350 milliards d’euros de perte fiscale par an pour les États du monde entier et 20 milliards d’euros pour la France. Ces chiffres vertigineux qui éclairent sur l’état de l’évasion fiscale dans le monde résultent des Paradise Papers, une enquête menée par un consortium de journalistes dont ceux du journal Le Monde. Invité de Territoires d’Infos ce lundi, le sénateur socialiste Rachid Temal estime que ces révélations font mentir ceux qui « pensent que la mondialisation ne peut être qu’heureuse, je pense qu’il y a besoin de lutter contre les paradis fiscaux » ajoute-t-il. […]
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Public Sénat - Paradise Papers : « la financiarisation de l’économie mondiale atteint ses limites » pour Rachid Temal
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Le Point - Evasion fiscale: les députés PS demandent au gouvernement combien d'effectifs supprimés
A la suite des révélations des "Paradise Papers", les députés Nouvelle gauche (PS) ont demandé mardi au gouvernement de "rendre public" le nombre de postes qui seront supprimés dans l'administration, au sein des équipes chargées de la lutte contre l'évasion fiscale, selon le budget 2018.
"La lutte contre l'évasion ne peut pas être que sur du symbolique. Si on veut lutter contre la fraude fiscale, et que dans le même temps on supprime des moyens au Trésor Public, en l'occurrence 1.650 postes d'agents, il y a une déclaration d'intention, mais pas les moyens de la volonté politique exprimée", a déclaré l'une des porte-parole du groupe, Ericka Bareigts, lors d'une conférence de presse.
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Valérie Rabault - PLF 2018 - Mission Agriculture - Séance publique - 02/11/2017 (3/3)
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Europe 1 - Stéphane Le Foll candidat à la présidence du PS ? "Je vais réfléchir, je réfléchis"
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Libé - Aurélie Filippetti : «Il faut savoir qui on veut défendre»
Chaque lundi d’octobre, un élu PS s’allonge sur le divan de «Libé». Cette semaine, l’ex-ministre souhaite une analyse de l’échec du quinquennat et une refonte collective de la gauche.
Un pied à l’intérieur, un autre à l’extérieur : Aurélie Filippetti, qui vient d’être exclue de sa section (Moselle), regarde le PS de loin. A l’entendre, ce n’est pas une mauvaise chose. L’ancienne députée et ministre de la Culture profite de sa nouvelle vie sans mandat pour chercher des solutions afin que la «gauche se relève collectivement». Elle s’oppose à Emmanuel Macron, «l’incarnation triomphante du néolibéralisme».
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Les 4 vérités – Boris Vallaud
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L'actualité des socialistes du 27 octobre au 2 novembre
L'ECOLE
La vie des idées - La nouvelle idéologie scolaire par
Le nouveau ministre de l’Éducation nationale paraît incarner une politique conservatrice en matière scolaire. Pourtant, un examen approfondi de ses propositions signale un changement profond de méthode et d’orientation, fondé sur l’expertise. Ceci appelle un déplacement de la critique sur le terrain de la recherche.
Depuis le mois de mai, Jean-Michel Blanquer est un des ministres les plus en vue de l’ère Macron qui vient de s’ouvrir. Il multiplie les déclarations, les annonces et les mesures, mais cette activité n’est pas toujours facile à décoder. Elle peut être perçue comme largement conservatrice, comme un retour à la tradition et à la rigueur contre le « pédagogisme », le « laxisme » et le « nivellement par le bas » attribués à la gauche. Mais Jean-Michel Blanquer est aussi l’auteur de livres dans lesquels il se présente comme un réformateur hardi, désireux de construire une politique fondée sur les données de la science et des comparaisons internationales. Jean-Michel Blanquer peut-il être « en même temps » l’homme du retour aux années Sarkozy et le réformiste qui sortira l’école de ses querelles idéologiques afin de la transformer profondément ?
BUDGET
Europe 1 - Budget de la sécu : ce (discret) amendement qui a mis le feu aux poudres
Un amendement passé discrètement par l'exécutif dans le PLFSS réduit le taux de cotisations patronales des actions gratuites, au grand dam de la gauche.
Il est passé quasiment inaperçu hors de l'enceinte de l'Assemblée nationale. L'amendement 646 du projet de loi de finances de la sécurité sociale (PLFSS), examiné jeudi dernier par les députés, a pourtant provoqué de houleux débats en séance. Et persuadé un peu plus ceux qui l'étaient déjà que la politique budgétaire d'Emmanuel Macron vise avant tout les plus aisés.
EVASION FISCALE
Oxfam - L’évasion fiscale : qu’est-ce que c’est ?
On associe souvent le terme « évasion fiscale » aux termes « optimisation fiscale » ou « fraude fiscale ». Les trois sont très liés mais recouvrent des réalités différentes.
La fraude : c’est le fait pour un contribuable - particulier ou une entreprise - de contourner volontairement la législation fiscale par des moyens illégaux. La fraude expose ceux qui la pratiquent à des sanctions judiciaires. Comme exemple on peut citer la fraude à la TVA, la fraude à l’impôt sur les sociétés, des comptes bancaires dissimulés à l’étranger, l’usage d’une fausse identité ou de faux documents…
LES RETRAITES
OFCE - Faut-il une nouvelle réforme des retraites ?
par Gérard Cornilleau et Henri Sterdyniak
En matière de retraite, la France est confrontée à quatre défis : le passage à la retraite des générations du baby-boom, l’allongement de la durée de vie, la faiblesse du taux d’emploi, la disparité des régimes. Par contre, elle a conservé un taux de fécondité satisfaisant. La France a choisi un système public, par répartition, qui assure aux retraités un niveau de vie équivalent à celui des actifs. Ce choix a été maintenu malgré la crise économique et les changements politiques.Depuis 1993, les réformes ont nettement ralenti l’évolution des retraites, mais le pouvoir d’achat des retraités reste équivalent à celui des personnes d’âge actif. Le taux d’emploi des seniors a augmenté malgré la crise, alors que celui des jeunes fléchissait nettement. L’équilibre financier structurel du système a été assuré.
SAUVAGEOT
Libé, Joffrin - Jacques Sauvageot, le discret de Mai
A la tête de l’Unef lors des révoltes de 68, cet homme peu ambitieux et cultivé est devenu presque par hasard un des leaders du mouvement. Il est mort samedi à 74 ans des suites d’un accident de la circulation.
Dans le trio des leaders de Mai 68, il était le jeune premier, candide et incisif. A côté de Daniel Cohn-Bendit, Till l’espiègle aux yeux bleus, orateur né, anar imprévisible, et d’Alain Geismar, plus rond et plus âgé, Jacques Sauvageot était un vice-président de l’Unef au visage d’ange, entre Saint-Just et Dorian Gray.
L'Obs - Jacques Sauvageot, l'une des figures de Mai 68, est mort
L'ancien leader étudiant est décédé à 74 ans samedi des suites d'un accident de la circulation.
Il était l'une des figures, avec Daniel Cohn-Bendit et Alain Geismar, de la révolte étudiante de mai 1968. Jacques Sauvageot, à l'époque vice-président du syndicat Unef, est décédé samedi 28 octobre à l'âge de 74 ans des suites d'un accident de la circulation, a annoncé dimanche l'Institut tribune socialiste (ITS) qu'il animait.
Les Inrocks - "Jacques Sauvageot était contre le vedettariat des leaders de Mai 68"
L'ancien président de l'Unef Jacques Sauvageot, leader étudiant de Mai 68 et membre du PSU, est décédé ce 28 octobre 2017 à l'âge de 74 ans. L'historien Bernard Ravenel, membre du PSU dès sa fondation, rend hommage à ce militant autogestionnaire resté fidèle à ses engagements.Jacques Sauvageot a été en 1968 l’expression d’une jeunesse qui désirait s’émanciper, qui souhaitait disposer de son autonomie et de sa liberté personnelle, sexuelle, et d’expression. Pour lui la critique de l’enseignement était intimement liée à la critique de la société.
HOLLANDE
L'Obs - Le conseiller com’ de Hollande se livre : "Une bombe a explosé, Gaspard"
Gaspard Gantzer raconte ses trois années à l'Elysée et tente de réhabiliter un président "qui mérite un triomphe".
"Une bombe a explosé, Gaspard". C’est une phrase, sèche et folle, qu’un président de la République glisse à l’oreille de son conseiller en communication un soir d’attentat. Nous sommes le 13 novembre 2015 et François Hollande se trouve avec Gaspard Gantzer dans les tribunes du Stade de France, les deux s’apprêtant à vivre l’une des soirées les plus tragiques de leur vie.
MACRON
Slate - Macron et les «premiers de cordée»: une histoire politique de l'ascension par Gaël Brustier
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Valérie Rabault - PLF 2018 - Mission Agriculture - Séance publique - 02/11/2017 (2/3)
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Budget logement : le Parti socialiste invite le gouvernement à dialoguer avant d’engager une réforme injuste et inefficace.
Avec plus de 400.000 logements construits, dont 130.000 logements sociaux, l’année 2017 sera exceptionnelle. Le choc d’offre est là, il faut à présent le conforter et surtout l’amplifier.
La Stratégie logement présentée en septembre par le gouvernement Macron-Philippe ne s’inscrit pas dans cet élan. Le budget du ministère de la cohésion des territoires (82% est consacré à l’accès au logement) est en chute libre (-10%) et l’avenir du logement social est remis en cause par une ponction de 1,5 milliards d’euros sur les finances des bailleurs sociaux.
Le Gouvernement a bien fait voter ce matin un amendement pour étaler la mise en œuvre de sa réforme sur trois années (800 millions d’euros en 2018, puis 1,2 milliard d’euros en 2019 et 1,5 milliard d’euros en 2020), mais il l’a aussitôt annulé en ajoutant un autre prélèvement (de 700 millions d’euros la contribution des organismes HLM à leur caisse de garantie) qui permettra à l’Etat, dès 2018, d’atteindre le 1,5 milliards d’euros d’économie souhaités.
Dans ce jeu à somme nulle, le logement ressort comme l’un des grands perdants du PLF 2018. Le Parti socialiste réitère sa demande au Gouvernement de décréter un moratoire pour engager un dialogue sur les propositions des élus et des organismes HLM afin de déterminer le meilleur chemin pour concilier construction de logements, qualité de habitat et baisse des loyers.
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Public Sénat - Réforme du Parlement : « C’est du populisme BCBG », dénonce Olivier Faure
Le président du groupe socialiste « Nouvelle Gauche » à l’Assemblée nationale a sévèrement critiqué dans Parlement Hebdo la future réforme constitutionnelle d’Emmanuel Macron.
Réforme du Parlement : « C’est du populisme BCBG », dénonce Olivier Faure
Le patron des députés socialistes ne mâche pas ses mots. Dans Parlement Hebdo, diffusé sur les chaînes parlementaires, Olivier Faure voit la réforme institutionnelle portée par Emmanuel Macron comme du « populisme BCBG ».
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BFMTV - PS: Boris Vallaud tacle DSK et ses commentaires "d'outre-tombe"
Le porte-parole du groupe Nouvelle Gauche n'a que peu goûté les critiques de DSK, ce week-end, depuis Marrakech.
Le porte-parole du groupe Nouvelle Gauche (PS) à l'Assemblée, Boris Vallaud, a traité ce lundi l'ancien ministre Dominique Strauss-Kahn et ses "commentaires" de "voix d'outre tombe", après que l'ancien patron du FMI a affirmé samedi qu'il était "temps que le PS disparaisse".
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