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actualité - Page 115

  • Le Point - Cambadélis : « Sans harmonie fiscale, pas d'Europe solidaire »

    Le vice-président du Parti socialiste européen analyse la double crise européenne et propose une méthode pour relancer l'Europe.

    À Bruxelles, les élections européennes de mai 2019 sont déjà dans toutes les têtes. Et la stratégie d'Emmanuel Macron en vue de ce premier rendez-vous électoral alimente de nombreuses spéculations. Le PPE – les conservateurs – se voit arriver en tête sans être majoritaire. Mais les inconnues sont encore très nombreuses : quel sera le paysage politique italien après les élections de mars ? avec qui Macron fera-t-il alliance ? le PSE (Parti socialiste européen) va-t-il exploser ? et l'Europe retrouvera-t-elle du souffle à cette occasion ? Jean-Christophe Cambadélis, vice-président du PSE, analyse les crises européennes. Il publie, ces jours-ci, La Gauche de demain sera girondine (81 pages, Fondation Jean Jaurès).

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  • Congrès PS : " Olivier Faure est l'homme de la situation" selon Eduardo Rihan-Cypel

  • Le Figaro - Maurel reproche à Hollande de ne pas prendre sa retraite

    Le candidat au poste de premier secrétaire du PS affirme que les socialistes doivent «tourner la page» François Hollande même si l'ancien président semble vouloir conserver une certaine influence dans le parti.

    Emmanuel Maurel est le seul des quatre candidats au poste de premier secrétaire du PS à ne pas avoir été reçu ces derniers mois par François Hollande. Situé à la gauche du parti, l'eurodéputé ne s'en plaint pas. «On me dit qu'il n'a pas abandonné toute idée de revenir en politique», a-t-il commenté lundi sur Public Sénat.

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  • PS - Apprentissage : le MEDEF a beaucoup obtenu, il devra beaucoup prouver

    Enjeu majeur de l’accès à l’emploi et à la formation des jeunes, le Parti socialiste a pris connaissance des mesures annoncées par le Gouvernement concernant la réforme de l’apprentissage.

    Il accueille favorablement les mesures destinées à améliorer la condition de l’apprenti, telles que la revalorisation de la grille de rémunération, la prime au permis de conduire et le renforcement de l’accompagnement. Il souhaite toutefois que ces mesures soient complétées par des dispositifs d’aides au logement ou à la mobilité, notamment dans les transports collectifs. Il restera vigilant sur les conditions de rupture des contrats d’apprentis dont les conditions sont assouplies et demande au gouvernement la mise en place d’un suivi des CFA au regard des nouvelles libertés qui leur sont accordées.

    Si l’apprentissage est une voie d’entrée prisée sur le marché du travail, elle ne doit pas être réservée aux élèves les plus diplômés. Le Parti socialiste demande que les efforts engagés lors du précédent quinquennat pour démocratiser l’accès de tous les jeunes à l’apprentissage soient poursuivis et amplifiés.

    Les mesures annoncées appellent néanmoins de la part du gouvernement des clarifications sur plusieurs points. La première concerne l’articulation entre l’apprentissage et les lycées professionnels, la réforme ne devant pas conduire à une disqualification du lycée professionnel, déjà perceptible avec le plan étudiant. La seconde concerne le risque, légitimement pointé par Régions de France, d’une fracture territoriale consécutive à l’inorganisation des branches professionnelles à l’échelle locale.

    Enfin, le Parti socialiste rappelle que cet effort en faveur de l’apprentissage, pour réussir, devra pouvoir compter sur la mobilisation des organisations patronales. Celles-ci, le Medef au premier chef, voient toutes leurs revendications reprises : responsabilité des branches professionnelles,  temps de travail des apprentis mineurs porté à 40 heures dans certains secteurs comme le BTP, élargissement des horaires de travail de nuit dans la boulangerie et la pâtisserie,…

    Le Medef a beaucoup obtenu, il doit à présent beaucoup agir pour encourager et développer l’apprentissage. Le Parti socialiste y veillera.

  • SNCF : " C'est toute une France qu'on va délaisser", prévient Emmanuel Maurel

  • JC Cambadelis - Ce que les mots utilisés par Gérard Collomb disent de sa vision des réfugiés

    Petit à petit, la langue de la politique migratoire – ta langue, Gérard – gomme tout ce qu'il y a d'humain dans l'exil.

    Mon cher Gérard,

    Les mots sont des traîtres – ou des lanceurs d'alerte, c'est selon. Pour peu qu'on sache leur prêter attention, ils recèlent ce que l'on ne saurait avouer sans se perdre. J'écoute souvent tes mots, par les temps qui courent. Notamment ceux que tu emploies pour justifier la politique migratoire que tu conduis. Tu conviendras avec moi qu'ils sont édifiants.

    Tu parles d'arrivants en augmentation "exponentielle". Et voilà qu'aussitôt me vient à l'esprit une courbe qui se cabre et sort du cadre, tout en haut et tout à droite, vers l'infini. Parmi tes pairs, il n'y a guère que Cédric Villani qui sait qu'une exponentielle est une fonction qui transforme une somme en produit. Je ne sais si c'est mieux, mais qu'importe: ce que tu veux dépeindre, c'est une menace. Ce que tu veux figurer, c'est le risque effrayant d'une perte de contrôle. Ce que tu veux démontrer, c'est une reprise en main.

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  • Le Figaro - Européennes : Carvounas veut une désignation de la tête de liste PS par les militants

    Le candidat au poste de premier secrétaire du PS ne veut pas que le futur chef de file aux européennes soit désigné «par complaisance», d'où le recours aux militants. Quant à Pierre Moscovici, qui montre son intérêt, il lui reproche d'être «Macron-béat».

    Les élections européennes de 2019 agitent déjà le Parti socialiste. Il s'agira du premier scrutin depuis la débâcle de 2017, la rue de Solférino sait qu'elle n'a pas le droit à l'erreur si elle veut rebondir. Luc Carvounas, qui brigue la fonction de premier secrétaire du PS, propose que la tête de liste soit désignée par les militants.

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  • Le candidat à la direction du PS Emmanuel Maurel veut "un parti qui revienne à ses fondamentaux"