Proximité européenne, politique, idéologique, sociologique... Pour Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, rien ne justifie la désunion des socialistes et des écologistes en vue du scrutin du 26 mai.
Qu'est-ce qui justifie qu'Europe Ecologie-Les Verts, le Parti socialiste et le mouvement Génération.s de Benoît Hamon abordent les élections européennes du 26 mai plus désunis que jamais ? Pour Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, la réponse semble claire : rien, à l'exception des postures politiciennes des responsables de ces trois partis de gauche. Dans un point de vue publié sur franceinfo, il donne ainsi raison à l'essayiste Raphaël Glucksmann, qui plaide depuis des mois en faveur d'une union des gauches. Il s'exprime ici librement.
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