Le candidat au poste de premier secrétaire du PS ne veut pas que le futur chef de file aux européennes soit désigné «par complaisance», d'où le recours aux militants. Quant à Pierre Moscovici, qui montre son intérêt, il lui reproche d'être «Macron-béat».
Les élections européennes de 2019 agitent déjà le Parti socialiste. Il s'agira du premier scrutin depuis la débâcle de 2017, la rue de Solférino sait qu'elle n'a pas le droit à l'erreur si elle veut rebondir. Luc Carvounas, qui brigue la fonction de premier secrétaire du PS, propose que la tête de liste soit désignée par les militants.
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