Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lfi

  • « Nous qui avons connu le lambertisme sommes sidérés par l'organisation aussi autoritaire de LFI »

    5 févr. 2024 #LaMidinale

    Laurent Mauduit et Denis Sieffert, auteurs de "Trotskisme, histoires secrètes. De Lambert à Mélenchon" aux éditions Les Petits Matins, sont les invités de #LaMidinale.

  • Elections européennes 2024 : les sondages

    Les Echos - Européennes 2024 : le risque de l'émiettement pour la gauche

    Les annonces de listes en vue des élections européennes du 9 juin prochain se multiplient. La gauche pourrait en pâtir, comme en 2019, lors de la répartition des sièges.

    Il y a quelques semaines, le président de la Fédération des chasseurs, Willy Schraen, a annoncé se lancer dans la bataille des européennes avec une liste composite, autoproclamée représentante de la « ruralité heureuse » . Une liste de plus, pourrait-on dire, alors que la gauche a annoncé partir en ordre dispersé et qu'il y aura, sans nul doute, une inflation de « petites » listes, des animalistes aux royalistes, en passant par les révolutionnaires d'extrême gauche.

    IFOP - Balise d’opinion #247 Les intentions de vote aux élections européennes de 2024

    A l’approche du scrutin européen, notre nouveau sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio révèle la dynamique suivante : la liste du Rassemblement National creuserait encore l’écart face à la majorité présidentielle et Marion Maréchal fait pour la première fois jeu égal avec la liste des Républicains.... A gauche, le Parti Socialiste conduit par Raphaël Glucksmann atteint les 10% d’intentions de vote et creuse l’écart avec la liste de la France Insoumise (7% d’intention de vote, moins deux points par rapport à octobre).

    France Info - Elections européennes 2024 : en hausse, le Rassemblement national est en tête des intentions de vote, selon un sondage

    A la deuxième place, la liste Renaissance affiche 20% d'intentions de vote, selon cette étude d'opinion publiée par "Le Monde".
    Un boulevard pour l'extrême droite ? Le Rassemblement national arriverait en tête avec 28% des intentions de votes aux élections européennes de 2024, selon un sondage réalisé par Ipsos et Sopra Steria en partenariat avec le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) et Le Monde, publié samedi 16 décembre. Un chiffre en hausse de quatre points par rapport à juin.
     
     
    La nouvelle édition de cette enquête, réalisée du 29 novembre au 12 décembre auprès de 11 691 personnes, confirme que le Rassemblement National s’installe largement en tête des intentions de vote à six mois des élections européennes. Elle révèle par ailleurs que le conflit entre Israël et le Hamas génère avant tout chez les Français des sentiments de tristesse et d’inquiétude et qu’il provoque, pour la grande majorité d’entre eux, une montée de l’antisémitisme en France.... L’enquête fait ainsi apparaître la très grande singularité des électeurs de la France Insoumise, y compris au sein de l’espace des gauches, et combien les évènements du 7 octobre ont ajouté une fracture supplémentaire au sein d’une Nupes déjà amplement fragilisée.
     
     
    Le Rassemblement National en tête, haut la main. À six mois des élections européennes, le Rassemblement National serait largement plébiscité par les Français selon un sondage Ifop Fiducial pour Sud Radio que nous vous dévoilons ce vendredi 15 décembre. Une liste conduite par Jordan Bardella recueillerait, en juin prochain, 30% des suffrages.
  • L'union de la Gauche et des écologistes. Où en est-on ? (revue de presse mise à jour le 6 décembre)

    Politis - De quoi le tweet de Jean-Luc Mélenchon contre Ruth Elkrief est-il le nom ?

    Le patron des insoumis use des réseaux sociaux pour dominer le débat public. Une stratégie non sans risques pour sa crédibilité et celle de LFI.

    Le serial-twitteur Jean-Luc Mélenchon a encore frappé. Le patron de LFI a déclenché une nouvelle tempête politico-médiatique dimanche en ciblant la journaliste Ruth Elkrief, la qualifiant de « fanatique » qui « méprise les musulmans », suite à un échange des plus vifs entre la journaliste et Manuel Bompard sur LCI. La petite phrase fait l’effet d’une bombe. LFI se retrouve à nouveau soupçonnée d’antisémitisme par toute l’éditocratie, d’Apolline de Malherbe (BFM) à Pascal Praud (News) ou encore Frédéric Haziza (Radio J), ce dernier allant jusqu’à le comparer à Jean-Marie Le Pen. Un réquisitoire qui ulcère le premier cercle de Jean-Luc Mélenchon : « Critiquer le travail d’une journaliste, c’est être antisémite, désormais ? Jean-Luc n’a jamais été condamné, contrairement à Jean-Marie Le Pen, c’est ignoble de faire ce lien », s’indigne son entourage, sollicité par Politis.

    France Info - "On en a marre, on n'est pas là pour ça" : des militants de la Nupes embarrassés par les derniers tweets de Jean-Luc Mélenchon

    En pleine polémique sur les propos de Jean-Luc Mélenchon sur la journaliste Ruth Elkrief, des militants de gauche rencontrés lors d'un meeting affichent un certain embarras.
     
    La gauche veut avancer loin des posts de Jean-Luc Mélenchon. Plusieurs meetings contre le projet de loi immigration sont organisés en ce moment, avant l'arrivée du texte à l'Assemblée nationale, lundi 11 décembre, le premier avait lieu lundi soir à la Bellevilloise, à Paris. Et en pleine polémique sur les propos du leader insoumis sur la journaliste Ruth Elkrief, plusieurs militants le disent clairement : ils veulent parler d'autre chose.
     
     
    Terrain de jeu favori de Donald Trump pendant son mandat, Twitter - depuis renommé X - est devenu l’arme communicationnelle de prédilection du leader de La France insoumise (LFI). Avec quelque 2,7 millions d’abonnés sur le réseau social, Jean-Luc Mélenchon provoque invariablement une déflagration médiatique à chaque nouvelle publication. La dernière en date a pris la forme d’un dénigrement ad hominem de la journaliste Ruth Elkrief
     

    Le leader de La France insoumise avait qualifié l’éditorialiste de LCI de « fanatique », l’accusant de mépriser les musulmans.

    Un post qualifié de « cible dans le dos », et des conséquences concrètes. Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé, lundi 4 décembre, avoir mis sous protection policière la journaliste de LCI Ruth Elkrief, accusée dimanche par Jean-Luc Mélenchon sur le réseau social X d’être une « fanatique » et de mépriser les musulmans.

     
     
     
    «Ce n’est pas de mon fait» s’il n’y a plus de Nupes, s’est défendu le leader de La France Insoumise ce samedi sur France Inter. Depuis l’attaque du Hamas le 7 octobre, LFI est vivement critiquée par le reste de l’alliance de gauche pour ses prises de position sur le conflit entre l’organisation terroriste et Israël.

    HuffPost - Accusés par Jean-Luc Mélenchon d’avoir tué la NUPES, Olivier Faure et Marine Tondelier répliquent

    S’il a acté la fin de la NUPES, Jean-Luc Mélenchon estime qu’il n’en est point responsable. « Déni », lui répondent ses anciens alliés.

    C’est celui qui le dit qui l’est. Le patron du PS Olivier Faure et la cheffe des écologistes Marine Tondelier ont répondu ce samedi 2 décembre au leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon qui leur a imputé, ainsi qu’au Parti communiste, la responsabilité de la fin de la NUPES.

  • L'avenir de la NUPES (revue de presse mise à jour le 1er décembre)

    Le Figaro - «Il n'y a plus de Nupes» : Jean-Luc Mélenchon enterre officiellement l’alliance de gauche

    Le coordinateur de La France insoumise (LFI) Manuel Bompard déplorait ce mercredi le « constat du blocage » de la Nupes en raison de « désaccords stratégiques profonds ». Dès le lendemain, lors d’une réunion publique à Rochefort (Charente-Maritime), Jean-Luc Mélenchon a officiellement enterré la coalition en déclarant : «il n’y a plus de Nupes, alors on fait semblant qu’il y en a toujours une (...) Ce qu'on a construit est déjà détruit.» À peine un an après la conclusion de cet accord historique et à sept mois des Européennes, les relations entre Insoumis et les autres partis de gauche sont plus que jamais exécrables.

    La Dépêche - "Il est important que toute la gauche parle d'une seule voix" : la NUPES se réconcilie sur le dos de la loi

    Les quatre groupes de gauche se reparlent afin d'afficher un semblant d'unité durant les débats sur la loi Immigration. Mais sous le vernis, les divergences stratégiques sont toujours bien réelles.

    Après des mois passés à faire l'inventaire de ses points de désaccord, la NUPES vient de se trouver à nouveau un combat commun : le projet de loi de Gérald Darmanin sur l'immigration. « Une saloperie sans nom », nous lançait la semaine dernière Julien Bayou.

    Le Point - Coup de théâtre à gauche : le PRG prépare une liste anti-Nupes aux européennes

    Mécontent que le PS n’ait pas rompu avec Jean-Luc Mélenchon, le Parti radical de gauche entend monter sa propre liste, soutenue notamment par Bernard Cazeneuve.

    Guillaume Lacroix avait prévenu lors du congrès du Parti radical de gauche (PRG), en mars : si le Parti socialiste (PS), avec lequel il s'était allié aux dernières élections européennes, ne rompait pas clairement avec la Nupes, le PRG présenterait une liste lors de ce scrutin. Réélu à la tête du PRG au congrès avec cette promesse, Guillaume Lacroix devrait mettre sa menace à exécution samedi 25 novembre, lors d'une convention du parti. La liste pourrait y être annoncée. « Nous y travaillons, les discussions vont bon train, confirme-t-il au Point. Les élections européennes sont le dernier scrutin national avant la présidentielle, nous serions irresponsables si la gauche n'était pas rassemblée. »

    20 minutes - Au Parti socialiste, le grand brouillard après le « moratoire » sur la Nupes

    IMPASSE Entrainés très rapidement, et sans vraiment le vouloir, dans une rupture avec les insoumis, les socialistes pourraient se retrouver dans leur position flottante d’avant 2022....

    La question se pose alors : le Parti socialiste a-t-il les moyens de son moratoire ? « C’est une bonne question… », reconnaît le même. D’abord sur la forme : le Parti socialiste peut-il s’appliquer à lui-même ce qu’il réclame à la France insoumise, c’est-à-dire renoncer à sa liberté de parole comme parti et s’entendre d’abord sur chaque sujet avec ses partenaires ? Serait-il, par exemple, capable d’accepter sans broncher une coalition de gauche qui décide majoritairement de renoncer à l’autoroute Toulouse-Castres, pour laquelle la présidente PS de l’Occitanie, Carole Delga, se bat ? C’est très douteux.

    Slate - Jean-Luc Mélenchon est devenu celui dont (presque) toute la gauche veut se débarrasser

    Bâtie pour les législatives de 2022, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale devait être, en sous-main, un instrument au service du leader de La France insoumise. Las, la dislocation de ce cartel électoral met à mal cette stratégie.

    C'est peu dire que la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) est très mal en point. Depuis des mois, Jean-Luc Mélenchon, qui en fut l'instigateur dans le cadre de la préparation des élections législatives de juin 2022, après la réélection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, n'a de cesse de donner des coups de boutoir à son cartel électoral.

    Sud Radio (vidéo) - Marine Tondelier - "La Nupes est devenue une source de désespoir"

    Europe 1 - Quel avenir pour la gauche ? : «Aujourd'hui il n'y a plus de Nupes» atteste le politologue Dorian Dreuil

    Tous les samedis et dimanches à 18h17, Pierre de Vilno reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir Dorian Dreuil, politologue, expert associé à la Fondation Jean Jaurès.

    France "La Nupes, c'est terminé !" François Hollande veut enterrer l'alliance de gauche à la Fête de la Rose

    L'ancien chef de l'Etat a profité de la traditionnelle Fête de la Rose à Laguenne-sur-Avalouze (Corrèze) pour délivrer une violente charge à l'encontre de la Nupes et du leader insoumis Jean-Luc Mélenchon.

    À la Fête de la Rose, il y avait comme une épine dans le pied que François Hollande a tenté d'arracher : la Nupes, l'alliance des partis de gauche depuis les dernières élections législatives. Une coalition menée par les députés de la France Insoumise, majoritaires dans le groupe de gauche à l'Assemblée nationale.

    France Info - Nupes : "Je questionne la stratégie de La France insoumise à l'heure actuelle", confie le député LFI Alexis Corbière

    "On me dit : il faut que le débat ait lieu à l'interne, on lave le linge sale en famille, raconte Alexis Corbière. Je cherche encore les lieux ou la pièce où ça se passe".
     
    "Je que - stionne la stratégie de La France insoumise à l'heure actuelle", confie jeudi 16 novembre sur franceinfo, Alexis Corbière, député LFI de la Seine-Saint-Denis. "Je pense que parfois nous-mêmes, nous créons les conditions pour que ce rassemblement [de la gauche au sein de la Nupes] ne soit pas simple", estime l'insoumis.
     
     
     
    Si le divorce n’est pas encore prononcé, la rupture est officiellement actée. Après un mois et demi de turbulences au sein de la Nupes, à la faveur de la guerre en Israël et le Hamas, le Parti communiste a décidé de prendre ses distances avec La France Insoumise. Il faut dire que les prises de position ambiguës du parti mélenchoniste sur le conflit au Proche-Orient et à l’égard du Hamas l’ont isolé dans la classe politique et la Nupes. Invité de RTL mercredi soir, le secrétaire national du PCF Fabien Roussel a indiqué que son parti «avait définitivement rompu avec LFI». «Nous avons fait voter une déclaration en Conseil national, votée à 93%, qui a fait le constat que la Nupes était une impasse et qu’il est urgent de reconstruire une union, un rassemblement de la gauche capable de gouverner demain», a ainsi proposé l’ancien candidat à la présidentielle. La main est donc tendue.

    Europe 1 - L'alliance de la Nupes ne pourra «pas reprendre», estime Jérôme Guedj (PS)

    Jérôme Guedj, député socialiste de l'Essonne, a déclaré ce mercredi que le Parti Socialiste (PS) ne prendra plus part au travail de coordination de la Nupes. Une décision liée à la prise de position de Jean-Luc Mélenchon sur la guerre opposant Israël et le Hamas. 

    "On ne pourra pas reprendre le travail de coordination" des partis de gauche au sein de la Nupes, a tranché mercredi le député socialiste Jérôme Guedj, enterrant définitivement une alliance mise à mal par les prises de position de Jean-Luc Mélenchon sur la guerre entre Israël et le Hamas. Le Parti socialiste avait décidé de suspendre sa participation à l'alliance le 18 octobre.

    Le Figaro - «J’ai juste envie de les claquer» : Ariane Ascaride et Robert Guédiguian ulcérés par la Nupes

    Invité de RTL lundi pour la promotion de leur nouveau film Et la fête continue, le couple du cinéma a dénoncé le comportement des représentants de la gauche dont ils ne supportent plus les divisions.

    BFM - Pour Clémentine Autain, "Jean-Luc Mélenchon n'est pas éternel"

    Ni la Nupes, ni La France insoumise, ne se réduisent "aux seuls propos de Jean-Luc Mélenchon", souligne Clémentine Autain sur BFMTV-RMC.

    "Frondeur"? Clémentine Autain n'aime pas trop ce terme auquel elle est associée au sein de La France insoumise, aux côtés d'autres députés comme François Ruffin, Raquel Garrido ou Alexis Corbière, non retenus, comme elle, dans la direction du mouvement en décembre 2022. Et auteurs de prises de distances régulières depuis.

    L'Express - Marche contre l’antisémitisme : l’absence des insoumis, le malaise au sein de la Nupes

    L’ensemble des partis politiques ont participé, dimanche 12 novembre, à la marche contre l’antisémitisme organisée par les deux présidents du Parlement. Tous, à l’exception de La France insoumise, qui provoque l’embarras au sein de l’alliance de gauche.

    Il est de tradition de faire savoir aux absents qu’ils ont toujours tort. Mais, dimanche 12 novembre, ce sont eux qui fanfaronnent et montrent du doigt les participants à la marche contre l’antisémitisme, organisée à l’initiative de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et de son homologue du Sénat, Gérard Larcher.

    TF1 - "La Nupes a vécu, c'est terminé" : Fabien Roussel confirme sur LCI son départ de l'alliance de gauche

    Fabien Roussel enterre définitivement sa participation au sein de la Nupes. L'alliance des partis de gauche, née avant les élections législatives 2022 de l'idée de Jean-Luc Mélenchon, est décidément largement remise en cause, notamment depuis le 7 octobre et le refus d'une partie de La France insoumise de qualifier le Hamas "d'organisation terroriste". Invité dans L'Événement du dimanche LCI, le député et secrétaire national du Parti communiste (PCF), Fabien Roussel, confirme qu'il quitte l'union.

  • Alexis Corbière - LFI : "Je questionne la stratégie de La France insoumise à l'heure actuelle"

    16 nov. 2023

    "Je questionne la stratégie de La France insoumise à l'heure actuelle", confie jeudi 16 novembre 2023 sur franceinfo, Alexis Corbière, député LFI de la Seine-Saint-Denis. "Je pense que parfois nous-mêmes, nous créons les conditions que ce rassemblement [de la gauche au sein de la Nupes] ne soit pas simple", estime l'insoumis.

  • LFI ne doit plus se structurer "comme l'outil de campagne de Mélenchon", pour Raquel Garrido

    Libé - Critique de Jean-Luc Mélenchon, Raquel Garrido va devoir s’expliquer

    La députée de Seine-Saint-Denis a été convoquée la semaine prochaine par la direction de LFI. Depuis plusieurs jours voire semaines, l’élue n’hésite pas à critiquer publiquement les prises de position du leader insoumis.

    Raquel Garrido, députée La France insoumise de Seine-Saint-Denis, était l'invitée du "8h30 franceinfo" dimanche 22 octobre. Conflit Israël-Hamas, divisions au sein de La France insoumise… Elle répondait aux questions d'Agathe Lambret et Jean-Rémi Baudot.

  • Israël-Hamas, la revue de presse de la Nupes

    Les Echos, le 13 octobre - La Nupes se rapproche un peu plus d'un divorce

    Les déclarations de Jean-Luc Mélenchon et de ses soutiens insoumis sur les attaques du Hamas en Israël « auront des conséquences » sur la Nupes, avertit la patronne des Verts, Marine Tondelier. Le PS durcit le ton contre la direction de LFI alors que le PCF pourrait claquer la porte de l'alliance de gauche.

    Le ton monte à gauche face à l'inflexibilité de Jean-Luc Mélenchon et ses partisans à la direction de La France insoumise. Les socialistes, les communistes et les écologistes convergent sur la nécessité d'un changement complet de la Nupes face à l'incapacité des mélenchonistes de qualifier les exactions du Hamas en Israël d'actes terroristes.

    Slate le 13 octobre - La guerre entre Israël et le Hamas va-t-elle faire imploser la Nupes?

    Les récentes prises de position de La France insoumise ont indigné certains de ses partenaires de la Nupes.

    L'onde de choc est planétaire, mais la condamnation n'est pas unanime face aux massacres commis en Israël par le Hamas le week-end des 7 et 8 octobre. En France, Jean-Luc Mélenchon s'est attiré les foudres de toute la classe politique et de ses alliés de la Nupes lorsqu'il a refusé de qualifier le Hamas de terroriste. Que vont faire ses partenaires, notamment les socialistes? Personne encore n'a claqué la porte, même si Olivier Faure, le premier secrétaire du PS, a évoqué son intention de décréter une «suspension provisoire» de la participation de son parti à la Nupes

    Marianne - Hamas-Israël : mais pourquoi la Nupes tient-elle encore ?

    Le refus de LFI de qualifier le Hamas de « terroriste » est un énième épisode d’extrême tension au sein de la Nupes. Et pourtant, la coalition de gauche pourrait y survivre. Une nouvelle fois…

    Olivier Faure, Fabien Roussel, Marine Tondelier, Yannick Jadot, Anne Hidalgo, François Ruffin… Ils ont tous tenu à marquer leur différence avec les propos tenus par le noyau dur de La France insoumise (LFI), qui refuse de qualifier les attaques du Hamas de « terroristes » et renvoie dos à dos Israël et l’organisation islamiste palestinienne. Mathilde Panot et Manuel Bompard, en premiers zélateurs de Jean-Luc Mélenchon, persistent à dénoncer des « crimes de guerre », manière de conférer au Hamas le statut d’une armée régulière.

    L'Express - Attaque du Hamas contre Israël : en Europe, la gauche radicale isolée

    Alors que la grande majorité de la classe politique s’est rangée sans ambiguïté aux côtés d’Israël, une partie de la gauche radicale européenne refuse toujours de condamner l’offensive surprise menée par le Hamas samedi dernier.

    En mettant dos à dos le Hamas et Israël, expliquant que "la violence appelle à la violence", La France Insoumise (LFI) se trouve une nouvelle fois au centre des critiques sur la scène politique française.

    A l’échelle de l’Europe, de nombreuses formations politiques de premier plan n’ont, à ce jour, pas clairement condamné l’offensive du Hamas. Leur point commun ? Elles sont connues pour leurs positions "pro-Palestine".

    France info le 10 octobre - Guerre entre le Hamas et Israël : selon Olivier Faure, premier secrétaire du PS, la majorité de la Nupes parle d'une même voix

    La position de LFI, après l'attaque samedi dernier du Hamas contre Israël, suscite de vives critiques. Le maintien du PS dans la Nupes est questionné par certains socialistes. "Je vois qu'il y a des gens toujours plus prompts à s'occuper des affaires intérieures […] avant de s'occuper de l'essentiel", répond Olivier Faure.

    Télérama - Comment la droite nationaliste israélienne a fait le jeu du Hamas : l’éclairage de Charles Enderlin

    Longtemps correspondant à Jérusalem pour France 2, le journaliste raconte comment le gouvernement Netanyahou et ses prédecesseurs ont encouragé la montée du Hamas pour tordre le coup à la création d’un État palestinien. Entretien.
    Pendant près d’un demi-siècle, d’abord pour une radio israélienne, puis pour France 2, il a rendu compte à Jérusalem du conflit israélo-palestinien. Il en a aussi décortiqué chaque épisode dans de nombreux ouvrages. Charles Enderlin vient de publier Israël, l’agonie d’une démocratie, ultime petit livre d’intervention sur le péril que fait courir au pays le nouveau gouvernement messianique et raciste de Benyamin Netanyahou. Parallèlement, Enderlin n’a cessé d’alerter sur la complaisance de cette droite nationaliste israélienne envers le Hamas dont l’émergence réduisait à néant « la question palestinienne ». À Gaza, celle-ci a ressurgi dans un paroxysme de violence…

    France Info le 9 octobre - Attaque du Hamas contre Israël : pourquoi les prises de position de LFI mettent l'alliance de la Nupes une nouvelle fois en danger

    Les réactions d'une partie de La France insoumise ont entraîné une forte indignation de membres de la Nupes. Des députés socialistes s'interrogent même sur la survie de l'alliance des partis de gauche.

    "La question" de rester dans l'alliance de gauche Nupes "se pose", a prévenu Jérôme Guedj, dimanche 8 octobre, sur la Radio de la communauté juive (RCJ). Le député PS n'a pas masqué sa colère après les réactions des parlementaires de La France insoumise, au lendemain de l'attaque meurtrière du Hamas contre Israël. "Ça me dégoûte de voir et de constater que certains (...) ont immédiatement été dans une forme de relativisme, de renvoi dos à dos, d'absence de ce minimum de compassion qui fait notre humanité commune, a-t-il détaillé. Ça me fout les boules, je n'ai pas d'autres mots."

    HuffPost - Attaques contre Israël : Ruffin très critique sur la position de LFI et Mélenchon à propos du Hamas

    « On doit mettre des mots forts sur des actes horribles, sinon notre parole est discréditée, moquée », appelle François Ruffin qui ne veut pas de « pudeur de gazelle ».

    Le député LFI François Ruffin a estimé ce mardi 10 octobre qu’il fallait avoir « des mots forts » pour dénoncer les « abominations » commises par le Hamas en Israël, en pleine polémique sur la position jugée trop ambiguë de sa formation et de son chef Jean-Luc Mélenchon.

    France Info - Attaque du Hamas contre Israël : après les positions controversées de LFI, la survie de la Nupes en question

    Après les positions controversées de La France insoumise vis-à-vis de l'offensive du Hamas contre Israël, "on est quasiment au point de rupture au sein de la Nupes, très clairement", estime le journaliste Guillaume Daret, présent sur le plateau du 8 Heures, mardi 10 octobre.

    L'offensive du Hamas contre Israël continue de susciter de nombreuses réactions politiques en France. La France insoumise (LFI) est notamment accusée de renvoyer dos à dos le groupe terroriste palestinien et le gouvernement israélien, et apparaît plus isolée que jamais au sein de la Nupes. "C'est clairement (la question de) la survie de la Nupes qui se pose", estime le journaliste Guillaume Daret, présent sur le plateau du 8 Heures, mardi 10 octobre.
    ________________________

    Public Sénat - Attaque du Hamas contre Israël : Olivier Faure dénonce une « faute politique » des Insoumis, sans remettre en cause la Nupes

    Pour Olivier Faure, le désaccord est « évident ». La question israélo-palestinienne a encore renforcé les divergences entre La France Insoumise et les autres partis qui composent la Nupes. « La faute politique, c’est de ne pas avoir, dès le départ, reconnu qu’il y avait un acte terroriste, et d’avoir laissé penser que le Hamas pouvait représenter le peuple palestinien, que c’était des forces palestiniennes régulières, et que c’était un acte de guerre. Non, ce n’était pas un acte de guerre, c’était un acte terroriste qui méritait une condamnation claire, ferme », a fustigé le premier secrétaire du Parti socialiste à propos de la position de Jean-Luc Mélenchon. De son côté, le leader insoumis a publié lundi une série de tweets conspuant tantôt une « déclaration clientéliste » d’Anne Hidalgo lorsque la maire de Paris exprime son soutien au peuple Israélien, tantôt le « soutien unilatéral » du PS et d’EELV, « au gouvernement d’extrême droite israélienne ».
    _________________________

    HuffPost - Attaques du Hamas sur Israël : Mélenchon et Ruffin n’ont pas tout à fait la même ligne

    Tandis que Jean-Luc Mélenchon et certains députés de la France insoumise sont tentés de renvoyer dos à dos Israël et le Hamas, le député François Ruffin exprime une « condamnation totale » des attaques commises par le mouvement islamiste.... Le député François Ruffin, l’un des candidats potentiels à la présidentielle de 2027, s’est ainsi distingué de ses camarades de parti en exprimant « une condamnation totale de l’attaque du Hamas », tout en exprimant ses craintes de savoir que la situation est « dans les mains du gouvernement israélien le plus brutal depuis 30 ans ». Un message relayé par plusieurs de ses collègues, à l’image du député LFI de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière.

    Lire la suite
    ______________________
    ______________________

    Euractiv - Attaque du Hamas contre Israël : la réaction de La France insoumise provoque des remous à gauche

    Alors que la classe politique française a unanimement condamné les attaques perpétrées par le Hamas contre Israël, le mouvement de gauche radicale La France insoumise a été accusé de vouloir la relativiser.

    « L’offensive armée de forces palestiniennes menée par le Hamas intervient dans un contexte d’intensification de la politique d’occupation israélienne à Gaza, en Cisjordanie et à Jérusalem-Est », a déclaré La France insoumise (The Left au Parlement européen) par communiqué samedi (7 octobre).

    Ces propos s’ajoutent à ceux de plusieurs responsables politiques de la formation de gauche radicale, dont celle du leader du mouvement, Jean-Luc Mélenchon, sur X : « Toute la violence déchaînée contre Israël et à Gaza ne prouve qu’une chose : la violence ne produit et ne reproduit qu’elle-même ».

  • Le JDD - Manuel Bompard recadre des voix dissonantes de la France insoumise et rejette la création d’un « courant interne »

    Le coordinateur de la France insoumise a recadré les membres de l’organisation la Gauche Écosocialiste qui souhaitent constituer un « courant » au sein même du parti.

    ans une missive adressée aux membres de la Gauche Écosocialiste (GES), Manuel Bompard a recadré les velléités de certains membres de l’organisation qui souhaitent former « un courant en interne » au sein même de la France insoumise (LFI).

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

    Le Parisien - « Il n’y a pas et il n’y aura pas de courant » : rififi à LFI, Manuel Bompard recadre des voix critiques

    INFO LE PARISIEN. Le coordinateur national de LFI s’est fendu d’une lettre, consultée par Le Parisien, aux dirigeants de la Gauche Ecosocialiste, un micro parti proche de Clémentine Autain, qui souhaitent former un « courant » au sein du mouvement « gazeux » de Jean-Luc Mélenchon.

  • Communiqué du PS : Un duel de la gauche arbitré par les voix de celles et ceux que la gauche combat au quotidien

    Le Figaro - Législative partielle : la socialiste dissidente Martine Froger l'emporte en Ariège face à LFI

    La bataille locale était devenue un véritable enjeu national entre opposants et défenseurs de la Nupes.

    La socialiste dissidente Martine Froger a largement emporté dimanche soir la législative partielle en Ariège avec 60,19 % des voix face à la députée sortante LFI Bénédicte Taurine (39,81%). Une victoire pour les socialistes hostiles aux Insoumis. Un coup dur pour la Nupes et le patron du ps Olivier Faure. Au premier tour, l'Insoumise était arrivée en tête avec 31,18% des voix mais elle avait perdu 3.500 voix par rapport à juin 2022.

    Lire la suite
    ________________________
    ________________________

    Communiqué du PS : Un duel de la gauche arbitré par les voix de celles et ceux que la gauche combat au quotidien

    Ce dimanche se tenait le 2nd tour de l’élection législative partielle dans la 1ère circonscription de l’Ariège, qui opposait deux candidates de gauche.

    Martine Froger remporte l’élection avec 60,2 %, devant Bénédicte Taurine qui obtient 39,8 %.

    Le Parti socialiste remercie Bénédicte Taurine, arrivée en tête du 1er tour en étant soutenue par l’ensemble des partis de gauche - socialistes, communistes, écologistes et insoumis-, pour son engagement et la campagne qu’elle a menée. Ce soir, l’union de la gauche comme l’intergroupe de la NUPES à l’Assemblée nationale perdent une députée.

    Avec 11 758 voix ce soir, Martine Froger fait plus que doubler son score du 1er tour (5 742 voix - 26,42 %). Sauf à penser que la gauche représente 100 % des voix en Ariège, cette progression de 6016 voix entre les deux tours doit évidemment beaucoup au report des voix de la candidate de Renaissance (2 323 voix, 10,68 %) - qui avait explicitement appelé à voter pour la candidate dissidente PS -. Mais chacun comprendra aisément que cela ne suffit pas à expliquer ce score. Pour mémoire le candidat arrivé en 3e position avec 5 387 voix, (24,78 %) était le candidat du RN.

    Seul le désistement républicain traditionnel de la candidate arrivée seconde au 1er tour permettait d’éviter un duel de la gauche arbitré par les voix de celles et ceux que la gauche combat au quotidien, à droite et à l’extrême-droite.

    Les félicitations du ministre de la réforme des retraites qui salue ce soir la victoire de Martine Froger, sont un affront aux millions de françaises et français qui manifestent depuis des mois.

    Ce soir, c’est une victoire à la Pyrrhus qui n’ouvre aucune perspective pour la gauche puisqu’elle s’est construite dans une alliance avec les droites contre l’union de la gauche et des écologistes.

    La gauche ne peut être l’alternative qu’unie et rassemblée. C’est le rassemblement de la gauche et des écologistes en juin qui a permis l’élection de 150 députés et empêché l’obtention d’une majorité absolue du président de la République, comme de subir un groupe RN plus important encore.

  • Le Figaro - En Ariège, la législative partielle réveille les tensions au Parti socialiste

    Bénédicte Taurine, la députée LFI sortante, soutenue par la Nupes - et donc le PS - fera face à la dissidente socialiste, Martine Froger, lors du second tour dimanche prochain. Troisième, le candidat RN est éliminé au premier tour.

    Voilà encore un rendez-vous dont le PS se serait bien passé. Le second tour de l'élection légis­lative partielle en Ariège, dimanche prochain, risque de raviver la flamme des tensions, jamais complètement éteinte depuis le congrès de Marseille fin janvier. Arrivée en tête (31,18 % des voix), la députée LFI sortante Bénédicte Taurine, soutenue par la Nupes - et donc officiellement par le PS - fera face à une candidate… socialiste, dissidente, Martine Froger (26,42 %). Une petite surprise tant la progression par rapport à sa première aventure solitaire du mois de juin est forte. Elle avait, à l'époque, échoué à la quatrième position, en recueillant seulement 18,08 % des voix.

    Lire la suite
    __________________________
    __________________________