vallaud
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"On a protégé les Français du musée des horreurs du Gouvernement !" Boris Vallaud sur Sud Radio
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Quel budget ?
Les Insoumis et les socialistes n'en finissent plus de s'écharper, essayant chacun de rallier à leur cause des Ecologistes et des communistes eux-mêmes divisés.
L'Assemblée nationale se prononce ce mercredi 12 novembre sur la suspension de la réforme des retraites. Une promesse du gouvernement Lecornu pour rallier le soutien du Parti socialiste, qui n'est pas toutefois certaine d'être respectée, tant les dissensions au sein de l'Assemblée sont profondes.
C'est le moment le plus attendu depuis le début de l'examen du budget 2026. Ce mercredi 12 novembre les députés vont enfin se prononcer sur la suspension de la réforme des retraites
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________________________Coup de chaud à l'assemblée... Lors des débats sur le vote du budget de la sécurité sociale ce week-end, Olivier Faure à accusé LFI de mener "la politique du pire". La réponse ne s'est pas fait attendre, Jean-Luc Mélenchon a rétorqué que "Le PS a sauvé Lecornu pour sauver Macron". La rupture entre les gauches semble donc consomméeLe PS assume son vote « pour » la partie recettes du budget de la Sécurité sociale par le débat à venir sur la réforme des retraites. Mais le discours peine à convaincre ses alliés.
PS, comme « Parti solitaire » ? Ou sur le point de l’être. Le vote des socialistes samedi 8 novembre sur la partie « recettes » du budget de la Sécurité sociale fait loucher à gauche. À quelques rares exceptions individuelles, les députés de Boris Vallaud ont été les seuls dans cette partie de l’hémicycle à soutenir le texte remanié par une semaine de débats. Une position qui devient de plus en plus difficile à tenir.
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_______________________PLFSS 2026 : les députés ont adopté le volet « recettes » et se penchent sur la partie « dépenses »
L’Assemblée nationale a adopté la partie « recettes » du budget de la Sécurité sociale samedi 8 novembre. Le vote solennel sur l’ensemble du texte est prévu mercredi prochain, après l’examen de la proposition de suspension de la réforme des retraitesLors de l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, les députés ont largement modifié le projet du gouvernement. Franceinfo vous résume les changements apportés en première lecture au texte.
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_____________________Afin d'éviter l'enlisement des débats budgétaires, des députés de tous bords souhaitent que Sébastien Lecornu et le Parti socialiste reviennent sur la promesse de ne pas recourir à l'article 49.3 de la Constitution.
Les députés mettent en pause l’examen du projet de loi de finances pour étudier le budget de la Sécurité sociale. S’ils ne sont pas allés au bout de la partie recettes, ils ont néanmoins pu adopter un certain nombre de mesures absentes du projet initial.
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___________________Les socialistes cherchent à valoriser les avancées qu'ils ont obtenues sur la première partie du budget. Tout en continuant à mettre la pression sur le Premier ministre.
« C'est à la fin de la foire qu'on compte les bouses », répètent souvent les socialistes. Ce qui n'empêche pas de jeter un oeil au sol de temps en temps, pour estimer à mi-parcours l'ampleur du succès. Avec la fin de l'examen du volet recettes du projet de loi de finances et le début de celui sur le budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée nationale, le PS a commencé à compter les points, pour justifier du bien-fondé de sa stratégie de négociations avec le gouvernement.
Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a estimé mercredi 5 novembre que les débats à l’Assemblée nationale permettent d’avancer sur le budget de l’État pour 2026, et que le temps de la censure n’est pas venu. Il appelle à juger le projet de loi de finances « à la fin, quand on aura la copie complète ».
France Info - Budget : le Parti socialiste cherche sa "voie de passage"
Pourtant conviée, la gauche ne s'est pas rendue à la réunion avec le gouvernement sur le budget prévue lundi, en raison de la présence du Rassemblement national.
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____________________Au dernier jour de l’examen de la partie «recettes» du Projet de loi de finances, le premier secrétaire du PS ne menace plus de censure, et tempère la position du chef du groupe socialiste à l’Assemblée, Boris Vallaud.
Alors que le délai fixé par la Constitution pour adopter le budget en première lecture s'approche à grands pas, certains élus évoquent la possibilité de passer par des ordonnances, une loi spéciale... ou même l'article 49.3.
Le Parlement va-t-il réussir à adopter un budget en temps et en heure ? Après plus d'une semaine de débats tendus à l'Assemblée nationale, la question est sur toutes les lèvres lundi 3 novembre. D'autant que les débats s'enlisent et que les compromis semblent difficiles à atteindre dans l'hémicycle. Alors, certains responsables politiques ne cachent plus leur volonté d'envisager des alternatives, comme une loi spéciale pour le budget, un recours aux ordonnances ou même le retour de l'article 49.3 de la Constitution. On vous explique pourquoi ces scénarios sont de plus en plus probables.
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________________________Les débats ont durci les positions de plusieurs groupes, et les maigres concessions obtenues par le Parti socialiste sont loin de garantir un compromis.
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_____________________Les députés ont également rejeté une version dite "allégée" portée par le seul PS, qui proposait un impôt minimum de 3% à partir de 10 millions d'euros, mais en excluant les entreprises innovantes et familiales.
Les Echos - Budget 2026 : à l'Assemblée, les négociations pied à pied entre Lecornu et le PS
Malgré le rejet en séance de la taxe Zucman et de sa version « light », les pourparlers entre les socialistes et le Premier ministre se sont poursuivis toute la journée, parfois en direct depuis l'hémicycle.
Après le rejet de la taxe Zucman par l'Assemblée nationale, même dans la version allégée par le PS, le député Arthur Delaporte a fait savoir qu'"il n'y a aucune trace de compromis" de la part du gouvernement.
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____________________30 oct. 2025 #telematinRegards - Le Parti socialiste change de stratégie
À la recherche du compromis avec Lecornu, les socialistes actent une rupture stratégique avec le reste de la gauche. Patatras !
La crise politique conduit à de grandes recompositions. À la droite extrême, on voit les passerelles et les ponts se construire pour réunir une partie des LR, le RN et ce qu’il reste du zemmourisme. Jusqu’où iront les rapprochements Renaissance et Horizons qui vont se matérialiser lors des prochaines municipales ? À l’évidence, un pôle de droite libéral, non trumpiste, tente de se constituer. Rachida Dati vient de l’apprendre à ses dépens.
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______________________Les Echos - Retraites : comment les socialistes veulent aménager la suspension de la réforme de 2023
S'il est parvenu à arracher au gouvernement Lecornu un gel temporaire de l'âge de départ en retraite, le PS souhaite qu'il profite à plus de personnes, notamment aux « carrières longues » et qu'il soit financé autrement.
Le PS a déposé un amendement au projet de budget qualifié de « Zucman light ». L’économiste a alerté sur l’introduction d’exonérations à sa préconisation« Taxe Zucman ou taxe Zucman light », pour la porte-parole du gouvernement, c’est non. Mais cette position catégorique n’est pas si unanime.
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_________________________En pleines discussions à l'Assemblée nationale sur la partie "recettes", les socialistes plaident pour une version alternative, c'est-à-dire un impôt minimum de 3% sur les hauts patrimoines, à partir de 10 millions d'euros, en excluant les entreprises innovantes et familiales.
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___________________27 oct. 2025 #telematinLes Echos - Taxe Zucman : la nouvelle proposition à 7 milliards du PS
Olivier Faure, le patron des socialistes, brandit la menace d'une censure si le gouvernement n'accepte pas une taxation des hauts patrimoines. Avant la reprise des débats à l'Assemblée sur le budget, les socialistes mettent sur la table une version allégée de la taxe Zucman, qui rapporterait 5 à 7 milliards d'euros selon eux.
Les députés continuent d'examiner à l'Assemblée le projet de budget 2026 tandis que le projet de loi de financement de la Sécurité sociale arrive en commissionL’Assemblée nationale a commencé l’examen du budget en séance publique vendredi 25 octobre. Cyprien Caddeo et Raphaël Godechot, journalistes à l'Humanité, vous font un résumé de ce qui est passé au vote ce week-end.
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____________________Invitée politique de "La Matinale" dimanche 26 octobre, Cyrielle Chatelain, présidente du groupe “Écologiste et Social” à l’Assemblée nationale, évoque la réunion entre le bloc central et une partie de la gauche pour trouver un compromis sur le budget.
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____________________L'économiste Gabriel Zucman a défendu samedi sur France Inter la version originelle de la taxe sur les hauts patrimoines qui porte son nom et qui est à l'agenda des discussions parlementaires sur le budget samedi.
Les députés continuent samedi de débattre de la partie recettes du budget 2026 dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale avec, à l'ordre du jour notamment, l'examen de la taxe "Zucman" sur les très hauts patrimoines défendue par la gauche, qui demande des mesures de "justice fiscale", mais rejeté par la droite et le bloc central.
Moui. Alors que les débats ont commencé sur l’examen du projet de budget 2026 à l’Assemblée nationale, les socialistes entendent bien tenir leur promesse et introduire par voie d’amendement, une nouvelle fois, la taxe Zucman. Retoquée en commission la semaine dernière, la mesure a fait son retour via l’amendement 3480 déposé par les roses, qui devrait être examiné dans la journée de ce samedi 25 octobre. Dans le détail, il comporte toutefois des différences notables par rapport à ce que préconise l’économiste.
Le texte des socialistes instaure un impôt minimum de 3 % sur les hauts patrimoines, à partir de « 10 millions d’euros », contre 2 % sur les patrimoines à partir de 100 millions pour la taxe Zucman.
Les Echos - Budget 2026 : les députés rejettent le gel du barème de l'impôt sur le revenu
Les discussions continuent aujourd'hui sur le volet « recettes », avec possiblement l'examen de la taxe Zucman, défendue par la gauche. Les députés ont notamment écarté le gel du barème de l'IR, défendu par le gouvernement.
La taxe Zucman vise à créer un impôt plancher de 2% sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d'euros.
Les députés du parti socialiste ont déposé jeudi 23 octobre un amendement qui vise à instaurer une "taxe Zucman light", a appris le service politique de franceinfo ce vendredi auprès d'une source parlementaire, confirmant une information de L'Opinion.
épée de damoclès•Le premier secrétaire du Parti socialiste a lancé un ultimatum vendredi au gouvernement, concernant notamment la taxation des ultra-riches
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____________________Malgré la fin du suspens sur le véhicule législatif qui contiendra la suspension de la réforme des retraites de 2023, le groupe socialiste reste divisé quant à l’issue de la stratégie de la non-censure.
Dans cette saison budgétaire, particulièrement floue, chaque nouveau point de clarté ouvre toujours plus d’hypothèses brumeuses. Dernier épisode en date : l’annonce par Sébastien Lecornu, mardi, du passage par une lettre rectificative au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) plutôt que par un amendement pour y intégrer la promesse de suspension de la réforme des retraites de 2023. Si le débat sur le véhicule législatif – technique, mais aussi politique – est enfin tranché, s’ouvrent aussi des hypothèses institutionnelles inédites dans l’histoire de la République.
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___________________Fiscalité : Baisser les impôts de production de 10 milliards d’euros pour les entreprises n’a servi à rien Une récente étude consacrée à la baisse des impôts de production conclut que les entreprises bénéficiaires n’ont rien fait de ce gain. Malgré ce résultat, le gouvernement veut poursuivre dans cette voie.
Les députés de la coalition gouvernementale et du Rassemblement national ont fait échouer l’adoption de la taxe sur les très hauts patrimoines, portée par la gauche. Le dispositif fera l’objet d’un nouveau débat dans l’Hémicycle à partir de vendredi.Public Sénat - Budget : l’abandon du 49.3 va-t-il prendre les socialistes à leur propre piège ?
Avec le non-recours au 49.3, les socialistes ont été entendus par Sébastien Lecornu. Mais ils sont désormais contraints à voter le budget de la Sécurité sociale pour valider la suspension de la réforme des retraites. Un véhicule législatif confirmé par le Premier ministre, ce mercredi. Sans cette arme du parlementarisme rationalisé, les budgets de la Sécurité sociale comme celui de l’Etat seront également amendés par la droite. Ce qui pourrait amener à des copies finales difficiles à assumer pour les socialistes.Les socialistes dénoncent un budget toujours inégalitaire, après le rejet de leurs propositions phares en commission des Finances. Olivier Faure agite la menace d'une censure si des concessions ne sont pas faites en séance.
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"Il n'y a pas de deal" avec Sébastien Lecornu : Boris Vallaud sur RTL
27 oct. 2025 Les invités de RTL : l'intégrale -
Consultations à Matignon
Sébastien Lecornu parviendra-t-il à éviter la censure ? Le Premier ministre a annoncé vendredi renoncer à l'utilisation du 49.3 de la constitution avant sa rencontre avec le Parti socialiste et le Rassemblement national dans la matinée. Il souhaite lancer au plus vite les débats parlementaires en vue de l'adoption du budget. Son entourage affirme qu'il a proposé au PS l'inclusion d'"une taxe sur le patrimoine financier". Suivez notre direct.
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______________________Analyse Si le Premier ministre espérait amadouer syndicats et socialistes avec ses premières annonces fiscales, c’est raté : soit les dispositifs existent déjà, soit ils n’auront qu’un impact minime. Rien qui puisse calmer la colère sociale, et encore moins écarter la menace de censure.
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________________________France Info - "Le Premier ministre appelle au compromis" mais n'en "propose aucun", selon Boris Vallaud
Sébastien Lecornu annonce, vendredi avant le début des consultations politiques, vouloir renoncer à l'utilisation de l'article 49 alinéa 3 de la Constitution. Ce n'est pas le seul outil pour "caporaliser le Parlement", lui répond le président du groupe socialiste à l'Assemblée.
Lire et écouter la suite
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________________________Le Premier ministre reçoit le RN, le PS et Les Ecologistes à Matignon, vendredi. Mais les socialistes vont sans attentes à ce rendez-vous, déjà refroidis par la précédente rencontre, mi-septembre.
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Le Monde - Sébastien Lecornu, à peine nommé, confronté au mur de la défiance
Le Monde
Sébastien Lecornu, à peine nommé, confronté au mur de la défiance
Le premier ministre s’est lancé, à la demande d’Emmanuel Macron, dans une vaste consultation des partis politiques et des organisations syndicales. Mais si un accord entre le bloc central et la droite semble possible, le Parti socialiste, échaudé par les promesses non-tenues de François Bayrou, n’est guère enclin aux compromis.https://www.lemonde.fr/article-offert/303eb825066a-6640492/sebastien-lecornu-a-peine-nomme-confronte-au-mur-de-la-defiance
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Un budget pour bâtir l'avenir : les propositions de socialistes !
1 sept. 2025 -
Blois 2025 - Budget : Nos propositions pour répondre aux attentes des Français·es - #CamPuS2025 le 30 aout à 11h15
Une autre voie est possible face à l'austérité budgétaire promise par François #Bayrou ! Contribution des plus riches, justice sociale, bifurcation écologique, préservation des services publiques… Ce samedi 30 août 2025, les Socialistes présenteront nos propositions pour répondre aux attentes des Françaises et des Français. Une table ronde animée par Luc BROUSSY, président du Conseil national du Parti socialiste, et Florence BLATRIX, secrétaire nationale aux comptes publiques et sénatrice de l'Ain Avec Boris VALLAUD, président du groupe Socialistes et apparentés à l'Assemblée nationale ; Patrick KANNER, président du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain au Sénat et les chef·fes de files #PLF et #PLFSS
- Estelle MERCIER, députée de Meurthe-et-Moselle ;
- Philippe BRUN, député de l'Eure ;
- Sandrine RUNEL, députée du Rhône ;
- Jérôme GUEDJ, député de l'Essonne ;
- Thierry COZIC, sénateur de la Sarthe ;
- Annie LE HOUEROU, sénatrice des Côtes d'Armor ;
- Laurence ROSSIGNOL, sénatrice du Val-de-Marne.
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"Bayrou soigne plus sa sortie que le pays !" Boris Vallaud invité d'Apolline de Malherbe sur BFM-RMC
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Le meilleur de 2025 - Que reste-t-il de François Mitterrand ? | Les débats de Débatdoc
24 mars 2025 Le DébatDoc | LCPIl y a 30 ans, François Mitterrand quittait la scène politique au terme d'un second septennat effectué à l'Elysée. Il aura écrit une page de notre histoire. Mais que retenons-nous aujourd'hui de cet ancien président ? Quel héritage politique a-t-il laissé à la gauche française ? Pour en débattre, Jean-Pierre Gratien reçoit l'historien Christophe Prochasson, spécialiste de l'histoire de la gauche, le député Boris Vallaud, Président du groupe « Socialistes et apparentés » à l'Assemblée nationale et la journaliste politique Astrid de Villaines. LCP fait la part belle à l'écriture documentaire en prime time. Ce rendez-vous offre une approche différenciée des réalités politiques, économiques, sociales ou mondiales....autant de thématiques qui invitent à prolonger le documentaire à l'occasion d'un débat animé par Jean-Pierre Gratien, en présence de parlementaires, acteurs de notre société et experts.
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"La proposition Ciotti-Le Pen sur l'inéligibilité : des petits arrangements !" Boris Vallaud
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La revue de presse du PS : mise à jour du 27 juin
27 juin
" Il a été drôlement surpris…" Mardi matin, lors de la réunion du groupe PS, un tour de table est organisé. Très rapidement, François Hollande prend la parole : " Il ne faut pas censurer, il faut de la stabilité", assure-t-il en substance. Immédiatement, plusieurs députés interviennent pour défendre la censure. L’ancien Président finira par se rallier à leur position, puisqu’hier il a signé le texte déposé par son groupe en début d’après-midi. Il ne fait jamais bon être seul. Les socialistes ont hésité plusieurs heures sur la stratégie.
25 juin
Le Monde - Le Parti socialiste a déposé sa motion de censure contre François Bayrou
Cette motion, signée par les 66 députés du groupe, a peu de chances d’être adoptée, le Rassemblement national ayant renvoyé une éventuelle censure « au moment du budget » à l’automne.
Le groupe socialiste à l’Assemblée nationale a déposé, jeudi 26 juin, sa motion de censure contre François Bayrou, reprochant au premier ministre d’avoir refusé de déposer un projet de loi sur les retraites permettant au Parlement de « débattre de tout », y compris du retour à un âge de départ fixé à 62 ans.
Les Echos - Retraites : les socialistes déposent unanimement une motion de censure
Comme annoncé mardi, les 66 députés socialistes ont déposé une motion de censure pour sanctionner la « trahison » de François Bayrou sur les retraites.
Un pour tous, tous pour…•Ce mercredi 25 juin, les candidats à la primaire socialistes pour les municipales de 2026 à Paris se sont retrouvés lors d’un dernier meeting en présence d’Anne Hidalgo. Candidats comme militants le promettent, ils seront unis derrière le vainqueur23 juin
Les proches de François Ruffin, plusieurs députés « purgés » de La France Insoumise et le mouvement Générations, fondé par Benoît Hamon, organiseront des universités d’été communes, ont-ils annoncé ce dimanche 22 juin. Un prélude au développement d’un « outil commun ».
22 juin
Challenges - Municipales 2026 à Paris : ce sondage qui va donner des sueurs froides aux socialistes
Un sondage publié par La Tribune dimanche ce 22 juin attribue au candidat socialiste à la mairie de Paris - Emmanuel Grégoire ou Rémi Féraud - seulement 14 à 19 % d’intentions de vote au premier tour. Loin derrière Rachida Dati, et au coude à coude avec Insoumis et écologistes.
21 juin
Les Echos - Municipales 2026 : la bataille de Paris s'accélère au PS
Les militants socialistes parisiens sont invités à choisir leur candidat le 30 juin parmi trois postulants. Les deux favoris, Emmanuel Grégoire et Rémi Féraud, comptent leurs soutiens.
Jérôme Guedj est député de l'Essonne et porte-parole du Parti socialiste. Il revient sur son parcours, son engagement, et sur l'actualité politique au micro d'Astrid de Villaines.
Avec- Jérôme Guedj, homme politique, député socialiste
Notre invité est né à Pantin, il y a 53 ans. Mère secrétaire et tenancière d’une cafétéria d’hôpital, père kiné et adjoint au maire de Massy. L'Essonne : c’est dans ce département du sud de la capitale qu’il grandit et goûte à la politique. Pas avec n’importe qui. Son père et Jean-Luc Mélenchon, alors sénateur socialiste qui lui met le pied à l’étrier.
20 juin
Libé (abonnés) Rémi Lefebvre - Pourquoi les socialistes ne pensent-ils plus ?
Le congrès de Nancy n’aura pas été complètement inutile si les socialistes prennent conscience de leur faiblesse et dépassent le fantasme d’un retour à l’âge d’or en s’ouvrant à l’idée d’une primaire, estime le politiste Rémi Lefebvre.Podcast. Olivier Faure a été désigné premier secrétaire du parti pour la quatrième fois. Mais il est largement contesté, et ils sont nombreux à vouloir prendre sa place. Une bataille de succession devenue tradition chez les socialistes.18 juin
Libé - Ces départements où le PS est en voie d’extinction
Selon les chiffres publiés par «le Figaro» mercredi 18 juin, le Parti socialiste compte moins de 100 adhérents dans 17 départements. Et dépasse à peine cette barre dans bien d’autres.
Il était adhérent depuis 50 ans au Parti socialiste. Kléber Mesquida va rejoindre le parti La Convention, celui des "orphelins de la gauche", selon les mots de son créateur, l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve.
17 juin
L'édito du Monde - Au PS, le congrès de l’impuissance
L’état de division dans lequel se trouve le Parti socialiste, ancien parti dominant de la gauche, dont le 81ᵉ congrès s’est achevé, dimanche, à Nancy, l’expose à de grandes déconvenues, à deux ans de l’élection présidentielle de 2027.
Dans la longue histoire des congrès du Parti socialiste (PS), le 81e, qui s’est achevé à Nancy, dimanche 15 juin, restera marqué du sceau de l’impuissance. A deux ans de l’élection présidentielle de 2027, dans un contexte politique guère favorable à la gauche, le parti devait remplir deux conditions pour espérer peser : affirmer une ligne claire et rassembler le plus largement possible autour de cette ligne. La réélection trop étroite d’Olivier Faure pour un quatrième mandat (51,15 %) face au maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, les ambiguïtés persistantes du premier secrétaire à l’égard de La France insoumise (LFI), dont il prétendait pourtant s’affranchir, ont eu raison de l’unité recherchée.
France Culture - À quoi sert le Parti socialiste ?
Publié le lundi 16 juin 2025 à 07:15
Le 81ᵉ Congrès du Parti socialiste s'est tenu ce week-end, et une nouvelle direction a été choisie. Mais derrière l'érosion du nombre d'adhérents, quel est l'état de l'organisation ? Qui sont les adhérents, comment l'organisation du parti a-t-elle évolué ces dernières années ?
L'Huma (abonnés) Congrès du PS : à Nancy, les socialistes se déchirent encore sur leur rapport à LFI
Le parti de Blum et Mitterrand n’a pas su réaliser la synthèse entre les partisans d’Olivier Faure et ceux de Nicolas Mayer-Rossignol. Deux lignes stratégiques sur l’union de la gauche doivent, non sans tension, cohabiter alors que les socialistes cherchent encore un cap idéologique clair.
Alors qu’ils tentaient d’aboutir à un rassemblement de tous leurs courants, les principaux leaders du PS se sont refracturés à propos des potentielles alliances avec le mouvement de Jean-Luc Mélenchon.
16 avril
En vidéo à Télématin : Olivier Faure : "Ils trouvent un intérêt commun à se taper dessus"
16 juin 2025 #telematinOlivier Faure, Premier secrétaire du parti socialiste, est l'invité des "4 V". Il revient sur le conflit Iran/Israël et les tensions dans la gauche française entre Jean-Luc Mélenchon et Jérôme Guedj.
Le Monde (abonnés) - Sur les retraites, la question de la censure divise le Parti socialiste
Alors que le groupe de travail sur les retraites touche à sa fin, les députés socialistes sont scindés en deux, entre ceux qui voudraient censurer le premier ministre, François Bayrou, et ceux qui ne le souhaitent pas.
Les deux camps s’opposent sur les relations à avoir avec LFI en cas de législatives anticipées. « Un grand parti socialiste ne s’abaisse pas à la polémique permanente avec la gauche », a déclaré M. Faure lors de son discours de clôture.
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Il s’agit de son quatrième mandat. Le premier secrétaire du Parti socialiste, réélu au congrès ouvert ce vendredi 13 juin jusqu’à ce dimanche va devoir concilier avec une formation politique très divisée.
LCP - Congrès du PS : LFI ravive les tensions entre Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol
La réélection d’Olivier Faure à la tête du PS n’a pas mis fin aux dissensions internes. Nicolas Mayer-Rossignol demande le refus de tout accord avec LFI, y compris au niveau local et en cas de législative partielle, pour rejoindre la direction. Refus du camp du premier secrétaire, qui coupe avec LFI, mais sans rentrer dans ce niveau de précision. Résultat, le parti n’arrive pas à sortir de ses divisions.Le Monde (abonnés) Parti socialiste : la gouvernance d’Olivier Faure au cœur du congrès de NancyLa réélection du premier secrétaire avec 51,15 % des suffrages a été ratifiée samedi 14 juin. Les socialistes vont tenter de se mettre d’accord sur un texte commun.
.... Pour « plier le match », les partisans d’Olivier Faure espèrent surtout un accord de gouvernance avec Boris Vallaud, qui a réalisé 17,41 % des voix au premier tour du congrès et qui avait indiqué qu’il voterait pour Olivier Faure au second tour. « On sent que du côté d’Olivier Faure, il y a une envie de construire avec nous », avance le sénateur de l’Oise et ex-soutien d’Olivier Faure Alexandre Ouizille, qui espère obtenir pour son courant la responsabilité d’une académie de formation militante et le financement d’un journal interne, Le Nouveau Populaire.
Reconduit de justesse, jeudi 5 juin, à la tête du Parti socialiste, Olivier Faure compose avec un appareil coupé en deux. Rongé par les divisions et déserté par les adhérents, l'ancienne force dominante de la gauche doit désormais esquisser une vision, à deux ans de l'élection présidentielle.
Avec- Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l'université de Lille et chercheur au Centre d'études et de recherches administratives, politiques et sociales (CERAPS)
- Céline Bracq, directrice Générale d'Odoxa
- Thomas Legrand, journaliste, éditorialiste.
HuffPost - Olivier Faure réélu patron du PS à l’issue d’un vote plus que serré
Le parti socialiste a officialisé au petit matin le résultat du vote de ses adhérents après une bataille de chiffres entre les camps d’Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol.
Une chose est néanmoins "absolument claire" pour Johanna Rolland : "Aucun socialiste ne veut faire la campagne présidentielle derrière Jean-Luc Mélenchon".