Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 8

  • Fondation Jean Jaurès - Inventaire 2012-2017 : retour sur un quinquennat « anormal »

    Quel bilan peut-on faire du quinquennat de François Hollande ? Comment expliquer que les socialistes soient passés, en l’espace de cinq ans, d’une situation où ils avaient tant de pouvoirs nationaux et locaux à un risque de disparition ? Voilà les deux questions auquel l'ouvrage « Inventaire 2012-2017. Retour sur un quinquennat ‘anormal’ » apporte des éléments de réponse. Retrouvez-en une présentation vidéo de Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, qui a co-dirigé, avec Alain Bergounioux, de l’ouvrage (Maud Fassnacht et Mathieu Souquière en ont été les rapporteurs).

  • Le Monde - L'appel à l'aide d'un ex-interprète afghan de l’armée française

    Ancien interprète de l’armée française, l’Afghan Abdul Razeq Adeel a monté une association et se bat en France pour sauver ses anciens collègues. Menacés sur place par les Talibans et Daech, car ils ont « collaboré avec les forces d’occupation », 700 civils ont travaillé avec les forces françaises présentes en Afghanistan de 2002 à 2014. Aujourd’hui, beaucoup d’entre eux cherchent par tous les moyens à gagner leur visa pour l’Hexagone.

  • Fondation Jean Jaurès - Comment se sentir européen ? Débat avec Étienne François en direct le 9 novembre à 18h30

    Depuis dix ans, la question de l’identité est au cœur du débat intellectuel français. L’idéal européen de l’après-guerre est à bout de souffle (montée des populismes, Brexit...). Dans ce contexte, comment raconter l’Europe ? Comment faire vivre la mémoire européenne et s’y rattacher ? Qui sommes-nous, nous Européens ? D’où venons-nous et où allons nous ? L’Observatoire de la culture de la Fondation Jean-Jaurès en débat avec l’historien Étienne François, qui a dirigé l’ouvrage "Europa notre histoire" (Les Arènes, 2018), qui dialogue avec Chloé Ridel, haute fonctionnaire et membre du Groupe d’études géopolitiques de l’ENS. La rencontre est animée par Karine Gloanec Maurin, codirectrice de l’Observatoire de la culture de la Fondation Jean-Jaurès.

  • 20 minutes - «Les jeunes sont politisés autrement», explique la sociologue Anne Muxel

    C’est un portrait des jeunes Français d’aujourd’hui que nous propose la sociologue Anne Muxel, directrice de recherche au CNRS (Cevipof/Sciences Po) et administratrice de la Fondation Jean-Jaurès, dans son essai Politiquement jeune*. 20 Minutes l’a interrogée sur les pratiques politiques de la jeunesse, sa défiance envers les élus et les institutions et ses aspirations. La chercheure a aussi analysé quelques résultats d’une enquête à laquelle elle a collaboré pour 20 Minutes**.

    D’après l’enquête, les 18-30 ans sont très intéressés par la politique, ce qui va à l’encontre de l’idée selon laquelle la jeunesse est dépolitisée.

    Les jeunes ne sont pas dépolitisés ou apathiques d’un point de vue civique, bien au contraire. Ils sont politisés autrement. Leur intérêt pour la politique, la chose collective, s’exprime malgré leur défiance envers le système et le personnel politiques.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Le Monde - Le PS va reporter l’inauguration de son nouveau siège, à Ivry-sur-Seine

    Le Parti socialiste avait choisi depuis des semaines d’inaugurer les locaux le 17 novembre et d’y tenir un conseil national. Or ce jour coïncide avec la journée de manifestation contre les prix du carburant.

    Le Parti socialiste (PS) va repousser l’inauguration de son nouveau siège, à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), prévue le 17 novembre, au 15 décembre, a appris Le Monde mardi 6 novembre. La formation a entériné cette décision mardi soir en bureau national.

    Le conseil national (CN), « parlement » du parti réunissant quelque 300 cadres et élus, qui devait se tenir ce même jour, est également décalé. Il devait y être notamment question des élections européennes. Enfin, le discours sur l’inventaire du quinquennat de François Hollande, que le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, devait tenir dans la semaine précédant le CN, est lui aussi reporté.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Le Monde - Midterms : des démocrates perdants mais prometteurs

    Andrew Gillum, en Floride, ou Beto O’Rourke, au Texas : ces deux candidats démocrates ont échoué à battre leur adversaire républicain pour un poste de gouverneur, de représentant ou de sénateur au Congrès, lors des élections de mi-mandat. Portés par des sondages encourageants, ces candidats charismatiques incarnaient l’espoir d’une « vague bleue » démocrate. Sans succès. Encore inconnu du grand public il y a deux ans, Beto O’Rourke, ex-rockeur punk de 46 ans, n’est pas passé loin de l’exploit : avec 48,3 % des voix contre 50,9 %, il échoue de justesse à ravir son siège de sénateur du Texas au poids lourd républicain Ted Cruz. Andrew Gillum, soutenu par Barack Obama en personne et proche de Bernie Sanders, a également perdu l’un des duels les plus scrutés des midterms : la course pour le siège de gouverneur de Floride. Premier candidat noir à ce poste en Floride, il affrontait le républicain Ron DeSantis, partisan déclaré du président Trump et sous le coup d’accusations de racisme. Ron DeSantis l’a finalement emporté sur le fil par 49,8 % des voix contre… 49 %.

  • France Culture - Robespierre : intransigeance républicaine ou terrorisme étatique ?

    Dictateur sanguinaire ou républicain incorruptible ? Robespierre est l'une des figures les plus clivantes de l’Histoire de France. L'historien et philosophe Marcel Gauchet nous explique comme ce petit avocat d'Arras a réussi à se hisser au sommet de la Révolution française.

  • Libé - Les identités de Nathalie Heinich

    Dans son dernier essai, la sociologue dégage la notion d’identité de toute connotation politique et, en tant qu’essayiste, pourfend la gauche qui défend diversité et minorités.

    Voilà un petit livre pile dans l’air du temps. Sociologue au CNRS, proche de Pierre Bourdieu avant de s’en éloigner, Nathalie Heinich publie Ce que n’est pas l’identité (Gallimard), où elle tente de sortir le terme du réductionnisme politique auquel il est trop souvent cantonné. Une publication au timing idéal dans un contexte où, sous la pression idéologique de l’extrême droite, l’identité s’impose comme l’horizon indépassable des démocraties. «Le but de ce livre n’est pas de faire le partage entre différentes acceptions politiques de l’identité, mais de la délester de toute connotation superflue et rendre ainsi les débats plus lisibles», explique Nathalie Heinich à Libération.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • L'actualite des socialistes du 28 septembre au 1er novembre

    A LA UNE

    À propos de : Daniel Cohen, « Il faut dire que les temps ont changé… » Chronique (fiévreuse) d’une mutation qui inquiète, Albin Michel

    Daniel Cohen aborde avec une inquiétude rarement perceptible chez les économistes les mutations de notre monde globalisé. L’avènement de l’homo digitalis, les réseaux sociaux, la robotisation des économies appellent à chercher les voies d’une maîtrise collective des bouleversements à l’œuvre.

    Il est rare qu’un économiste fasse état de ses émotions. C’est pourtant l’exercice auquel se livre Daniel Cohen dès le titre de son livre. « D’étranges glissements se sont produits qui nous ont fait passer d’un monde à un autre, totalement étranger à celui qui l’avait enfanté. » C’est bien le changement qui constitue l’objet central de cet ouvrage. Et un changement d’une ampleur considérable puisqu’il s’agit du passage « d’un monde à un autre. » Rien de moins.

    CULTURE

    Observatoire des inégalités - Inégalités d’accès à la culture : démocratiser les pratiques par l’éducation

    Propositions 15 octobre 2018

    Pour réduire les inégalités d’accès aux pratiques culturelles, il ne suffit pas d’apporter la culture au peuple. Il faut mettre en place des politiques de démocratisation dotées de moyens plus importants en direction des publics, en particulier les plus jeunes. Les propositions d’Olivier Donnat, extraites de notre ouvrage Que faire contre les inégalités ? 30 experts s’engagent.

    JEAN JAURES

    Fondation Jean Jaurès - Comment imaginer en politique ? Images et imagination socialistes au temps de Jaurès par Christophe Prochasson

    Étudier les images des socialistes revient aussi à prendre les idées comme autant d’émotions engendrant les figures de l’avenir. Tout aussi marié à la science que fut le socialisme, il reste aussi une doctrine dont les adhérents font des rêves peuplés d’images. C’est ce que l’historien Christophe Prochasson, président de l’EHESS, rappelle dans cette note issue de la conférence qu’il a donnée aux Rendez-vous de l’histoire de Blois en 2018 à l’invitation de la Fondation et de la Société d’études jaurésiennes. 

    Au temps de Jaurès, le monde politique est d’abord un univers de mots. La République parlementaire a fait de la parole le principal instrument de l’action : le discours règle et organise les confits, distribue les rôles et définit les identités. Il assigne les places, comme le fit dès ses débuts la Révolution française en distinguant ceux qui s’installaient dans la partie gauche ou dans la partie droite de l’hémicycle.

    MONNAIE

    Le vent se lève - Vers la fin du dollar et de l’euro : le projet de monnaie mondiale commune

    « Le dollar est notre devise, mais votre problème », selon la formule d’un ministre américain de l’Economie. Pour lutter contre les effets néfastes d’un système monétaire international dominé par le billet vert, de nombreux économistes ont envisagé la mise en place d’une devise mondiale unique, tels Keynes dès 1944, ou de manière plus contemporaine Michel Aglietta, Agnès Benassy-Quéré et Jean Pisani-Ferry. Concrètement, un projet de monnaie mondiale commune est sur les rails depuis 2009, poussé par les puissances émergentes comme la Russie et la Chine.

    PAUVRETE

    Observatoire des inégalités - Le tableau de bord de la pauvreté en France

    Comment évolue la pauvreté en France ? Qui concerne-t-elle ? Peut-on s’en sortir ? Le tableau de bord de la pauvreté en France, par Anne Brunner. Extrait de notre premier Rapport sur la pauvreté en France.

    Depuis dix ans, le nombre de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté en France augmente. Cette aggravation est l’un des phénomènes les plus marquants parmi les évolutions analysées par l’Observatoire des inégalités. En considérant une définition restrictive, c’est-à-dire le seuil de pauvreté situé à la moitié du revenu médian (855 euros par mois), le nombre de personnes pauvres a augmenté de 600 000 en dix ans, de 4,4 millions à 5 millions. Au cours de la même période, le taux de pauvreté est passé de 7,3 % à 8 % de l’ensemble de la population. La décennie 2000, et plus encore la crise déclenchée en 2008, ont marqué un retournement historique de la tendance : la pauvreté ne diminue plus en France.

    COLLOMB

    Les Jours - Gérard Collomb, crème de baron

    « Gégé » is back. L’ancien ministre revient à Lyon récupérer le trône municipal. Mais en son absence, les appétits et les couteaux se sont aiguisés…

    A peine parti, déjà arrivé. Après seulement dix-sept mois au ministère de l’Intérieur, Gérard Collomb, 71 ans, est de retour sur ses terres lyonnaises, déjà en campagne pour les élections municipales et métropolitaines de 2020. Le 2 octobre, Gérard Collomb démissionne de son poste de ministre. Le 3, il passe la main au Premier ministre Édouard Philippe qui assure l’intérim place Beauvau. Le soir même, il pose le pied sur le quai de la gare de Lyon-Perrache. Le jour d’après, il se rend au tapis rouge des commerçants dans le IIe arrondissement de Lyon, serrant la main à de jeunes mannequins.

    A PARIS

    Le Parisien - Paris : pour les femmes du quartier Chapelle-Pajol, «la situation a empiré»

    Plus d’un an après la pétition des femmes qui se déclaraient indésirables voire harcelées dans l’espace public, leur quotidien ne s’est pas amélioré dans cette partie du XVIIIe arrondissement de la capitale.

    « Désormais, notre quartier est abandonné aux seuls hommes : plus une femme dans les cafés. Pas un enfant dans le square Louise-de-Marillac. Certaines d’entre nous se terrent chez elles. ». Au mois de mai 2017, à l’initiative de l’association SOS La Chapelle, un groupe d’habitantes du quartier Chapelle-Pajol avait rédigé une pétition, rapidement devenue virale, intitulée « Les femmes, une espèce en voie de disparition au cœur de Paris ».

    PARTI SOCIALISTE

    Le Figaro - Olivier Faure et la «colonisation à l'envers» : quand la gauche enterre son optimisme multiculturel

    Olivier Faure a évoqué la «colonisation à l'envers» de certaines parties du territoire français. Pour Arnaud Benedetti, cette prise de parole marque la fin de l'optimisme de la gauche française concernant les politiques diversitaires.


    Arnaud Benedetti est professeur associé à l'Université Paris-Sorbonne. Il vient de publier Le coup de com' permanent (éd. du Cerf, 2017) dans lequel il détaille les stratégies de communication d'Emmanuel Macron.


    Comme tant d'autres avant lui, Olivier Faure vient de traverser l'une de ces controverses, figure désormais éprouvée et renouvelée de ce que l'historien Théodore Zeldin appela en son temps les «passions françaises».

    Slate - Au PS, du chic au choc

    Olivier Faure a déclenché la polémique en évoquant une «colonisation à l'envers».

    Mais quelle mouche a donc piqué Olivier Faure? En utilisant les mots de «colonisation à l'envers», le premier secrétaire du PS s'est attiré les commentaires satisfaits d'une partie de la droite et de l'extrême droite. À commencer par Marine Le Pen qui, sur son compte Twitter officieux, jubile –et dégaine l'emoji «champagne».

    20 minutes - Lyon: Le PS du Rhône appelle les élus du conseil municipal à lâcher Gérard Collomb

    BRAS DE FER La fédération du Rhône demande à ses conseillers municipaux de ne pas voter pour le maire sortant lors du prochain municipal, le 5 novembre..

    Ce n’est guère une surprise. La Fédération départementale du Parti socialiste dans le Rhône a appelé à boycotter Gérard Collomb. Dans un communiqué publié samedi, elle demande aux élus de la majorité du conseil municipal de Lyon, ne « pas apporter leurs voix » à l’ancien ministre de l’Intérieur, qui entend reprendre son fauteuil à la tête de la mairie.

    Libé - Ségolène Royal, la carte maîtresse du PS

    En quête d’une tête de liste aux européennes, le Parti socialiste attend une réponse de l’ex-ministre, qui n’a pas payé sa cotisation depuis plusieurs années. Pour l’heure, elle se contente de critiquer Macron.

    Elle revient dans le game. Et pourrait bien servir de planche de salut à un Parti socialiste à la recherche de son introuvable tête de liste pour les européennes. Pourtant, selon nos informations, Ségolène Royal n’a plus sa carte de militante. Cela fait même plusieurs années qu’elle n’est plus à jour de ses cotisations. Ce qui permet, entre autres, à l’ancienne ministre de l’Ecologie de se répandre partout ces derniers jours pour refuser une candidature sous la bannière strictement socialiste.

    Challenges - Déboussolé et déserté, le Parti socialiste va-t-il virer à gauche pour les Européennes?

    Les cadres du Parti socialiste veulent une Europe plus socialiste. Au risque de se couper davantage d’un halo de sympathisants plus libéraux que le parti…

    Ira ou n'ira pas? A quelques mois des élections européennes, le nom de Ségolène Royal se chuchote aujourd'hui de plus en plus fort pour prendre la tête d'une liste. Pas n'importe laquelle toutefois. La candidate potentielle ménage la chèvre et le chou mais a rejeté l'hypothèse d'une liste strictement socialiste. Un choix que ne saurait bouder un Parti socialiste dont le programme européen semble avoir des difficultés à convaincre.

  • Revue civique - Notre Observatoire de la Démocratie 2018 : résultats complets sur la perception de la démocratie et les attentes de l’opinion

    Vaste enquête, cet Observatoire de la démocratie (édition 2018): une étude d’opinion Viavoice pour La Revue Civique et la Fondation Jean Jaurès, qui s’avère très riche en enseignements pour comprendre la relation des Français, de tous âges et de toutes conditions, avec la démocratie, les institutions (actuelles ou à réformer), leur perception des pratiques politiques et de leur propre rôle, participatif et civique, dans la vie publique. Quatre médias ont été partenaires de cette enquête : France Inter, BFM TV, La Presse Régionale – qui réunit une quarantaine de quotidiens régionaux – et le quotidien national Aujourd’hui en France (illustration ci-dessus, l’article de Myriam Encaoua, du service France). Après l’édition de 2016 (septembre) et celle de 2014 (avril), une vingtaine de questions clés ont été posées en cette édition 2018 (par interviews en ligne, du 22 au 28 décembre 2017, auprès d’un échantillon de 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus). 

    Lire la suite
    __________________
    __________________