.... Jordan Bardella dominerait largement le premier tour de l’élection si elle avait lieu dès maintenant, avec 35,5 % à 36,5 % des intentions de vote selon les configurations testées, loin devant les deux candidats suivants, l’ancien Premier ministre Édouard Philippe (16,5 %-17 %) et le leader du parti Place publique Raphaël Glucksmann (11,5 %-13 %). Fait notable, le président du Rassemblement national est en tête dans toutes les tranches d’âge.
Sondages
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Les sondages (mise à jour du 29 novembre)
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Les législatives : revue de presse, sondages et vidéos (mise à jour du 27 juin)
A LA UNE
Jan-Werner Müller — À cinq jours du premier tour des législatives anticipées, le tremblement de terre en France brouille tous les repères. Pour le politologue allemand Jan-Werner Müller, spécialiste du populisme et des idéologies, la crise politique que traverse l'hexagone doit être prise avec son grand contexte : dans la crise des partis, des médias et des médiations, la radicalisation devient une option séduisante — dans une atmosphère de campagne permanente.
Alors que l’Education nationale s’effondre, le Rassemblement National promet un « redressement » de ce service public en reprenant les mêmes recettes que le camp présidentiel. Généralisation du tri social dès le plus jeune âge, obsession pour les sanctions, destruction du collège unique, enseignement privé florissant hors de tout contrôle… Les deux partis ont pratiquement un programme commun sur la question, dont l’enjeu des moyens accordés aux enseignants est quasi-absent. A l’inverse, le Front populaire entend lancer un choc de moyens pour l’éducation dès son arrivée au pouvoir, avec le double objectif d’une école vraiment gratuite et beaucoup plus égalitaire.
Observatoire des inégalités - Le 7 juillet, le grand bond en arrière ne doit pas avoir lieu
L’arrivée au pouvoir du RN marquerait un grand bond en arrière pour l’égalité à tous niveaux. Il est possible de l’éviter, à condition de se rassembler. Le point de vue de Louis Maurin et Éric Peigné, directeur et président de l’Observatoire des inégalités.
La France peut basculer dans un régime autoritaire au soir du 7 juillet prochain, à l’issue du second tour des élections législatives. S’ensuivraient alors des politiques d’une violence jamais connue dans notre pays depuis des décennies, en particulier envers les étrangers. « La montée des inégalités constitue une menace pour la démocratie, en offrant notamment un terreau à la progression de l’extrême droite », écrivions-nous en 2003 à la fondation de l’Observatoire des inégalités. Indépendants de tout parti politique, nous établissons une frontière nette entre l’extrême droite et l’ensemble des autres organisations.
28 juin
France Info - Le 8h30 de Brice Teinturier, vendredi 28 juin 2024
Télérama - Macron attrape “La Fièvre” : quand politique et fiction se percutent
Environ 300 économistes, dont certains très réputés, signent ce texte en soutien du programme économique du NFP, le seul selon eux à proposer de dégager des recettes pour préparer l’avenir.
Le programme du Nouveau Front populaire indique une direction de politique économique claire : prendre le chemin d’une prospérité partagée et soutenable grâce au renforcement de la politique sociale et à l’investissement public et privé. Redonner à notre pays des perspectives à long terme implique de lever de nouvelles recettes pour rétablir les finances et reconstruire les services publics. La justice fiscale est ainsi au cœur de ce projet, comme levier indispensable pour garantir une éducation de qualité, un système de santé efficace et un développement productif respectueux des équilibres
28 juin
L’ex-président de la République, invité de BFMTV, s’est alarmé de l’arrivée de l’extrême droite au pouvoir et a assuré que le Nouveau Front populaire n’était pas « le retour de la Nupes ».
Portrait Face au Premier ministre Gabriel Attal et au président du RN Jordan Bardella, c’est Manuel Bompard, coordinateur national de La France insoumise et fidèle de Jean-Luc Mélenchon qui représente le Nouveau Front populaire ce mardi soir sur TF1.
1. Apparatchik
Député des Bouches-du-Rhône, Manuel Bompard, 38 ans, a le titre de « coordinateur national » de La France insoumise : autrement dit, c’est lui qui contrôle l’appareil. C’est l’homme de Jean-Luc Mélenchon, le fidèle des fidèles. Il milite à ses côtés depuis 2008 et le vieux leader en parle comme d’un possible successeur.
Le programme du Nouveau Front populaire, présenté le 14 juin, indique une direction de politique économique claire : il s’agit de reprendre le chemin d’une politique sociale et d’investissement (public et privé), articulée à une politique fiscale qui vise à (re)remplir les caisses et à instaurer davantage de justice fiscale. C’est une réorientation marquée par rapport à la politique actuelle.
Est-ce que les mesures sont crédibles ? Oui, les pistes de financement aussi. Est-ce que tout pourra être mis en œuvre et selon quel calendrier ? On verra bien. Dans tous les cas, la situation économique est incertaine et ce, quel que soit le gouvernement qui sera nommé.
..... Notons que si le « front républicain » contre le RN a probablement perdu de sa vigueur si on le compare au début des années 2000, il demeure important dans l’électorat de gauche et dans une partie du centre : 70% des électeurs du NFP sont favorables à un désistement en faveur du candidat le mieux placé face au RN. Les électeurs de la majorité présidentielle y sont aussi majoritairement favorables, à 57%. Cela pourrait devenir le sujet de cette fin de campagne de 1er tour et être l’élément décisif du 2nd tour.
Alors que le taux de participation aux élections européennes n’a atteint que 51,49 % selon le Ministère de l’Intérieur, 64 % des Français annoncent vouloir exercer leur droit civil lors des élections législatives selon le sondage de l’institut indépendant Odoxa publié ce mardi 25 juin 2024.
26 juin
Législatives 2024 : Ruffin attaque Mélenchon, « obstacle à la victoire du Front Populaire »
Candidat aux législatives dans la Somme, François Ruffin estime que Jean-Luc Mélenchon « repousse les électeurs »La brouille entre François Ruffin et Jean-Luc Mélenchon est bel et bien consommée. Le député sortant, un des candidats au poste de Premier ministre en cas de victoire de la gauche aux législatives, a estimé mardi que le leader de La France insoumise était un « obstacle à la victoire du Front Populaire ».Membre d’une organisation secrète et rompue au culte du chef au début des années 1970, l’homme de gauche en a gardé des traces dans sa façon de faire de la politique.
TRIBUNE - L’ancien chef économiste du FMI, Olivier Blanchard, alerte sur la fiscalité « de nature confiscatoire » du programme du Nouveau Front populaire et l’augmentation du SMIC qui dégradera la compétitivité. « Je voterai au centre », annonce-t-il.
France Bleu - Législatives 2024 : 150 personnes à Avignon au meeting de soutien de Philippe Pascal
Un meeting a été organisé par le Front populaire du Vaucluse ce mardi soir dans le parc Chico Mendès à Avignon. La gauche locale entend réaffirmer la légitimité de la candidature dissidente de la gauche, portée par Philippe Pascal, dans la 1ère circonscription pour ces législatives.
France 2 - Les 4 vérités - Laurent Berger
Alors que son nom a été proposé par Raphaël Glucksmann pour « unir la gauche », l’ex-leader de la CFT Laurent Berger affirme vouloir rester en retrait de la vie politique.
Deux communiqués ont été publiés en parallèle dimanche sur le sujet, mais ils n'ont pas été signés par les mêmes partis de gauche.Le Nouveau Front populaire a dénoncé dimanche 22 juin dans une tribune une "campagne de diffamation" sur la lutte contre l'antisémitisme, orchestrée selon lui par "une macronie en déroute". De son côté, l'eurodéputé Raphaël Glucksmann et sa formation Place publique ont proposé une "charte d'engagement républicain" sur le sujet.24 juin
Fondation Jean Jaurès - Critique des mesures fiscales du programme du Rassemblement national
Que révèlent les mesures fiscales du programme du Rassemblement national ? Pour Simon-Pierre Sengayrac, co-directeur de l’Observatoire de l’économie de la Fondation, le projet budgétaire du RN est de nature néolibérale et populiste. Il prévoit une longue liste d’allègements d’impôts et de dépenses nouvelles ou pas financées qui bénéficieraient aux classes aisées et non aux classes moyennes et populaires, comme le parti d’extrême droite l’affirme pourtant.
Le projet budgétaire du Rassemblement national (RN) est sans doute le risque le plus important, et le plus tangible, du programme économique de ce parti.
Fabien Roussel, secrétaire national du PCF et candidat aux législatives dans la 20e circonscription du Nord, était l'invité de France Bleu Nord ce lundi. Il s'est adressé à Jean-Luc Mélenchon, chef de file de LFI : "Personne ne peut s'autoproclamer Premier ministre".
Le député PS sortant de la 3e circonscription des Landes, Boris Vallaud, était en campagne à Mugron ce vendredi pour défendre son siège dans l'hémicycle. Il a différencié la Nupes de 2022 et le Nouveau Front Populaire de 2024, dans lequel les socialistes ont plus de poids.
Le sondage Ipsos conduit du 19 au 20 juin pour Le Parisien et Radio France, réalisé à partir de l’offre réelle des candidatures dans chaque circonscription, les candidats du Rassemblement National et leurs alliés réunissent 35,5% des intentions de vote au 1er tour des élections législatives, suivis du Nouveau Front Populaire (29,5%) et du groupe Ensemble de la majorité présidentielle (19,5%).
23 juin
En cas d'arrivée au pouvoir, la coalition des partis de gauche promet d'abroger la réforme portant l'âge légal de départ en retraite de 62 à 64 ans. Elle renvoie à une conférence sociale la question d'un retour à la retraite à 60 ans et ne chiffre pas son coût faute d'en préciser les contours.
Malgré les réticences de plusieurs voix dans son camp, l’« insoumis » a affirmé qu’un consensus avait été trouvé parmi les alliés de gauche pour que ce soit « le groupe parlementaire le plus important qui présente le candidat à la primature ».
En vidéo - Conférence de presse : chiffrage et financement du programme du #NouveauFrontPopulaire
Les dépenses publiques supplémentaires envisagées par l'alliance de gauche atteindraient 150 milliards d'euros d'ici fin 2027, pour des recettes évaluées également à 150 milliards d'euros.22 juin
Un sondage Odoxa pour Le Nouvel Obs confirme la tripolarisation de la campagne électorale entre le Rassemblement national et le bloc de gauche, tandis que le camp macroniste accuse un très net retard. La forte participation attendue dès le premier tour fait également exploser le nombre potentiel de triangulaires.Les Echos - SONDAGE EXCLUSIF - Le RN progresse encore mais la gauche et le camp Macron aussi
Surfant sur sa victoire aux élections européennes, le parti de Jordan Bardella est en position de force dans les intentions de vote au scrutin du 30 juin, dans le LegiTrack d'OpinionWay-Vae Solis pour « Les Echos ». L'intérêt des Français pour la campagne est élevé.
Capital - Avec le Nouveau Front populaire, un retour à la retraite à 62 ans dès cet été
Le Nouveau Front populaire a présenté le chiffrage de son programme et les mesures qu’ils comptent mettre en place immédiatement s’il est élu. Parmi elles, l’abrogation de la réforme des retraites qui a relevé l’âge légal de départ de 62 à 64 ans.
Reporterre - « Irréaliste », le programme du Nouveau Front populaire ? On a vérifié
Cible d’une cabale inédite, le programme de la gauche, dont le chiffrage a été dévoilé le 21 juin, fait primer l’urgence sociale et écologique sur la santé des affaires, avec des arguments rigoureux.
Deux visions de l’économie s’affrontent, plus que jamais à couteaux tirés. Dans le rôle des artilleurs en chef, un président de la République et un ministre de l’Économie en exercice squattent l’arène médiatique depuis dix jours et n’ont pas de mots assez durs pour qualifier le programme du Nouveau Front populaire (NFP).
En vidéo : Regards - « Sans majorité, Macron pourrait nommer un Premier ministre entouré par un gouvernement technique »
21 juin 2024 #LaMidinaleEtienne Ollion, directeur de recherche en sociologie au CNRS et professeur à l'Ecole Polytechnique, est l'invité de #LaMidinale.
Vidéo - Nouveau Front populaire : le trouble des électeurs de Glucksmann - C à Vous - 21/06/2024
Pour les élections législatives des 30 juin et 7 juillet, trois blocs (RN, Nouveau Front populaire, majorité présidentielle) se partagent l’essentiel des intentions de vote.
L’homme d’affaires et patron de presse estime qu’il n’y a pas « de peur financière ou économique à avoir » en cas de victoire du NFP aux législatives et a alerté contre le retour « de la bête immonde du siècle précédent ».
21 juin
Le Point - Nouveau Front populaire : ce qui se trame derrière le pacte avec le diable Mélenchon
S’ils avouent avoir commis une erreur en laissant trop de terrain médiatique aux Insoumis, les responsables du PS entendent bien les réduire à la portion congrue.
Dans une tribune au Monde publiée mardi, le troisième homme des européennes met en garde contre «le RN (qui) seul peut conquérir la majorité absolue à l'Assemblée dans moins de trois semaines.»
Le Grand Continent - Législatives 2024 : 5 thèses sur une élection pivot
Assiste-t-on à la fin du centrisme ? L’ascension du RN est-elle résistible ? Quelle est sa réserve de voix ? Que feront les électeurs de la gauche modérée ? Qu’est-ce qui déterminera l’électorat pendant l’entre-deux-tours ?
Dans une étude capitale à partir de données inédites, le président-fondateur de Cluster 17 Jean-Yves Dormagen identifie cinq coordonnées clefs sur une élection historique.
20 juin
La coalition de gauche s’est mise d’accord pour un programme économique en rupture avec la politique menée depuis sept ans par Emmanuel Macron. Une stratégie de relance et une volonté de redistribuer les richesses qui implique une forte hausse des recettes fiscales4 jours. C’est ce qu’il aura fallu au Nouveau Front Populaire pour élaborer un programme politique pour les législatives du 30 juin 2024, faisant suite à la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron.
Le programme comprend plus de 150 mesures, en trois temps d’action :
- Les 15 premiers jours : la rupture
- Les 100 premiers jours : l’été des bifurcations
- Les mois suivants : les transformations
Le programme reprend sans surprise de nombreux éléments du programme élaboré pour la NUPES lors des législatives 2022, mais il y a tout de même des changements très importants deux ans après.
Pour comprendre la tendance politique, l’analyse des propositions des partis politiques pour les européennes est utile. Non seulement c’est un sujet qui revient souvent dans le programme du Nouveau Front Populaire, mais cela permet également de voir que certains points de désaccord (comme le nucléaire) n’existent plus dans ce nouveau programme.
Dans sa toute nouvelle émission quotidienne sur les législatives diffusée sur la radio détenue par Vincent Bolloré, l’animateur star, accompagné de certains chroniqueurs habituels de « Touche pas à mon poste », n’en finit plus de vilipender le Nouveau Front populaire et de plaider en faveur du Rassemblement national, ne se refusant à aucune caricature. « Marianne » a écouté « On marche sur la tête ».
Les Echos - Législatives 2024 : le Front Populaire se divise sur le coût de son programme
Valérie Rabault (PS) avance un chiffrage de 106 milliards d'euros du programme économique. « Vision personnelle », répond LFI, tandis que l'Insoumise Aurélie Trouvé juge ce montant « insuffisant » et annonce un montant commun dans quelques jours. Des nuances fortes s'expriment encore sur la stratégie économique.
19 juin
Selon le chiffrage de l'ancienne rapporteure générale du Budget le programme économique entrainerait 106 milliards d'euros de dépenses supplémentaires et le déficit retrouverait son niveau actuel de 5,1% au mieux en 2026.
Sur France Bleu Vaucluse, la maire PS d'Avignon a vivement réagi à la désignation du lyonnais Raphaël Arnault pour porter les couleurs du Nouveau Front populaire dans la première circonscription de Vaucluse. "C'est nous qui avons la légitimité pour nous présenter", assure Cécile Helle.
Sans mentionner explicitement le Rassemblement national, le capitaine des Bleus a appelé, dimanche, à « faire le bon choix » face aux « idées qui divisent » lors des prochaines échéances électorales.
Challenges - Sondages législatives 2024 : tous les résultats de notre baromètre exclusif
A l’approche des élections législatives des 30 juin et du 7 juillet, Challenges vous dévoile les intentions de vote des électeurs avec notre partenaire Harris Interactive x Toluna.
En deuxième position figure le Nouveau Front Populaire créditée de 22 % des intentions de vote (contre 25,7 % en 2022), soit 115 à 145 députés.
La chaîne d’information relaye depuis lundi 17 juin un graphique aux proportions très discutables, où les scores des Républicains et de l’alliance LR/RN paraissent deux fois plus importants sur l’image diffusée sur la chaîne.Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti Socialiste et député sortant de Seine-et-Marne, était l’invité du Face-à-Face sur BFMTV - RMC.18 juin
Nouvelle brouille à gauche : le PS veut un vote pour le Premier ministre, LFI lui répond
Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a indiqué sur BFMTV souhaiter un "vote" pour choisir le Premier ministre, au sein de la coalition du Nouveau Front populaire, si elle remporte les législatives. Le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard, ne voit pas les choses de la même manière.
L'Opinion - Législatives : le Parti socialiste investit cinq députés Liot
Paris - Dans les investitures finales présentées par le PS pour les élections législatives figurent plusieurs députés Liot issus de la gauche. Qui ne comptent cependant pas disparaître après les échéances électorales.Le député PS a annoncé se représenter dans sa circonscription de l’Essonne sous les couleurs socialistes, mais sans la bannière du « Nouveau Front populaire ».
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Sondage Cluster17 / Le Point: Une majorité de Français prêts à voter pour un inconnu
64% des Français interrogés dans notre dernière étude pour Le Point se disent prêts à voter à la prochaine présidentielle pour une personnalité qu’ils ne connaissent pas. Un point de vue partagé principalement par les citoyens les plus à gauche et par les jeunes : 82% des moins de 25 ans se disent prêts à voter pour un inconnu contre 55% des plus de 75 ans. Cette fracture symbolise probablement un attachement plus prononcé des seniors aux étiquettes partisanes ainsi qu’une aversion au risque plus prononcée.
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En campagnes et en sondages pour les Européennes (mise à jour du 25 mars)
A LA UNE
L’Ukraine, la question sociale, l’écologie et la défense, le ni Macron ni Mélenchon, le PS et la gauche, la social-démocratie, la présidentielle et bien sûr l’Europe… le candidat tête de liste du PS aux élections européennes s’explique
25 mars
IFOP - Les intentions de vote aux élections européennes
A près de deux mois des élections européennes, Ifop-Fiducial pour le Figaro, LCI et Sud Radio ont interrogé les Français quant à leurs intentions de vote.
Le Rassemblement National en pole position depuis plusieurs mois, confirme la dynamique enclenchée depuis les dernières intentions de vote et rassemble 30% des intentions de vote, soit +1 point depuis le mois dernier. Dans le détail, la liste de Jordan rassemble une partie importante des salariés, qui seraient 37% à donner leur voix à cette liste
D'après une enquête Ifop-Fiducial pour LCI, "Le Figaro" et Sud Radio, le Rassemblement national est toujours largement en tête des intentions de vote pour les élections européennes.La liste de Jordan Bardella devance celle de Valérie Hayer pour la majorité présidentielle.Selon ce sondage, le PS demeure en tête de la gauche.Le PS, première force de gauche
Elle devance celle du Parti socialiste, qui complète le podium et s'impose comme la première force de gauche. La liste portée par Raphaël Glucksmann obtient 11% des intentions de vote (+2), et fait mieux que les autres partis de gauche représentés à l'Assemblée nationale : les Écologistes (7%, -1), la France insoumise (6%, -2) et le Parti communiste (3%, -0,5).
22 mars
AFP - Raphaël Glucksmann, un pro-européen devenu espoir de la social-démocratie
Homme à abattre pour une partie de la gauche et la majorité, Raphaël Glucksmann, tête de liste pour le PS et Place publique aux européennes, s'est forgé une stature de défenseur des droits de l'homme, pro-Europe et pro-Ukraine, propulsé espoir de la social-démocratie.
En meeting dimanche près de Toulouse, l'essayiste de 44 ans est actuellement troisième dans les intentions de vote et en tête de la gauche, navigant entre 9 et 13% selon les sondages. Loin de son résultat de 2019 où, déjà tête de liste, il avait péniblement atteint 6,19%.
21 mars
L’élu socialiste brestois Tristan Foveau vient d’être nommé directeur adjoint de la campagne de Raphaël Glucksmann, la tête de liste de Place publique pour l’élection européenne.
Dans une interview à L’Opinion, la tête de liste PS-Place publique aux élections européennes a dénoncé les propos du député LFI qui a parlé mardi soir de «territoires disputés» dans le Donbass.
En plein débat sur les importations agricoles venues d'Ukraine, la tête de liste PS/Place publique Raphaël Glucksmann affirme que "les importations de poulet ukrainien aujourd'hui c'est rien par rapport aux importations de poulet brésilien". L'Union européenne importe plus de poulet brésilien, mais l'Ukraine arrive en deuxième position.
France 24 - Européennes : les partis de gauche en France jouent la division… et les seconds rôles
Les partis fondateurs de la Nupes se présentent divisés aux élections européennes du 9 juin, poursuivant des logiques d’appareil et insistant sur leurs différences pour se démarquer les uns des autres. Résultat : Europe Écologie-Les Verts, La France insoumise, Parti socialiste et Parti communiste devront se contenter de jouer les seconds rôles derrière le match entre Rassemblement national et Renaissanc
20 mars
Pour les élections européennes de 2023, le candidat du Parti socialiste et Place publique, Raphaël Glucksmann s’offre les services de l’ancien député européen socialiste narbonnais, Éric Andrieu. L’Audois a été choisi pour être le directeur de campagne de la tête de liste après un commun accord entre le premier secrétaire national du PS, Olivier Faure et le candidat Raphaël Glucksmann. "Il a été désigné pour faire le lien entre tout le monde car c’est un homme qui fait l’unanimité", précise une personnalité forte du PS audois.
Harris Interactive - Baromètre d’intentions de vote aux élections européennes 2024 – Vague 2
À 3 mois du scrutin et à l’issue du premier débat entre la plupart des candidats, le Rassemblement National apparait largement en tête des intentions de vote exprimées (30%), devant une liste Renaissance, MoDem et Horizons menée par Valérie Hayer (18%). La liste du Parti socialiste et de Place Publique menée par Raphaël Glucksmann arriverait en 3 position (13%), devant celle de la France insoumise (8%), des Républicains et des Ecologistes (à égalité à 7%), ainsi que la liste Reconquête (6%).
Challenges - Elections européennes : la percée de Glucksmann se confirme
SONDAGE EXCLUSIF - Pour la première fois, la tête de liste Place Publique-Parti Socialiste atteint la barre des 13 % dans notre sondage exclusif Harris Interactive. De quoi alerter la majorité, à la peine, à deux mois et demi des élections européennes.
Euronews - Élections européennes : un sondage exclusif donne la coalition pro-UE gagnante
L'essor de l'extrême droite et l'effondrement des Verts et des Libéraux ne changeront pas fondamentalement la configuration du Parlement européen après les élections de juin, selon l'enquête inédite d'Euronews/Ipsos.
Le soutien à l'extrême droite devrait augmenter lors des prochaines élections européennes, mais les partis pro-européens détiendraient toujours 63 % des sièges, selon un sondage réalisé par Ipsos pour Euronews, publié ce mardi.
IPSOS le 19 mars - Européennes : vers une progression de la droite radicale au Parlement européen ?
La progression de la droite radicale lors de plusieurs élections nationales qui se sont déroulées en Europe au cours des dernières années (France, Suède, Italie, Bulgarie, Pays-Bas, Portugal…) fait dire à de nombreux analystes que cette famille politique devrait effectuer une véritable percée à l’occasion des élections européennes qui se dérouleront du 6 au 9 juin prochain. Dans ce contexte, Euronews a demandé à Ipsos de réaliser à trois mois du scrutin une projection de la composition en sièges du prochain Parlement européen afin d’avoir un aperçu objectif et clair de la situation actuelle.
19 mars
Toute l'Europe - La liste PP/PS
Raphaël Glucksmann, Aurore Lalucq, Nora Mebarek, Christophe Clergeau… découvrez les candidats qui figurent sur la liste du Parti socialiste et de Place publique pour les élections européennes du 9 juin 2024 en France.Elections européennes 2024 : qui sont les candidats de la liste Parti socialiste (PS) / Place publique (PP) ?Les deux têtes de liste offrent un boulevard à la chaîne de Vincent Bolloré pour affirmer que sa volonté d’être pluraliste est entravée par le refus d’une partie de la gauche de venir sur son antenne. Si on partage ce choix en temps normal, on a un doute quand il s’agit d’un débat électoral.Au micro de BFMTV ce dimanche 17 mars, le chef de file du Parti socialiste et de Place publique aux européennes a promis qu'il défendrait l'adhésion de l'Ukraine au sein de l'UE une fois réélu à Bruxelles. Au risque d'attiser les tensions géopolitiques. Et de tirer les salaires des travailleurs français vers le bas.La tête de liste Place publique - PS pour l’élection européenne du 9 juin était l’invité de « BFM Politique », en partenariat avec notre journal. Il a souligné le caractère « gravissime » de la situation.
Lors de la séance plénière du Parlement européen mercredi (13 mars), les eurodéputés ont adopté leur position sur une loi qui permettrait aux entreprises de produire des médicaments sans l’autorisation du détenteur du brevet dans des situations d’urgence sanitaire.
L’octroi de licences obligatoires au sein de l’UE et des pays tiers en cas de crise, telle qu’une pandémie, garantirait la disponibilité de produits essentiels dans tous les États membres.
Au total, 484 eurodéputés ont voté en faveur de la position de négociation du Parlement, 121 s’y sont opposés et 20 se sont abstenus.
18 mars
En ordre dispersé pour le scrutin du 9 juin, « insoumis », socialistes, écologistes et communistes se livrent bataille pour incarner le vote à gauche, et assument leurs divergences.
Télérama - CNews : Raphaël Glucksmann refuse de participer au débat sur les élections européennes
Quelle vision les électeurs ont-ils de l’Union européenne et comment perçoivent-ils l’imbrication entre l’identité nationale et l’identité européenne ? Théo Verdier, co-directeur de l’Observatoire Europe de la Fondation, analyse les résultats de l’Enquête électorale française, réalisée par Ipsos pour le Cevipof, l’Institut Montaigne, Le Monde et la Fondation Jean-Jaurès, et identifie trois familles politiques – fédéraliste, souverainiste et composite – dans le rapport des Français au projet européen.
_____________________________17 mars"Ce que la situation exige de nous aujourd'hui, ce n'est pas d'envoyer des troupes sur le terrain", a souligné le député européen sur le plateau de BFM Politique ce dimanche 17 mars.Le candidat PS-Place publique aux Européennes Raphaël Glucksmann a critiqué samedi les votes des macronistes au Parlement européen et les prises de position d'Emmanuel Macron. «Il est incapable de faire primer l'intérêt général sur des intérêts particuliers puissants et mène une politique au service des plus riches et des plus forts de notre société», déclare l'eurodéputé dans un entretien au site Journal.info._____________________15 marsA l’occasion du Grand Débat sur les élections européennes, diffusé ce jeudi 14 mars sur Public Sénat, le député européen RN, Thierry Mariani, a été pris à parti par plusieurs têtes de liste de gauche, lui reprochant sa proximité avec le régime de Vladimir Poutine. « « Petit télégraphiste du Kremlin », « patriote de pacotille », « agent russe », les attaques se sont succédé envers l’ex-secrétaire d’Etat de Nicolas Sarkozy, qui a tenté de se défendre, affirmant que la ligne de son parti était de « soutenir l’Ukraine ».Les principaux candidats au scrutin du 9 juin se sont affrontés ce jeudi autour de différentes thématiques comme l’agriculture, l’immigration ou encore la guerre en Ukraine sur Public Sénat. Et Thierry Mariani, le représentant du RN, n’a pas été à la fête.Lors du débat sur l’écologie des candidats aux élections européennes, les échanges ont largement porté sur l’agriculture. Les arguments des candidats de gauche se sont heurtés aux dénigrements de la droite et l’extrême droite.
Coup d’envoi de la campagne des élections européennes. Le 14 mars, en fin de journée, sept des huit têtes de liste ont débattu devant les caméras de Public Sénat. Dans moins de trois mois, le dimanche 9 juin, les Françaises et les Français devront élire 81 des 720 députés du Parlement européen. Pour décrocher ces mandats de cinq ans dans l’hémicycle tant convoité, les listes en lice devront obtenir au minimum 5 % des suffrages exprimés.
Public Sénat organisait ce jeudi le premier grand débat des européennes en partenariat avec le groupe Ebra, avec les principales têtes de liste. Clash, propositions, positionnements, retrouvez les temps forts du débat.Le premier débat télévisé entre les têtes de liste pour les élections européennes diffusé jeudi (14 mars) sur Public Sénat fut l’occasion de faire ressortir les différences en matière d’énergie, notamment sur le nucléaire et le marché européen de l’électricité. ...Une situation intolérable pour M. Glucksmann, qui rappelle que l’hégémonie chinoise dans la fabrication de panneaux photovoltaïques par exemple, se fait à coût de subventions et de ventes à perte, et au détriment du respect des Droits de l’homme sur la minorité Ouïghours.
Dès lors, l’industrie doit être réinvestie, défend-il. À ce titre, les États membres et le Parlement européen viennent de se mettre d’accord sur un réglement (Net zero industry act, NZIA, en anglais) visant à développer la production des technologies nécessaires à la transition énergétique européenne sur le sol européen.
Le député européen investi par le PS s’est nettement imposé ce jeudi 14 mars face à Thierry Mariani qui représentait Jordan Bardella. La candidate de la majorité présidentielle, Valérie Hayer, a en revanche eu bien du mal à exister.
Pour le premier débat entre presque toutes les têtes de listes, il n’y aura pas que le duel RN-macronie à scruter. Celui entre la cheffe de file de Renaissance et le leader de la liste PS-Place publique promet également.Sondage élections européennes Cluster17 pour Le Point: L’écart se creuse entre le RN et Renaissance
Malgré une campagne enfin lancée, la liste Renaissance perd 1 point dans notre nouvelle vague d’intentions de vote pour les européennes. Le parti présidentiel est crédité de 17% des intentions de vote. Dans le duel à distance qui l’oppose au Rassemblement National, c’est ce dernier qui sort vainqueur pour l’heure avec une très légère progression d’un demi-point, pour se hisser à 29% des intentions de vote. L’écart est désormais de 12 points entre Renaissance et le Rassemblement National.... Les équilibres à gauche restent globalement les mêmes. La liste PS-Place Publique conduite par Raphaël Glucksmann connaît un recul d’un point, signant ainsi son premier coup d’arrêt après la relative dynamique de la pré-campagne.___________________14 mars
La liste socialiste menée par l’eurodéputé Place Publique gagne deux points dans le sondage mensuel mené par YouGov pour « Le HuffPost ».
L’eurodéputé choisi par les socialistes pour être à la tête d’une liste formée de concert avec sa petite formation, Place Publique, gagne deux points dans les intentions de vote en un mois, selon l’étude que nous dévoilons ce mercredi 13 mars. Il atteint, ainsi, la barre des 10 % et sort quelque peu du marasme qui englue les autres chapelles autour de scores dangereusement bas
Le Figaro - Européennes : un débat opposera Jordan Bardella et Raphaël Glucksmann le 12 avril
La tête de liste du Rassemblement national, absent du premier débat ce soir sur Public Sénat, affrontera le chef de file des socialistes, le 12 avril prochain sur France Inter.
Au micro de RTL, la tête de liste du PS et de Place publique aux élections européennes s'en est pris au Rassemblement national et à Jordan Bardella notamment.
___________________________Le Figaro - Européennes : suivez le meeting de Place Publique avec Raphaël Glucksmann
« Le match qui compte, c’est d’abord celui qui oppose la droite conservatrice et nous, la gauche sociale-démocrate », a lancé dimanche le candidat du Parti socialiste, devant un millier de militants lors d’un meeting à Lyon.
« Nous ne sommes pas condamnés au duel Macron-extrême droite », a estimé, dimanche 10 mars, le candidat du Parti socialiste, Raphaël Glucksmann aux élections européennes. Les communicants macroniens « vont tout faire pour renationaliser le débat, tout faire pour encore une fois nous rejouer le match Macron-Le Pen, tout faire pour kidnapper à nouveau les élections et nous enfermer à nouveau dans l’appel au barrage », a-t-il lancé devant un millier de militants lors d’un meeting à Lyon.
AFP vidéo - À Lyon, Glucksmann fustige "la stratégie" du "barrage" d'Emmanuel Macron | AFP Extrait
France Info - Élections européennes : la gauche lance sa campagne
Le Parti socialiste et Place publique ont réuni leurs troupes à Lyon, dans le Rhône, dimanche 10 mars. Raphaël Glucksmann réfute un duel entre le Rassemblement national et Renaissance pour les élections européennes.
Il est en troisième position dans les sondages, mais encore loin du Rassemblement national et du parti Renaissance. Raphaël Glucksmann, tête de liste socialiste aux élections européennes, veut se poser en alternative du duel majorité/extrême droite. Depuis Lyon (Rhône), dimanche 10 mars, il a attaqué Renaissance : "Vous n'êtes pas un barrage, vous êtes un marchepied. Vous aviez promis de faire baisser le Rassemblement national, et il n'a jamais été aussi haut."
____________________En meeting à Lyon ce dimanche, le candidat Place publique-PS fait face à une « alliance objective » dressée contre lui. Pour les européennes, mais pas seulement.
Pris en sandwich. Alors que le candidat de la coalition Place publique-PS aux élections européennes accélère sa campagne avec un meeting organisé ce dimanche 10 mars à Lyon, les balles commencent à siffler autour de lui. Depuis plusieurs semaines en effet, Raphaël Glucksmann se retrouve à la fois attaqué sur sa gauche, notamment par la France insoumise qui le dépeint en « va t’en guerre », et par la Macronie, où on l’accuse de s’être soumis, par l’entremise du Parti socialiste, à… Jean-Luc Mélenchon.
___________________IPSOS le 11 mars - Européennes 2024 : le Rassemblement National creuse l'écart
Enquête Ipsos pour le Cevipof, la Fondation Jean Jaurès, l'Institut Montaigne et Le Monde menée du 1er au 6 mars 2024 auprès de 11 770 personnes, constituant un échantillon national représentatif de la population française, inscrite sur les listes électorales, âgée de 18 ans et plus.
Pour mieux comprendre les logiques de la décision électorale et dans la perspective des élections européennes de juin 2024, Ipsos, le Cevipof, La Fondation Jean Jaurès, l'Institut Montaigne et le Monde ont mis en place un dispositif d'enquête exceptionnel basé sur un panel de plus de 10 000 personnes : l'Enquête électorale Européennes.
Avec 31% des intentions de vote et un écart de 13 points avec la liste macroniste contre 1 point en 2019, la dynamique du Rassemblement National est incontestable et d’une puissance rarement observée. Certes, à 3 mois du scrutin, les niveaux peuvent encore considérablement évoluer et se resserrer mais quels en sont les aspects les plus remarquables ?
La liste du parti d’extrême droite mobilise un électorat de plus en plus large et solide, tandis que Renaissance et ses alliés souffrent d’une mobilisation déclinante, selon la troisième vague du sondage Ipsos réalisée pour « Le Monde », le Cevipof, la Fondation Jean Jaurès et l’Institut Montaigne......
A trois mois du vote du 9 juin, le face-à-face entre les deux partis menace de se muer en échappée solitaire pour le RN, tandis que le parti présidentiel passe symboliquement sous la barre des 20 %, à moins de 7 points d’écart avec la liste du Parti socialiste (PS) et de Place publique. Troisième, cette liste conduite par Raphaël Glucksmann s’établit à 11,5 % (0,9 point de marge d’erreur) des intentions de vote, en légère progression, de 1 point de pourcentage. Suivent la liste Europe Ecologie-Les Verts conduite par Marie Toussaint, à 8,5 % (0,8 point de marge d’erreur), la liste Les Républicains (LR) de François-Xavier Bellamy et celle de La France insoumise (LFI) de Manon Aubry, toutes deux à 7 % (0,7 point de marge d’erreur).
Fondation Jean Jaurès, Gilles Finchelstein - La spectaculaire rétraction du macronisme
À l’approche des élections européennes, la Fondation et ses partenaires publient les résultats de la première vague de l’Enquête électorale française 2024, menée auprès de près de 12 000 personnes1. Gilles Finchelstein, secrétaire général de la Fondation, en tire les enseignements pour la majorité présidentielle et montre l’actuelle rétraction du macronisme sur son cœur, quand il parvenait précédemment à rayonner au-delà.
Pour la majorité présidentielle, à moins de cent jours du scrutin du 9 juin, la face la plus visible des résultats du panel électoral peut se résumer en trois données très simples : un score de 18% ; un écart de 13 points avec le Rassemblement national ; un recul de 5 points par rapport à 2019. Nul doute que si les résultats de juin étaient conformes aux intentions de vote de mars, ces données écraseraient toute autre analyse pour être interprétées comme une lourde défaite pour le président de la République.
_________________________Elabe le 9 mars - Les Français, les élections européennes et la guerre en Ukraine
A 3 mois du scrutin, le RN reste largement en tête des intentions de vote exprimées (29.5%, +2) devant Renaissance (17%, +0.5)
A gauche, les listes EELV (9.5%, =), PS (8.5%, -0.5) et FI (7.5%, -1.5) sont au coude-à-coude
LR (7%, -1) et Reconquête (4.5%, -0.5) seraient distancés
A gauche, les listes d’Europe Ecologie Les Verts menée par Marie Toussaint (9.5%, =), du Parti Socialiste et de Place Publique menée par Raphaël Glucksmann (8.5%, -0.5) et de la France Insoumise en baisse (7.5%, -1.5) seraient au coude-à-coude. Avec la liste du Parti Communiste menée par Léon Deffontaines (à 3%, +0.5), le bloc de gauche obtiendrait 29% (-1) des voix. La baisse de la liste LFI en 1 mois s’explique par une relative démobilisation de son électorat : 33% (-9) des électeurs de Jean-Luc Mélenchon voteraient pour la liste des Insoumis, 23% pour la liste PS et 15% pour la liste EELV.
_____________________L'agrégateur de Toute l'Europe
Derrière le RN et Renaissance, plusieurs listes se battent pour la troisième place, autour des 10 % d’intentions de vote. Le Parti socialiste est régulièrement donné entre 9 et 10 % depuis mai dernier. La France insoumise, sondée au départ aux alentours de 10 % également, a dégringolé dans les études d’opinion jusqu’en décembre (7 %), avant de remonter légèrement depuis, en-dessous de 8 %. Europe Ecologie Les Verts stagne, lui aussi, autour de 8 % depuis décembre.
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Elections européennes, les sondages
Les Verts européens pourraient perdre une vingtaine de sièges au Parlement aux élections de juin. En cause, la situation économique européenne ainsi que les attaques de l'extrême droite et d'une partie de la droite. La campagne "sera difficile" mais pas impossible, veulent croire les intéressés.
EU Parliamentary Projection: Wagenknechts’ Impact on the LEFT
Europe Elects’ European Parliament projection, commissioned by Euractiv, offers an indication of how voters in the European Union would vote should there be an EU Parliament election today and how this outlook changes on a monthly basis.
The first projection of the new year, about four months before the European Parliament elections, shows a similar overall picture to the previous months, with a different trend.
Découvrez les enseignements de notre sondage BVA/RTL sur les intentions de vote des Français, en prévision des élections européennes.
Le podium est complété par Raphaël Glucksmann, à gauche (11%). Il se distingue de ses concurrents, car la liste EELV pâtit de la séquence liée à la crise des agriculteurs (7%), au même niveau que LFI (7%).
BVA, 29 février - Intentions de vote aux élections européennes – Février 2024
Intentions de vote : le Rassemblement National très loin devant Renaissance, pas d’effet lié à l’annonce de Valérie Hayer comme tête de liste
- Avance indéniable de Jordan Bardella sur tous ses concurrents (30%)
- Loin derrière, la liste soutenue par Renaissance, Horizons et le Modem ne recueillerait que 18% d’intentions de vote
- La liste de la majorité ne fait pas le plein de ses électeurs potentiels : seuls 61% des électeurs d’Emmanuel Macron au 1er tour de l’élection présidentielle de 2022 voteraient pour elle
- A gauche, Raphaël Glucksmann se distingue de ses concurrents (11%) ; la liste EELV pâtit de la séquence liée à la crise des agriculteurs (7%), au même niveau que LFI (7%).
- A droite, la liste des Républicains obtiendrait 8% des suffrages ; 6% pour la liste Reconquête
Sondage ODOXA du 27 février Attal recule, Bardella au pinacle, Glucksmann émerge
3) Intentions de vote aux élections européennes : Bardella écrase Renaissance et Glucksmann décolle à gauche
Jordan Bardella écrase toujours la liste Renaissance avec 30% d’intentions de vote contre 19% pour la liste potentiellement conduite par Clément Beaune. Le fait de lui préférer finalement une autre tête de liste (sans doute Valérie Hayer) ne devrait guère changer la donne en tout cas à court terme. Mais c’est à gauche qu’il y a du nouveau : avec 11% d’intentions de vote (+2 points depuis décembre), la liste socialiste de Raphaël Glucksmann fait la différence, devançant nettement celle de Marie Toussaint (8,5% ; +2,5 points) et écrasant celle de Manon Aubry (6%, -0,5 point).
Alors que le nouveau parti de gauche dirigé par Sahra Wagenknecht gagne du terrain en Allemagne au détriment de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) d’extrême droite, en Italie et en France, les partis Frères d’Italie et le Rassemblement National (RN) ont le vent en poupe, selon les dernières projections d’Europe Elects pour Euractiv.
Après avoir quitté le parti de gauche traditionnel allemand Die Linke en octobre, l’Alliance Sahra Wagenknecht (BSW – Pour la raison et la justice) est entré dans les projections pour la première fois à la fin du mois de janvier avec trois sièges et est aujourd’hui susceptible d’en obtenir sept.
Elections européennes 2024 : qu’indiquent les sondages pour la France ?
Grâce à notre agrégateur de sondages, visualisez les dernières intentions de vote des Français aux élections européennes de 2024.
Derrière le RN et Renaissance, plusieurs listes se battent pour la troisième place, autour des 10 % d’intentions de vote. Le Parti socialiste est régulièrement donné entre 9 et 10 % depuis mai dernier. La France insoumise, sondée au départ aux alentours de 10 % également, a dégringolé dans les études d’opinion jusqu’en décembre (7 %), avant de remonter légèrement depuis aux environs de 8 %. Europe Ecologie Les Verts stagne, lui aussi, autour de 8 % depuis décembre.
Selon le sondage EuroTrack OpinionWay - Vae Solis réalisé pour « Les Echos » et Radio Classique, la liste emmenée par Jordan Bardella a 8 points d'avance sur celle de la majorité. Mais elle n'a pas profité de la crise agricole.
A gauche, les équilibres restent les mêmes. La liste Place publique-Parti socialiste, emmenée par Raphaël Glucksmann fait la course en tête avec 10 %, suivie par celle des écologistes (8 %), qui regagnent les 2 points perdus en janvier, La France insoumise (7 %) et, plus loin derrière, les communistes (3 %). « Raphaël Glucksmann part avec un bon capital et s'impose comme la liste la plus attractive à gauche à quatre mois de l'échéance », note Bruno Jeanbart.
Etude ELABE réalisée pour BFMTV et La Tribune Dimanche. 10 février
Principaux enseignements
A 4 mois du scrutin, le RN est en tête des intentions de vote exprimées (27.5%, -1) et devance nettement
Renaissance en recul (16.5%, -1.5)A gauche, les listes d’Europe Ecologie Les Verts menée par Marie Toussaint (9.5%, +1), de la France Insoumise en hausse (9%, +1.5) et du Parti Socialiste et de Place
Publique menée par Raphaël Glucksmann (9%, -0.5) seraient au coude-à-coude. Avec la liste du Parti Communiste menée par Léon Deffontaines (à 2.5%, -0.5), le bloc de
gauche obtiendrait 30% (+1) des voix. Cette légère progression mesurée en 1 mois des listes LFI et EELV s’explique par une remobilisation de leurs électeurs respectifs :
42% (+12) des électeurs de Jean-Luc Mélenchon voteraient pour la liste des Insoumis, 65% (+6) des électeurs de Yannick Jadot pour la liste écologiste.Yougov - Elections européennes - intentions de vote février 2024
Le Rassemblement National reste en tête des intentions de vote pour les élections de juin 2024
De manière assez confortable, la liste menée par Jordan Bardella arrive en tête de notre deuxième vague d'intentions de vote YouGov/HuffPost pour les élections européennes du 9 juin 2024.
Du côté de la gauche, qui fera certainement l'objet de listes séparées, on observe une triple égalité avec 8% entre le PS/Place Publique, EELV et LFI, une situation quasi-similaire à celle observée en janvier.
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Elections européennes 2024 : les sondages
Les Echos - Européennes 2024 : le risque de l'émiettement pour la gauche
Les annonces de listes en vue des élections européennes du 9 juin prochain se multiplient. La gauche pourrait en pâtir, comme en 2019, lors de la répartition des sièges.
Il y a quelques semaines, le président de la Fédération des chasseurs, Willy Schraen, a annoncé se lancer dans la bataille des européennes avec une liste composite, autoproclamée représentante de la « ruralité heureuse » . Une liste de plus, pourrait-on dire, alors que la gauche a annoncé partir en ordre dispersé et qu'il y aura, sans nul doute, une inflation de « petites » listes, des animalistes aux royalistes, en passant par les révolutionnaires d'extrême gauche.
IFOP - Balise d’opinion #247 Les intentions de vote aux élections européennes de 2024
A l’approche du scrutin européen, notre nouveau sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio révèle la dynamique suivante : la liste du Rassemblement National creuserait encore l’écart face à la majorité présidentielle et Marion Maréchal fait pour la première fois jeu égal avec la liste des Républicains.... A gauche, le Parti Socialiste conduit par Raphaël Glucksmann atteint les 10% d’intentions de vote et creuse l’écart avec la liste de la France Insoumise (7% d’intention de vote, moins deux points par rapport à octobre).
A la deuxième place, la liste Renaissance affiche 20% d'intentions de vote, selon cette étude d'opinion publiée par "Le Monde".Un boulevard pour l'extrême droite ? Le Rassemblement national arriverait en tête avec 28% des intentions de votes aux élections européennes de 2024, selon un sondage réalisé par Ipsos et Sopra Steria en partenariat avec le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) et Le Monde, publié samedi 16 décembre. Un chiffre en hausse de quatre points par rapport à juin.La nouvelle édition de cette enquête, réalisée du 29 novembre au 12 décembre auprès de 11 691 personnes, confirme que le Rassemblement National s’installe largement en tête des intentions de vote à six mois des élections européennes. Elle révèle par ailleurs que le conflit entre Israël et le Hamas génère avant tout chez les Français des sentiments de tristesse et d’inquiétude et qu’il provoque, pour la grande majorité d’entre eux, une montée de l’antisémitisme en France.... L’enquête fait ainsi apparaître la très grande singularité des électeurs de la France Insoumise, y compris au sein de l’espace des gauches, et combien les évènements du 7 octobre ont ajouté une fracture supplémentaire au sein d’une Nupes déjà amplement fragilisée.Le Rassemblement National en tête, haut la main. À six mois des élections européennes, le Rassemblement National serait largement plébiscité par les Français selon un sondage Ifop Fiducial pour Sud Radio que nous vous dévoilons ce vendredi 15 décembre. Une liste conduite par Jordan Bardella recueillerait, en juin prochain, 30% des suffrages. -
Les Echos - Européennes 2024 : le risque de l'émiettement pour la gauche
Les annonces de listes en vue des élections européennes du 9 juin prochain se multiplient. La gauche pourrait en pâtir, comme en 2019, lors de la répartition des sièges.
Il y a quelques semaines, le président de la Fédération des chasseurs, Willy Schraen, a annoncé se lancer dans la bataille des européennes avec une liste composite, autoproclamée représentante de la « ruralité heureuse » . Une liste de plus, pourrait-on dire, alors que la gauche a annoncé partir en ordre dispersé et qu'il y aura, sans nul doute, une inflation de « petites » listes, des animalistes aux royalistes, en passant par les révolutionnaires d'extrême gauche.
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Euractiv - Sondage : les projections pour les élections européennes de 2024
Un an avant les élections européennes, les projections d’Europe Elects montrent que la coalition informelle du Parti populaire européen (PPE) de centre droit, du groupe des Socialistes et Démocrates (S&D) de centre gauche et du parti libéral Renew Europe devrait conserver la majorité au Parlement européen.
Toutefois, cette majorité est appelée à se réduire : selon les projections actuelles, le PPE de centre droit devrait remporter 161 des 705 sièges, contre les 177 qu’il détient en ce moment. Le groupe S&D devrait obtenir 144 sièges, soit un de plus qu’actuellement. Renew devrait pour sa part passer de 101 à 90 sièges.
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Le sondage de la semaine - Cluster 17 - Sondage pour Le Point : Intentions de vote aux élections Européennes
Elections européennes : trois « blocs » politiques au coude-à-coude
En cas de candidature NUPES, la gauche arriverait en tête avec 27% des intentions de vote devant le RN à 25% et la majorité présidentielle, 23%.
La NUPES fédérerait un électorat assez similaire à celui des législatives de juin 2022, s’appuyant d’abord très largement sur les segments de l’électorat de Jean-Luc Mélenchon mais également sur une partie de l’électorat plus modéré appartenant aux clusters Sociaux-Démocrates et Progressistes.
En cas de division, le total des voix de la gauche serait supérieur et passerait à 35%. Dans cette hypothèse, le RN reste stable à 24% tandis que la majorité présidentielle perdrait quant à elle des voix et chuterait à 19,5%.
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Les sondages de la semaine (mise à jour du 8 avril)
À 1 jour de la présidentielle 2022, plongez dans les résultats de 1256 sondages et découvrez les tendances pour chaque candidat.1
L'agrégateur quotidien de France Info
Retrouvez l’évolution des estimations de scores des candidats à la présidentielle 2022, grâce à deux graphiques mis à jour quotidiennement, qui agrègent tous les sondages publiés par les instituts.
Les sondages quotidiens
Baromètre OpinionWay pour Les Echos
Les sondages de la semaine
La Libre Belgique, le 8 avril - Election présidentielle française 2022: voici les derniers sondages
Emmanuel Macron (La République en Marche), Marine Le Pen (Rassemblement national), Jean-Luc Mélenchon (La France Insoumise), Valérie Pécresse (Les Républicains), Eric Zemmour (Reconquête!)... Qui va passer le premier tour de l'élection présidentielle française 2022 ? A la veille de cet important scrutin, voici ce que disent les différents sondages.
Le chef de l'Etat et la candidate du Rassemblement national font la course en tête dans notre ultime sondage avant le premier tour de la présidentielle. Jean-Luc Mélenchon, en position de troisième homme, est distancé.... Au second tour, la bataille entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen reste toujours aussi serrée. Seuls trois points séparent le chef de l’État de la championne du Rassemblement national dans notre enquête Harris Interactive, respectivement crédités de 51,5% et 48,5% des intentions de vote.
Tour d'horizon des principaux enseignements des résultats du baromètre quotidien OpinionWay-Kéa Partners pour « Les Echos » cette
Cluster 17 le 8 avril - Baromètre hebdomadaire S14 – 2 : Présidentielle 2022
Notre dernier baromètre avant le premier tour garde le même classement et confirme les tendances des derniers sondagesL'Obs - Sondage présidentielle : Le Pen se rapproche encore de Macron, Mélenchon en nette hausse
Exclusif - Selon notre sondage Odoxa - « l’Obs » - Mascaret, la patronne du RN, en forte progression, réduit encore l’écart avec le président candidat, toujours devant. Le candidat « insoumis » monte, Eric Zemmour et Valérie Pécresse passent sous les 10 %.
Luc Mélenchon progresse dans les mêmes proportions, à 16 %, bénéficiant d’un vote utile à gauche (+ 24 points en trois semaines auprès des sympathisants PS).
Pour la première fois depuis le début de notre sondage, 72% des interrogés assurent qu’ils voteront au premier tour de la présidentielle, ce dimanche.... Jean-Luc Mélenchon est lui aussi dans une dynamique positive. Sa courbe est en hausse depuis la fin de la semaine dernière et se fixe à 17 % des intentions de vote.
Sud Ouest - Présidentielle : Marine Le Pen et Mélenchon progressent, Macron se tasse
À quatre jours du premier tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron conserve malgré tout quelques points d’avance sur Marine Le PenMarine Le Pen confirme sa forte progression depuis un mois et atteint 21,5 %, encore à bonne distance toutefois d’Emmanuel Macron (26,5 %), mais loin devant Jean-Luc Mélenchon, également en hausse (16 %), selon un dernier sondage publié ce mercredi 6 avril.
La tendance est très claire : selon les analyses livrées ce mercredi 6 avril pour Le Monde par l'institut Ipsos, les intentions de vote sont assez fondamentalement différentes en fonction de l'âge des électeurs dans cette campagne présidentielle. Du côté des jeunes, entre 18 et 24 ans, c'est le candidat de La France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, qui arrive en tête avec près de 26% des voix. Il bénéficie en outre d'une excellente dynamique ces derniers jours (+3 pts).
Les Echos - SONDAGE EXCLUSIF - Présidentielle : le risque d'une très forte abstention se précise
Selon le baromètre quotidien OpinionWay-Kéa Partners pour « Les Echos », 66 % des Français seulement comptent se rendre aux urnes dimanche pour le premier tour de l'élection présidentielle. Le record de 2002 pourrait être battu.
Trois points seulement séparent le chef de l'Etat de la cheffe de file du Rassemblement national dans notre sondage Harris Interactive, tous deux dans la marge d'erreur. L'issue de l'élection présidentielle apparaît plus incertaine que jamais.
A une semaine du premier tour, jamais l’issue du scrutin présidentiel n’a semblé aussi incertaine. La compétition se resserre très sérieusement entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen au second tour de l’élection. Seuls trois points séparent désormais le chef de l’État de la championne du Rassemblement national dans notre enquête Harris Interactive, respectivement crédités de 51,5% et 48,5% des intentions de vote. Un écart qui se situe dans la marge d’erreur de notre sondage.
La candidate du RN à l'Elysée gagne 2 points à 22 % d'intentions de vote dans le baromètre quotidien OpinionWay-Kéa Partners pour « Les Echos ». En cas de second tour face au président sortant, elle se rapproche aussi, à 47 % contre 53 %
À une semaine du premier tour de l'élection présidentielle, l'écart se resserre entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, selon le dernier sondage Ifop réalisé pour le Journal du Dimanche. Le président sortant est crédité de 27% des voix au premier scrutin contre 22% pour la présidente du Rassemblement national.
Qui a gagné la présidentielle sur les réseaux sociaux en mars ? France Inter et Visibrain publient la quatrième édition de leur baromètre des candidats sur les réseaux sociaux. Avec sa double casquette de président-candidat, Emmanuel Macron arrive en tête des personnalités qui font le plus réagir en mars.
Sondage IPSOS du 2 avril pour Le Parisien et France Info
Cluster 17 le 29 mars - Baromètre hebdomadaire S12 – 2 : Présidentielle 2022
Après deux semaines de baisse consécutive, Emmanuel Macron retrouve de la stabilité à 27% des intentions de vote.... La cristallisation de leur choix sera d’autant plus décisive que les Sociaux-Démocrates sont un des clusters les plus certains d’aller voter.Jean-Luc Mélenchon, lui, marque le pas après plusieurs semaines de hausse. Il est aujourd'hui solidement ancré à la troisième place avec 15% des intentions de vote, en recul de 0,5 point.
Yannick Jadot, lui, se retrouve à 4,5% d'intentions de vote, tout proche du score très important des 5% pour son parti Europe Écologie-Les Verts.
Fabien Roussel se place derrière lui: le candidat communiste récolte 3,5% des intentions de vote et récupère un point par rapport à l'enquête Elabe de mercredi.
La candidate socialiste poursuit sa chute et ne récolterait plus qu'1,5% des voix, soit autant que le candidat du NPA.
D'après une enquête Ipsos - Sopra Steria réalisée pour France Télévisions et Radio France, ces candidats ne convainquent toutefois qu'un tiers des Français quand il s'agit d'améliorer leur pouvoir d'achat.
Le Figaro - Sondage: dernière ligne droite compliquée pour Emmanuel Macron
La cote de confiance du président de la République enregistre une baisse de 2 points à 43%.
Les Echos - Marine Le Pen, deuxième personnalité politique préférée des Français
La candidate du RN à l'Elysée jouit d'une bonne image auprès de 35 % des sondés dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Il s'agit de son meilleur score depuis cinq ans alors que l'écart avec Emmanuel Macron en cas de duel au second tour semble se resserrer dans les sondages d'intentions de vote.....
Parmi les autres candidats à la présidentielle, l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon se classe en 8e position (28 %) tandis que le communiste Fabien Roussel grimpe à la 11e place, avec 25 % d'image positive et une progression de 3 points en un mois. Vient ensuite l'écologiste Yannick Jadot en 14e position (23 %).
Le trio de tête reste inchangé depuis plusieurs jours et le scénario d’un second tour entre le président sortant et la candidate du RN continue de se dessiner dans les sondages.
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Fondation Jean Jaurès - Maudits sondages
Dans sa contribution d’une série réalisée en partenariat avec L’Hétairie, le constitutionnaliste Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public à l’université de Lille et auteur du blog La Constitution décodée, propose d’interdire les sondages à l’approche des élections, afin de ne pas nuire au fonctionnement de la démocratie.
Seule la perspective de l’élection devrait faire les résultats des sondages et, pourtant, ce sont les sondages qui peuvent déterminer les résultats de l’élection en perspective.
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