Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 10

  • Oxfam - Revenus, patrimoine, richesses, pauvreté : quelques repères pour mieux comprendre les inégalités

    Pourquoi les inégalités de richesses sont un problème dans la lutte contre la pauvreté ?

    C’est un constat unanimement partagé aujourd’hui, à commencer par les grandes institutions internationales comme le Fonds Mondial International (FMI) et la Banque Mondiale : les inégalités extrêmes ont des impacts économiques, politiques et sociaux très négatifs.

    Les inégalités sont non seulement un frein à la croissance mais surtout elles empêchent les personnes pauvres d’améliorer leurs conditions de vie.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Le Parisien - Parti socialiste : les femmes veulent investir le congrès

    Plusieurs initiatives proposent de renforcer la parité au sein du parti.

    Le prochain congrès du PS se conjuguera uniquement au masculin. Quatre candidats (Carvounas, Faure, Le Foll, Maurel) et la peur, chez certaines socialistes, que le combat féministe ne soit porté que du bout des lèvres. Du coup, elles multiplient les déclarations pour rappeler que cette lutte a vocation à demeurer partie intégrante de l'ADN du PS.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • L'actualité des socialistes : revue de presse hebdomadaire du 26 janvier au 1er février

    A LA UNE

    Le Point - Parti socialiste : quatre hommes pour un destin

    Faure, Le Foll, Carvounas et Maurel s'opposent pour prendre la tête du Parti socialiste. Tour d'horizon de leurs soutiens et de leurs propositions.

    Ils sont finalement quatre sur la ligne de départ. Quatre hommes à avoir obtenu le nombre suffisant de parrainages lors du conseil national du 27 janvier pour se présenter à l'élection du douzième premier secrétaire du Parti socialiste : Olivier Faure, Stéphane Le Foll, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel. Textes d'orientation et listes des soutiens sous le bras, ils feront campagne au moins jusqu'au 15 mars dans la plupart des fédérations et sections du pays, date à laquelle les militants du parti à la rose (environ 40 000 espérés) voteront pour les départager et ainsi refonder les instances du parti.

    MARK LILLA

    Libé, Laurent Joffrin - Quand l’identité a fait sombrer la gauche américaine

    Contempteur de la politique démocrate «versus» Clinton et Obama, l’historien Mark Lilla reproche aux progressistes d’avoir abandonné les classes populaires au profit des minorités. Un essai qui fait polémique outre-Atlantique.

    Voilà un Américain de gauche (un «liberal», dit-on aux Etats-Unis) qui énerve autant la gauche que la droite. Mark Lilla est un professeur d’histoire des idées à l’université Columbia qui est soudain devenu le centre d’une furieuse polémique. Né à Detroit, habitant aujourd’hui Brooklyn, il écrit régulièrement dans la New York Review of Books et dans le New York Times. Son petit livre, The Once and Future Liberal («l’homme de gauche d’hier et de demain»), a suscité un tumulte du diable dans les cercles de la gauche américaine, universitaire ou militante.

    Le Figaro - Mark Lilla : «L'idéologie de la diversité a effacé le grand récit de l'histoire américaine»

    L'historien américain des idées a accordé un entretien fleuve au FigaroVox. Pour le professeur de Colombia, l'élection de Donald Trump à la Maison-Blanche a mis en lumière les limites et les dangers de la politique des identités particulières.

    Mark Lilla est un politiste, historien des idées et journaliste américain né en 1956. Professeur d'Humanités à l'Université de Colombia, spécialiste de l'héritage des Lumières, il vient de publier The Shipwrecked Mind (éd. New York Review Books, 2016).

    LAICITE

    Le Monde - Les signe religieux « ostensibles » interdits dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale

    Le texte adopté recommande aux députés une tenue vestimentaire « neutre » et une « expression exclusivement orale ». Une mesure qui va contre la liberté d’expression pour certains élus.

    De 1945 à 1951, l’abbé Pierre, député (apparenté MRP, c’est-à-dire démocrate-chrétien) de Meurthe-et-Moselle, siégeait en soutane dans l’hémicycle. Une telle situation ne pourra plus se reproduire. Le bureau de l’Assemblée nationale a adopté, mercredi 24 janvier, une mesure interdisant le port de signes religieux « ostensibles » et contraignant les députés à avoir une tenue vestimentaire « neutre ».

    GAFA

    Le Vent se lève - Comment les multinationales sont en train de reprendre le pouvoir sur internet – Entretien avec Juan Branco

    Le monde de l’information traverse une période de mutations dont l’issue est incertaine. Face à l’influence déclinante des médias traditionnels, les réseaux sociaux s’imposent comme des plateformes incontournables ; longtemps considérés comme des îlots de liberté face aux médias officiels, ils sont pourtant investis par une logique de marchandisation et de contrôle de plus en plus étroit de la part des multinationales… Juan Branco est avocat de Wikileaks. Docteur en droit, il analyse les bouleversements auxquels est sujette l’information (et, plus largement, la politique) dans le monde de Facebook et Google.

    TEMPS DE TRAVAIL

    Libé - Temps de travail: France-Allemagne à fronts renversés

    Malgré un chômage au plus bas, la réduction du temps de travail a le vent en poupe outre-Rhin, alors que dans l’Hexagone, pourtant en moins bonne posture, la question est passée de mode.

    C’est le paradoxe France-Allemagne. Du moins en apparence. Alors qu’outre-Rhin, le taux de chômage est au plus bas depuis la réunification, provoquant, notamment dans l’industrie, des difficultés de recrutement, le mouvement syndical revendique une nouvelle baisse du temps de travail. Or qui dit RTT dit embauches supplémentaires, donc accroissement des difficultés de recrutement pour les employeurs. A l’inverse, dans l’Hexagone, où le chômage peine à descendre franchement en dessous des 10 %, plus personne ou presque n’évoque la question.

    ALSTOM

    Le Monde - Alstom-Siemens : une plainte pour « négligence » qui vise l’Etat

    L’association anticorruption Anticor reproche au ministère de l’économie et des finances d’avoir renoncé à un gain financier d’au moins 350 millions d’euros lors de la prise de contrôle du français Alstom par l’allemand Siemens.

    Dans le mariage du groupe ferroviaire français Alstom avec l’allemand Siemens, l’Etat a-t-il perdu 350 millions d’euros ? C’est la certitude de l’association anticorruption Anticor. Son président, Jean-Christophe Picard, a déposé au parquet national financier, mardi 30 janvier, une plainte « contre X » pour « négligence par personne dépositaire de l’autorité publique », confirmant une information du Canard enchaîné du mercredi 31 janvier. Elle réclame l’ouverture d’une enquête.

    REVENU UNIVERSEL

    OFCE - L’expérimentation du revenu universel est-elle possible ?

    Dans une tribune intitulée « Revenu universel, l’impossible expérimentation », je souligne les limites des expérimentations en cours et à venir du revenu universel[1] : échantillons trop petits et non représentatifs, limites inhérentes au tirage au sort (absence des effets d’équilibre sur le marché du travail ; absence d’« effets de pair »[2]). Clément Cayol a répondu à ma tribune sur le site du Mouvement Français pour un Revenu de Base (« M Allègre : les expérimentations de revenu de base sont un chemin possible vers l’instauration »). Il propose d’expérimenter le revenu universel sur des « sites de saturation » (par exemple un bassin d’emploi). L’idée serait de choisir certains bassins d’emploi comme groupe de traitement (par exemple Toulouse et Montbéliard) et d’utiliser des bassins d’emploi qui ont des caractéristiques proches comme groupe de contrôle (Bordeaux et Besançon ?). En comparant les différences de comportement entre les deux groupes (en termes d’emploi, de temps partiel, de salaires…), on pourrait connaitre l’impact du revenu universel. Une telle expérimentation a lieu dans un village kényan.

    TRANSPORTS

    Le Monde - Transport : les trois scénarios d’investissement de la commission Duron

    Le rapport de l’ancien député socialiste et maire PS de Caen propose à l’exécutif d’investir de 48 milliards à 80 milliards d’euros dans les infrastructures de transport d’ici à 2037.

    « Tout n’est donc pas possible. Il faut choisir. » Ainsi commence le rapport du Conseil d’orientation des infrastructures, soit 212 pages remises à la ministre des transports, Elisabeth Borne, jeudi 1er février par son président, Philippe Duron, ancien député socialiste, ex-maire PS de Caen et figure éminente du transport. Au bout de cinq mois de travail, le gouvernement dispose d’un outil censé lui permettre de décider quels grands travaux d’infrastructures – autoroutes, lignes à grande vitesse, canaux de grand gabarit, travaux ferroviaires d’envergure – seront possibles au cours des vingt prochaines années.

    LEGISLATIVES

    Slate - Gauche éclatée et FN en berne, les leçons des premières législatives partielles du quinquennat

    DECODAGE

    Le Monde - 35 heures contre CICE : les arguments réducteurs d’Adrien Quatennens

    Une affirmation péremptoire du député du Nord fait ressurgir la question du chiffrage de l’efficacité des deux dispositifs en termes de créations d’emploi.

    Invité de l’émission « Politiquement show » sur LCI, mardi 23 janvier, le député de La France insoumise Adrien Quatennens a commenté les dernières annonces de création et de suppression d’emplois en jugeant que « dans ce pays, on supprime plus d’emplois que l’on en crée avec les effets de la politique d’Emmanuel Macron ».

    Le député du Nord a ensuite ajouté que la réforme des 35 heures avait été la mesure la plus créatrice d’emplois des dernières décennies, quand le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) n’aurait eu à l’inverse qu’« un impact très limité ». Sa sortie a provoqué de nombreuses réactions, notamment sur les réseaux sociaux.

    HOLLANDE

    Slate - Et si la politique de François Hollande avait finalement relancé l'économie française?

    Il a fini à 4% d'opinions favorables. Et pourtant, son action est peut-être plus bénéfique pour le pays que sa cote de popularité ne le laisse penser.

    Dans l’inconscient collectif, François Hollande restera l’un des –si ce n’est le– présidents le plus haï de la Ve République. Les sondages d’opinion publiés sur la toute fin de son mandat (2016-2017) faisaient état d’une cote de popularité de 4%, une détestation encore jamais vue dans l’histoire politique française.

    Pour les observateurs, cette dégringolade était due à une absence totale de bilan, à un reniement du programme de gauche qui l’avait porté au pouvoir en 2012 et à une incapacité à faire consensus au sein de son propre camp.

    PS

    TV5monde - PS: Faure veut en finir avec la primaire ouverte

    Olivier Faure entend, s'il prend la tête du PS, en finir avec la primaire ouverte pour désigner le candidat du parti à la présidentielle, en restreignant le corps électoral à ceux qui auront pris part à la construction du projet du PS d'ici-là.

    "Je souhaite que le corps électoral, que ceux qui participent au vote des primaires, ce soit ceux qui pendant trois ans auront accompagné la reconstruction de la gauche", a affirmé dimanche à Pantin (Seine-Saint-Denis) le président du groupe PS à l'Assemblée, au lendemain du lancement de la campagne pour le poste de premier secrétaire.

    Le Figaro - Les parlementaires PS éludent les résultats «calamiteux» des partielles

    Une chape de plomb. Au Sénat comme à l'Assemblée, les parlementaires socialistes ne se sont pas étendus sur les très mauvais scores de leur parti lors des législatives partielles de dimanche. Le PS pourtant, dans le Val d'Oise comme dans le territoire de Belfort, a été relégué au rang de petit parti. En 6e position à Belfort, le PS n'a réuni que... 2,6% des voix. Un score à peine meilleur dans le Val d'Oise avec 6,88%.

    Le Figaro - Congrès PS : Emmanuel Maurel, candidat favori... de la France Insoumise

    Même s'ils ne sont - évidemment - pas invités à voter pour le futur Premier secrétaire du PS, les Insoumis ont déjà trouvé leur candidat. Sans surprise, il s'agit d'Emmanuel Maurel, seul représentant de l'aile gauche du parti dans la course. «S'il gagne, ça change l'orientation du PS et ça poserait la question d'un travail commun», a déclaré lundi Manuel Bompard, le coordinateur des campagnes de La France insoumise devant plusieurs journalistes et rapporté par l'AFP. Emmanuel Maurel «respecte et tient compte de la force politique que nous sommes», a-t-il également estimé.

    Le JDD - Carvounas, Faure, Le Foll, Maurel… Qui sera le prochain patron du PS?

    Quatre hommes - Stéphane Le Foll, Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel - sont officiellement candidats au poste de premier secrétaire du PS, Julien Dray n'ayant finalement pas présenté de candidature et celle de Delphine Batho ayant été rejetée.

    Le Monde - Congrès du PS : quatre hommes en lice, le texte de Delphine Batho recalé

    Quatre hommes brigueront la tête du Parti socialiste lors du 78e congrès : Emmanuel Maurel, Luc Carvounas, Olivier Faure et Stéphane Le Foll.

    Pas de surprise. Le Conseil national (CN) du Parti socialiste (PS), réuni à Paris samedi 27 janvier, a validé quatre textes d’orientation dans le cadre de son 78e congrès qui devra désigner le nouveau premier secrétaire. Il s’agit de ceux de Luc Carvounas (« Un progrès partagé pour faire gagner la gauche ») ; de Stéphane Le Foll (« Cher.e.s camarades ») ; d’Olivier Faure (« Socialistes, le chemin de la renaissance ») et celui d’Emmanuel Maurel (« L’Union et l’espoir »).

    Libé - Au PS, quatre hommes, un baron et un contre-congrès

    Un samedi après-midi à deux ambiances. La première sans suspense : comme prévu, Luc Carvounas, Stéphane Le Foll, Olivier Faure et Emmanuel Maurel postulent officiellement au poste de premier secrétaire du PS. Quatre hommes. Ils étaient présents lors du conseil national du parti à la Maison de la chimie, à Paris. La direction a validé leur dossier. Face à la presse, les uns et les autres ont étalé leurs forces. Une manière de se tester avant de partir en campagne, pour présenter leur programme aux militants, enfin ceux qui restent, à travers le pays.

    Le Figaro - Quatre candidats pour diriger le Parti socialiste

    Le président du groupe PS à l'Assemblée nationale, Olivier Faure, aura face à lui l'ex-ministre Stéphane Le Foll, le député Luc Carvounas et Emmanuel Maurel, représentant de l'aile gauche.

    Quatre hommes en lice pour un parti en miettes. Le Parti socialiste, rassemblé samedi pour un conseil national, a lancé le top départ de son congrès qui aboutira les 7 et 8 avril prochains par l'installation d'un nouveau premier secrétaire. Tous les postulants se sont rendus à la maison de la Chimie (VIIe arrondissement) pour y déposer leur texte d'orientation (ex-motion).

    Libé - Quatre candidats pour prendre la tête d’un PS à la dérive

    Quatre hommes -Stéphane Le Foll, Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel- vont être déclarés officiellement candidats samedi pour briguer la tête du PS et tenter de lui redonner vie après les débâcles électorales de 2017....

    En tout état de cause, l’aile gauche apparaît très divisée, entre Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel, son représentant naturel.

    Chantre de l’union de la gauche, l’un des rares députés à ne pas avoir voté la confiance au gouvernement en juillet, M. Carvounas a obtenu samedi matin le soutien des amis de Benoît Hamon restés au PS, selon le député Régis Juanico.

  • Fondation Jean Jaurès, JC Cambadelis - La gauche de demain sera girondine

    Si Jean-Christophe Cambadélis a quitté la tête du Parti socialiste, il reste convaincu de la pertinence de l’idée socialiste. Une idée à rénover, à refonder, à réinventer. C’est ce à quoi il s’attelle ici, en présentant un projet de société – le nouveau progressisme – et en appelant l’ensemble des forces de gauche à le construire, sans conditions et avec convictions. Vingt et une précisément, et une en particulier : l’urgence de bâtir une France radicalement décentralisée. Une tâche exaltante pour la gauche de demain, qui devra être girondine.

    Sommaire
    Refonder le progressisme
    L’autre France
    21 convictions pour un nouveau progressisme

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • Le Vent se lève - Emmanuel Maurel : « Macron est la queue de comète du cycle néolibéral finissant »

    Député européen, animateur de la gauche du Parti Socialiste, et désormais candidat à la tête du PS, Emmanuel Maurel nous livre ses déceptions, ses espoirs et ses ambitions pour la social-démocratie. Avant de prendre d’assaut la rue de Solférino – avant qu’elle ne déménage -, Emmanuel Maurel revient sur les causes de l’échec de Benoît Hamon, sur l’état de la social-démocratie en Europe ainsi que sur les raisons qui l’ont poussé à présenter sa candidature à la tête du PS. Analysant la succès de Macron, il défend une large unité de ce qu’il appelle la gauche pour croiser le fer avec le Président de la République.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Francetvinfo - Le brief politique. Les candidats à la direction du Parti socialiste veulent bien débattre à la télévision

    Les quatre candidats à la direction du Parti socialiste, Olivier Faure, Luc Carvounas, Stéphane Le Foll et Emmanuel Maurel acceptent de débattre sur BFMTV le 5 mars. Il s'agit de discuter plus précisément des sujets qui les divisent.

    Les socialistes se sont mis d’accord pour participer à un débat télévisé. Les quatre candidats à la direction du Parti socialiste vont s’affronter sur BFMTV lundi 5 mars 2018. Ce ne sera pas un débat comme ceux de la primaire. Les sujets seront plus pointus. Olivier Faure, Luc Carvounas, Stéphane Le Foll, et Emmanuel Maurel vont débattre sur des thèmes qui les divisent, par exemple la question des services publics, du bilan du dernier quinquennat, ou encore des alliances et de l’ouverture du Parti socialiste.

    Lire la suite
    _____________________
    _____________________

  • PPL burn out Boris VALLAUD explique le refus du groupe Nouvelle Gauche de voter la Motion de rejet

    Boris VALLAUD explique pourquoi le groupe Nouvelle Gauche s'oppose à la motion de rejet préalable défendue par les députés de la majorité En Marche sur la proposition de loi "burn out" du groupe France insoumise, qui une nouvelle fois pratique l'obstruction parlementaire en interdisant le débat sur une proposition de loi d'un groupe d'opposition

  • Fondation Jean Jaurès, Rémi Lefebvre - Après la défaite. Analyse critique de la rénovation au Parti socialiste (2002-2007-2017)

    2002, 2007, 2017 : le Parti socialiste a subi trois grandes défaites ces quinze dernières années. À chaque fois, le même diagnostic. À chaque fois, la même réponse, qui tient en un mot : rénovation. En 2002 et 2007, les dirigeants socialistes ont donné le change sans changer la donne : le changement annoncé n’a pas été pas au rendez-vous. Qu’en sera-t-il en 2018, où la refondation a remplacé la rénovation ? Le parti dépassera-t-il l’incantation alors que son existence même est désormais en jeu ? Rémi Lefebvre propose ici une analyse critique des discours de l’organisation sur ses défaites.

    Le Parti socialiste a essuyé en avril et juin 2017 une double défaite historique. Le candidat socialiste Benoît Hamon est arrivé en sixième position à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle, avec 6,36 % des suffrages exprimés. À l’issue des élections législatives, le groupe parlementaire socialiste, rebaptisé Nouvelle Gauche, a atteint un étiage historique, passant de 284 à 31 députés. Les conséquences de la défaite sont immédiates et tangibles. Le 19 septembre, l’annonce est faite de la vente du siège de Solférino. 

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________