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Revue de presse mise à jour du 6 février

A LA UNE

Libé - Budget 2025 : qui sont les socialistes qui ont voté la censure, contrevenant à la position du PS ?

Alors que la majorité des députés socialistes n’ont pas soutenu la motion de censure, comme le PS l’avait annoncé lundi, quelques-uns ont tout de même voté en faveur du texte insoumis, mercredi 5 février.

6 février

Public Sénat - Un visuel diffusé par LFI associe RN et PS : Patrick Kanner dénonce « l’outrance incontrôlée » des insoumis

Auprès de Public Sénat, le chef de file des sénateurs socialistes se réjouit de la rupture entre le PS et LFI. Après des semaines de tension entre les deux partis, la diffusion d’une image dénonçant une alliance entre Olivier Faure et Marine le Pen, quelques heures après l’échec de la motion de censure portée par LFI, achève de mettre le feu aux poudres au sein du NFP.

France Info - L'abaissement du seuil de la TVA pour les auto-entrepreneurs est "une forme de racket", selon la Fédération nationale des auto-entrepreneurs

Le plafond du chiffre d’affaires pour être exonéré de la TVA, a été abaissé à 25 000 euros. Une décision qui traduit, selon Grégoire Leclercq, "une très mauvaise compréhension du tissu économique des travailleurs précaires". Il espère un projet de loi de finances rectificative pour "revenir sur cet amendement".

Libé - Qu’est-ce qu’implique la motion de censure «spontanée» déposée par le Parti socialiste ?

Alors que le groupe la France insoumise a déposé deux motions de censure après le déclenchement lundi du 49.3 par le Premier ministre, les socialistes en ont déposé une autre pour protester contre l’expression «submersion» migratoire utilisée par François Bayrou. Quelles sont les différences entre ces procédures ? «Libé» fait le point.

5 février

France Info - Motion de censure : "C'est à contrecœur" que le socialiste Boris Vallaud ne la votera pas

Le Parti socialiste a annoncé qu'il ne censurerait pas le gouvernement au nom de "l'intérêt général". "Un choix douloureux", confie le chef de file des députés socialistes mais "pas une garantie de survie" pour François Bayrou, avertit-il.

C ce soir - LE NFP signe-t-il sa fin avec le budget ? - C Ce Soir du 4 février 2025

4 février

Libé - Le Parti socialiste ne votera pas la censure de François Bayrou en réponse au 49.3

Réunis ce lundi 3 février en bureau national, les dirigeants du PS ont confirmé qu’ils ne se rallieront pas à la motion de censure du Nouveau Front populaire, malgré le passage sans vote des textes budgétaires. L’horizon s’éclaircit pour le Premier ministre.
 
 
Réuni à la mi-journée, le bureau national du Parti socialiste s'est prononcé, ce lundi 3 février, pour ne pas censurer le gouvernement sur l'accord élaboré la semaine dernière en commission mixte paritaire sur le budget 2025. Le Premier ministre, François Bayrou, va avoir recours au 49.3, cet après-midi, pour faire adopter ce texte à l'Assemblée nationale, s'exposant ainsi à une motion de censure qui sera examinée mercredi. 

1er février

France Info - Budget : les socialistes revendiquent "des victoires", malgré les critiques des insoumis

En pleine commission mixte paritaire, le PS assure avoir obtenu des avancées dans les négociations autour du projet de budget de l'État. Ces députés essaient de ne pas perdre la face, alors que des responsables LFI les accusent de compromission.
Les travaux de la commission mixte paritaire sur le budget reprennent vendredi 31 janvier. Sept députés et sept sénateurs essaient de se mettre d'accord sur le projet de loi de finances, en quête d'un compromis sur le budget de l'État, alors que plane toujours la menace de censure du gouvernement agitée par la gauche et le RN.   

31 janvier

Le Monde - Budget 2025 : les socialistes posent leurs conditions pour la reprise des négociations avant la commission mixte paritaire

Outre le retrait des propos de François Bayrou concernant la « submersion » migratoire, le PS lui demande de « ne pas toucher » à l’AME et réclame une hausse du smic. De son côté, le gouvernement a appelé le parti à ne pas prendre le budget « en otage ».

Le Parti socialiste (PS) est prêt à reprendre les négociations budgétaires si François Bayrou revient sur le terme de « submersion » migratoire qu’il a employé notamment au sujet de Mayotte et s’engage à ne pas toucher à l’aide médicale de l’Etat, ont fait savoir des représentants de la formation, mercredi 29 janvier.

30 janvier

Les Echos - Budget : la discussion se tend entre le gouvernement et les socialistes

A quatre jours d'une commission mixte paritaire décisive, le gouvernement cherche toujours un accord avec le parti socialiste, qui estime que le compte n'y est pas. A la clé, le vote d'une probable motion de censure la première semaine de février.

Le compte à rebours a commencé. Au lendemain de l'adoption du projet de loi de finances pour 2025 au Sénat, les négociations battent leur plein en vue de la commission mixte paritaire (CMP) qui réunira jeudi prochain sept sénateurs et autant de députés. Le moment est crucial. Si un accord est trouvé en CMP, le PLF sera soumis au Sénat et à l'Assemblée, avec un probable recours au 49.3 dans cette dernière. Le gouvernement de François Bayrou fera alors l'objet d'une nouvelle motion de censure, trois semaines après l'échec de la première (les socialistes et le RN ne l'avaient pas votée). Pour éviter de chuter, le Premier ministre doit satisfaire aux revendications des socialistes (ou de leur majorité) sans perdre le soutien de la droite et du bloc central, le tout en maintenant sa trajectoire budgétaire (déficit de 5,4 % du PIB cette année) avec la promesse de ne pas augmenter les impôts pour les classes moyennes et populaires…

27 janvier

BFM - Budget: pour Olivier Faure, "si la copie reste celle du Sénat, à l'évidence les socialistes censureront"

Invité ce dimanche 26 janvier sur BFMTV, le premier secrétaire du PS Olivier Faure a confirmé que le budget tel qu'il a été voté par les sénateurs cette semaine ne pourrait qu'aboutir à un vote de censure de la part des députés socialistes.

Pour Olivier Faure, "en l'état, le compte n'y est pas". Invité ce dimanche 26 janvier sur BFMTV, le premier secrétaire du Parti socialiste a prévenu que les socialistes voteraient la censure du gouvernement Bayrou si le budget présenté correspondait à la copie validée plus tôt cette semaine par les sénateurs.

20 minutes - Nouveau Front populaire : Olivier Faure se moque du « combat » de dinosaures entre Hollande et Mélenchon

GAUCHEAu lieu d’un « combat entre un tyrannosaure et un diplodocus », le Premier secrétaire du PS veut « une gauche capable de se fédérer »

26 janvier

Ici - Jérôme Durain, sénateur socialiste de la Saône-et-Loire : "le narcotrafic tue plus que le terrorisme"

Le sénateur socialiste de Saône-et-Loire Jérôme Durain, co-auteur d'un rapport sur l'état des prisons en France et sur la nécessité de mieux lutter contre le narcotrafic, défend une proposition de loi au Parlement. Texte qui fait écho aux violences urbaines de ce weekend à Mâcon.

21 janvier

HuffPost - François Hollande assure que le PS a « la clé jusqu’en 2027 », ces socialistes expriment leur malaise

L’ancien président, qui a accordé une interview à « La Tribune dimanche », s’est fait remonter les bretelles par une bonne partie des députés PS.

Des propos en apparence banals qui ont, en réalité, contribué à mettre le feu à gauche, et singulièrement au sein de son propre parti. « Ce n’est pas François Hollande qui dicte la stratégie du Parti socialiste. Il est paradoxal d’avoir à rappeler cela, en 2025, a fustigé la députée européenne Chloé Ridel sur BFMTV. Nous devons conserver un cap clair : le rassemblement de la gauche pour transformer radicalement la société ».

Fondation Jean Jaurès,Joceran Gouy-Waz  - Redressement des finances publiques et investissements d’avenir : comment mieux répartir l’effort entre les générations

Face à la situation financière dégradée et au regard des défis écologiques, Joceran Gouy-Waz, normalien et agrégé de sciences économiques et sociales, propose dans cette note de l’Observatoire de l’économie de la Fondation une mise à contribution des retraités les plus favorisés à travers plusieurs mesures qui répondraient aux enjeux de justice sociale, environnementale et d’efficacité économique.

Introduction 

La France se caractérise aujourd’hui par une situation financière dégradée1 alors que les grandes transformations en cours, principalement écologique et démographique, impliquent des besoins de financement accrus dans les années qui viennent2. Nous soutenons dans cette note qu’une mise à contribution accrue des retraités les plus favorisés constitue la mesure la plus pertinente, à la fois en termes de justice sociale et d’efficacité économique, pour rétablir une trajectoire soutenable sans obérer nos chances de relever les grands défis économiques à venir. 

20 janvier

Les 4 vérités - Philippe Brun

Libé - François Bayrou est-il revenu sur une promesse faite aux socialistes en baissant l’indemnisation des agents publics malades ?

 

Le Figaro - Jean-Luc Mélenchon n'est pas «le chef» du Nouveau Front populaire, tacle Olivier Faure

«Si à chaque désaccord, il organise une purge comme il a déjà pu le faire dans son propre parti, il finira tout seul», a pointé le premier secrétaire du Parti socialiste dans un entretien à La Dépêche.

Jean-Luc Mélenchon, qui accuse les socialistes de «forfaiture» après leur refus de censurer le gouvernement jeudi, «n'est pas le chef du Nouveau Front populaire», souligne le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure dans un entretien à La Dépêche, ce 18 janvier.

19 janvier

Marianne - Jean-Luc Mélenchon estime que le Parti socialiste n’est plus "un partenaire" et Hollande une "machine à tromper"

Qui dit dimanche dit entretiens politiques. Invité de RTL et Public Sénat ce 19 janvier, Jean-Luc Mélenchon en a profité pour régler ses comptes avec le Parti socialiste et l'ancien président de la République, François Hollande. L'union de la gauche semble de plus en plus fracturée, à l'approche du vote du budget.

Le Monde - Après la non-censure du gouvernement, François Hollande considère que les socialistes « constituent le pôle central » de l’Assemblée nationale

« Rien ne peut se faire sans [les socialistes], ni contre eux », juge l’ancien président, redevenu député, alors que le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a engagé une négociation avec le premier ministre, François Bayrou, plutôt que de censurer son gouvernement.

18 janvier

HufPost - En esquivant la censure, le Parti socialiste a-t-il (vraiment) sauvé François Bayrou ?

Si le Premier ministre a échappé à une première motion de censure, cela ne signifie pas que le PS a renoncé à utiliser cette arme. Explications.

Car non, un vote du groupe présidé par Boris Vallaud n’aurait en aucune façon provoqué la chute du gouvernement, puisque le RN (ostensiblement absent de l’hémicycle) avait annoncé son refus de voter la censure. Or, sans les voix du parti d’extrême droite, il est impossible de faire tomber un exécutif soutenu par le bloc central et son nouvel allié LR. Par ailleurs, le Parti socialiste n’a pas renoncé à censurer le gouvernement.

Ouest France - Censure, budget, retraites… Friture sur la ligne au NFP, Olivier Faure étrille Jean-Luc Mélenchon

Pour le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Luc Mélenchon n’est « pas le chef » du Nouveau Front populaire et s’expose à finir « tout seul ». Olivier Faure défend l’autonomie du PS et son choix d’avoir noué un début de compromis avec François Bayrou et son gouvernement.

18 janvier

Le nouvel Obs - La non-censure de François Bayrou ou la petite rupture d’Olivier Faure

Analyse  Après d’âpres débats, les députés PS ont finalement choisi de ne pas censurer le gouvernement. Et pris ainsi leurs distances avec La France insoumise qui les accuse de trahison.

Quelque chose a bougé à gauche ce jeudi 16 janvier. Après des débats parfois houleux, les députés du Parti socialiste (PS) ont finalement décidé de ne pas censurer François Bayrou, s’attirant aussitôt les foudres du leader insoumis Jean-Luc Mélenchon. Cette décision n’a pas été simple à prendre. Il a fallu d’ultimes concessions de la part du maire de Pau et plusieurs réunions parfois tendues pour y parvenir.

17 janvier

20 minutes - Gouvernement Bayrou : Pourquoi le Parti socialiste ne vote pas la censure du gouvernement (tout de suite) ?

ASSEMBLEELe groupe socialiste, qui souhaite se détacher de la stratégie des insoumis, ne va pas voter la censure du gouvernement de François Bayrou

Le Figaro - Les députés socialistes ont décidé de ne pas censurer le premier ministre

Cette décision a été actée mercredi après-midi lors d’une réunion du groupe parlementaire et entérinée jeudi par le bureau national.

Au bout du suspense, les 66 députés socialistes ont décidé de ne pas censurer le gouvernement Bayrou. La décision a été prise au terme de plusieurs heures de discussions lors d’une réunion de groupe mercredi après-midi à l’Assemblée nationale, où une large majorité des participants s’est exprimée en faveur de la non-censure. «On a maintenu le doute sur notre position jusqu’au bout pour tenter d’obtenir davantage de Matignon», souffle un élu. Une stratégie payante puisqu’une lettre du premier ministre aux présidents de groupe parlementaire a lâché d’ultimes concessions aux socialistes jeudi à la mi-journée.

Ouest-France - Motion de censure : qui sont les députés PS qui n’ont pas suivi Olivier Faure et qui ont voté pour ?

Huit députés socialistes ont voté la motion de censure déposée par La France insoumise et finalement rejetée jeudi 16 janvier. Une décision prise contre l’avis du premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure. Qui sont-ils ? On fait le point

16 janvier

Boris Vallaud s'exprime après la déclaration de politique générale de François Bayrou

Coup de gueule de Marine Tondelier sur le discours de politique générale de François Bayrou

"Tant que vous vous obstinerez à ne rien changer, nous n’aurons d’autre choix que censurer. "

Les 4 vérités - Boris Vallaud

RMC - Retraites, budget… les socialistes sont en colère: "On s'est fait promener pendant une semaine"

 

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