Apolline de Malherbe reçevait Clémentine Autain, députée Nouveau Front populaire de Seine-Saint-Denis, dans "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce lundi 8 juillet 2024.
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Dissidents LFI, futur Premier ministre... L'interview de Clémentine Autain en intégralité
8 juil. 2024 -
Le Nouveau Front populaire veut proposer à Macron un nom de Premier Ministre « au plus vite »
8 juil. 2024Marine Tondelier, Clémentine Autain, Olivier Faure… assurent lundi matin pouvoir former un gouvernement très rapidement, après la victoire du Nouveau Front populaire aux législatives.
POLITIQUE - Après l’euphorie de la victoire surprise aux élections législatives, le temps de la réflexion. Et des premières incertitudes. Sauf rebondissement ou alliance de dernière minute, c’est en effet vers le Nouveau Front populaire qu’Emmanuel Macron devrait se tourner pour former un prochain gouvernement. Tout un tas de questions restent néanmoins à trancher, à commencer par l’identité du futur Premier Ministre. « Je ne vais pas vous mentir en vous disant que ce sera simple, ni facile, ni confortable. Mais comme ce que fait le Nouveau Front populaire depuis trois semaines, nous allons y arriver », a tenté de rassurer Marine Tondelier au micro de France Inter lundi matin.
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Critiques contre JL Mélenchon : Clémentine Autain "atterrée" par la sanction contre Raquel Garrido
7 nov. 2023La députée LFI de Seine-Saint-Denis, Clémentine Autain, est l'invitée du Grand Entretien. Dimanche soir, Raquel Garrido, députée LFI, qui s'est montrée critique à l'encontre de Jean-Luc Mélenchon, a été sanctionnée par le bureau politique du parti. Elle est sanctionnée et ne pourra plus être oratrice pour le groupe parlementaire LFI pendant quatre mois. "Je suis atterrée par cette sanction : on ne règle pas des divergences politiques par des sanctions bureaucratiques", dit la députée Clémentine Autain.
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L'avenir de la NUPES (revue de presse mise à jour le 26 octobre)
La position des insoumis sur l’attaque du Hamas en Israël semble être l’étincelle qui fait lentement exploser la Nupes. Mais entre la stratégie de LFI pour bloquer la réforme des retraites, les élections européennes et les divergences de positions pendant les émeutes après la mort de Nahel, les désaccords au sein de l’union des gauches ne sont pas nouveaux. Derrière ces tensions, il y a un dénominateur commun, Jean-Luc Mélenchon, qui semble saboter un mouvement qu’il a lui-même lancé. Pour vous aider à comprendre la crise de la Nupes, Charlotte Belaïch et Sacha Nelken, journalistes politiques à Libération, étaienten direct sur Youtubece mercredi 25 octobre.
26 octobre
Libé - Critique de Jean-Luc Mélenchon, Raquel Garrido va devoir s’expliquer
La députée de Seine-Saint-Denis a été convoquée la semaine prochaine par la direction de LFI. Depuis plusieurs jours voire semaines, l’élue n’hésite pas à critiquer publiquement les prises de position du leader insoumis.
Le Parisien - [PODCAST] Comment la Nupes a viré à la désunion
En mai 2022, Jean-Luc Mélenchon célébrait avec les principaux dirigeants des partis de gauche une union historique baptisée Nupes, en vue des élections législatives. Mais aujourd’hui, l’avenir de la Nupes s’écrit en pointillé, après plusieurs mois de polémiques, de désaccords et de crises successives. Pour Code source, les journalistes Pierre Maurer et Julien Duffé qui couvrent la gauche au service politique du Parisien, reviennent sur les événements qui ont amené la Nupes à cette crise.
Face à une NUPES qui bat de l’aile, une autre expression fait discrètement son chemin. Avec le risque de ne pas réussir à faire mieux ?
« Mélenchon ne dit pas qu’il y a un point de non-retour sur le fait qu’on souhaiterait enterrer la NUPES, ce n’est pas vrai ». L’intervention de Mathilde Panot résonne étrangement, mardi 24 octobre, dans la salle des conférences de presse de l’Assemblée. Dimanche, le leader insoumis a pourtant écrit noir sur blanc sur son blog que « le point de non-retour est franchi » et encore plus explicitement envers son noyau dur : « Les bases LFI savent donc qu’elles doivent se passer des députés qu’elles ont élus il y a un an. ». Un nouvel épisode révélateur des tensions maximales au sein de l’ex (?) alliance de gauche et de la difficulté pour chacun d’acter ou non la mort de la Nupes.
25 octobre
Le député socialiste dénonce la stratégie de conflictualisation permanente des Insoumis, actant un peu plus la fin de la Nupes.
Il était l’un des premiers au sein du Parti socialiste (PS) à estimer que «la question» de rester dans la Nupes devait «se pose(r)» après les saillies controversées de La France insoumise (LFI) sur le Hamas. Invité sur Franceinfo ce mercredi, Jérôme Guedj continue d’invoquer le «désaccord principiel» qui distingue les troupes de Jean-Luc Mélenchon du reste de la gauche.
La Dépêche Louviers - Eure. Fin de la Nupes ? Le député socialiste Philippe Brun réagit
À la suite des prises de position des Insoumis, le parti socialiste a suspendu sa participation à la Nupes. Le député PS de la 4e circonscription de l'Eure réagit.
Créé en 2022 pour tenter de remporter les élections législatives, le grand rassemblement de la gauche (Socialistes, Communistes, Insoumis, Écologistes) à travers son mouvement le Nupes (Nouvelle Union populaire écologique et sociale) est mort cette semaine. Le chef de file de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a même annoncé que « le point de non-retour était franchi ». Après le départ du parti communiste de la Nupes, c’est au tour du parti socialiste de quitter le navire.
Dans un courrier, LFI demande des précisions sur le moratoire voté par le Parti socialiste dans la nuit du mardi 17 au mercredi 18 octobre pour suspendre sa participation à l’intergroupe de la Nupes.
Quel avenir pour la Nupes après les divergences autour de la guerre Israël-Hamas ? Alors que Jean-Luc Mélenchon estimait dans un post de blog qu’il « [était] devenu clair que le point de non-retour [était] franchi », Mathilde Panot, présidente du groupe parlementaire La France insoumise (LFI), assure que « Jean-Luc Mélenchon ne dit pas qu’il y a un point de non-retour sur le fait qu’on souhaiterait enterrer la Nupes, ce n’est pas vrai », mardi 24 octobre lors d’un point de presse à l’Assemblée nationale.
Le Parisien - Divergences au sein de la Nupes : LFI et les écologistes calment le jeu
Jean-Luc Mélenchon avait allumé la mèche dimanche, estimant que le point de non-retour concernant l’avenir de la Nupes avait été « franchi ». Les députés écologistes et insoumis assurent que la coalition n’est pas enterrée.
Comme une volonté d’éviter une séparation en mauvais termes. Il n’y a « pas de point de non-retour » qui empêcherait la coalition de gauche Nupes de survivre au sein de l’Assemblée, ont assuré successivement les députés LFI et écologistes mardi, en réaction à une phrase de Jean-Luc Mélenchon semblant déjà tourner la page.
L'Express - Nupes : des députés continuent de vouloir sauver l’alliance
A l'Assemblée nationale, les députés écologistes ont notamment assuré qu’ils signeraient tous ensemble la prochaine motion de censure de la gauche, lors du prochain 49.3 du gouvernement.
Même si la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) est en mort clinique, une partie des députés de gauche s’accrochent à l’union et tentent de trouver des terrains d’entente. Il n’y a "pas de point de non-retour" qui empêcherait la coalition de gauche de survivre au sein de l’Assemblée, ont ainsi assuré successivement les députés LFI et écologistes ce mardi 24 octobre, en réaction à une phrase de Jean-Luc Mélenchon semblant déjà tourner la page.
24 octobre
L'intergroupe n'a pas siégé à l'Assemblée nationale mardi 24 octobre, pour la première fois depuis la création de la Nupes, en juin 2022.Manuel Bompard, le coordinateur national de La France insoumise, a écrit une lettre à la direction du Parti socialiste pour demander des "précisions" sur le moratoire de la participation du parti à la Nupes, a appris le service politique de franceinfo, confirmant une information du Figaro (article réservé aux abonnés). "J'ai besoin de comprendre pour discuter avec certains socialistes. Je ne suis pas le seul à ne pas avoir compris" , explique à franceinfo un membre de la direction de La France insoumise.23 octobre
BFM - Nupes: Jean-Luc Mélenchon estime que "le point de non-retour est franchi"
Dans une note de blog, le leader insoumis cogne sur ses partenaires de la Nupes et semble acter encore un peu plus la fin de cette coalition.Une preuve de plus que l'alliance des gauches vit ses dernières heures? Dans une note de blog au vitriol intitulée "Tuer le père", Jean-Luc Mélenchon semble acter une nouvelle fois la fin de la Nupes: "Il est devenu clair que le point de non-retour est franchi", écrit le leader de La France insoumise
L'ancien Premier ministre a dit "craindre" qu'Olivier Faure ne soit "le dernier secrétaire du PS, au train où vont les choses".La France insoumise n'appartient pas "à la grande histoire de la gauche française" et est la "manifestation d'un extrémisme", estime l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve, sur franceinfo lundi 23 octobre. Il faut, selon lui, que le parti socialiste "coupe les ponts" avec le parti fondé par Jean-Luc Mélenchon.Europe 1 «La Nupes a échoué sur le réel», juge la socialiste Carole Delga
La présidente socialiste de la région Occitanie Carole Delga a affirmé que "la Nupes n'a rien transformé et a échoué sur le réel". Elle a appelé à une union "sur des valeurs communes", critiquant sans les citer les membres de la France Insoumise.
"La Nupes n'a rien transformé et a échoué sur le réel", estime la présidente socialiste de la région Occitanie Carole Delga à propos de la coalition de gauche en crise profonde, dans un entretien diffusé samedi sur le site du Point.
Politis le 19 octobre - Fin de la Nupes : vers une union sans Mélenchon
Les communistes veulent ouvrir « une nouvelle page » de la Nupes. Les socialistes ont voté pour un « moratoire » actant la fin de l’alliance. Mais les gauches ne renoncent pas à une autre coalition qui exclurait le clan du triple candidat à la présidentielle.
La gauche est historiquement coutumière des manœuvres politiques. Et elle n’est pas en train de perdre ses vieilles habitudes. Au contraire. En coulisses, les téléphones chauffent, des députés discutent et les têtes pensantes phosphorent. En pleine crise, personne n’a vraiment arrêté de se parler. « Il y a des échanges qui sont en cours. Rien de très concret. On est au début d’une nouvelle recomposition à gauche », glisse un cadre de la Nouvelle union, populaire, écologique et sociale (Nupes). D’une même voix, écologistes, communistes et socialistes veulent croire à un autre rassemblement de la gauche. Tout en tirant un trait sur l’union telle qu’elle existe. La situation peut sembler paradoxale. Mais elle pourrait permettre, selon eux, de se défaire du problème majeur au sein de l’alliance : Jean-Luc Mélenchon.
20 octobre
Dans une interview à L’Express mardi soir, le chef de file des députés socialistes Boris Vallaud entend «s'attaquer aux désaccords de fond» et «revoir le fonctionnement de l'intergroupe».
L’écart qui sépare La France Insoumise des autres formations de la Nupes est de plus en plus béant. Alors que la coalition de gauche est secouée depuis deux semaines par des débats internes autour du conflit au Proche-Orient, et notamment par la non-qualification, chez certains Insoumis, du Hamas comme organisation terroriste, le Parti socialiste prend ses distances avec ses partenaires LFI. Dont les ambiguïtés à l’égard du mouvement islamiste ont été révélées au grand jour.
Alexis Corbière, député LFI de Seine-Saint-Denis, était l’invité des "4 Vérités" de France 2, vendredi 20 octobre.Le Parti socialiste a suspendu sa participation à la Nupes sur fond de crise au Proche-Orient et de désaccord sur l’attaque du Hamas du 7 octobre. "J’ai lu attentivement les résolutions du Parti socialiste ou même celles du Parti communiste : elles ne disent pas qu’il faut arrêter l’union. Elles appellent à ce que les choses s’organisent différemment. Si j’étais en situation de direction de La France insoumise, […] je pense qu’il faut prendre notre bâton de pèlerin et remettre tout le monde autour d’une table pour voir dans quelles conditions on continue", explique Alexis Corbière, député LFI de Seine-Saint-Denis, invité des "4 Vérités" de France 2, vendredi 20 octobre.
19 octobre
Les Echos - Nupes : ces 5 moments qui ont conduit à l'explosion de la coalition
Le Parti socialiste a voté mardi soir la suspension de sa participation à la Nupes, après que le Parti communiste a appelé dimanche à un « nouveau type d'union » de la gauche. L'aboutissement de longs mois de vexations et de divergences.
L'histoire retiendra que les attaques terroristes du Hamas contre Israël auront constitué le coup de grâce à la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (Nupes), cette coalition de gauche née au lendemain de l'échec de la gauche à accéder au second tour de l'élection présidentielle de 2022. Et pourtant, la division de la Nupes est ancienne et profonde.
France Info - Le Parti socialiste vote un "moratoire" sur sa participation à la Nupes
Cette décision fait notamment suite au refus de Jean-Luc Mélenchon et de son cercle rapproché de qualifier le Hamas de "terroriste", après l'attaque sanglante contre Israël.Si "Jean-Luc Mélenchon a été un facteur d'union", il est "aujourd'hui devenu un obstacle". Le Parti socialiste a voté, dans la nuit du mardi 17 au mercredi 18 octobre, un "moratoire" sur sa participation aux travaux de la Nouvelle union populaire écologiste et sociale (Nupes). Réuni pendant six heures, le conseil national du PS a pris cette décision à 54,15% des voix.INTERVIEW. Le sénateur écologiste appelle la gauche à suspendre sans plus tarder toute relation de travail avec la direction de LFI, après des dérapages « abjects ».
L’élue de Seine-Saint-Denis juge sévèrement son camp, tant LFI que l’ensemble de la NUPES. « Quel spectacle donne à voir la Nupes ? Celui de la dispute permanente et de l’éclatement. C’est affligeant », écrit-elle sur son blog.
Clémentine Autain est en « colère ». La députée LFI de Seine-Saint-Denis se désole ce mercredi 18 octobre de « l’immense gâchis » qui a été fait de la NUPES, au lendemain du moratoire du PS sur « sa participation aux travaux » de la coalition et après la prise de distance du Parti communiste français.
BFM - Ruffin, Garrido et Corbière prennent leurs distances avec les propos d'Obono sur le Hamas
"Le Hamas n'est PAS un mouvement de resistance", a insisté Alexis Corbière sur X, avant que son collègue François Ruffin ne relaye le message.En répondant à l'affirmative à la question de savoir si le Hamas était un "mouvement de résistance", ce mardi, la députée insoumise Danièle Obono s'est attiré les foudres de l'ensemble de la classe politiques. Même certains insoumis sont sortis des rangs. Tous ont pour point commun d'être classés comme "frondeurs", depuis qu'ils n'ont pas été retenus dans la direction de LFI.
La présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale a rappelé qu'un "programme de gouvernement" a été écrit avec le Parti socialiste, et a demandé de la "clarté" et du "respect" pour leurs électeurs.Une demande de clarification. Invitée ce jeudi sur l'antenne de France Inter, Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale, a été interrogée quant à la situation actuelle de la Nupes, alors que les socialistes ont pris leurs distances ces derniers jours.
Alors que des scissions sont observées au sein de la NUPES, Ifop-Fiducial pour Paris Match a interrogé les Français concernant leur préférence entre Fabien Roussel et François Ruffin.
Le « match » entre ces deux personnalités de gauche s’avère très serré, avec un léger avantage pour le leader communiste : 38% des Français déclarent préférer Fabien Roussel contre 35% pour François Ruffin. Le député picard se trouve plus apprécié auprès de l’ensemble des sympathisants de gauche (47% préfèrent François Ruffin) que Fabien Roussel (35%).
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Le JDD - Manuel Bompard recadre des voix dissonantes de la France insoumise et rejette la création d’un « courant interne »
Le coordinateur de la France insoumise a recadré les membres de l’organisation la Gauche Écosocialiste qui souhaitent constituer un « courant » au sein même du parti.
ans une missive adressée aux membres de la Gauche Écosocialiste (GES), Manuel Bompard a recadré les velléités de certains membres de l’organisation qui souhaitent former « un courant en interne » au sein même de la France insoumise (LFI).
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____________________INFO LE PARISIEN. Le coordinateur national de LFI s’est fendu d’une lettre, consultée par Le Parisien, aux dirigeants de la Gauche Ecosocialiste, un micro parti proche de Clémentine Autain, qui souhaitent former un « courant » au sein du mouvement « gazeux » de Jean-Luc Mélenchon.
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#UniversiteLVSL #4 FÉMINISME ET POPULISME - L'Histoire recommence
Pour la quatrième et dernière conférence de cette première journée, Clémentine Autain et Clara Serra débattront sur la question : "Féminisme et populisme".
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L'Obs - « Big bang de la gauche » : Clémentine Autain défie Jean-Luc Mélenchon
Après avoir critiqué la ligne populiste de LFI, la députée insoumise plaide pour « un big bang de la gauche » dans une tribune au « Monde ».
Dans l’univers si discipliné de la France insoumise, cela ressemble à une déclaration de guerre. Ce mardi 4 juin, la députée insoumise Clémentine Autain appelle dans une tribune au « Monde » à un « big bang de la gauche » afin de « construire une espérance capable de rassembler et de mobiliser ». « Le pire serait de continuer comme avant, de croire que quelques micro-accords de sommet et de circonstances pourraient suffire à régénérer le camp de l’émancipation, que l’appel à une improbable “union de la gauche” à l’ancienne serait le sésame. […] Il est temps de se parler et de s’écouter, de se respecter pour pouvoir avancer en combinant le combat pour les exigences sociales et écologiques », peut-on lire dans ce texte signé par un millier de personnes.
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___________________*Pour un Big Bang, Il est minuit moins deux. L'urgence nous oblige.
Où sont passés la colère sociale et l’esprit critique qui s’aiguisent depuis des mois dans notre pays ? Ils demeurent dans les têtes, dans les cœurs et dans la rue. Mais la situation politique est catastrophique. Au lendemain des élections européennes, le bon résultat de l’écologie politique ne peut masquer le fait que la gauche est en miettes, désertée par une très grande partie des classes populaires. La gauche et l’écologie politique sont loin de pouvoir constituer une alternative alors même que le pouvoir en place et la droite fascisante dominent la scène politique dans un face à face menaçant où chacun se nourrit du rejet de l’autre et le renforce. Le pire peut désormais arriver. Nous n’acceptons pas ce scénario. Nous devons, nous pouvons proposer un nouvel horizon.
Alors que Jean-Luc Mélenchon garde le silence, les tenants de la stratégie populiste et les partisans de l'union de la gauche se disputent la ligne du mouvement.
“La pente qui est prise est mauvaise. Il est possible de l’inverser. Mais cela est impossible si chacun ne prend pas pour lui-même ses responsabilités”. Ainsi avait réagi dimanche 26 mai Jean-Luc Mélenchon, la mine et le ton particulièrement graves, au soir de la sévère défaite enregistrée par la France insoumise aux élections européennes.