Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 7

  • OFCE - Pourquoi rendre le congé de paternité obligatoire ? par Hélène Périvier

    Le gouvernement engage une réflexion sur une réforme du congé de paternité. Un rapport vient d’être demandé à l’Inspection générale des affaires sociales. Aujourd’hui, les pères salariés[1] ont droit à 11 jours calendaires consécutifs au titre du congé de paternité. Indemnisé par la Sécurité sociale dans les mêmes conditions que celles du congé de maternité, le congé de paternité est optionnel. Un allongement de la durée de ce congé est envisagé alors que l’idée de le rendre obligatoire semble être écartée, au vu des déclarations de Marlène Schiappa, Secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes et de Muriel Pénicaud, Ministre du Travail.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • L'élection du Premier secrétaire du PS « pourrait se passer d’un mélange des genres », selon Patrick Kanner

  • PS: Vallaud apporte son soutien à Faure pour le poste de premier secrétaire

    Boris Vallaud, porte-parole du groupe Nouvelle gauche à l'Assemblée, a apporté son soutien à Olivier Faure pour le poste de premier secrétaire du PS. Il a notamment salué sa capacité à rassembler et à "tisser des compromis".

  • Le Parisien - Présidence du PS : Olivier Faure tient la corde

    Il est rarement confortable de faire la course en tête. Olivier Faure est en train d’en prendre conscience… Voilà plusieurs jours que le candidat à la tête du PS, drapé dans des habits de favori précaires, subit un feu nourri de critiques de la part de ses concurrents. Entre tacles bien sentis et coups bas dissimulés.

    « Le procès qui va m’être fait, c’est de rassembler trop large », a voulu déminer l’élu de Seine-et-Marne lundi soir, lors d’une réunion publique parisienne devant une grosse centaine de militants (la presse avait été conviée), dans un bar de Belleville.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Le Figaro - Congrès du PS : Emmanuel Maurel dénonce «les boules puantes indignes»

    Candidat au poste de premier secrétaire du PS, l'eurodéputé Emmanuel Maurel espère 30 à 40.000 votants.

    A défaut de captiver les foules, la campagne interne au Parti socialiste pour désigner le prochain premier secrétaire, vire à l'aigre. Le favori, Olivier Faure, est régulièrement visé par ses rivaux. Quand il n'est pas accusé par les proches de Stéphane Le Foll d'être le «symbole d'un parcours et d'une candidature parisienne», c'est l'emploi de sa femme -membre du cabinet d'Emmanuel Macron à l'Elysée avant d'avoir démissionné récemment - qui devient un sujet de campagne... Quant à Stéphane Le Foll et Olivier Faure, ils sont «les frères jumeaux du Hollandisme», dixit le député Luc Carvounas...

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Paris Match - L'ex-frondeur Christian Paul lance "Monde commun" pour "réinventer la gauche"

    Christian Paul a lancé samedi le mouvement "Monde commun". 

    L'ancien député "frondeur" Christian Paul a lancé samedi le mouvement "Monde commun", qu'il a décrit sur son site internet comme un centre de réflexions et une "pépinière de projets" destinée à "réinventer la gauche et irriguer ses programmes".

    Lire la suite
    ______________
    ______________

    Le site du Monde Commun

  • Un peu d'histoire - France Culture - Qu'avons-nous fait de nos 35 heures ?

    La loi Aubry fixant la durée hebdomadaire du temps de travail à 35 heures fête ses 20 ans cette année. Depuis son entrée en vigueur elle n'a cessé d'être vilipendée par la droite et le patronat et sont aujourd'hui détricotées par les ordonnances Macron. Les 35 heures, totem ou tabou ?

    Dans les années 90, en Europe, l'idée du partage du travail passant par la réduction du temps de travail était une idée novatrice, faisant plutôt consensus dans les milieux politico-économiques. Des sociétés expérimentent la baisse de la durée hebdomadaire du travail, avec différentes formules, comme en Allemagne, par exemple Volkswagen. Ce thème est aussi repris par certains patrons français, comme Antoine Riboud, le fondateur de Danone, ou Claude Bébéar, le patron d'Axa. La droite, au pouvoir, propose une législation non contraignante basée sur le seul volontariat des entreprises : c'est la loi Robien, rédigée par Gilles de Robien. 

    Lire la suite
    _____________________
    _____________________

  • L'actualité des socialistes du 2 au 8 février

    LEGISLATIVES

    Le Figaro - Jérôme Sainte-Marie : «Les élections partielles de dimanche sont un retour aux réalités démocratiques»

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Les résultats des élections législatives partielles de ce week-end, remportées toutes les deux par les candidats des Républicains, ont porté un premier coup à «l'état de grâce» dont bénéficiait jusqu'à présent Emmanuel Macron. Jérôme Sainte-Marie en tire les leçons pour Figarovox.

    PS

    Le Vent se lève - Emmanuel Maurel : « Macron est la queue de comète du cycle néolibéral finissant »

    Député européen, animateur de la gauche du Parti Socialiste, et désormais candidat à la tête du PS, Emmanuel Maurel nous livre ses déceptions, ses espoirs et ses ambitions pour la social-démocratie. Avant de prendre d’assaut la rue de Solférino – avant qu’elle ne déménage -, Emmanuel Maurel revient sur les causes de l’échec de Benoît Hamon, sur l’état de la social-démocratie en Europe ainsi que sur les raisons qui l’ont poussé à présenter sa candidature à la tête du PS. Analysant la succès de Macron, il défend une large unité de ce qu’il appelle la gauche pour croiser le fer avec le Président de la République.

    Fondation Jean Jaurès, Rémi Lefebvre - Après la défaite. Analyse critique de la rénovation au Parti socialiste (2002-2007-2017)

    2002, 2007, 2017 : le Parti socialiste a subi trois grandes défaites ces quinze dernières années. À chaque fois, le même diagnostic. À chaque fois, la même réponse, qui tient en un mot : rénovation. En 2002 et 2007, les dirigeants socialistes ont donné le change sans changer la donne : le changement annoncé n’a pas été pas au rendez-vous. Qu’en sera-t-il en 2018, où la refondation a remplacé la rénovation ? Le parti dépassera-t-il l’incantation alors que son existence même est désormais en jeu ? Rémi Lefebvre propose ici une analyse critique des discours de l’organisation sur ses défaites.

    Le Parti socialiste a essuyé en avril et juin 2017 une double défaite historique. Le candidat socialiste Benoît Hamon est arrivé en sixième position à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle, avec 6,36 % des suffrages exprimés. À l’issue des élections législatives, le groupe parlementaire socialiste, rebaptisé Nouvelle Gauche, a atteint un étiage historique, passant de 284 à 31 députés. Les conséquences de la défaite sont immédiates et tangibles. Le 19 septembre, l’annonce est faite de la vente du siège de Solférino.

    Fondation Jean Jaurès, JC Cambadelis - La gauche de demain sera girondine

    Si Jean-Christophe Cambadélis a quitté la tête du Parti socialiste, il reste convaincu de la pertinence de l’idée socialiste. Une idée à rénover, à refonder, à réinventer. C’est ce à quoi il s’attelle ici, en présentant un projet de société – le nouveau progressisme – et en appelant l’ensemble des forces de gauche à le construire, sans conditions et avec convictions. Vingt et une précisément, et une en particulier : l’urgence de bâtir une France radicalement décentralisée. Une tâche exaltante pour la gauche de demain, qui devra être girondine.

    Sommaire
    Refonder le progressisme
    L’autre France
    21 convictions pour un nouveau progressisme

    CHRISTOPHE GUILLUY

    Le Vent se lève - Les trois France : entre périphéries et métropoles

    La polémique, politique et scientifique, liée aux publications du géographe Christophe Guilluy continue à faire rage. Outre les attaques politiques dont il a fait l’objet – et qui sont pour certaines justifiées -, il convient ici de se pencher sur les critiques sociologiques qu’il a subies, et auxquelles il nous semble opportun de répondre en contribuant à affiner les analyses du géographe et à les compléter par l’adjonction d’un autre paradigme.

    Selon Christophe Guilluy, notre système économique est entré dans une dynamique de métropolisation, qui induit une fracture de plus en plus profonde entre la « France des Métropoles » et la « France Périphérique ». La première, composée de toutes les agglomérations de plus de 300.000 habitants, voit se concentrer sur son sol l’essentiel des flux économiques, des emplois et de la croissance. La « France Périphérique » pour sa part, qui abrite la majorité des “classes populaires”, souffre de sa marginalisation économique et politique.

    CALAIS

    Slate - Et si à Calais, comme à Notre-Dame-des-Landes, naissait un nouveau monde?

    La venue de Macron à Calais a encore empiré les relations avec nombre d'associations, qui lui reprochent sa politique migratoire. Mais cet affrontement dépasse peut-être cette question pour dire quelque chose sur le monde que l'on veut.

    Emmanuel Macron est venu en personne, à Calais, donner un grand coup de pied dans la fourmilière. Histoire de voir. De juger des effets de son coup de force sur le climat de tension qui pèse entre les autorités et les quelque 500 migrants revenus en ville, dans l’espoir de trouver un passage pour l’Angleterre.

    Le chef de l’État ne livre pas les noms de ceux qu’il accuse de «mensonges» et de «manipulations», mais dans l’assistance qui se presse à son discours, le 16 janvier, dans les locaux de la gendarmerie de Calais, personne n’ignore qu’il vise directement les associations locales d’aide aux migrants. À commencer par les plus connues: l’Auberge des Migrants, Utopia 56, Salam, et les antennes régionales du Secours catholique et de Human Rights Watch, toutes soupçonnées de chercher à contrecarrer la politique migratoire du gouvernement.

    MENNEL

    Reseau1905 - Association pour la défense de la laïcité - Mennel peut toujours chanter. L'important est de savoir « d'où elle chante ». Par Charles Meyer

    Être musulman, maghrébin ou oriental, ce n'est pas kiffer Ennasri, Iquioussen, Baraka city, Havre de savoir, ce n'est pas traiter son gouvernement de «terroriste» peu après une boucherie à Nice.
    Ça, c'est être islamiste.
    Les associations laïques et républicaines se battent sur deux fronts. L'extrême-droite et l'islamisme, une forme nouvelle d'extrême-droite. Il n'est pas toujours évident de faire passer un message, pourtant simple : l'islamisme n'est pas l'islam et la stratégie d'entrisme des islamistes est éprouvée dans de multiples sociétés, à travers l'histoire. C'est une stratégie élaborée autour de la dissimulation et du mensonge auxquels succèdent l'entrisme et enfin, la consécration du dogme : le pouvoir.

    UBER

    Télos - Une intrigante contradiction dans le modèle économique des plateformes numériques

    On n’a guère parlé de la différence majeure entre le modèle économique des taxis traditionnels et celui des plateformes VTC à la Uber. Le contrat entre Uber et ses chauffeurs relève d’une commission définie en pourcentage de la recette brute du chauffeur (égale à 25% dans le cas d'Uber) tandis que celui du taxi traditionnel est une commission ou un loyer fixe. Ce dernier loue sa plaque en France, ou son Medallion aux États-Unis, ou encore – cas plus fréquent en France – il l’achète et l’amortissement de l’emprunt représente son coût fixe. Si sa recette dépasse ce coût fixe, il empoche 100% du gain additionnel. Dans le cas d’Uber, quoi qu’il fasse, le chauffeur ne touche que 75% de ce gain[1].

    Ce fait est à relier avec une information passée sous silence : les apprentis chauffeurs ont tendance ces derniers temps en France, lors de l’examen d’homologation, à choisir d’être taxis traditionnels plutôt que de travailler en VTC. Un article publié récemment sur Vox-EU du 8 décembre 2017 par trois économistes (l’un d’entre eux étant le chef économiste d’Uber) fait la même observation pour les États-Unis : les chauffeurs très performants préfèrent quitter Uber et travailler sous le régime du Medallion (via des réseaux qui disposent désormais des mêmes logiciels de réservation et de cartographie qu’Uber – ce n’est donc plus un trait distinctif des nouveaux acteurs dits numériques).

    RAMADAN

    Le JDD - Caroline Fourest à propos de Tariq Ramadan : "Je n'ai jamais croisé un manipulateur aussi dévastateur"

    L'essayiste et journaliste Caroline Fourest ferraille depuis longtemps contre le théologien musulman Tariq Ramadan accusé de viols et dont elle fut l'une des premières à dénoncer le double langage.

    Qu'avez-vous ressenti en apprenant que Tariq Ramadan avait été mis en examen et écroué?
    Je suis soulagée pour les victimes qui se reconstruisent à travers cette procédure, notamment "Christelle", avec laquelle je suis en contact depuis presque huit ans. À l'issue de la confrontation, elle a commencé à sortir de l'humiliation. Je suis aussi soulagée pour ­l'Europe et pour les musulmans.

  • L'élection du Premier secrétaire du PS « pourrait se passer d’un mélange des genres », selon Patrick Kanner

    À deux mois du congrès socialiste, qui se tiendra après l’élection du Premier secrétaire du parti le 29 mars, les camps se dessinent. Soutien affiché de Stéphane Le Foll, le président du groupe PS au Sénat s’engage à ne pas « importer les débats du Congrès au sein » de son groupe et invite, entre les lignes, son homologue à l’Assemblée nationale, Olivier Faure, à faire de même.   

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Affaires Darmanin et Hulot : Laurence Rossignol estime que "le gouvernement est imprudent"