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midterms

  • LVSL - Élections de mi-mandat : les démocrates pris à leur propre piège

    Rattrapés par une situation économique préoccupante, les démocrates voient leurs espoirs électoraux s’évaporer à l’approche des élections de mi-mandat, pourtant déterminantes pour leur avenir. Depuis l’élection de Joe Biden, ils ont dépensé autant d’énergie à combattre la percée des « progressistes » liés à Bernie Sanders qu’à lutter pour des mesures ambitieuses en termes sociaux et environnementaux. Les électeurs, frappés de plein fouet par l’inflation et la récession économique, risquent de s’en détourner…

    Les traditionnelles élections de mi-mandat se tiendront le 8 novembre prochain aux États-Unis. L’ensemble de la Chambre des représentants du Congrès ainsi qu’un tiers du Sénat seront renouvelés, de même que 36 gouverneurs et les élus locaux (procureur général, ministre de l’Intérieur, parlements) de la majorité des États. 

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  • Fondation Jean Jaurès - Midterms 2022 : le point de vue d’un militant démocrate de Los Angeles

    Le 8 novembre prochain, les Américains sont appelés aux urnes pour les élections de mi-mandat. Ce scrutin complexe se déroule en réalité sur plusieurs semaines, dans un contexte de vives tensions entre démocrates et républicains et alors que le système électoral américain est fondamentalement différent du système français. Steve Cron, président du club des démocrates de Pacific Palisades (Los Angeles), nous éclaire sur les activités du Parti démocrate au niveau local et sur le vote du 8 novembre qui regroupe des élections à de nombreuses fonctions municipales, nationales et un vote « référendaire » sur des sujets variés.

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  • Le Monde - Midterms : des démocrates perdants mais prometteurs

    Andrew Gillum, en Floride, ou Beto O’Rourke, au Texas : ces deux candidats démocrates ont échoué à battre leur adversaire républicain pour un poste de gouverneur, de représentant ou de sénateur au Congrès, lors des élections de mi-mandat. Portés par des sondages encourageants, ces candidats charismatiques incarnaient l’espoir d’une « vague bleue » démocrate. Sans succès. Encore inconnu du grand public il y a deux ans, Beto O’Rourke, ex-rockeur punk de 46 ans, n’est pas passé loin de l’exploit : avec 48,3 % des voix contre 50,9 %, il échoue de justesse à ravir son siège de sénateur du Texas au poids lourd républicain Ted Cruz. Andrew Gillum, soutenu par Barack Obama en personne et proche de Bernie Sanders, a également perdu l’un des duels les plus scrutés des midterms : la course pour le siège de gouverneur de Floride. Premier candidat noir à ce poste en Floride, il affrontait le républicain Ron DeSantis, partisan déclaré du président Trump et sous le coup d’accusations de racisme. Ron DeSantis l’a finalement emporté sur le fil par 49,8 % des voix contre… 49 %.