formations de la Nupes est de plus en plus béant. Alors que la coalition de gauche est secouée depuis deux semaines par des débats internes autour du conflit au Proche-Orient, et notamment par la non-qualification, chez certains Insoumis, du Hamas comme organisation terroriste, le Parti socialiste prend ses distances avec ses partenaires LFI. Dont les ambiguïtés à l’égard du mouvement islamiste ont été révélées au grand jour.
Alexis Corbière, député LFI de Seine-Saint-Denis, était l’invité des "4 Vérités" de France 2, vendredi 20 octobre.Le Parti socialiste a suspendu sa participation à la Nupes sur fond de crise au Proche-Orient et de désaccord sur l’attaque du Hamas du 7 octobre. "J’ai lu attentivement les résolutions du Parti socialiste ou même celles du Parti communiste : elles ne disent pas qu’il faut arrêter l’union. Elles appellent à ce que les choses s’organisent différemment. Si j’étais en situation de direction de La France insoumise, […] je pense qu’il faut prendre notre bâton de pèlerin et remettre tout le monde autour d’une table pour voir dans quelles conditions on continue", explique Alexis Corbière, député LFI de Seine-Saint-Denis, invité des "4 Vérités" de France 2, vendredi 20 octobre.
19 octobre
Les Echos - Nupes : ces 5 moments qui ont conduit à l'explosion de la coalition
Le Parti socialiste a voté mardi soir la suspension de sa participation à la Nupes, après que le Parti communiste a appelé dimanche à un « nouveau type d'union » de la gauche. L'aboutissement de longs mois de vexations et de divergences.
L'histoire retiendra que les attaques terroristes du Hamas contre Israël auront constitué le coup de grâce à la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (Nupes), cette coalition de gauche née au lendemain de l'échec de la gauche à accéder au second tour de l'élection présidentielle de 2022. Et pourtant, la division de la Nupes est ancienne et profonde.
France Info - Le Parti socialiste vote un "moratoire" sur sa participation à la Nupes
Cette décision fait notamment suite au refus de Jean-Luc Mélenchon et de son cercle rapproché de qualifier le Hamas de "terroriste", après l'attaque sanglante contre Israël.Si "Jean-Luc Mélenchon a été un facteur d'union", il est "aujourd'hui devenu un obstacle". Le Parti socialiste a voté, dans la nuit du mardi 17 au mercredi 18 octobre, un "moratoire" sur sa participation aux travaux de la Nouvelle union populaire écologiste et sociale (Nupes). Réuni pendant six heures, le conseil national du PS a pris cette décision à 54,15% des voix.INTERVIEW. Le sénateur écologiste appelle la gauche à suspendre sans plus tarder toute relation de travail avec la direction de LFI, après des dérapages « abjects ».
L’élue de Seine-Saint-Denis juge sévèrement son camp, tant LFI que l’ensemble de la NUPES. « Quel spectacle donne à voir la Nupes ? Celui de la dispute permanente et de l’éclatement. C’est affligeant », écrit-elle sur son blog.
Clémentine Autain est en « colère ». La députée LFI de Seine-Saint-Denis se désole ce mercredi 18 octobre de « l’immense gâchis » qui a été fait de la NUPES, au lendemain du moratoire du PS sur « sa participation aux travaux » de la coalition et après la prise de distance du Parti communiste français.
BFM - Ruffin, Garrido et Corbière prennent leurs distances avec les propos d'Obono sur le Hamas
"Le Hamas n'est PAS un mouvement de resistance", a insisté Alexis Corbière sur X, avant que son collègue François Ruffin ne relaye le message.En répondant à l'affirmative à la question de savoir si le Hamas était un "mouvement de résistance", ce mardi, la députée insoumise Danièle Obono s'est attiré les foudres de l'ensemble de la classe politiques. Même certains insoumis sont sortis des rangs. Tous ont pour point commun d'être classés comme "frondeurs", depuis qu'ils n'ont pas été retenus dans la direction de LFI.
La présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale a rappelé qu'un "programme de gouvernement" a été écrit avec le Parti socialiste, et a demandé de la "clarté" et du "respect" pour leurs électeurs.Une demande de clarification. Invitée ce jeudi sur l'antenne de France Inter, Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale, a été interrogée quant à la situation actuelle de la Nupes, alors que les socialistes ont pris leurs distances ces derniers jours.
Alors que des scissions sont observées au sein de la NUPES, Ifop-Fiducial pour Paris Match a interrogé les Français concernant leur préférence entre Fabien Roussel et François Ruffin.
Le « match » entre ces deux personnalités de gauche s’avère très serré, avec un léger avantage pour le leader communiste : 38% des Français déclarent préférer Fabien Roussel contre 35% pour François Ruffin. Le député picard se trouve plus apprécié auprès de l’ensemble des sympathisants de gauche (47% préfèrent François Ruffin) que Fabien Roussel (35%).
-
Boris Vallaud « La paix n'est pas une utopie, elle est pour nous un devoir. »
Lundi 23 octobre 2023, dans le cadre de la déclaration du Gouvernement et du débat sur la situation au Proche-Orient à l'Assemblée nationale, Boris Vallaud a pris la parole au nom du groupe socialistes et apparentés.
-
Travail, le labeur de vivre : redécouvrez le débat organisé pour l'Université Libé
Pour l'Université Libé Dominique Méda, sociologue, Sandrine Rousseau, députée Ecologiste-Nupes, Bernard Friot, sociologue et économiste, professeur émérite à l’université Paris X-Nanterre, Boris Vallaud député socialistes et apparentés, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, se sont réunis autour d'une table à la Sorbonne pour débattre du travail.
-
Le Figaro : Avec leur nouvelle chaîne Twitch, les socialistes tentent d'investir les réseaux sociaux
Le patron des députés PS, Boris Vallaud, débarque sur la plateforme Twitch avec son collègue Philippe Brun. Un moyen de dépoussiérer l'image du vieux parti à la rose.
Il y a comme un air de Starsky et Hutch, la Ford Torino rouge en moins. Dans son bureau qui jouxte l’Assemblée nationale, où ses équipes ont bricolé à la va-vite un studio, Philippe Brun livre sa recette : «Deux députés socialistes ringards, une webcam et un tchat.» L’élu de l’Eure a trouvé son Hutch, blond comme le vrai, en Boris Vallaud, patron des députés PS. Ensemble, ils ont lancé mercredi 5 avril leur émission hebdomadaire «Boris et Philippe», diffusée sur la plateforme Twitch. Un réseau social de «niche», prisé par les fans de jeux vidéo et devenu, au fil des campagnes, un nouveau terrain de conquête politique. En moins d’une heure, face caméra, le duo de socialistes présente sa revue de presse, ponctuée de blagues et d’anecdotes. Mais sans perdre de vue le message politique : on y parle nationalisation d’EDF, fraude fiscale, 49.3… «Darmanin, on va lui faire son compte ce soir», prévient Philippe Brun, qui a fait tomber la cravate pour l’occasion.
Lire la suite
_____________________
_____________________ -
Boris Vallaud au Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro
"L'obstination est mauvaise conseillère", a estimé dimanche le chef de file des députés socialistes lors du "Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro", évoquant un chef de l'Etat "retranché à l'Élysée".La mobilisation contre la réforme des retraites continue à gauche. Le chef de file des députés PS, Boris Vallaud, s'en est à nouveau pris à Emmanuel Macron, dimanche 9 avril lors de l'émission "Le Grand JuryRTL-LCI-Le Figaro". Le socialiste a décrit le chef de l'Etat comme un "forcené (...) retranché à l'Elysée". Le député des Landes l'a également accusé d'avoir provoqué une crise et un "coup de force démocratique" en "brutalisant" le Parlement et en n'écoutant pas la rue sur la réforme des retraites.Boris Vallaud tire à boulets rouges sur le chef de l'État. Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le patron des députés socialistes a tancé un président «forcené», «retranché à l'Élysée» et guidé par sa seule «obstination» sur la réforme des retraites. «Je n'accepte pas qu'Emmanuel Macron qu'il a mandat pour appliquer cette réforme», a-t-il déploré. Auditionné par le Conseil constitutionnel, Boris Vallaud a «de grands espoirs» que le texte soit censuré par les neuf juges. L'institution de la rue Montpensier doit trancher, jeudi 14 avril, sur la conformité du projet de loi à la Constitution. «Nous contestons la clarté et la sincérité du débat que nous avons eu», a fait valoir Boris Vallaud, rappelant que les Sages se prononcent «en droit» et non sur le «fond».INVITÉ RTL - Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée, a critiqué "l'obstination" du président de la République, dimanche 9 avril lors du "Grand Jury RTL - Le Figaro - LCI".Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, a vivement critiqué "l'obstination" d'Emmanuel Macron vis-à-vis de la réforme des retraites. "Certains présidents se grandissent d'écouter leur contradicteur, ça a été le cas pour le CPE ou encore pour les manifestations contre l'école libre sous François Mitterrand. De temps en temps l'obstination est mauvaise conseillère, on a un président qui est un forcené", est allé jusqu'à estimer le député socialiste. -
Boris Vallaud - Retraites : "C’est un Président forcené, en tête à tête avec lui-même"
Boris Vallaud, député des Landes, président du groupe PS à l'Assemblée nationale critique les prises de position du président de la République : "Il y a un côté bravache chez Emmanuel Macron, il y avait un côté 'qu’ils viennent me chercher'. C’est un Président forcené, en tête à tête avec lui-même".
-
L'Obs - Réforme des retraites : la Nupes se lance dans la bataille des mots
"Cette réforme, c'est la retraite pour les morts", "Le rêve d'Emmanuel Macron, c'est le travailleur Uber", "Soyons un million dans la rue" : du député LFI François Ruffin – organisateur de la soirée via son journal "Fakir" en collaboration avec Reporterre – à la secrétaire générale d'EELV Marine Tondelier, le patron du PCF Fabien Roussel ou encore le député PS Boris Vallaud, la gauche et les écologistes ont lancé les hostilités mardi 10 janvier contre la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron, lors d'un meeting dans le 11e arrondissement de Paris. Ecoutez les meilleures punchlines de la soirée.
-
"Nous ne frayons pas avec l'extrême droite", dit Boris Vallaud, chef de file des députés PS-Nupes
-
La revue de presse du 11 novembre
Observatoire des inégalités - La pauvreté paradoxale
Analyse 2 novembre 2022
Une partie des pauvres ne sont pas ceux que l’on attend. Cette pauvreté paradoxale frappe des travailleurs, des retraités, des propriétaires et des cadres, autant de catégories a priori protégées. Reste que si tout le monde peut être concerné par la pauvreté, ce n’est pas avec la même probabilité. Une analyse de Louis Maurin, extraite de Constructif.
Le chef de file des députés socialistes estime que l'heure de faire chuter le gouvernement n'est pas venue, car il n'existe pas de majorité alternative.
Ce n'est pas simple d'être député socialiste en 2022. Il faut s'accorder avec de nouveaux alliés Insoumis qu'ils conspuaient hier, et avoir dans son dos les vieux et encombrants éléphants du parti, tout en espérant des jours meilleurs pour le PS. Et puis il y a ces 89 députés du Rassemblement national, une réalité que Boris Vallaud, patron du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, n'ignore pas mais qu'il refuse de "banaliser".
Charlie Hebdo - Dans le drôle de cabinet du ministre Béchu , Fabrice Nicolino ·
Privée de majorité à l'Assemblée nationale, le gouvernement a subi un nouveau revers lors de l'examen du projet de loi de budget, sur la rénovation thermique des logements.
Lundi 31 octobre au soir, l’Assemblée nationale a voté pour rajouter près de 12 milliards d’euros de crédits en faveur de la rénovation thermique des logements . Des amendements déposés par le Parti socialiste et les écologistes, que le Rassemblement national a votés notamment. Même si le gouvernement ne les retiendra probablement pas dans la version finale du budget, c’est un nouveau revers pour le camp présidentiel.
Fondation Jean Jaurès - Midterms 2022 : le point de vue d’un militant démocrate de Los Angeles
Le 8 novembre prochain, les Américains sont appelés aux urnes pour les élections de mi-mandat. Ce scrutin complexe se déroule en réalité sur plusieurs semaines, dans un contexte de vives tensions entre démocrates et républicains et alors que le système électoral américain est fondamentalement différent du système français. Steve Cron, président du club des démocrates de Pacific Palisades (Los Angeles), nous éclaire sur les activités du Parti démocrate au niveau local et sur le vote du 8 novembre qui regroupe des élections à de nombreuses fonctions municipales, nationales et un vote « référendaire » sur des sujets variés.
LVSL - Élections de mi-mandat : les démocrates pris à leur propre piège
Rattrapés par une situation économique préoccupante, les démocrates voient leurs espoirs électoraux s’évaporer à l’approche des élections de mi-mandat, pourtant déterminantes pour leur avenir. Depuis l’élection de Joe Biden, ils ont dépensé autant d’énergie à combattre la percée des « progressistes » liés à Bernie Sanders qu’à lutter pour des mesures ambitieuses en termes sociaux et environnementaux. Les électeurs, frappés de plein fouet par l’inflation et la récession économique, risquent de s’en détourner…
Les traditionnelles élections de mi-mandat se tiendront le 8 novembre prochain aux États-Unis. L’ensemble de la Chambre des représentants du Congrès ainsi qu’un tiers du Sénat seront renouvelés, de même que 36 gouverneurs et les élus locaux (procureur général, ministre de l’Intérieur, parlements) de la majorité des États.
LVSL - Grèce : la tragédie qui n’en finit pas
En 2009, la crise de la dette grecque débutait. Depuis, de nombreux plans de « sauvetage » comprenant des « réformes » sous la tutelle de la « Troïka » (FMI, BCE et Commission européenne) se sont succédés. Si les banques ont effectivement été sauvées, le bilan social d’un tel programme est catastrophique. Fortement appauvrie, la Grèce est devenue un Club Med géant où les infrastructures stratégiques ont été privatisées et où les services publics ont été bradés. La population, elle, se résigne ou quitte le pays.
Le 20 août dernier, la Grèce est sortie de la surveillance économique renforcée de la Commission européenne. Un jour qualifié d’« historique » par le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis, tandis que la Présidente de la Commission Européenne vantait la « résilience » de la Grèce et l’enjoignait à « envisager l’avenir avec confiance ». Le bilan des « réformes » et de ce programme d’« aides » est pourtant peu reluisant, pour ne pas dire catastrophique.
Pour « refonder, rassembler, gouverner », plus de 1 000 élus et militants socialistes appellent, autour d’Hélène Geoffroy, candidate au congrès du PS, à construire « une gauche des solutions, déterminée à gouverner aux antipodes de la gauche de l’incantation ». Parmi les signataires : Marie-Arlette Carlotti, Patrick Mennucci, François Kalfon ou encore Jean-Christophe Cambadélis.
-
Motion de censure Nupes votée par le RN : "Je l’ai ressentie comme un coup de poing dans le ventre"