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robespierre

  • #ÉphémérideLVSL LE 9 THERMIDOR AN II (27 JUILLET 1794), ROBESPIERRE EST RENVERSÉ

    Ce jour marque le plus grand basculement de la Révolution française. Robespierre et ses alliés jacobins sont renversés par une coalition conservatrice, appuyée par quelques éléments ultra-révolutionnaire. S'ouvre alors la période thermidorienne, où l'on se met à déplorer les "excès" de la Révolution et à revenir sur ses réformes essentielles...

  • LE 21 JUIN 1793 : LA DEVISE DE NOTRE RÉPUBLIQUE EST NÉE

    Dans un contexte de radicalisation de la Révolution française, la devise "Liberté, Égalité, Fraternité" est inscrite sur la maison de la Commune de Paris. Formulée pour la première fois par Robespierre en tant que telle, elle témoigne de l'ambition de la jeune République : fonder un nouveau contrat social basé sur la souveraineté populaire. Abandonnée sous le Directoire, elle devient la devise officielle de la Deuxième République, puis des suivantes.

  • France Culture - Robespierre : intransigeance républicaine ou terrorisme étatique ?

    Dictateur sanguinaire ou républicain incorruptible ? Robespierre est l'une des figures les plus clivantes de l’Histoire de France. L'historien et philosophe Marcel Gauchet nous explique comme ce petit avocat d'Arras a réussi à se hisser au sommet de la Révolution française.

  • Robespierre, incorruptible ou tyran Marcel Gauchet ?

    Marcel Gauchet s’attaque au personnage le plus controversé de l’Histoire de France : « Robespierre ». Fut-il un tyran ou un démocrate, un monstre ou un visionnaire ? Les deux, répond le philosophe qui livre une passionnante analyse de la complexité d’un homme qui fut à la fois le défenseur des Droits de l’Homme et de la terreur. C’est aussi le portrait d’une époque, la Révolution française, dont l’onde se propage jusqu’à aujourd’hui. Un ouvrage publié aux éditions Gallimard.

  • Le Vent se lève - Comment la chute de Robespierre a inauguré le règne des technocrates

    « Maximilien Robespierre, la veille encore l’homme le plus puissant de France, est étendu, couvert de sang et la mâchoire fracassée. Le grand fauve est capturé. La Terreur prend fin. Avec elle s’éteint l’esprit enflammé de la Révolution ; l’ère héroïque est terminée. C’est l’heure des héritiers, des chevaliers d’industrie et des profiteurs, des faiseurs de butin et des âmes à double visage, des généraux et des financiers ». C’est par ces mots que Stefan Zweig évoque le 9 Thermidor an II (27 juillet 1794), qui a vu l’arrestation de Robespierre et de ses alliés. C’est une certaine conception de la République qui meurt : le jacobinisme, qui a marqué ses contemporains par son caractère violemment plébéien, « populiste », dirait-on aujourd’hui, et donc résolument conflictuel. Il laisse la place au règne du consensus, du compromis, de la « modération ». On proclame la fin des conflits et des idéologies (des « opinions », disait-on alors). On souhaite achever cette ère d’agitation et de guerre civile qui s’est ouverte en 1789. Pour cela, on décide de transférer le pouvoir à une classe restreinte, qui se distingue par sa maîtrise de l’art politique et de la science économique, suffisamment sage, dit-on, pour gouverner dans l’intérêt de tous.

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