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  • Fondation Jean Jaurès, Gilles Finchelstein - La spectaculaire rétraction du macronisme

    À l’approche des élections européennes, la Fondation et ses partenaires publient les résultats de la première vague de l’Enquête électorale française 2024, menée auprès de près de 12 000 personnes1. Gilles Finchelstein, secrétaire général de la Fondation, en tire les enseignements pour la majorité présidentielle et montre l’actuelle rétraction du macronisme sur son cœur, quand il parvenait précédemment à rayonner au-delà.

    Pour la majorité présidentielle, à moins de cent jours du scrutin du 9 juin, la face la plus visible des résultats du panel électoral peut se résumer en trois données très simples : un score de 18% ; un écart de 13 points avec le Rassemblement national ; un recul de 5 points par rapport à 2019. Nul doute que si les résultats de juin étaient conformes aux intentions de vote de mars, ces données écraseraient toute autre analyse pour être interprétées comme une lourde défaite pour le président de la République.

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  • Fondation Jean Jaurès - La cristallisation ne se fait plus que le jour du vote

    Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, tire un bilan de la campagne du premier tour en termes de mobilité électorale, grâce aux données de l’Enquête électorale française réalisée par Ipsos pour la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof et Le Monde dont la neuvième vague vient de sortir.

    L’élection présidentielle n’a pas encore livré tous ses secrets. Mais un premier bilan de cette campagne du premier tour peut déjà être dressé. Grâce au panel électoral, parce qu’il interroge les mêmes électeurs depuis le mois d’avril 2021, nous pouvons en effet mesurer et analyser la mobilité électorale – et sa face symétrique, la stabilité électorale. À l’heure de la déstructuration des clivages, de la montée de la société des individus, de la succession de crises majeures, la mobilité électorale est un phénomène majeur, en France comme dans beaucoup d’autres démocraties européennes. Il pourrait même s’agir d’un phénomène déterminant dans cette étrange campagne qui a cumulé offre électorale éclatée – accroissant encore les potentialités de changement d’intention de vote – et intérêt citoyen limité – suscitant des allers-retours entre volonté d’aller voter et tentation de l’abstention.

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  • Fondation Jean Jaurès - Héritiers de l’avenir : une nouvelle collection, Gilles Finchelstein

    La Fondation initie une nouvelle collection, en format vidéo, qui recueille des témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez sa présentation par Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation.

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  • Fondation Jean Jaurès - La situation politique à un an de la présidentielle Gilles Finchelstein

    Quelle est la situation politique à un an de l’élection présidentielle ? En partenariat avec Ipsos, le Cevipof et Le Monde, la Fondation Jean-Jaurès publie la première vague d’un panel électoral de 10 000 personnes qui seront suivies tout au long de la campagne présidentielle. Pour cette première vague, Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, fait le point sur Xavier Bertrand.

    I - Les enseignements électoraux de l’enquête

    La crédibilité des potentiels candidats 

    - 16 % des Français considèrent que Jean-Luc Mélenchon ferait mieux qu’Emmanuel Macron, 55 % moins bien, 29 % ni mieux ni moins bien ; 
    - 14 % des Français considèrent que Yannick Jadot ferait mieux qu’Emmanuel Macron, 43 % moins bien, 43 % ni mieux ni moins bien ; 
    - 14 % des Français considèrent qu’Anne Hidalgo ferait mieux qu’Emmanuel Macron, 45 % moins bien, 4 % ni mieux ni moins bien ; 
    - 21 % des Français considèrent de Xavier Betrand ferait mieux qu’Emmanuel Macron, 22 % moins bien, 57 % ni mieux ni moins bien ; 
    - 17 % des Français considèrent que Valérie Pecresse ferait mieux qu’Emmanuel Macron, 29 % moins bien, 54 % ni mieux ni moins bien ; 
    - 10 % des Français considèrent que Bruno Retailleau ferait mieux qu’Emmanuel Macron, 39 % moins bien, 51 % ni mieux ni moins bien ;
    - 28 % des Français considèrent que Marine Le Pen ferait mieux qu’Emmanuel Macron, 47 % moins bien, 25 % ni mieux ni moins bien.

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  • Fondation Jean Jaurès - Le paysage partisan à cinq cents jours de l’élection présidentielle

    Dans la suite des dernières élections municipales et de la publication de la huitième édition de l’enquête annuelle « Fractures françaises » en partenariat avec le Cevipof, Ipsos, l’Institut Montaigne et Le Monde, Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation, dresse un constat de l’actuel état du paysage politique et partisan, à près de cinq cents jours de la prochaine élection présidentielle. quel est le poids des formations politiques ? Quelle est la structure de leurs soutiens ? Quelle est leur image ?

    Du point de vue de l’observateur, la situation des partis politiques à cinq cents jours de l’élection présidentielle est source d’interrogations. L’analyse des résultats des élections municipales d’un côté et des premiers sondages d’intentions de vote pour l’élection présidentielle d’un autre côté met en lumière la persistance d’une situation inédite : les forces nationales sont impuissantes localement ; les forces locales sont impuissantes nationalement.

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  • Fondation Jean Jaurès - Français confinés, repères bouleversés

    Au printemps 2020, la moitié de la population a été confinée en raison de la crise sanitaire. Si ce confinement a été vécu de manière très différente selon les pays concernés et au sein même de chaque pays, il a produit du « commun » et a fait bouger un certain nombre de repères. Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jaurès, livre son analyse.

  • Fondation Jean Jaurès - Fractures françaises 2019 : focus sur les « anti-démocrates » par Gilles Finchelstein

    La Fondation Jean-Jaurès, en partenariat avec Ipsos Sopra Steria, Le Monde et l’Institut Montaigne, publie cette semaine la septième vague de l’enquête « Fractures françaises ». Une photographie de l’état de l’opinion française toujours riche d’enseignements. Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, s’est notamment intéressé à ceux qu’il nomme les « anti-démocrates ».

    Bonne nouvelle : alors que, année après année, le pourcentage de Français considérant que « d’autres systèmes politiques peuvent être aussi bons que la démocratie » n’avait cessé d’augmenter, il s’est stabilisé en 2019. Mauvaise nouvelle : il demeure à un niveau élevé et préoccupant puisque 36 % des personnes interrogées partagent cette conviction – appelons-les les « anti-démocrates » – contre 63 % qui estiment que « la démocratie est le meilleur des systèmes » – appelons-les les « démocrates ».

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  • Francetvinfo - POINT DE VUE. Pourquoi EELV, le PS et Génération.s doivent s'unir pour les européennes

    Proximité européenne, politique, idéologique, sociologique... Pour Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, rien ne justifie la désunion des socialistes et des écologistes en vue du scrutin du 26 mai.

    Qu'est-ce qui justifie qu'Europe Ecologie-Les Verts, le Parti socialiste et le mouvement Génération.s de Benoît Hamon abordent les élections européennes du 26 mai plus désunis que jamais ? Pour Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, la réponse semble claire : rien, à l'exception des postures politiciennes des responsables de ces trois partis de gauche. Dans un point de vue publié sur franceinfo, il donne ainsi raison à l'essayiste Raphaël Glucksmann, qui plaide depuis des mois en faveur d'une union des gauches. Il s'exprime ici librement.

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  • Fondation Jean Jaurès - Inventaire 2012-2017 : retour sur un quinquennat « anormal »

    Quel bilan peut-on faire du quinquennat de François Hollande ? Comment expliquer que les socialistes soient passés, en l’espace de cinq ans, d’une situation où ils avaient tant de pouvoirs nationaux et locaux à un risque de disparition ? Voilà les deux questions auquel l'ouvrage « Inventaire 2012-2017. Retour sur un quinquennat ‘anormal’ » apporte des éléments de réponse. Retrouvez-en une présentation vidéo de Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, qui a co-dirigé, avec Alain Bergounioux, de l’ouvrage (Maud Fassnacht et Mathieu Souquière en ont été les rapporteurs).

  • Réformer l'entreprise : pourquoi, pour qui, comment [Gilles Finchelstein]

    Xerfi Canal a reçu Gilles Finchelstein, Directeur des Etudes d’Euro RSCG Worldwide en France et directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, pour parler du lien entre citoyens et entreprises

  • Analyse du vote Front national au premier tour de l’élection présidentielle 2017

    Une conférence de presse à destination des médias étrangers s’est tenue à la Fondation Jean-Jaurès le 25 avril 2017, deux jours après le premier tour de l’élection présidentielle 2017, pour analyser le vote Front national. Elle réunissait Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, et deux membres de l'Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès : son directeur Jean-Yves Camus, politologue, et Nicolas Lebourg, historien, chercheur associé au Centre d'études politiques de l'Europe latine.