Pour soutenir la croissance, rien ne vaut les souteneurs. Pour la doper : la drogue.
C’est par ces termes que débutait un billet que j’avais publié en 2015 sous le titre « En Italie, la prostitution et la drogue vont gonfler le PIB. L’INSEE résiste ».
Deux ans de résistance, c’est déjà honorable quand les pressions sont aussi fortes. Pour l’instant, l’Insee ne cède que pour les drogues, c’est louable aussi. Mais franchement, cet économisme où tout semble reculer devant la logique du fric, quelle qu’en soit l’origine et l’usage, dans ce jeu de cour de récré pour savoir qui a le plus gros (PIB), me gonfle.
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