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ps - Page 209

  • Le Lab : Le député Luc Carvounas annonce sa candidature à la "reconstruction" du PS

    Pendant que, chez Les Républicains, Laurent Wauquiez a les "bolas grosses comme ça" pour prendre la tête de son parti, au Parti socialiste, chacun se regarde en chiens de faïence.

    Jusqu'à ce dimanche, la règle était la suivante : le premier qui lève la main, on le shoote, disait-on dans l'entourage de Luc Carvounas, député PS. Et c'est pourtant bien Luc Carvounas qui a levé la main.

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  • Un peu d'histoire : L'Elysée, Matignon et Solférino : épisode 3. Les primaires (INA, oct 2011)

  • Delphine Batho sur le nucléaire : "La réalité est qu'il faut reprendre la main sur EDF"

  • Un peu d'histoire : Réflexions du parti socialiste sur leurs dissensions (INA, 2003)

    Au PS, à quelques mois du congrès de Dijon, les dirigeants socialistes tentent d'écarter les querelles internes pour être plus audibles. Lors de ce conseil national, de nombreux textes ont été présentés. Ils serviront de socle à la politique du PS.Jean Christophe CAMBADELIS évoque des problèmes d'égo qui ne sont pas à la hauteur des défis qui attendent la gauche. François HOLLANDE estime qu'il doit rassembler les socialistes et que les militants devront trancher lors des débats. Les différences entres les différents textes ne sont pas flagrantes, sauf quelques exceptions comme Arnaud MONTEBOURG qui prône une 6ème république. Martine AUBRY souhaite une gauche réaliste. En revanche, les socialistes sont unanimes sur leur hostilité à la guerre en Irak.

  • PS : Contrats aidés : le gouvernement s’entête et décrète un plan social massif

    L’Assemblée a voté dans la nuit ‪de mercredi à jeudi le budget en baisse de la mission « Travail et emploi ». À périmètre constant, les crédits de la mission passent de 15,4 milliards d’euros en 2017 à 13,9 milliards en 2018, soit une diminution de 1,5 milliard.

    Cette baisse est essentiellement liée au coup de rabot sur les contrats aidés dont le nombre sera réduit à 200.000 pour une enveloppe de 1,4 milliard d’euros, soit une baisse d’un milliard d’euros. Concrètement, 120.000 salariés en contrats aidés vont se retrouver au chômage, après les 150.000 touchés en 2017. La prise en charge d’un contrat aidé par l’Etat sera en moyenne ramenée à 50% contre 70% actuellement et diminuera même de 30% pour un contrat CUI-CAE, en passant de 521€ à 369€ par mois selon l’UDES.

    Pour le Parti socialiste, ce « plan social » sans précédent, imposé de manière brutale  et sans aucune concertation par le gouvernement Macron-Philippe, est une triple catastrophe : pour des milliers de salariés privés d’emploi, pour les collectivités territoriales empêchées d’assurer la continuité du service public de proximité, pour nos concitoyens privés des activités organisées par des associations dont l’existence même est aujourd’hui menacée.

    Contrairement aux raccourcis entendus de la part de la Ministre du travail, Muriel Pénicaud, les évaluations les plus sérieuses montrent d’une part que de 41 à 67 % des personnes en contrat aidés sont en emploi six mois après la fin de celui-ci et d’autre part que ces emplois sont occupés en majorité par des femmes, et à plus de 85 % par des personnes très éloignées de l’emploi qui recouvrent non seulement un travail mais aussi un peu de dignité et d’estime de soi.

    Le Parti socialiste, qui est à l’origine du collectif « dignité et solidarité avec les emplois aidés », continue de demander un moratoire sur la suppression des contrats aidés prévus en 2018 et la convocation d’une Conférence nationale pour construire avec les acteurs concernés une sortie organisée des contrats aidés vers un autre système plus efficace.

  • PS - 100e congrès de l’AMF : le président de la République doit entendre la colère des maires et renouer le dialogue

    Au lendemain de la conférence de presse de présentation du 100e Congrès de l’AMF (Association des maires de France) qui s’ouvrira le 20 novembre prochain, le Parti socialiste tient à réaffirmer son attachement à la décentralisation et à la libre administration des collectivités mises à mal par les décisions du gouvernement Macron-Philippe depuis cet été : réduction des dépenses de fonctionnement de 13 milliards d’euros sur 2018-2022 pour les 319 plus importantes collectivités, non-renouvellement de centaines de contrats aidés,  suppression sans compensation de la taxe d’habitation, annulation de 300 millions de dotations, ponction de 1,5 milliards d’euros sur les bailleurs sociaux…

    De l’espoir suscité par la Conférence des territoires du 17 juillet dernier aux mesures traduites dans le PLF pour 2018 et le PLPFP 2018-2022, nous sommes passés en quelques semaines du pacte de confiance au pacte de défiance entre l’Etat et les collectivités locales.

    Pourtant, les collectivités locales ont pris leur part dans la réduction nécessaire des dépenses publiques.  Selon la Cour des Comptes, elles représentent moins de 20% des dépenses publiques globales et ont participé les trois dernières années à hauteur de 50% à la réduction du déficit public. Mais aujourd’hui, la trajectoire financière imposée par le gouvernement Macron-Philippe est trop raide et menace la qualité, l’accès et jusqu’à l’existence même des services publics de proximité dans certains territoires.

    Le Parti socialiste demande au président de la République, qui doit intervenir en clôture de ce Congrès de l’AMF, de rompre ce dialogue de sourds, d’entendre la colère des maires et de demander au Premier ministre de renouer le dialogue avec les collectivités locales.

  • Le Lab - Un ancien député PS considère qu'avec l'élection d'Emmanuel Macron, "c'est Bercy qui a pris le pouvoir"

    Selon un récent sondage de l'institut Harris Interactive, quand on demande aux "Français" quel est l'adjectif qui leur vient en premier pour qualifier Emmanuel Macron, la réponse est sans appel : "riche". Dans un autre sondage, Odoxa cette fois-ci, 88% des sondés considèrent que les grandes fortunes et les chefs d'entreprise sont les grands gagnants de la politique fiscale du Président.

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  • Valérie Rabault - Loi de finances rectificative pour 2017 - Discussion générale - 06/11/2017

  • Public Sénat - Le groupe PS n’est « pas emballé » par la surtaxe sur les grandes entreprises

  • PS - La transition énergétique ne doit pas attendre

    Le Parti socialiste apprend avec inquiétude que le gouvernement Macron-Philippe renonce à l’objectif fixé dans la loi de transition énergétique d’une sortie du nucléaire d’ici 2025.

    Cette décision est d’autant plus surprenante que le candidat Emmanuel Macron déclarait le 9 févier 2017 : « ce n’est pas bon d’avoir 75% de notre énergie qui vient du nucléaire. Je garderai le cadre de la loi de transition énergétique. Je maintiens donc le cap des 50% ». Plus récemment, cet été, Nicolas Hulot, le ministre de la transition écologique et solidaire, évoquait lui-même la possibilité de fermer « jusqu’à dix-sept » réacteurs nucléaires pour engager la transition énergétique à l’horizon 2025.

    Si la voie vers la diminution du nucléaire est difficile et doit respecter les objectifs ambitieux que notre pays s’est donné lors du précédent quinquennat en termes de réduction du CO2, elle est loin d’être impossible. Le Parti socialiste demande que d’autres scénarii que ceux posés par le gestionnaire du Réseau de Transport d’Électricité (RTE) soient étudiés, fondés notamment sur un investissement massif dans les énergies renouvelables et des économies d’énergie.

    Il n’est pas question que la France recule après avoir été pionnière et volontaire en Europe avec cette loi de transition énergétique..