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vallaud - Page 3

  • Boris Vallaud « La paix n'est pas une utopie, elle est pour nous un devoir. »

    Lundi 23 octobre 2023, dans le cadre de la déclaration du Gouvernement et du débat sur la situation au Proche-Orient à l'Assemblée nationale, Boris Vallaud a pris la parole au nom du groupe socialistes et apparentés.

  • Travail, le labeur de vivre : redécouvrez le débat organisé pour l'Université Libé

    Pour l'Université Libé Dominique Méda, sociologue, Sandrine Rousseau, députée Ecologiste-Nupes, Bernard Friot, sociologue et économiste, professeur émérite à l’université Paris X-Nanterre, Boris Vallaud député socialistes et apparentés, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, se sont réunis autour d'une table à la Sorbonne pour débattre du travail.

  • Le Figaro : Avec leur nouvelle chaîne Twitch, les socialistes tentent d'investir les réseaux sociaux

    Le patron des députés PS, Boris Vallaud, débarque sur la plateforme Twitch avec son collègue Philippe Brun. Un moyen de dépoussiérer l'image du vieux parti à la rose.

    Il y a comme un air de Starsky et Hutch, la Ford Torino rouge en moins. Dans son bureau qui jouxte l’Assemblée nationale, où ses équipes ont bricolé à la va-vite un studio, Philippe Brun livre sa recette : «Deux députés socialistes ringards, une webcam et un tchat.» L’élu de l’Eure a trouvé son Hutch, blond comme le vrai, en Boris Vallaud, patron des députés PS. Ensemble, ils ont lancé mercredi 5 avril leur émission hebdomadaire «Boris et Philippe», diffusée sur la plateforme Twitch. Un réseau social de «niche», prisé par les fans de jeux vidéo et devenu, au fil des campagnes, un nouveau terrain de conquête politique. En moins d’une heure, face caméra, le duo de socialistes présente sa revue de presse, ponctuée de blagues et d’anecdotes. Mais sans perdre de vue le message politique : on y parle nationalisation d’EDF, fraude fiscale, 49.3… «Darmanin, on va lui faire son compte ce soir», prévient Philippe Brun, qui a fait tomber la cravate pour l’occasion.

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  • Boris Vallaud au Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro

    France Info - Réforme des retraites : Boris Vallaud décrit Emmanuel Macron comme "un forcené" à l'origine d'"un coup de force démocratique"

    "L'obstination est mauvaise conseillère", a estimé dimanche le chef de file des députés socialistes lors du "Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro", évoquant un chef de l'Etat "retranché à l'Élysée".
    La mobilisation contre la réforme des retraites continue à gauche. Le chef de file des députés PS, Boris Vallaud, s'en est à nouveau pris à Emmanuel Macron, dimanche 9 avril lors de l'émission "Le Grand JuryRTL-LCI-Le Figaro". Le socialiste a décrit le chef de l'Etat comme un "forcené (...) retranché à l'Elysée".  Le député des Landes l'a également accusé d'avoir provoqué une crise et un "coup de force démocratique" en "brutalisant" le Parlement et en n'écoutant pas la rue sur la réforme des retraites.
     
     
    Boris Vallaud tire à boulets rouges sur le chef de l'État. Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le patron des députés socialistes a tancé un président «forcené», «retranché à l'Élysée» et guidé par sa seule «obstination» sur la réforme des retraites. «Je n'accepte pas qu'Emmanuel Macron qu'il a mandat pour appliquer cette réforme», a-t-il déploré. Auditionné par le Conseil constitutionnel, Boris Vallaud a «de grands espoirs» que le texte soit censuré par les neuf juges. L'institution de la rue Montpensier doit trancher, jeudi 14 avril, sur la conformité du projet de loi à la Constitution. «Nous contestons la clarté et la sincérité du débat que nous avons eu», a fait valoir Boris Vallaud, rappelant que les Sages se prononcent «en droit» et non sur le «fond».
     
     
    INVITÉ RTL - Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée, a critiqué "l'obstination" du président de la République, dimanche 9 avril lors du "Grand Jury RTL - Le Figaro - LCI".
     
    Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, a vivement critiqué "l'obstination" d'Emmanuel Macron vis-à-vis de la réforme des retraites. "Certains présidents se grandissent d'écouter leur contradicteur, ça a été le cas pour le CPE ou encore pour les manifestations contre l'école libre sous François Mitterrand. De temps en temps l'obstination est mauvaise conseillère, on a un président qui est un forcené", est allé jusqu'à estimer le député socialiste. 
  • Boris Vallaud - Retraites : "C’est un Président forcené, en tête à tête avec lui-même"

    Boris Vallaud, député des Landes, président du groupe PS à l'Assemblée nationale critique les prises de position du président de la République : "Il y a un côté bravache chez Emmanuel Macron, il y avait un côté 'qu’ils viennent me chercher'. C’est un Président forcené, en tête à tête avec lui-même".

  • L'Obs - Réforme des retraites : la Nupes se lance dans la bataille des mots

    "Cette réforme, c'est la retraite pour les morts", "Le rêve d'Emmanuel Macron, c'est le travailleur Uber", "Soyons un million dans la rue" : du député LFI François Ruffin – organisateur de la soirée via son journal "Fakir" en collaboration avec Reporterre – à la secrétaire générale d'EELV Marine Tondelier, le patron du PCF Fabien Roussel ou encore le député PS Boris Vallaud, la gauche et les écologistes ont lancé les hostilités mardi 10 janvier contre la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron, lors d'un meeting dans le 11e arrondissement de Paris. Ecoutez les meilleures punchlines de la soirée.

  • La revue de presse du 11 novembre

    Observatoire des inégalités - La pauvreté paradoxale

    Analyse 2 novembre 2022

    Une partie des pauvres ne sont pas ceux que l’on attend. Cette pauvreté paradoxale frappe des travailleurs, des retraités, des propriétaires et des cadres, autant de catégories a priori protégées. Reste que si tout le monde peut être concerné par la pauvreté, ce n’est pas avec la même probabilité. Une analyse de Louis Maurin, extraite de Constructif.

    L'Express - Boris Vallaud : "Il ne faut jamais arrêter de dire que Marine Le Pen est d'extrême droite"

    Le chef de file des députés socialistes estime que l'heure de faire chuter le gouvernement n'est pas venue, car il n'existe pas de majorité alternative.

    Ce n'est pas simple d'être député socialiste en 2022. Il faut s'accorder avec de nouveaux alliés Insoumis qu'ils conspuaient hier, et avoir dans son dos les vieux et encombrants éléphants du parti, tout en espérant des jours meilleurs pour le PS. Et puis il y a ces 89 députés du Rassemblement national, une réalité que Boris Vallaud, patron du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, n'ignore pas mais qu'il refuse de "banaliser". 

    Charlie Hebdo - Dans le drôle de cabinet du ministre Béchu , Fabrice Nicolino ·

    Le JDD - Rénovation thermique des logements : l’Assemblée vote 12 milliards d’euros en plus, contre le gouvernement

    Privée de majorité à l'Assemblée nationale, le gouvernement a subi un nouveau revers lors de l'examen du projet de loi de budget, sur la rénovation thermique des logements.

    Lundi 31 octobre au soir, l’Assemblée nationale a voté pour rajouter près de 12 milliards d’euros de crédits en faveur de la rénovation thermique des logements . Des amendements déposés par le Parti socialiste et les écologistes, que le Rassemblement national a votés notamment. Même si le gouvernement ne les retiendra probablement pas dans la version finale du budget, c’est un nouveau revers pour le camp présidentiel.

    Fondation Jean Jaurès - Midterms 2022 : le point de vue d’un militant démocrate de Los Angeles

    Le 8 novembre prochain, les Américains sont appelés aux urnes pour les élections de mi-mandat. Ce scrutin complexe se déroule en réalité sur plusieurs semaines, dans un contexte de vives tensions entre démocrates et républicains et alors que le système électoral américain est fondamentalement différent du système français. Steve Cron, président du club des démocrates de Pacific Palisades (Los Angeles), nous éclaire sur les activités du Parti démocrate au niveau local et sur le vote du 8 novembre qui regroupe des élections à de nombreuses fonctions municipales, nationales et un vote « référendaire » sur des sujets variés.

    LVSL - Élections de mi-mandat : les démocrates pris à leur propre piège

    Rattrapés par une situation économique préoccupante, les démocrates voient leurs espoirs électoraux s’évaporer à l’approche des élections de mi-mandat, pourtant déterminantes pour leur avenir. Depuis l’élection de Joe Biden, ils ont dépensé autant d’énergie à combattre la percée des « progressistes » liés à Bernie Sanders qu’à lutter pour des mesures ambitieuses en termes sociaux et environnementaux. Les électeurs, frappés de plein fouet par l’inflation et la récession économique, risquent de s’en détourner…

    Les traditionnelles élections de mi-mandat se tiendront le 8 novembre prochain aux États-Unis. L’ensemble de la Chambre des représentants du Congrès ainsi qu’un tiers du Sénat seront renouvelés, de même que 36 gouverneurs et les élus locaux (procureur général, ministre de l’Intérieur, parlements) de la majorité des États. 

    LVSL - Grèce : la tragédie qui n’en finit pas

    En 2009, la crise de la dette grecque débutait. Depuis, de nombreux plans de « sauvetage » comprenant des « réformes » sous la tutelle de la « Troïka » (FMI, BCE et Commission européenne) se sont succédés. Si les banques ont effectivement été sauvées, le bilan social d’un tel programme est catastrophique. Fortement appauvrie, la Grèce est devenue un Club Med géant où les infrastructures stratégiques ont été privatisées et où les services publics ont été bradés. La population, elle, se résigne ou quitte le pays.

    Le 20 août dernier, la Grèce est sortie de la surveillance économique renforcée de la Commission européenne. Un jour qualifié d’« historique » par le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis, tandis que la Présidente de la Commission Européenne vantait la « résilience » de la Grèce et l’enjoignait à « envisager l’avenir avec confiance ». Le bilan des « réformes » et de ce programme d’« aides » est pourtant peu reluisant, pour ne pas dire catastrophique.

    Le JDD - TRIBUNE. Congrès du PS : plus de 1 000 élus et militants socialistes apportent leur soutien à Hélène Geoffroy

    Pour « refonder, rassembler, gouverner », plus de 1 000 élus et militants socialistes appellent, autour d’Hélène Geoffroy, candidate au congrès du PS, à construire « une gauche des solutions, déterminée à gouverner aux antipodes de la gauche de l’incantation ». Parmi les signataires : Marie-Arlette Carlotti, Patrick Mennucci, François Kalfon ou encore Jean-Christophe Cambadélis.

  • Motion de censure Nupes votée par le RN : "Je l’ai ressentie comme un coup de poing dans le ventre"

  • Le Figaro - Motion de censure : pour le socialiste Boris Vallaud, le soutien du RN a été «un coup de poing dans le ventre»

    Le chef du groupe PS à l'Assemblée rappelle que «tout» les «distingue» du parti à la flamme.

    Le «coup» de Marine Le Pen n'a pas été vécu de la même manière par tout le monde. Le chef de file des Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, y a par exemple vu la preuve que la gauche est l'alternative à venir, et que l'absence de soutien des Républicains a empêché de renverser le gouvernement. À l’inverse, le président du groupe socialiste, Boris Vallaud, a vécu ce moment comme un «coup de poing dans le ventre». Lui ne souhaite pas se «réjouir» de cette initiative, et rappelle ses profondes divergences avec le Rassemblement national.

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  • Boris Vallaud - « Tout nous sépare de l'extrême droite »

    Lundi 24 octobre, Boris Vallaud prononçait à la tribune de l'Assemblée nationale un discours pour défendre la #MotionDeCensure sur le budget 2023 déposée par la #NUPES. « Les majorités sont à construire, au cas par cas, mais nous n'en construirons jamais avec le Rassemblement national et nous ne voterons jamais de motion de censure d’extrême droite. Si nous devons être les derniers à vous combattre, nous le serons ! » « Aujourd’hui, nous vous disons notre désaccord politique. Votre budget ne répond à aucune des urgences de notre temps. Ni à l’urgence démocratique, ni à l’urgence sociale, ni à l’urgence environnementale. » « Derrière cette posture, il y a ce que chacun finit par comprendre : vous ferez payer aux classes moyennes et aux classes populaires le "quoi qu’il en coûte", en réformant les retraites, l’assurance chômage, le RSA… »