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Ce week-end à Montpellier, la gauche anti-Mélenchon s’est réunie. Une poignée de socialistes qui cherchent toujours une solution en dehors de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale. Le brief politique de Jean-Rémi Baudot.
Il y avait sur scène, à Montpellier, tout ce que le PS compte de dissidents, tous ceux qui refusent toujours la stratégie portée par le patron des socialistes, Olivier Faure. Réunie au sein de Refondations, cette gauche anti-Mélenchon aimerait offrir une alternative à la Nupes.
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Le Figaro - Législative partielle : la socialiste dissidente Martine Froger l'emporte en Ariège face à LFI
La bataille locale était devenue un véritable enjeu national entre opposants et défenseurs de la Nupes.
La socialiste dissidente Martine Froger a largement emporté dimanche soir la législative partielle en Ariège avec 60,19 % des voix face à la députée sortante LFI Bénédicte Taurine (39,81%). Une victoire pour les socialistes hostiles aux Insoumis. Un coup dur pour la Nupes et le patron du ps Olivier Faure. Au premier tour, l'Insoumise était arrivée en tête avec 31,18% des voix mais elle avait perdu 3.500 voix par rapport à juin 2022.
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Communiqué du PS : Un duel de la gauche arbitré par les voix de celles et ceux que la gauche combat au quotidien
Ce dimanche se tenait le 2nd tour de l’élection législative partielle dans la 1ère circonscription de l’Ariège, qui opposait deux candidates de gauche.
Martine Froger remporte l’élection avec 60,2 %, devant Bénédicte Taurine qui obtient 39,8 %.
Le Parti socialiste remercie Bénédicte Taurine, arrivée en tête du 1er tour en étant soutenue par l’ensemble des partis de gauche - socialistes, communistes, écologistes et insoumis-, pour son engagement et la campagne qu’elle a menée. Ce soir, l’union de la gauche comme l’intergroupe de la NUPES à l’Assemblée nationale perdent une députée.
Avec 11 758 voix ce soir, Martine Froger fait plus que doubler son score du 1er tour (5 742 voix - 26,42 %). Sauf à penser que la gauche représente 100 % des voix en Ariège, cette progression de 6016 voix entre les deux tours doit évidemment beaucoup au report des voix de la candidate de Renaissance (2 323 voix, 10,68 %) - qui avait explicitement appelé à voter pour la candidate dissidente PS -. Mais chacun comprendra aisément que cela ne suffit pas à expliquer ce score. Pour mémoire le candidat arrivé en 3e position avec 5 387 voix, (24,78 %) était le candidat du RN.
Seul le désistement républicain traditionnel de la candidate arrivée seconde au 1er tour permettait d’éviter un duel de la gauche arbitré par les voix de celles et ceux que la gauche combat au quotidien, à droite et à l’extrême-droite.
Les félicitations du ministre de la réforme des retraites qui salue ce soir la victoire de Martine Froger, sont un affront aux millions de françaises et français qui manifestent depuis des mois.
Ce soir, c’est une victoire à la Pyrrhus qui n’ouvre aucune perspective pour la gauche puisqu’elle s’est construite dans une alliance avec les droites contre l’union de la gauche et des écologistes.
La gauche ne peut être l’alternative qu’unie et rassemblée. C’est le rassemblement de la gauche et des écologistes en juin qui a permis l’élection de 150 députés et empêché l’obtention d’une majorité absolue du président de la République, comme de subir un groupe RN plus important encore.
Bénédicte Taurine, la députée LFI sortante, soutenue par la Nupes - et donc le PS - fera face à la dissidente socialiste, Martine Froger, lors du second tour dimanche prochain. Troisième, le candidat RN est éliminé au premier tour.
Voilà encore un rendez-vous dont le PS se serait bien passé. Le second tour de l'élection législative partielle en Ariège, dimanche prochain, risque de raviver la flamme des tensions, jamais complètement éteinte depuis le congrès de Marseille fin janvier. Arrivée en tête (31,18 % des voix), la députée LFI sortante Bénédicte Taurine, soutenue par la Nupes - et donc officiellement par le PS - fera face à une candidate… socialiste, dissidente, Martine Froger (26,42 %). Une petite surprise tant la progression par rapport à sa première aventure solitaire du mois de juin est forte. Elle avait, à l'époque, échoué à la quatrième position, en recueillant seulement 18,08 % des voix.
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"Cette réforme, c'est la retraite pour les morts", "Le rêve d'Emmanuel Macron, c'est le travailleur Uber", "Soyons un million dans la rue" : du député LFI François Ruffin – organisateur de la soirée via son journal "Fakir" en collaboration avec Reporterre – à la secrétaire générale d'EELV Marine Tondelier, le patron du PCF Fabien Roussel ou encore le député PS Boris Vallaud, la gauche et les écologistes ont lancé les hostilités mardi 10 janvier contre la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron, lors d'un meeting dans le 11e arrondissement de Paris. Ecoutez les meilleures punchlines de la soirée.
Une partie des pauvres ne sont pas ceux que l’on attend. Cette pauvreté paradoxale frappe des travailleurs, des retraités, des propriétaires et des cadres, autant de catégories a priori protégées. Reste que si tout le monde peut être concerné par la pauvreté, ce n’est pas avec la même probabilité. Une analyse de Louis Maurin, extraite de Constructif.
Le chef de file des députés socialistes estime que l'heure de faire chuter le gouvernement n'est pas venue, car il n'existe pas de majorité alternative.
Ce n'est pas simple d'être député socialiste en 2022. Il faut s'accorder avec de nouveaux alliés Insoumis qu'ils conspuaient hier, et avoir dans son dos les vieux et encombrants éléphants du parti, tout en espérant des jours meilleurs pour le PS. Et puis il y a ces 89 députés du Rassemblement national, une réalité que Boris Vallaud, patron du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, n'ignore pas mais qu'il refuse de "banaliser".
Aujourd'hui 3 novembre, le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu se rend en Gironde pour rencontrer les personnes impactées par les incendies qui ont ravagé la région durant l'été et à la rentrée et promettre la plantation d'un milliard d'arbres en dix ans. Quel écolo ce ministre vous dites-vous peut-être ! Lisez plutôt son CV et la composition de son cabinet pour vous faire une idée des préoccupations principales du ministre.
Privée de majorité à l'Assemblée nationale, le gouvernement a subi un nouveau revers lors de l'examen du projet de loi de budget, sur la rénovation thermique des logements.
Lundi 31 octobre au soir, l’Assemblée nationale a voté pour rajouter près de 12 milliards d’euros de crédits en faveur de la rénovation thermique des logements . Des amendements déposés par le Parti socialiste et les écologistes, que le Rassemblement national a votés notamment. Même si le gouvernement ne les retiendra probablement pas dans la version finale du budget, c’est un nouveau revers pour le camp présidentiel.
Le 8 novembre prochain, les Américains sont appelés aux urnes pour les élections de mi-mandat. Ce scrutin complexe se déroule en réalité sur plusieurs semaines, dans un contexte de vives tensions entre démocrates et républicains et alors que le système électoral américain est fondamentalement différent du système français. Steve Cron, président du club des démocrates de Pacific Palisades (Los Angeles), nous éclaire sur les activités du Parti démocrate au niveau local et sur le vote du 8 novembre qui regroupe des élections à de nombreuses fonctions municipales, nationales et un vote « référendaire » sur des sujets variés.
Rattrapés par une situation économique préoccupante, les démocrates voient leurs espoirs électoraux s’évaporer à l’approche des élections de mi-mandat, pourtant déterminantes pour leur avenir. Depuis l’élection de Joe Biden, ils ont dépensé autant d’énergie à combattre la percée des « progressistes » liés à Bernie Sanders qu’à lutter pour des mesures ambitieuses en termes sociaux et environnementaux. Les électeurs, frappés de plein fouet par l’inflation et la récession économique, risquent de s’en détourner…
Les traditionnelles élections de mi-mandat se tiendront le 8 novembre prochain aux États-Unis. L’ensemble de la Chambre des représentants du Congrès ainsi qu’un tiers du Sénat seront renouvelés, de même que 36 gouverneurs et les élus locaux (procureur général, ministre de l’Intérieur, parlements) de la majorité des États.
En 2009, la crise de la dette grecque débutait. Depuis, de nombreux plans de « sauvetage » comprenant des « réformes » sous la tutelle de la « Troïka » (FMI, BCE et Commission européenne) se sont succédés. Si les banques ont effectivement été sauvées, le bilan social d’un tel programme est catastrophique. Fortement appauvrie, la Grèce est devenue un Club Med géant où les infrastructures stratégiques ont été privatisées et où les services publics ont été bradés. La population, elle, se résigne ou quitte le pays.
Le 20 août dernier, la Grèce est sortie de la surveillance économique renforcée de la Commission européenne. Un jour qualifié d’« historique » par le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis, tandis que la Présidente de la Commission Européenne vantait la « résilience » de la Grèce et l’enjoignait à « envisager l’avenir avec confiance ». Le bilan des « réformes » et de ce programme d’« aides » est pourtant peu reluisant, pour ne pas dire catastrophique.
Pour « refonder, rassembler, gouverner », plus de 1 000 élus et militants socialistes appellent, autour d’Hélène Geoffroy, candidate au congrès du PS, à construire « une gauche des solutions, déterminée à gouverner aux antipodes de la gauche de l’incantation ». Parmi les signataires : Marie-Arlette Carlotti, Patrick Mennucci, François Kalfon ou encore Jean-Christophe Cambadélis.
Les députés du Rassemblement national ont voté lundi en faveur de la motion de censure déposée par l'alliance de gauche.
Depuis que la motion de censure défendue par la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) à l’Assemblée nationale a aussi été votée par le Rassemblement national, le gouvernement accuse l’alliance de la gauche d’avoir réécrit son texte avant le vote pour pactiser avec les troupes de Marine Le Pen.
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Lundi 24 octobre, Jérôme Guedj défendait à la tribune de l'assemblée nationale la motion de censure de la #NUPES sur le #PLFSS. « « Notre motion est adossée à une vision solidaire que nous partageons au sein de la NUPES, aux antipodes de l'extrême droite qui veut instrumentaliser notre texte en fermant les yeux sur ce qui le motive. » « Nous défendons l'universalité des droits et la progressivité des contribution. » « Nous étions sur le point d'aborder nos amendements pour taxer les superprofits [...] Avez-vous eu peur que nos propositions [...] recueillent l'assentiment de cette Assemblée ? » « Quand une majorité de députés votent des amendements, même s'ils vous déplaisent, ils ne dénaturent pas un texte, ils légifèrent, ils font leur travail de parlementaires. »