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ps - Page 209

  • Un peu d'histoire : Congrès des jeunes socialistes à Pau (INA, 1985)

    Reportage consacré au congrès des jeunes socialistes à Pau en présence de Lionel JOSPIN. Un plateau en situation du journaliste Olivier de MARLIAVE, depuis le congrès, alterne avec un extrait du discours de Lionel JOSPIN et avec les interviews deDavid HABIB, délégué national des MJS et de Lionel JOSPIN.

  • "Emmanuel Macron cherche à déstabiliser les partis" juge Stéphane Le Foll

  • PS : Un parti socialiste féministe : tolérance zéro face aux violences sexistes et sexuelles

    Le Parti socialiste a fait du respect des droits des femmes, de la lutte contre les violences sexistes, sexuelles et physiques, une priorité de ses politiques publiques. Dans le contexte anxiogène de l’affaire Weintsein et de la multiplication des dénonciations de faits de harcèlement et d’agressions sexuelles, le Parti socialiste souhaite apporter une réponse forte. Aucune violence physique ou sexuelle, aucun fait de harcèlement ne seront toléré.e.s dans notre organisation. La libération de la parole des femmes doit s’accompagner d’un changement des pratiques en interne.

    Parce que nous sommes féministes, nous ferons du Parti socialiste un parti exemplaire dans la lutte contre toutes les violences envers les femmes. Nous saluons le courage de toutes les femmes qui osent briser la loi du silence et nous leur assurons de notre total soutien contre leurs agresseurs. Ces violences sont massives et doivent être comprises comme le résultat d’une société sexiste. Présentes dans toutes les sphères, professions et tous les milieux sociaux, en 2017 les violences faites aux femmes demeurent encore taboues.

    Nous responsables politiques socialistes, secrétaires nationaux.les, fédéraux.les et militant.e.s souhaitons présenter des propositions concrètes à appliquer rapidement pour accompagner la libération de la parole et mettre fin aux violences.

  • Huffington Post - Pourquoi l'ombre de François Hollande planera forcément sur la refondation du Parti socialiste

    La candidature de Luc Carvounas lance la course pour la direction du PS. La figure de l'ancien président sera omniprésente.

    Arrivée prévue dans quatre mois. C'est en avril que le Parti socialiste aura un nouveau dirigeant, près d'un an après sa déroute historique à la présidentielle. On sera alors aussi dix-huit mois après une décision inédite: le renoncement de François Hollande à se présenter pour un second mandat. Contrairement à Nicolas Sarkozy, revenu deux ans après son départ de l'Elysée, l'ex-chef de l'Etat et ex-patron du PS n'a pas envie de se lancer dans la course, jure Michel Sapin ce jeudi 30 novembre. Sera-t-il pour autant absent du chantier de refondation? Non, mille fois non.

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  • Boursorama - Le Parti socialiste se cherche une ligne et un chef par Elizabeth Pineau

     PARIS (Reuters) - Toujours dans les cordes après les lourdes défaites électorales du printemps dernier et affaiblis par les défections en faveur de la majorité d'Emmanuel Macron, les socialistes se cherchent une ligne et un chef en vue de leur congrès d'avril 2018.

    Le départ d'Olivier Dussopt pour le gouvernement réduit provisoirement à 30 le groupe Nouvelle gauche de l'Assemblée, dix fois moins que pendant le quinquennat de François Hollande, en attendant l'arrivée, d'ici un mois, de Michèle Victory, la suppléante du nouveau secrétaire d'Etat à la Fonction publique.

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  • Sondage: 74% des Français et 63% des sympathisants de gauche pronostiquent la disparition du Parti socialiste

    Le sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro, jeudi, est sans appel pour le PS : une courte majorité de sondés estime qu'il n'est pas "utile à la vie politique française".

    74% des Français interrogés et 63% des sympathisants de gauche estiment qu'il est possible que le Parti socialiste disparaisse du paysage politique français, révèle un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro, jeudi 30 novembre. Ce pronostic est même partagé par 48% des sympathisants socialistes. 23% des personnes interrogées pensent que cette disparition sera "définitive", la moitié qu'elle ne sera que "temporaire".

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  • Marie-Noëlle Lienemann - Pourquoi les socialistes ont voté l'amendement Dallier sur la hause de la TVA HLM

    Explication en séance du Sénat sur le projet de loi de finances pour 2018 dans l'après-midi du mardi 28 novembre 2017. Ce n'est pas de gaieté de cœur que le groupe socialiste & républicain a voté l'amendement Dallier sur la hausse de la TVA. Nous aurions préféré que le logement social ne soit pas prélevé mais un prélèvement valait mieux que l'article 52 qui, en l'état, mettait en cause notre modèle du logement social à terre.

    Espérons que ce compromis ne soit pas une façon, pour le Gouvernement, de reculer pour mieux sauter... La prochaine étape, ce sera le projet de loi sur le logement. Pas de fragilisation de notre modèle et une solidarité dans la démarche, tels sont les mots d'ordre. Je rappelle que l'abaissement de la TVA sur le logement social date du quinquennat Hollande ; nous n'acceptons le retour à 10 % qu'en compensation de l'abandon de l'article 52 sur les APL.

  • Libé - Revenu de base : huit départements prêts pour le test

    Dans une tribune publiée ce dimanche, les présidents PS des conseils départementaux de Gironde, de l'Aude, de l'Ariège, du Gers, de Meurthe-et-Moselle, de Haute-Garonne, d'Ille-et-Vilaine et de Seine-Saint-Denis proposent d'expérimenter le dispositif sur leurs territoires.

    Emmanuel Macron en a fait la promesse jeudi, devant le congrès des maires de France. Il souhaite «réformer la Constitution pour assouplir le droit à l’expérimentation». Message bien reçu par huit présidents de départements socialistes qui ont déjà une idée : tester le revenu de base. Un «objet de curiosité qui, sans être une solution miracle, mérite d’être étudié sans dogme», confie à Libération Jean-Luc Gleyze, président du département de la Gironde et fer de lance de ce projet.

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