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  • Euractiv : Un an après, le plan climat de Joe Biden continue de susciter des remous à l’étranger

    Un an après son entrée en vigueur, le plan grand pour le climat (ou IRA) voulu par le président Biden commence à produire ses effets sur le sol américain mais suscite toujours de nombreuses inquiétudes auprès des principaux alliés en Asie comme en Europe.

    L’objectif du plan, qui comprend 370 milliards de dollars de subventions et réductions d’impôt est simple : permettre aux Etats-Unis de développer une industrie tant pour la production d’énergie propre que pour le développement des véhicules électriques.

    Ce plan est « la preuve que les Etats-Unis s’y mettent réellement », souligne Joshua Meltzer, chercheur à la Brookings Institution, alors que l’Union européenne (UE) et la Chine, notamment, soutenaient déjà leur transition énergétique.

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  • Le Vent se léve - Vers un défaut de paiement des États-Unis ?

    Le bras de fer qui oppose Démocrates et Républicains pour relever le plafond de la dette inquiète de manière croissante les marchés financiers. En cas d’échec des négociations, les États-Unis pourraient faire défaut, provoquant une crise financière mondiale susceptible d’entraîner une grave récession. La situation découle pourtant d’un problème purement politique, qui n’a aucun lien avec des fondamentaux économiques et financiers.

    La presse économique internationale et les milieux financiers ne parlent plus que de ça : le spectre d’un défaut de paiement des États-Unis. Le gouvernement fédéral américain a en effet atteint le plafond de dette publique autorisé par le Congrès, relevé à 31381 milliards de dollars en décembre 2021. Dans un courrier remis aux parlementaires, Janet Yellen, ancienne présidente de la FED et désormais secrétaire au Trésor de l’administration Biden (l’équivalent du ministre des Finances) estime que le gouvernement ne sera plus en mesure d’honorer ses obligations dès le 1er juin.

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  • Biden à mi-mandat : ces succès qui ont masqué les problèmes structurels [Olivier Passet]

    Comment caractériser le bilan à mi-mandat de Joe Biden ? Si l'on se fie à la surface des choses, le chômage est à son plus bas historique. En d'autres temps cela aurait suffi à qualifier de success-story cette première moitié du mandat démocrate. La job machine continue à tourner à plein, sur des rythmes supérieurs à 1 million sur 3 mois en septembre. [...]

  • LVSL - Élections de mi-mandat : les démocrates pris à leur propre piège

    Rattrapés par une situation économique préoccupante, les démocrates voient leurs espoirs électoraux s’évaporer à l’approche des élections de mi-mandat, pourtant déterminantes pour leur avenir. Depuis l’élection de Joe Biden, ils ont dépensé autant d’énergie à combattre la percée des « progressistes » liés à Bernie Sanders qu’à lutter pour des mesures ambitieuses en termes sociaux et environnementaux. Les électeurs, frappés de plein fouet par l’inflation et la récession économique, risquent de s’en détourner…

    Les traditionnelles élections de mi-mandat se tiendront le 8 novembre prochain aux États-Unis. L’ensemble de la Chambre des représentants du Congrès ainsi qu’un tiers du Sénat seront renouvelés, de même que 36 gouverneurs et les élus locaux (procureur général, ministre de l’Intérieur, parlements) de la majorité des États. 

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  • Les mots forts de Karine Jean-Pierre, porte-parole de Joe Biden, pour réguler les armes à feu

    "Si avoir plus d'armes était la solution, l'Amérique serait le pays le plus sûr au monde. Mais nous ne le sommes pas", a lancé Karine Jean-Pierre lors d'un point presse sur la fusillade d'Uvalde, au Texas. Pour la porte-parole de Joe Biden, le Congrès américain doit maintenant agir.

  • Le Monde  - JO de Pékin : les Etats-Unis annoncent un boycott diplomatique de la compétition

    Washington fait ce choix en raison du « génocide et des crimes contre l’humanité en cours au Xinjiang ». La Chine avait prévenu qu’une telle annonce de la part des Etats-Unis la conduirait à prendre « des contre-mesures fermes ».

    Depuis des mois, le gouvernement américain cherchait la meilleure façon de se positionner à l’égard des Jeux olympiques (JO) d’hiver qui auront lieu à Pékin en 2022. Il a finalement choisi le boycott diplomatique : les Etats-Unis n’enverront aucun représentant diplomatique aux Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de Pékin en raison du « génocide et des crimes contre l’humanité en cours au Xinjiang », a annoncé la Maison Blanche lundi 6 décembre.

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  • LVSL - Vers le triomphe de Bernie Sanders ?

    Le sénateur socialiste espère faire adopter le plan d’investissement de Joe Biden pour le social et le climat au Congrès fédéral, un projet de 4 000 milliards de dollars susceptible de transformer le pays. Le modèle social qui en découlerait, et les investissements dans la transition écologique associés, auraient un profond impact sur l’Amérique et au-delà. Mais le patronat, les intérêts financiers et leurs relais au sein du Parti démocrate livrent une intense bataille pour le faire échouer. Assistera-t-on au triomphe de Sanders ou à l’échec de Biden ?

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  • Le Vent se lève -  Trump : vers un retour inexorable au pouvoir

     

    Loin d’avoir tourné la page du trumpisme, le Parti républicain redouble d’efforts pour permettre le retour au pouvoir du milliardaire, mettant en place des centaines de lois visant à affaiblir le processus électoral et les institutions. Au lieu de réagir à ce qu’ils dénoncent comme une attaque inédite contre la démocratie américaine, Joe Biden et le Parti démocrate semblent coincés dans une réalité alternative où les compromis bipartisans avec une opposition aux velléités putschistes doivent primer sur une action politique susceptible de protéger le fonctionnement des institutions.

  • Telos - Les relations euro-américaines après le voyage de Biden

    Le G7 et la tournée européenne de Biden ont consacré un rapprochement des Européens et des Américains en ce qui concerne les relations avec la Chine et avec la Russie. Après l’intempérance et les initiatives imprévisibles de son prédécesseur, qui avaient gravement dégradé l’image des États-Unis en Europe et alimenté des versions extrêmes de la recherche d’autonomie stratégique européenne, il suffisait au président américain, en un sens, de « ne pas être Trump ». Pour autant des différences subsistent, qui demandent à être scrutées de près si l’on veut apprécier les perspectives.

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  • Biden doit-il renoncer à sa politique budgétaire par peur de l’inflation ? Jonathan Marie, membre des Economistes atterrés

    Les débats concernant la politique économique, en particulier aux États-Unis, se focalisent aujourd’hui sur un possible retour de l’inflation. L’annonce d’un taux d’inflation en avril 2021 de 4,2 % en glissement annuel aux États-Unis relance les discussions. Depuis février dernier, ils sont nombreux, comme Martin Wolf, le célèbre éditorialiste du Financial Times, à évoquer le spectre de l’inflation comme menace immédiate sur l’économie américaine. La figure du spectre ou du mort-vivant est souvent mobilisée tant l’inflation semble appartenir au passé, les économies développées évoluant dans des régimes de (très) basse inflation depuis les années 1980.

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  • LVSL - Après 100 jours, pourquoi Biden impressionne la presse française

    « Un nouveau Roosevelt ». La presse française s’émerveille devant Joe Biden, ses plans de relance chiffrés en milliers de milliards et ses propositions de hausse d’impôts sur les multinationales et les plus riches. Le centriste se voit repeint en progressiste, par contraste avec des dirigeants européens embarrassés par son volontarisme. Comment expliquer un tel décalage avec sa campagne, qui suggérait une politique plus conformiste ? Faut-il y voir un manque d’objectivité de la presse ou un véritable revirement de Joe Biden ? Par Politicoboy.

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