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Actualités socialistes - Page 843

  • Un peu d'histoire - France Culture - Qu'avons-nous fait de nos 35 heures ?

    La loi Aubry fixant la durée hebdomadaire du temps de travail à 35 heures fête ses 20 ans cette année. Depuis son entrée en vigueur elle n'a cessé d'être vilipendée par la droite et le patronat et sont aujourd'hui détricotées par les ordonnances Macron. Les 35 heures, totem ou tabou ?

    Dans les années 90, en Europe, l'idée du partage du travail passant par la réduction du temps de travail était une idée novatrice, faisant plutôt consensus dans les milieux politico-économiques. Des sociétés expérimentent la baisse de la durée hebdomadaire du travail, avec différentes formules, comme en Allemagne, par exemple Volkswagen. Ce thème est aussi repris par certains patrons français, comme Antoine Riboud, le fondateur de Danone, ou Claude Bébéar, le patron d'Axa. La droite, au pouvoir, propose une législation non contraignante basée sur le seul volontariat des entreprises : c'est la loi Robien, rédigée par Gilles de Robien. 

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  • L'actualité des socialistes du 2 au 8 février

    LEGISLATIVES

    Le Figaro - Jérôme Sainte-Marie : «Les élections partielles de dimanche sont un retour aux réalités démocratiques»

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Les résultats des élections législatives partielles de ce week-end, remportées toutes les deux par les candidats des Républicains, ont porté un premier coup à «l'état de grâce» dont bénéficiait jusqu'à présent Emmanuel Macron. Jérôme Sainte-Marie en tire les leçons pour Figarovox.

    PS

    Le Vent se lève - Emmanuel Maurel : « Macron est la queue de comète du cycle néolibéral finissant »

    Député européen, animateur de la gauche du Parti Socialiste, et désormais candidat à la tête du PS, Emmanuel Maurel nous livre ses déceptions, ses espoirs et ses ambitions pour la social-démocratie. Avant de prendre d’assaut la rue de Solférino – avant qu’elle ne déménage -, Emmanuel Maurel revient sur les causes de l’échec de Benoît Hamon, sur l’état de la social-démocratie en Europe ainsi que sur les raisons qui l’ont poussé à présenter sa candidature à la tête du PS. Analysant la succès de Macron, il défend une large unité de ce qu’il appelle la gauche pour croiser le fer avec le Président de la République.

    Fondation Jean Jaurès, Rémi Lefebvre - Après la défaite. Analyse critique de la rénovation au Parti socialiste (2002-2007-2017)

    2002, 2007, 2017 : le Parti socialiste a subi trois grandes défaites ces quinze dernières années. À chaque fois, le même diagnostic. À chaque fois, la même réponse, qui tient en un mot : rénovation. En 2002 et 2007, les dirigeants socialistes ont donné le change sans changer la donne : le changement annoncé n’a pas été pas au rendez-vous. Qu’en sera-t-il en 2018, où la refondation a remplacé la rénovation ? Le parti dépassera-t-il l’incantation alors que son existence même est désormais en jeu ? Rémi Lefebvre propose ici une analyse critique des discours de l’organisation sur ses défaites.

    Le Parti socialiste a essuyé en avril et juin 2017 une double défaite historique. Le candidat socialiste Benoît Hamon est arrivé en sixième position à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle, avec 6,36 % des suffrages exprimés. À l’issue des élections législatives, le groupe parlementaire socialiste, rebaptisé Nouvelle Gauche, a atteint un étiage historique, passant de 284 à 31 députés. Les conséquences de la défaite sont immédiates et tangibles. Le 19 septembre, l’annonce est faite de la vente du siège de Solférino.

    Fondation Jean Jaurès, JC Cambadelis - La gauche de demain sera girondine

    Si Jean-Christophe Cambadélis a quitté la tête du Parti socialiste, il reste convaincu de la pertinence de l’idée socialiste. Une idée à rénover, à refonder, à réinventer. C’est ce à quoi il s’attelle ici, en présentant un projet de société – le nouveau progressisme – et en appelant l’ensemble des forces de gauche à le construire, sans conditions et avec convictions. Vingt et une précisément, et une en particulier : l’urgence de bâtir une France radicalement décentralisée. Une tâche exaltante pour la gauche de demain, qui devra être girondine.

    Sommaire
    Refonder le progressisme
    L’autre France
    21 convictions pour un nouveau progressisme

    CHRISTOPHE GUILLUY

    Le Vent se lève - Les trois France : entre périphéries et métropoles

    La polémique, politique et scientifique, liée aux publications du géographe Christophe Guilluy continue à faire rage. Outre les attaques politiques dont il a fait l’objet – et qui sont pour certaines justifiées -, il convient ici de se pencher sur les critiques sociologiques qu’il a subies, et auxquelles il nous semble opportun de répondre en contribuant à affiner les analyses du géographe et à les compléter par l’adjonction d’un autre paradigme.

    Selon Christophe Guilluy, notre système économique est entré dans une dynamique de métropolisation, qui induit une fracture de plus en plus profonde entre la « France des Métropoles » et la « France Périphérique ». La première, composée de toutes les agglomérations de plus de 300.000 habitants, voit se concentrer sur son sol l’essentiel des flux économiques, des emplois et de la croissance. La « France Périphérique » pour sa part, qui abrite la majorité des “classes populaires”, souffre de sa marginalisation économique et politique.

    CALAIS

    Slate - Et si à Calais, comme à Notre-Dame-des-Landes, naissait un nouveau monde?

    La venue de Macron à Calais a encore empiré les relations avec nombre d'associations, qui lui reprochent sa politique migratoire. Mais cet affrontement dépasse peut-être cette question pour dire quelque chose sur le monde que l'on veut.

    Emmanuel Macron est venu en personne, à Calais, donner un grand coup de pied dans la fourmilière. Histoire de voir. De juger des effets de son coup de force sur le climat de tension qui pèse entre les autorités et les quelque 500 migrants revenus en ville, dans l’espoir de trouver un passage pour l’Angleterre.

    Le chef de l’État ne livre pas les noms de ceux qu’il accuse de «mensonges» et de «manipulations», mais dans l’assistance qui se presse à son discours, le 16 janvier, dans les locaux de la gendarmerie de Calais, personne n’ignore qu’il vise directement les associations locales d’aide aux migrants. À commencer par les plus connues: l’Auberge des Migrants, Utopia 56, Salam, et les antennes régionales du Secours catholique et de Human Rights Watch, toutes soupçonnées de chercher à contrecarrer la politique migratoire du gouvernement.

    MENNEL

    Reseau1905 - Association pour la défense de la laïcité - Mennel peut toujours chanter. L'important est de savoir « d'où elle chante ». Par Charles Meyer

    Être musulman, maghrébin ou oriental, ce n'est pas kiffer Ennasri, Iquioussen, Baraka city, Havre de savoir, ce n'est pas traiter son gouvernement de «terroriste» peu après une boucherie à Nice.
    Ça, c'est être islamiste.
    Les associations laïques et républicaines se battent sur deux fronts. L'extrême-droite et l'islamisme, une forme nouvelle d'extrême-droite. Il n'est pas toujours évident de faire passer un message, pourtant simple : l'islamisme n'est pas l'islam et la stratégie d'entrisme des islamistes est éprouvée dans de multiples sociétés, à travers l'histoire. C'est une stratégie élaborée autour de la dissimulation et du mensonge auxquels succèdent l'entrisme et enfin, la consécration du dogme : le pouvoir.

    UBER

    Télos - Une intrigante contradiction dans le modèle économique des plateformes numériques

    On n’a guère parlé de la différence majeure entre le modèle économique des taxis traditionnels et celui des plateformes VTC à la Uber. Le contrat entre Uber et ses chauffeurs relève d’une commission définie en pourcentage de la recette brute du chauffeur (égale à 25% dans le cas d'Uber) tandis que celui du taxi traditionnel est une commission ou un loyer fixe. Ce dernier loue sa plaque en France, ou son Medallion aux États-Unis, ou encore – cas plus fréquent en France – il l’achète et l’amortissement de l’emprunt représente son coût fixe. Si sa recette dépasse ce coût fixe, il empoche 100% du gain additionnel. Dans le cas d’Uber, quoi qu’il fasse, le chauffeur ne touche que 75% de ce gain[1].

    Ce fait est à relier avec une information passée sous silence : les apprentis chauffeurs ont tendance ces derniers temps en France, lors de l’examen d’homologation, à choisir d’être taxis traditionnels plutôt que de travailler en VTC. Un article publié récemment sur Vox-EU du 8 décembre 2017 par trois économistes (l’un d’entre eux étant le chef économiste d’Uber) fait la même observation pour les États-Unis : les chauffeurs très performants préfèrent quitter Uber et travailler sous le régime du Medallion (via des réseaux qui disposent désormais des mêmes logiciels de réservation et de cartographie qu’Uber – ce n’est donc plus un trait distinctif des nouveaux acteurs dits numériques).

    RAMADAN

    Le JDD - Caroline Fourest à propos de Tariq Ramadan : "Je n'ai jamais croisé un manipulateur aussi dévastateur"

    L'essayiste et journaliste Caroline Fourest ferraille depuis longtemps contre le théologien musulman Tariq Ramadan accusé de viols et dont elle fut l'une des premières à dénoncer le double langage.

    Qu'avez-vous ressenti en apprenant que Tariq Ramadan avait été mis en examen et écroué?
    Je suis soulagée pour les victimes qui se reconstruisent à travers cette procédure, notamment "Christelle", avec laquelle je suis en contact depuis presque huit ans. À l'issue de la confrontation, elle a commencé à sortir de l'humiliation. Je suis aussi soulagée pour ­l'Europe et pour les musulmans.

  • L'élection du Premier secrétaire du PS « pourrait se passer d’un mélange des genres », selon Patrick Kanner

    À deux mois du congrès socialiste, qui se tiendra après l’élection du Premier secrétaire du parti le 29 mars, les camps se dessinent. Soutien affiché de Stéphane Le Foll, le président du groupe PS au Sénat s’engage à ne pas « importer les débats du Congrès au sein » de son groupe et invite, entre les lignes, son homologue à l’Assemblée nationale, Olivier Faure, à faire de même.   

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  • Affaires Darmanin et Hulot : Laurence Rossignol estime que "le gouvernement est imprudent"

  • Jean Gadrey - On a trouvé comment booster la croissance ! Drogues et prostitution sont les deux mamelles du nouveau PIB

    Pour soutenir la croissance, rien ne vaut les souteneurs. Pour la doper : la drogue.

    C’est par ces termes que débutait un billet que j’avais publié en 2015 sous le titre « En Italie, la prostitution et la drogue vont gonfler le PIB. L’INSEE résiste ».

    Deux ans de résistance, c’est déjà honorable quand les pressions sont aussi fortes. Pour l’instant, l’Insee ne cède que pour les drogues, c’est louable aussi. Mais franchement, cet économisme où tout semble reculer devant la logique du fric, quelle qu’en soit l’origine et l’usage, dans ce jeu de cour de récré pour savoir qui a le plus gros (PIB), me gonfle.

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  • Le JDD - Congrès du Parti socialiste : la peur d'une abstention massive des militants

    À un mois du vote pour le congrès du PS, les candidats à la tête du parti redoutent une abstention massive des militants.

    Comme neige au soleil. Ainsi fond le nombre d'adhérents au Parti socialiste… Alors qu'un premier vote doit avoir lieu, le 15 mars, pour départager les quatre candidats à la direction du parti - Olivier Faure, Stéphane Le Foll, Emmanuel Maurel et Luc Carvounas - avant un congrès qui se tiendra les 7 et 8 avril, la participation s'annonce historiquement basse. Très officiellement, le parti à la rose compte 102.000 adhérents. Un chiffre que beaucoup jugent gonflé. "Nous sommes la seule organisation à donner des chiffres, se défend Rachid Temal, le coordinateur national du PS. Chez nous, les adhérents paient une cotisation. Il ne suffit pas de cliquer sur une newsletter", lance-t-il dans une allusion à La République en marche et à La France insoumise.

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  • Le Figaro - Les 35 heures ont 20 ans : deux économistes font le bilan

    Alors que le néo-keynésien Eric Heyer évoque «un bilan mitigé», le libéral Nicolas Bouzou estime que la mesure n'a «pas permis de créer d'emplois». Les deux économistes s'accordent en revanche à dire que la dégradation de la compétitivité de la France tient davantage à d'autres facteurs économiques.

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  • Un peu d'histoire : Projet de loi des 35 heures : encadré et résumé du contenu (INA, 1997)

    Ce matin, le Conseil des ministres a adopté le projet de loi de Martine Aubry sur la réduction du temps de travail à 35h hebdomadaires. Rappel en images d'illustration sur encadrés des objectifs du dispositif prévu par le gouvernement Jospin.

  • Parti socialiste : Stéphane Le Foll à la conquête d'un autre renouvellement

  • Ouest-France - Les Jeunes socialistes au bord de l'implosion

    Le Mouvement des jeunes socialistes (MJS) a élu, samedi, sa nouvelle présidente, Roxane Lundy, proche des idées de Benoît Hamon. Mais le scrutin ne s’est pas passé comme prévu : plusieurs courants minoritaires ont refusé de participer à l’élection et contestent le résultat, tout comme une partie de la sensibilité majoritaire. À tel point que le MJS est, aujourd’hui, tout proche de la scission.

    La classe biberon du Parti socialiste se déchire. Samedi, le MJS (Mouvement des jeunes socialistes) était réuni en congrès à Bondy (Seine-Saint-Denis) pour désigner le successeur de Benjamin Lucas, le président sortant après deux ans de mandat. Sans surprise, Roxane Lundy, qui appartient à la sensibilité majoritaire « Transformer à gauche », proche de Benoît Hamon, a été largement élue par 146 voix sur 166 exprimées.

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  • L'Express - PS: la campagne pour le poste de premier secrétaire s'envenime

    Paris - A un peu plus d'un mois du premier tour du scrutin, la campagne pour le poste de premier secrétaire du Parti socialiste se tend, particulièrement entre les trois candidats issus de l'ancienne majorité, Stéphane Le Foll, Olivier Faure et Luc Carvounas.

    A l'heure où le PS se dit dans l'opposition à Emmanuel Macron, et aspire à tourner la page du hollandisme, les trois hommes ou leurs entourages ne manquent pas une occasion de s'envoyer à la figure leurs supposées ambiguïtés vis-à-vis du chef de l'Etat, et leur capacité ou non à incarner le renouvellement

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