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  • PS : Asile-immigration : un projet de loi qui sacrifie la dignité ne peut être efficace ni équilibré

    Le Parti socialiste déplore le climat dans lequel s’ouvre l’examen du projet de loi relatif à l’asile et à l’immigration. Des violences policières à Calais à la circulaire Collomb, en passant par la loi Warsmann, le Gouvernement a échoué à créer les conditions d’un débat serein sur un enjeu essentiel.

    Les explications du Ministre de l’Intérieur n’ont d’ailleurs toujours pas convaincu de l’opportunité d’une nouvelle loi, quelques mois seulement après celles du 7 mars 2016 et du 29 juillet 2015. D’autant que la réforme du régime d’asile européen commun est en cours de discussion au sein des institutions européennes et qu’il faudra probablement modifier l’actuel projet de loi…

    En affirmant que le projet de loi est « totalement équilibré », le Ministre de l’Intérieur s’en remet à la méthode Coué. Les quelques rares avancées du texte ne sauraient nous faire oublier que ses principales mesures dégradent les conditions de travail des associations et des instances administratives et fragilisent le droit d’asile que le gouvernement prétend pourtant défendre. Une fragilisation du droit d’asile face à laquelle le Conseil d’Etat a estimé devoir intervenir dans sa décision du 20 février sur la « circulaire Collomb », décidant spécifiquement « que le recensement ne peut être fait que sur la base du volontariat pour les étrangers et pour les gestionnaires de centre ».

    En instaurant une forme de « dissuasion migratoire », ce projet de loi marque une rupture avec la politique républicaine engagée sous le précédent quinquennat qui avait su concilier dignité de l’accueil des personnes et efficacité des procédures dans le respect de l’Etat de droit.

    A l’occasion de l’examen parlementaire, le Parti socialiste fera des propositions afin qu’un véritable débat ait lieu. A une logique de gestion des flux, il opposera la bataille de la dignité qui se fonde notamment sur une amélioration de la protection des migrants, l’organisation d’un premier accueil et la continuité de l’accompagnement.

  • Cambadlis aux "Enfants de la Politique", le premier talk show politique pour et par les jeunes, avec VL, le media jeune, et le HuffPost

  • Un peu d'histoire - Les fonctionnaires sont ils des privilégiés : plateau invités (INA, 1999)

    Thème du débat de ce soir à la salle "Wagram" : les fonctionnaires sont ils des privilégiés ? avec autour d'Arlette CHABOT et Alain DUHAMEL, Alain MADELIN, président de "démocratie libérale" et Jean Claude GAYSSOT, ministre PCF des transports, de l'equipement et du logement. Participent egalement au debat - Monique VUAILLAT, secrétaire général du "SNES-FSU", syndicat d'enseignants du second degré - Annick COUPÉ, syndicaliste a "SUD PTT" - Guillaume SARKOZY, vice président de l'Union des industries textiles - Michel GODET, economiste, professeur au Conservatoire des arts et metiers - et Philippe MANIÈRE, redacteur en chef au "Point". rop dur".

  • Le Point - Le MJS, nouveau frondeur du Parti socialiste

    Après l'élection controversée de l'éco-socialiste Roxane Lundy à la tête du MJS, la menace d'un divorce avec l'organisation de jeunesse plane sur le PS.

    Avis de tempête au MJS. La nouvelle présidente de l'organisation, Roxane Lundy, doit faire face à deux fronts. D'un côté, des divisions internes, qui menacent l'unité du mouvement au bord de l'implosion. De l'autre, des désaccords avec la direction du PS, qui remet en cause l'autonomie de l'organisation. Retour sur une situation explosive.

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  • Macron va-t-il sécuriser nos pensions de retraite ?

    C'était une des promesses de campagne d'Emmanuel Macron. La réforme des retraites devrait être finalisée avant l'été 2019, c'est ce qu'a annoncé le chef de l'Etat devant la Cour des Comptes ce lundi. Cette réforme peut-elle vraiment remettre le système à l’équilibre ? L'analyse de Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE. Boursorama du 23 janvier présenté par David Jacquot sur boursorama.com

  • Le JDD : Emmanuel Maurel préfère le François Hollande de 2012 plutôt que celui de 2017

    Candidat au congrès du Parti socialiste, Emmanuel Maurel joue le jeu de l'interview du JDD qui ne lui laisse le choix qu'entre deux options.

  • Telos - Le mythe des « deux France »

    L’idée que la France est coupée en deux et que le clivage social se superpose à un clivage géographique, opposant la France des métropoles à la « France périphérique », est solidement ancrée dans l’opinion. C’est pourtant, à ce degré de généralité, une idée fausse.

    Je l’avais déjà écrit dans Telos en rendant compte des ouvrages de Christophe Guilluy qui a popularisé ces thèses. Pour le faire je m’étais appuyé sur une série de travaux de géographes et d’économistes publiés dans la très bonne revue de l’Insee Economie et statistique, notamment un numéro consacré en 2008 aux « disparités territoriales ». Il se trouve que cette revue récidive, presque dix ans après, en publiant un numéro spécial consacré aux « Régions et territoires »

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  • Un peu d'histoire : 23 février 1848 : La promenade des cadavres

    Le 23 février 1848, l'armée tire sur la foule boulevard des Capucines. Des cadavres déposés sur un chariot par les manifestants sont « promenés » à travers Paris, ce qui relance l'insurrection.

    23 février 1848. La veille, la garde nationale a refusé de disperser les manifestants et le roi Louis-Philippe a fini par renvoyer le président du Conseil Guizot. Mais malgré cette victoire, les tensions restent vives.

    Ce soir-là, un groupe d'émeutiers a décidé d'aller huer Guizot sous sa fenêtre. Boulevard des Capucines, la rue est barrée par le 14e régiment d'infanterie de ligne. Se croyant menacé, il ouvre le feu, avec un résultat tragique : 35 à 50 manifestants périssent sous les balles de la garde nationale.

    Le Siècle du 24 février raconte en direct la confusion qui agite la capitale, dans un article écrit en pleine nuit 

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  • Un peu d'histoire - Retronews, 22 février 1848 : le peuple parisien est dans la rue

    Le 22 février, ignorant l'interdiction par le gouvernement d'un banquet réformiste, les Parisiens manifestent aux cris de « Vive la Réforme ! », bientôt rejoints par une partie de la Garde nationale.

    Février 1848. En ces temps d’épidémie, de choléra, de disette, de crise financière et de rivalités politiques, la Monarchie de juillet est dans une mauvaise passe. Dix-huit ans après les avancées de 1830, qui avaient fait accéder le peuple français à une monarchie constitutionnelle, la situation est difficile pour nombre de Français. 

    Sous des dehors « bonne poire », Louis-Philippe est un roi autoritaire. Son gouvernement a pris des mesures anti-ouvrières (interdictions du droit de grève et du droit d’association) et appuie essentiellement son pouvoir sur la haute bourgeoisie, dont les affaires se sont considérablement développées. 

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