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racisme

  • Bilan 2018 des actes racistes, antisémites, antimusulmans et antichrétiens

    Après deux années de baisse en 2016 et 2017, le nombre de faits à caractère antisémite a fortement augmenté en 2018 (+74%). S’agissant des faits à caractère raciste et xénophobe, une baisse de 4,2% a été constatée. Les actes antimusulmans atteignent cette année leur plus bas niveau depuis 2010. Chacun de ces actes est une atteinte aux valeurs de la République et un coup grave porté aux libertés de tous les Français. Le Gouvernement agit donc pour faire cesser les discours de haine et lutter contre toutes les atteintes racistes, xénophobes ou visant un culte.

    Après deux années de baisse en 2016 et 2017, le nombre de faits à caractère antisémite a fortement augmenté en 2018. 541 faits ont été constatés l’an dernier contre 311 en 2017, soit une augmentation de 74%........

    Les actes antimusulmans atteignent cette année, avec 100 faits, leur plus bas niveau depuis 2010.

    Enfin, le nombre d’actes antichrétiens est stable sur l’année avec 1063 actes recensés (1038 en 2017).

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  • La Vie des idées - Polémiques et controverses autour de la question raciale

    Pour offrir à ses lecteurs des clés pour comprendre les polémiques et controverses autour de la question raciale, La Vie des Idées a posé les six mêmes questions à cinq spécialistes en sciences humaines et sociales. Leurs réponses donnent à voir la grande diversité des approches universitaires.

    En 2014, La Vie des Idées publiait un dossier intitulé « La race, parlons-en » invitant à discuter des usages de la notion de « race » en sciences sociales. Cinq ans plus tard, en 2019, force est de constater que l’on parle beaucoup de race, mais pas forcément dans les termes du débat scientifique. La question raciale connaît une actualité aiguë et conflictuelle : les controverses se multiplient et s’amplifient autour de l’opportunité de supprimer le mot « race » de la Constitution française, autour d’une fresque jugée raciste à l’Assemblée nationale, autour de la condamnation de l’État français pour contrôle au faciès, autour de réunions non-mixtes organisées par certains syndicats, autour de pièces de théâtre ou d’expositions accusées de reproduire des stéréotypes racistes, autour du fichage ethnique et racial dans des clubs de foot, autour d’une supposée offensive « décoloniale » et « intersectionnelle » sur les bancs de l’université et d’une nouvelle « obsession de la race, du sexe, du genre et de l’identité », etc.

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  • LICRA - Racisme, antisémitisme et dérives dans le sport

    La LICRA publie son enquête annuelle. 

    Partout en France, des milliers de clubs sportifs mènent un travail d’éducation et de transmission des valeurs de la République. Chacun d’entre eux participe à son niveau au développement de la citoyenneté et de la laïcité auprès de la jeunesse. Alors que le sport est une source d’intégration, d’émancipation et d’ouverture à l’autre, il se transforme, dans certains quartiers, en machine identitaire à produire du racisme, de l’antisémitisme et du repli communautaire. 

    Des phénomènes étrangers à l’éthique sportive et à ses valeurs sont apparus : recrutements exclusivement menés au sein d’une communauté particulière, prosélytisme religieux, refus de la mixité, soudaine apparition de tenues traditionnelles et de prières sur le terrain ou dans les vestiaires… Par ailleurs, l’entrisme et le prosélytisme manifestes de l’islam radical dans certains clubs sportifs, dont la doctrine bannit pourtant toute pratique sportive, est une source de préoccupation majeure et laisse augurer une stratégie de recrutement à long terme.

    La situation est d’autant plus problématique que ces dérives sont à l’œuvre au sein de bâtiments sportifs publics, appartenant la plupart du temps aux collectivités territoriales et dans le cadre d’activités financées par de l’argent public. 

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  • Libé - Michel Wieviorka : «Blanquer a eu raison de porter plainte, de ne pas laisser faire»

    Opposé au terme «racisme d’Etat», le sociologue Michel Wieviorka déplore aussi le caractère «dangereux et malsain» des ateliers «en non-mixité raciale».

    Président de la fondation Maison des sciences de l’homme, auteur de Antiracistes (éd. Robert Laffont) récemment paru, le sociologue Michel Wieviorka a été un des premiers à introduire dans la recherche française, dans les années 90, la notion de «racisme institutionnel». Il en retrace l’histoire et explique pourquoi il refuse l’expression «racisme d’Etat».

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