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Le discours de François Hollande devant le Congrès, en cinq phrases
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L'actualité des socialistes du 3 au 15 novembre (mise à jour)
A la une
RTL - Attentats à Paris : "La France pleure ses morts", dit Jean-Christophe Cambadélis
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a réagi samedi 14 novembre à l'attaque terroriste qui a touché Paris et Saint-Denis, vendredi soir.
14 et 15 novemrbe
A l'issue de près de deux heures de débat intense dans un hémicycle inhabituellement garni pour un débat budgétaire, les députés ont donné leur feu vert, 35 voix contre 21, à l'amendement de Jean-Marc Ayrault et de Pierre-Alain Muet (PS), présenté dans le cadre du projet de budget de l'Etat pour 2016.
La Tribune - Amendement Ayrault-Muet : vers une CSG progressive ?
La CSG va-t-elle devenir progressive ? Sans doute pas, mais une petite brèche a été ouverte avec le vote de l'amendement au projet de loi de finances 2016, défendu par les deux députés PS, Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet, était adopté. Il faut dire que cet amendement a reçu un accueil favorable de 161 députés socialistes - soit plus de la moitié du groupe - mais aussi des députés écologistes et d'une partie des radicaux de gauche. Aussi, à son corps défendant Manuel Valls a dû accepter la présentation de cet amendement.
Le Figaro - CSG : Ayrault passe en force contre le gouvernement
Le gouvernement ne voulait pas de cet amendement. Mais cent soixante députés socialistes l'avaient paraphé. Jeudi après-midi, l'examen à l'Assemblée nationale de l'amendement de Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet qui amorce une progressivité de la CSG a provoqué une bataille feutrée entre l'exécutif et la majorité. Il a été adopté avec 35 voix pour et 21 contre sur 56 votants. Sans passion et sans que le ministre des Finances s'y oppose.L'ex-Premier ministre propose de remplacer une part de la future prime d’activité par une baisse de la CSG. L'Assemblée l'a suivi malgré les réserves du gouvernement.Sur l’amendement Ayrault-Muet, le gouvernement était contre mais a dû plier devant la mobilisation de sa majorité, donnant à nouveau un sentiment de confusion sur un sujet, il est vrai, très technique.12 et 13 novembre
Public Sénat - Régionales: Jean-Christophe Cambadélis (PS) appelle Valls à la « cohérence »
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, a appelé jeudi « tous les socialistes », y compris Manuel Valls, à la « cohérence » et à "se concentrer sur le premier tour" des élections régionales, alors que le Premier ministre a évoqué l'hypothèse d'une fusion des listes avec la droite face au FN.
Pierre de Saintignon, tête de liste PS aux régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, a demandé jeudi à Manuel Valls de "cesser ces petites phrases qui nuisent à notre campagne", alors que le Premier ministre a évoqué l'hypothèse d'une fusion des listes gauche-droite face au FN.
Public Sénat - Fusion des listes PS/LR : Le dernier « tabou » de Manuel Valls en passe d’être levé
A trois semaines des régionales, Manuel Valls a réaffirmé cet après midi la possibilité d’une fusion entre les deux tours des listes PS et les Républicains dans les régions où le FN est en tête des sondages. Un plan anti-FN rejeté par la droite mais qui fait son chemin à gauche.
Slate - Montebourg 2017, la possibilité d'une candidature
Les événements inciteraient irrésistiblement Montebourg à se porter candidat à la primaire socialiste de 2016.
Quelque part en France, un homme fougueux se débat avec une vie un tantinet compliquée. Papa d’un bébé né bien avant terme, il ne saurait négliger sa vie de famille. Entrepreneur néophyte, le voici confronté à des responsabilités inédites pour lui. Et, comme si tout cela ne suffisait pas, Arnaud Montebourg guette, dans la «marche vers le désastre» conduite vaillamment par François Hollande, l’opportunité de revenir au centre de la vie publique.
Europe 1 - Fusion des listes aux régionales : Aubry s'oppose à Valls
La maire de Lille n'apprécie pas du tout l'idée de Matignon de fusionner les listes de gauche avec celle des Républicains pour barrer la route au FN.
INFO EUROPE 1 - Comme l'a révélé Europe 1, le Premier ministre Manuel Valls plaide pour une fusion des listes de gauche avec celle des Républicains dans l'hypothèse où le FN arriverait largement en tête au deuxième tour des régionales dans la grande région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, où Marine Le Pen est donnée favorite. Et cela ne plaît pas du tout à Martine Aubry.
Le Point - CSG : le gouvernement se prépare à soutenir l'amendement Ayrault
EXCLUSIF. L'amendement de l'ancien Premier ministre devrait être adopté. Matignon confirme son soutien sous réserve de lever les derniers obstacles techniques.
Boursorama - CSG : objectifs et obstacles de "l'impôt citoyen" de Jean-Marc Ayrault
Dans un amendement, Jean-Marc Ayrault, propose de réunir la CSG et l'impôt sur le revenu. Grâce à un report d'une partie de la prime d'activité, la CSG serait également réduite pour les bas revenus (moins de 1,3 smic). L'ancien premier ministre aurait réuni près de 190 députés autour de sa proposition, dont 161 socialistes. Le gouvernement de Manuel Valls pourrait être contraint de suivre.
10 et 11 novembre
L’ancien Premier ministre est venu défendre à Matignon son amendement, soutenu par plus de 160 députés PS, amorçant le rapprochement entre l’impôt sur le revenu et la CSG. Manuel Valls a évoqué la perspective d'un «accord», à condition de lever «toutes les difficultés techniques, juridiques». Le texte doit être débattu jeudi à l’Assemblée.Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a exprimé mardi ses réserves sur l'amendement de l'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault visant à amorcer le rapprochement entre l'impôt sur le revenu et la CSG, estimant que cette dernière avait des "vertus".C'est un pavé dans la mare de François Hollande et Manuel Valls. L'ancien Premier ministre et député PS Jean-Marc Ayrault a déposé un amendement détonnant au projet de loi de finances 2016. Ce texte amorce une fusion de l'impôt sur le revenu et de la CSG.Le Front de gauche ne soutiendra pas l'amendement Ayrault-Muet visant à amorcer un rapprochement entre impôt sur le revenu et CSG, car il refuse une évolution de cette contribution en "levier de fiscalité", a indiqué mardi son chef de file à l'Assemblée, André Chassaigne.Le Point - Amendement CSG : Ayrault sera reçu par Valls
Les deux hommes discuteront mardi matin de la proposition de rendre la CSG progressive qui avait obtenu le soutien d'un centaine de députés PS.
Le JDD - Impôts : quand Ayrault convainc Hollande
L’exécutif cherche un compromis avec l’ancien Premier ministre sur une réforme de la CSG, jusqu’ici repoussée, qui s’appliquerait en 2017. La mesure est largement soutenue à gauche.
Un ex-Premier ministre qui convainc son président de lancer une réforme fiscale jusque-là repoussée, c'est l'étonnante histoire en passe de se dérouler cette semaine. Les députés doivent examiner jeudi un amendement de Jean-Marc Ayrault signé par 160 socialistes dont plusieurs anciens ministres (Kader Arif, Michèle Delaunay, Frédéric Cuvillier…). Son but est de réduire la CSG des salariés modestes directement sur leur feuille de paie, par imputation de la nouvelle prime d'activité (ex-RSA). Une forme de rapprochement de la CSG avec l'impôt sur le revenu, qui sera prélevé à la source en 2018. Une façon de tenir cette promesse, jamais appliquée, du candidat Hollande. "Cet amendement correspond au souhait d'une majorité du groupe de poursuivre le chantier des réformes et de donner des signaux à la gauche sans compliquer la tâche de l'exécutif", argumente Jean-Marc Ayrault.
Le Figaro - Pour Valls, «les Français sont à cran vis-à-vis de l'impôt»
Il y a un mois, Michel Sapin avait trouvé l'idée «intéressante» mais «complexe». Ce dimanche, Manuel Valls a employé la même méthode pour commenter la proposition de son prédécesseur Jean-Marc Ayrault de remplacer l'impôt sur le revenu et la CSG par un impôt citoyen sur le revenu. «C'est une belle idée, mais je ne suis pas sûr que les Français lient automatiquement l'impôt et la citoyenneté», a-t-il déclaré sur i-Télé et Europe 1. Refuser, mais sans froisser. C'est pourquoi l'amendement sera «examiné de la manière la plus précise possible» dans le débat sur le budget 2016 à partir de jeudi à l'Assemblée nationale.
ON VA PAS PINAILLER - Le matin, la porte-parole du PS est d'humeur badine. Sur le plateau de LCP, lundi 9 novembre, Juliette Méadel a balayé d'un revers de main les critiques des écologistes sur l'annonce par le gouvernement de la reprise des travaux de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, en Loire-Atlantique. Interrogée sur les difficultés que ce débat pourrait ajouter à l'union de la gauche pour le second tour, la jeune socialiste a livré une explication pour le moins inattendue.
Francetvinfo - Régionales : le FN provoque un dilemme au PS
La percée du FN pour les élections régionales place le PS en position délicate. Dans certaines régions, la gauche n'arriverait qu'en 3e position et se retrouverait face à un dilemme : se maintenir avec le risque de voir gagner le FN ou se retirer et disparaître.
La Tribune - Pourquoi la nouvelle coalition au Portugal est une chance pour l'Europe
Le gouvernement portugais de droite devrait chuter mardi 10 novembre, renversé par une alliance de gauche. Ce nouveau gouvernement représente une nouvelle chance pour la zone euro. Saura-t-elle la saisir?
A gauche, "Mouvement commun" se veut un "Podemos" à la française
Le "Mouvement commun", issu d'une initiative du député PS frondeur Pouria Amirshahi, a été lancé dimanche. Réunissant notamment Cécile Duflot, ou encore Pierre Laurent, il ambitionne "une autre façon d'agir" en politique, à gauche.
9 novembre
Le député PS Pouria Amirshahi lance, avec Noël Mamère et Marie-Noëlle Lienemann notamment, une initiative politico-citoyenne visant à rapprocher les élus de la société civile et à nourrir le débat idéologique à gauche.Dimanche après-midi, Pouria Amirshahi lancera à Montreuil le "Mouvement commun". L’idée est de créer une sorte de "lobby citoyen" menant des campagnes d’opinion. Dans une gauche en décomposition, cette initiative, qui n’est pas la première du genre, parviendra-t-elle à durer et à peser? Les avis sont déjà partagés.
Libé - Pouria Amirshahi lance son Mouvement commun
Un nouveau-né. Ce dimanche, le député socialiste Pouria Amirshahi ouvre la porte du Mouvement commun, «un lobby citoyen», «un grand mouvement qui prépare la France». L'inauguration aura lieu à la maison de l'arbre, à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Les organisateurs espèrent attirer «plus de 500 personnes». Au programme : ateliers, rencontres, plénières et lancement d'une Web TV. Sur Internet, le Mouvement commun compte près de 1 500 signataires. Pas mal pour un début. Parmi les participants, on retrouve des politiques, classés à gauche, de premier rang. Ils représentent près de 15 % des signataires. Mais la force est ailleurs. La majorité des âmes est issue de la société civile : sans emplois, étudiants, enseignants, agriculteurs, profs ou artistes.
Basta Mag - Vers un « mouvement commun » ouvert aux citoyens pour refonder la gauche ?
Un énième appel à refonder la gauche ? Pas si sûr. Le « mouvement commun » sera lancé ce 8 novembre à Montreuil, en Seine-Saint-Denis. Initié par le député socialiste Pouria Amirshahi, l’appel affiche de grandes « audaces démocratiques, sociales et écologiques ». Il ambitionne de « construire la France et l’Europe de demain » en inventant « un espoir commun, dans la délibération collective, plutôt que dans l’aventure personnelle ». Pas question, pour le député, de se lancer dans une vaine recomposition d’appareils politiques en déliquescence. « Ce n’est pas un parti de plus, mais un mouvement politique », assure à Basta ! Pouria Amirshahi. « Aller sur le terrain de la compétition électorale est à mon avis contre-productif. » Et ce, quels que soient les résultats des élections régionales et la configuration des scrutins présidentiels en 2017. Le député frondeur veut au contraire « prendre du temps ». Malgré les débâcles annoncées.
Libé - Pierre de Saintignon, l’inconnu socialiste qui se révèle âpre débatteur
Chez Jean-Jacques Bourdin, chez Léa Salamé, en débat face à Marine Le Pen et Xavier Bertrand sur i-Télé : l’inconnu socialiste Pierre de Saintignon s’est retrouvé partout, et on l’a vu se battre. Comme un boxeur, le souffle court. Moins expérimenté que ses deux adversaires, il a une longueur d’avance comme vice-président à la région Nord Pas-de-Calais depuis dix-sept ans, à la fois proche des milieux patronaux, et à l’aise avec les syndicats.
Le Parti socialiste est en ordre de bataille pour les élections régionales, les 6 et 13 décembre prochains. C’est ce qu’affirment les socialistes, disciples de la méthode Coué, alors que la quasi-totalité des sondages annoncent de grandes pertes à gauche.
Challenges - Valls sonne la mobilisation générale contre le Front National et se paie Sarkozy
Le Premier ministre a déclaré qu'il faudra "tout faire" pour éviter que des régions soient gagnées par le FN, et réitéré des propos sous-entendant que le PS serait prêt à pratiquer un "front républicain" avec la droite.
8 novembre
Valls sur Facebook - L’autorité : une exigence, une éthique, des actes.
Dans un monde en perpétuelle effervescence, des images et des faits ont, ces dernières semaines, interpellé nos concitoyens : les violences à Air France ; les scènes d’émeutes de Moirans ; une fusillade mortelle à Marseille ; un violent règlement de compte en marge d’une fête foraine, à Clermont-Ferrand…Tous ces faits sont distincts et indépendants. Ils n’ont ni le même poids, ni la même portée. Pourtant, un débat s’est ouvert. Un débat qui n’a rien de nouveau, mais qui nécessite, une fois encore, des réponses approfondies.
Le Monde - Le PS a-t-il renoncé au front républicain ?
Les élections régionales auront lieu les 6 et 13 décembre. L’idée d’un désistement du Parti socialiste au second tour pour faire obstacle à une victoire du Front national ne fait plus consensus chez les militants.
Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, explique que « l’unité de la gauche maintenant acquise », le PS prendra ses responsabilités pour gagner au second tour. « Sachant que la droite refusera le Front républicain et qu’il ne lui en sera jamais fait grief ».
4, 5, 6 et 7 novembreLe premier ministre Manuel Valls a défendu jeudi 5 novembre son action constante pour défendre l’autorité, face aux accusations de laxisme du Front national et d’une partie de la droite, qu’il accuse à son tour de « singer l’autorité », dans une tribune publiée sur Internet.Alors que Laurent Wauquiez a participé lundi à une réunion organisé par les militants de la Manif pour Tous, le candidat républicain est accusé de "braconner sur les terres du Front National" par le Parti Socialiste.
Libé - Ile-de France : Bartolone, à gauche toute
.... Aide personnalisée au logement rabotée pour les étudiants, demi-part des veufs, don du sang autorisé aux homosexuels abstinents depuis un an... Le cafouillage sur l’allocation handicapés lui inspire cette réflexion : «A Bercy, dans un bureau, il y a un mec qui a pensé : "Pas de bras, pas d’alloc" et on laisse faire ça...» Entre les patinages de la semaine et la sortie de Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers définitivement enterré, ce militant tente quand même de se rassurer : «Je sais que Claude a cette distance avec l’exécutif». Sous-entendu, qui le protège. «Je pensais que nous allions totalement décrocher, ajoute-t-il. Et puis non».
Mais si le secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement en attribuait la responsabilité à l'ancienne majorité de droite, Jean-Marie Le Guen prétendait alors que le gouvernement n'avait pas vu venir ces augmentations: "Sur la question de la fiscalité des petites retraites, il y avait du mécontentent et on n'avait pas beaucoup d'arguments pour dire que c'était une mesure juste, puisqu'en fait, elle nous avait échappée" reconnaissait-il sur LCP.
Le JDD - Cambadélis défie Valls sur le droit de vote des étrangers
Jean-Christophe Cambadélis s’oppose à Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers. Le Premier ministre veut enterrer la réforme. Le patron du PS tient à concrétiser le programme de François Hollande.
RTL- Droit de vote des étrangers : le Parti socialiste se divise
Manuel Valls a mis les socialistes dans l'embarras en annonçant que le droit de vote des étrangers n'était plus à l'agenda du gouvernement et du parti socialiste lors d'un débat avec les étudiants de Sciences Po mardi 2 novembre.
Libé - Pourquoi le dossier Notre-Dame-des-Landes revient-il en piste ?
Vendredi soir, un communiqué de la préfecture de Loire-Atlantique remet le feu à Notre-Dame-des-Landes. Voilà qu’après le rejet, par le tribunal administratif de Nantes en juillet, des recours déposés par les opposants au projet de nouvel aéroport du Grand-Ouest, des appels d’offres ont été lancés pour que débutent les travaux en 2016. Drôle de timing, à cinq semaines des régionales et moins d’un mois de la COP21.
Boursier - Code du travail : Manuel Valls veut "révolutionner" sans toucher aux 35H
La réforme du Code du Travail, présentée mardi, s'étalera sur deux ans, en commençant par le temps de travail. Le Premier ministre a confié à Robert Badinter une mission pour fixer un socle de droits garantis à tous.
RTL - Un choc fiscal pour huit Français sur dix
REPLAY - REPLAY / INVITÉ RTL - Christophe Caresche, député socialiste de Paris et membre de la commission des finances à l'Assemblée renvient sur le "Portrait social" publié par l'Insee.
PS - « Vous avez dit Front républicain ? »
Dans le tricampisme, le PS et ses alliés assument leur combat au premier tour pour des régions solidaires et écologiques. Nous nous battrons pour créer la surprise dès le premier tour. Puis nous analyserons la situation. L’unité de la gauche maintenant acquise, nous prendrons nos responsabilités pour gagner au second tour. Sachant que la droite refusera le Front républicain et qu’il ne lui en sera jamais fait grief.
Libé, L'édito - François Hollande et l’excellence écologique ? La bonne blague !
En matière d’écologie, on savait l’exécutif champion du grand écart entre le discours et les actes. Alors que François Hollande jurait en 2012 vouloir «faire de la France la nation de l’excellence environnementale», il n’a cessé, depuis, de faire preuve d’incohérence et d’agir exactement dans le sens opposé. Abandon de l’écotaxe poids lourds, choix du tout-routier au détriment de modes de transport plus écologiques, innombrables gages accordés à l’agriculture industrielle, visite présidentielle en Alberta (Canada), là où est extrait des sables bitumineux le pétrole le plus sale du monde, atermoiements sans fin pour cesser les aides à l’exportation des centrales à charbon ou les avantages fiscaux accordés au diesel, coupes incessantes dans les budgets du ministère de l’Ecologie… La liste est loin d’être exhaustive. On avait presque fini par s’y faire. Et même par en rire jaune - c’est meilleur pour la santé et ça permet de ne pas se ruiner en mouchoirs.
Devant l’unanimité des critiques, le gouvernenent a revu sa copie sur la réforme du calcul de l’allocation aux adultes handicapés (AAH). Mardi 3 novembre au soir, la secrétaire d’Etat aux personnes handicapées, Ségolène Neuville, a annoncé le retrait de cette disposition du projet de budget 2016.A près d’un mois des régionales et quelques jours après le zigzag sur les impôts des retraités modestes, Manuel Valls a annoncé mardi le report d’un an de l’entrée en vigueur de la réforme controversée des dotations aux collectivités territoriales.
L'Obs - Pouria Amirshahi (PS) lance un "Mouvement commun" réunissant politiques et société civile
Le député PS Pouria Amirshahi lance le week-end prochain un "Mouvement commun" voulant associer de façon "innovante" politiques et société civile, mais sans être un "parti politique ou une écurie présidentielle".
"On veut créer un lobby citoyen, (un) grand mouvement qui prépare la France d'après", a expliqué lundi sur RFI le député des Français de l'étranger.
Il voulait créer un Podemos à la française. Voilà donc sa naissance. Comme le révèle Le Monde le 31 octobre, le député PS Pouria Amirshahi va lancer le 8 novembre prochain son "Mouvement commun".
L’idée est simple : créer un mouvement social issu de la société civile pour apporter des propositions concrètes au monde politique. À l'heure où nous écrivons ces lignes, un peu plus de 850 personnes ont signé l'appel.
L'Humanité - Pouria Amirshahi lance un "Mouvement commun" réunissant politiques et société civile
Le député PS Pouria Amirshahi lance le week-end prochain un "Mouvement commun" voulant associer de façon "innovante" politiques et société civile, mais sans être un "parti politique ou une écurie présidentielle".
2 et 3 novembre
29 parlementaires de gauche, socialistes, communistes et écologistes interpellent d'une même voix le Gouvernement pour réclamer le rétablissement de la demi-part fiscale pour les personnes veuves. Ils expliquent les raisons qui les poussent à agir dans une tribune que nous publions.
Libé - Retraités et impôts locaux: une promesse, beaucoup de flou
Payer sa taxe d’habitation? Ne pas payer? Etre remboursé? Comment? Qui est concerné? Pour quel coût budgétaire? Les promesses faites à certains retraités dont les impôts locaux s’envolent, posent bien des questions, loin de l’apaisement fiscal prôné par l’exécutif.
Libé - Dur, dur, la com du gouvernement sur les baisses d'impôts
Son message phare de l'automne a été percuté par le succès d'un amendement sur la CSG progressive, la décision surprise d’augmenter la taxation du diesel et, désormais, par la contestation à propos des impôts locaux payés par les retraités modestes.
Blog Le Monde - Hollande chez « Lucette », une étape dans une stratégie de quadrillage médiatique
La rentrée de François Hollande a été médiatique. Comme le racontait Le Monde le 20 octobre, le chef de l'Etat a choisi de multiplier les visites et les apparitions publiques, "comme si, en cet automne, pas un lieu, pas une thématique, pas une part de marché médiatique et pas une catégorie sociologique ne devait échapper à François Hollande".
Public Sénat - Régionales: le PS, de nouveau accusé de "faire le jeu" du FN, s'en défend
Le PS fait-il le jeu du Front national, à l'approche des élections régionales? L'accusation, maintes fois adressée à un Parti socialiste soupçonné d'y trouver son compte électoral, refait surface alors que l'exécutif a fait du FN sa cible prioritaire. Les ténors du parti s'en défendent, renvoyant chacun à sa responsabilité.
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L'actualité des socialistes du 19 octobre au 2 novembre (mise à jour)
A la une
France Inter - La fin des frondeurs ?
Y a-t-il encore des frondeurs à l'Assemblée nationale? Jamais, ils n'ont été aussi discrets... Faut-il y voir la fin d'un mouvement, et surtout, une victoire de Manuel Valls qui - face à eux - n'a jamais cédé ?
France Info - Le député PS Pouria Amirshahi lance le "Mouvement commun"
Il a voté contre le budget 2016 mardi dernier, ce qui pourrait lui valoir une exclusion de son parti. Le 8 novembre, le député socialiste des Français de l'étranger participera à la naissance d'un nouveau collectif militant.
Son constat : la défaillance des gouvernants, "incapables de faire face aux possédants". Ses mots d'ordre : "radicalité démocratique" et "sincérité". Le 8 novembre, à la Parole errante à Montreuil, le député socialiste des Français de l'étranger Pouria Amirshahi lancera le Mouvement commun.
29, 30, 31 octobre et 1er et 2 novembre
Rue 89 - Des socialistes du Rhône prédisent la défaite de Jean-Jack Queyranne et le lâchent
La guerre des places sur les listes du candidat socialiste aux élections régionales fait rage. Le journal le Progrès annonce ce mercredi plusieurs départs de la liste Nouveau Rhône du candidat socialiste Jean-Jack Queyranne -le quotidien se trompant sur le nombre de colistiers : ils sont en fait 4 au lieu des 6 annoncés (Jules Joassard, Jean-Henri Soumirieu, Michèle Brun-Piguet et Rafi Nakas).
C’est Jules Joassard, conseiller municipal à Sérézin-du-Rhône, qui est le plus déçu : il s’attendait à être tête de liste et n’a finalement obtenu que la troisième place. Qu’il a donc choisie de ne pas prendre.
Slate - Maintien, retrait ou fusion des listes au second tour des régionales: qui pense quoi au PS?
Voici les déclarations de dix ténors du PS et d’un ministre «anonyme» sur la stratégie électorale socialiste au second tour des élections régionales de décembre.
Au second tour des régionales, et face à un risque élevé dans certaines régions, comme dans le Nord-Pas-De-Calais-Picardie ou en Provence-Alpes-Côte d’Azur, de voir le Front national remporter les élections, quelle attitude doit adopter le Parti socialiste? La majorité se déchire actuellement sur cette question, hésitant entre un maintien des listes, un «Front républicain» classique (se retirer au second tour pour laisser plus de chances au parti de Nicolas Sarkozy de remporter la mise) ou une fusion des listes. Pour y voir plus clair sur «qui pense quoi?» à Solférino, voici les déclarations de dix ténors du PS et d’un ministre «anonyme», classées en trois catégories
Libé - Comment le PS s’est englué dans le front républicain
Fin juin, nous écrivions déjà qu’«en étant clairs aujourd’hui» sur leur attitude dans l’entre-deux tours pour faire barrage au FN - maintien ? retrait ? fusion ? - «les chefs de file PS n’auront plus à répondre à cette question durant la campagne. Ils pourront se concentrer sur leur projet, seule chance de ne pas finir troisième». On y est : après avoir réussi, grâce à l’astuce d’un référendum baroque, à imposer la question de l’unité de la gauche dans le débat des régionales, la direction du PS voulait enclencher la deuxième étape de sa campagne : celle de son programme. Raté. Les mauvais sondages s’accumulant dans les régions à risque FN (Paca, Nord-Pas-de-Calais-Picardie), les médias n’ont cessé d’interroger le moindre socialiste sur sa position sur le second tour.
Public Sénat - Régionales : le front républicain sème la confusion au PS
En ouvrant la porte au Front républicain pour barrer la route au FN, Manuel Valls relance un débat qui divise aujourd’hui le PS. Si les élus du Nord-Pas-de-Calais-Picardie ne veulent pas en entendre parler, la sénatrice des Bouches-du-Rhône Samia Ghali ne dit pas non. A droite, le sénateur LR de l’Aisne Antoine Lefèvre défend l’idée et se dit même favorable à une « coalition gauche/droite ».
Le JDD - Front républicain : le PS renvoie la balle à la droite
Au Parti socialiste, l’idée d’un front républicain au second tour face au FN fait son chemin. En coulisses, des ténors du parti attendent désormais des gages des Républicains.
26, 27 et 28 octobre
Ouest-France - Elections régionales. Le PS a adopté sa stratégie pour décembre
Ce lundi soir, le bureau national du Parti Socialiste s'est réuni pour mettre au point une stratégie pour sa campagne des élections régionales, sous la houlette de Cambadélis.
Le bureau national du PS a adopté ce lundi soir sa stratégie pour la campagne des régionales, Jean-Christophe Cambadélis lançant une mise en garde contre toute hypothèse concernant le second tour, a indiqué à l'AFP Corinne Narassiguin, porte-parole du PS.
Le Parisien - Parti socialiste européen : le cadeau de Cambadélis à Tsipras
Entre Syrisa et le PS français, tout va désormais pour le mieux. Pourtant, l'idylle avait plutôt mal commencé. Lors de l'arrivée au pouvoir à Athènes du «parti de la gauche radicale», le 25 janvier 2015, les socialistes français étaient plutôt inquiets.
Le JDD - Au PS, bientôt la fin des frondeurs?
L'heure n'est plus à la fête. Après avoir vu leurs effectifs fondre de moitié, les frondeurs sont gagnés par un certain spleen. Dans le Parisien, ils sont plusieurs à annoncer que le mouvement décline.
23, 24 et 25 octobre
Slate- Les candidats PS aux régionales ont le choix entre l'inconnu et le trop connu
Pour garder leurs régions, les candidats socialistes doivent jouer les équilibristes: défendre leur bilan ou leur programme local sans trop parler de François Hollande. Problème: le président est souvent plus connu que les candidats.
Que choisira de faire le Parti socialiste aux régionales dans les zones où le FN arrivera en tête des sondages et que son candidat se classera en troisième position derrière Les Républicains?
La gauche décidera-t-elle d'"aider la droite ou favoriser le FN?". C'est la question que se pose en Une samedi 24 octobre Le Monde. Une interrogation qui n'est apparemment pas du goût de Jean-Christophe Cambadélis.
Boursorama - Régionales : le FN en force dans les sondages, une majorité de régions à droite
Le Front national proche de la victoire dans le nord et en PACA, la droite qui rafle les deux tiers des régions et le PS qui perd la plupart de ses bastions : à six semaines du 1er tour des régionales, les sondages prédisent un nouveau désaveu cinglant pour l'exécutif.
Trois principaux enseignements de cette première vague d'enquêtes. Le FN confirme sa poussée et Marine Le Pen peut clairement l'emporter en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, la droite et le centre devraient s'imposer dans au moins sept régions et le PS et ses alliés, en net recul, conserveraient trois de leurs fiefs.
Il n'y a "pas de dialogue social réel" à Air France, ont jugé jeudi des députés socialistes après une rencontre avec l'intersyndicale, qui sera auditionnée tout comme la direction de la compagnie aérienne prochainement à l'Assemblée nationale.
Huffington Post - Philippe Kaltenbach, sénateur PS, condamné à un an de prison ferme pour corruption
Le sénateur PS Philippe Kaltenbach a été condamné à deux ans d'emprisonnement, dont un ferme, pour corruption passive, jeudi 22 octobre, par le tribunal correctionnel de Nanterre, ainsi qu'à une inéligibilité de 5 ans et 20.000 euros d'amende.
L'Obs - Face au FN, le PS préfère les calculs aux valeurs
D'un côté, Hollande sonne le tocsin contre le FN. De l'autre, des élus socialistes de poids laissent entendre qu'il faut en finir avec le front républicain. Un double discours au mieux hypocrite, au pire irresponsable.
21 et 22 octobre
20 minutes - Vote du budget 2016: Pourquoi la fronde socialiste s’essouffle
Le vent de fronde est-il retombé ? L’Assemblée nationale a adopté mardi la première partie du budget de l’Etat. Le vote a été obtenu avec une majorité légèrement plus large que l’année précédente et une fronde réduite de moitié. 18 « frondeurs » PS se sont abstenus mardi contre 39 en octobre 2014. 20 Minutes dresse 4 raisons de l’affaiblissement du mouvement avec l’historien Jean Garrigues.
Rue 89 - Référendum du PS : « L’objectif n’était pas un chiffre ! »
On a enfin des précisions sur le « référendum » organisé par les socialistes sur la question de l’unité de la gauche aux régionales : les chiffres annoncés sont des estimations. Et ce n’était pas un « vote », mais un « ovni ».
Lors de la préparation de notre article sur le « référendum » organisé par les socialistes à la fin de la semaine dernière sur l’envie de voir la gauche unie pour les régionales, les cadres du parti, chargés de la logistique, nous avaient promis des réponses, mais seulement ce mardi. De vive voix.
Nous les avons donc rencontrés pendant près d’une heure et demie pour une explication de texte, dans un café à deux pas de Solférino.
Libé - Le tandem Ayrault-Muet et l’exécutif ne se lâchent plus
L’exécutif ne prend pas à la légère l’amendement Ayrault introduisant une dose de progressivité de la CSG. Loin de là. Si le débat autour de cet amendement signé par 137 députés PS a été reporté au 12 novembre, les ministres et François Hollande sont à l’écoute de ses deux auteurs. Et dieu sait qu’ils ne sont pas chauds pour mettre en place ce dispositif dès 2016. Mardi dernier, le député Pierre-Alain Muet a rencontré le ministre des Finances, Michel Sapin, et son secrétaire d’Etat au Budget, Christian Eckert. Rebelote le soir, en présence de l’ex-Premier ministre. Entre-temps, Muet, reçu à l’Elysée avec d’autres parlementaires, en a touché un mot à Hollande. Lequel s’est ensuite entretenu avec Ayrault lors d’un déplacement à Saint-Nazaire. Quatre entrevues en une journée : «On ne peut pas dire qu’on a été mal traités», admet Pierre-Alain Muet.
Le JDC- Le député PS Christian Paul s'abstient sur le volet du Budget 2016 consacré aux recettes
..... 247 députés ont voté contre et 32, dont 18 socialistes (ils étaient 39 l'an dernier), se sont abstenus. Parmi ces derniers, le député PS de la Nièvre Christian Paul, qui a justifié son choix par les mots suivants : "Le budget ne répond pas à la crise économique, au chômage de masse et aux inégalités des territoires".
RTL - PS : Julien Dray descend Claude Bartolone et Jean-Christophe Cambadélis dans un enregistrementLe secrétaire national du Parti de Gauche Alexis Corbière a publié un enregistrement compromettant où Julien Dray qualifie les deux ténors du Parti socialiste de "manipulateurs" et de "fainéants".
Metro - Ce député PS frondeur qui votera contre le budget du gouvernement
RÉBELLION - Alors que les députés de l'aile gauche du PS hésitent entre voter ou s'abstenir sur le projet de budget du gouvernement mardi, l'un d'eux va plus loin. Pouria Amirshahi votera contre, nous indique son entourage.
Le Parisien - Référendum PS : les frondeurs écrivent à Cambadélis pour regretter «un coup de pub»
Des parlementaires fondeurs socialistes, dont Christian Paul, Benoît Hamon et Marie-Noëlle Lienemann, ont écrit à Jean-Christophe Cambadélis au lendemain des résultats du référendum sur l'unité aux régionales.
Libé, Désontox - Taubira, le laxisme, la justice : une semaine d'intox
Prison, récidive, peines planchers... Désintox revient sur une semaine de débat à propos du laxisme de la justice, et relève huit intox. Dans les deux camps.
19 et 20 octobre
Le Monde - Régionales : le PS présente son programme national
Campagne locale, mais programme national. La direction du Parti socialiste a présenté lundi 20 octobre la liste des mesures que tous les candidats aux élections régionales devront défendre sur le terrain, en plus de leurs engagements personnels. Lors de la réunion hebdomadaire du bureau national, Christophe Borgel, le responsable des élections à Solférino, a détaillé les promesses de campagne qui ont été élaborées au sein du comité de campagne qui réunit l’ensemble des têtes de liste des 13 régions. La plupart d’entre elles sont issues des programmes des différents candidats à travers le pays.Lors de sa conférence avec les partenaires sociaux, lundi, François Hollande s’est posé en défenseur du dialogue social en vue de 2017. Avec qui, contre qui et avec quels moyens ? Eléments de réponse.Au son de sa voix, on sent qu’il est atterré. Alexis Braud a organisé la primaire présidentielle écologiste en 2011. C’est lui qui avait dénoncé les dysfonctionnements du vote électronique lors de la primaire de l’UMP, avant les municipales, en 2013 à Paris. Cette fois, c’est au tour des socialistes :
« Il n’y a pas de raisons que le PS ne mange pas s’il fait aussi n’importe quoi. »
L’élu écolo vient de poster un courrier adressé à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Il y dénonce les conditions d’organisation du référendum voulu par Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste.
Libé - Dray et Mélenchon se castagnent à coups de vieux dossiers
Jean-Luc Mélenchon et Julien Dray : une histoire sans fin. Elle est née à la fin des années 80. François Mitterand, le président de la République, file une circonscription dans l’Essonne à Julien Dray : le territoire de Jean-Luc Mélenchon. Les deux hommes s’allient politiquement, malgré leurs différences et une sorte de rivalité. Les années passent. Des hauts, des bas. A l’aube des années 2000, ils se séparent. Depuis, ils se guettent de loin. Ces derniers jours, ils ont repris le contact de manière un peu particulière. Histoire en deux épisodes. -
L'actualité des socialistes du 12 au 18 octobre (mise à jour)
A la une
29 parlementaires de gauche, socialistes, communistes et écologistes interpellent d'une même voix le Gouvernement pour réclamer le rétablissement de la demi-part fiscale pour les personnes veuves. Ils expliquent les raisons qui les poussent à agir dans une tribune que nous publions
17 et 18 octobre
FranceTVinfo - Six indices qui montrent que le référendum du PS vire au fiasco
Le parti va porter plainte pour "faux" et "usage de faux" mais la consultation se poursuit jusqu'à dimanche.
BFMTV - Régionales: le PS porte plainte contre X après les "incidents" lors de son référendum
Le Parti socialiste va porter plainte contre X pour "faux et usage de faux" ainsi qu'"usurpation d'identité" après les "incidents" constatés vendredi, au premier jour de son "référendum" controversé sur l'unité de la gauche aux régionales.
Les Echos - Ecologistes et démocrates lancent l'UDE, avec la bénédiction du PS
C'est parti pour la nouvelle union née de la scission au sein d’Europe Ecologie-Les Verts . Ce samedi, l’UDE, pour Union des démocrates et écologistes, a tenu son congrès fondateur à Paris, sous les auspices du PS. D’ailleurs l’UDE n’a pas manqué de proclamer son soutien à la politique du gouvernement et sa volonté d'y exercer des responsabilités.
15 et 16 octobre
Le JDD - Le PS lance vendredi un "référendum" politiquement risqué
Le Parti socialiste organise de vendredi à dimanche son "référendum" sur l'unité de la gauche aux régionales. Si les résultats ne font guère de doute, les bénéfices politiques sont incertains, surtout si la participation n'est pas au rendez-vous. La question de la fiabilité de ce vote se pose aussi.
Le JDD - Le Drian sera tête de liste PS en Bretagne tout en restant au gouvernement
L'entourage du ministre de la Défense a confirmé mercredi ce que disaient ces derniers jours plusieurs médias : Jean-Yves Le Drian sera bien tête de liste des socialistes en Bretagne aux élections de décembre. Il compte faire campagne tout en restant au gouvernement et n'a pas encore décidé s'il quitterait son poste en cas de victoire.
Le Monde - Des « frondeurs » du PS recueillent les doléances de salariés d’Air France
Plus d’une semaine après les débordements en marge d’un comité central d’entreprise d’Air France et au lendemain de la mise en garde à vue de six salariés présumés coupables de violences, trois employés de la compagnie aérienne ont été reçus, mardi 13 octobre, par deux députés socialistes, Kheira Bouziane (Côte-d’Or) et Daniel Goldberg (Seine-Saint-Denis).
13 et 14 octobre
Les frondeurs ne changent pas de refrain mais baissent d'un ton. L'examen du projet de loi de finances (PLF) pour 2016 débute ce mardi à l'Assemblée nationale et ces socialistes qui critiquent la ligne du gouvernement y vont en mode «moderato».
Europe 1 - PS : les frondeurs la mettent en veilleuse
Où sont les "frondeurs" ? Alors que l'examen du budget 2016 commence mardi à l'Assemblée nationale, on aurait pu penser que les députés contestataires du Parti socialiste allaient - comme l'an dernier - transformer cette discussion en nouvelle joute contre le gouvernement. Or, pas trace de déclaration de guerre ces dernières semaines. Les frondeurs ont déposé seulement sept amendements, selon Le Parisien, et leurs revendications ne sont pas d'une grande nouveauté. Ils demandent notamment une fiscalité plus progressive et un plus grand soutien à l'investissement des collectivités locales.
France 3 - Référendum pour l'unité à gauche aux régionales : le PS revoit ses ambitions à la baisse
Jean-Christophe Cambadélis a revu lundi à la baisse la participation attendue le week-end prochain au référendum des sympathisants du parti sur la stratégie d'alliance de la gauche aux élections régionales, signe d'une difficulté à mobiliser pour cette consultation qui continue de diviser à gauche.
Le Parisien - Fusion CSG-prime d'activité : Sapin répond à l'amendement Ayrault
C'est le texte qui unit les socialistes, en ce moment. 130 députés PS ont déjà signé un amendement à la loi de Finances pour 2016, déposé vendredi par l'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault.
Adoubé par des frondeurs comme par des réformistes, le texte, co-signé avec le député Pierre-Alain Muet, propose de remplacer une partie de la prime d'activité, qui résulte de la fusion de la prime pour l'emploi et du RSA activité », par une baisse équivalente de la CSG.
12 octobre
RTL - Benoît Hamon : "Macron, la nouvelle coqueluche du Tout-Paris"
REPLAY - LE GRAND JURY - Le député des Yvelines regrette les conséquences électorales causées par les propos polémiques du ministre de l'Économie.
À l'occasion du grand remaniement ministériel d'août 2014, Benoît Hamon, l'une des figures de proue de l'aile gauche du Parti socialiste, avait quitté le gouvernement et son poste au ministère de l'Éducation nationale. Dans le même temps, Emmanuel Macron entrait à Bercy et agite, depuis, la scène politique à coup de saillies médiatiques et prises de position contestées dans son propre camp. Une ascension fulgurante commentée avec prudence par Benoît Hamon, invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI. "C'est un garçon qui a énormément de qualités, ça personne n'en doute, c'est la nouvelle coqueluche du Tout-Paris. Mais je pense qu'il faut qu'il se prépare au fait que ça puisse passer un jour", a-t-il lancé dimanche 11 octobre.
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L'actualité des socialistes du 5 au 11 octobre (mise à jour)
A la une
Plus de 130 députés PS ont signé l'amendement au projet de budget déposé vendredi par Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet, qui entend remplacer une partie de la prime d'activité par une baisse de CSG et à aller vers un "impôt citoyen sur le revenu".
Le Monde - François Hollande décore Michel Rocard, « rêveur idéaliste et réformiste radical »
François Hollande a élevé, vendredi 9 octobre, Michel Rocard au rang de grand-croix de la Légion d’honneur, la plus haute distinction française.
Le président, qui n’a jamais fait partie de la mouvance rocardienne, a salué la « fidélité », la « morale » et la popularité de l’ancien premier ministre de François Mitterrand. Le chef de l’Etat a ainsi évoqué le long parcours d’un homme encarté au PS depuis soixante-dix ans, qui a « réformé la France et, à force de persévérance, parfois en avance sur son temps, a porté des textes iconoclastes devenus lois de la République ».
9, 10 et 11 octobreLibé - Budget, le PS en porte-à-faux
Sur le papier, tout y est. Le budget 2016 fournit a priori toutes les raisons d’un bras de fer au sein de la majorité. D’un côté, l’exécutif vante un «budget de cohérence», «de continuité», voire «sans surprise», dixit le ministre des Finances, Michel Sapin. De l’autre, l’aile gauche du PS continue de réclamer une inflexion de la ligne économique et particulièrement la réorientation du «pacte de responsabilité». «Le gouvernement appelle "constance" ce qui est une obstination dans l’erreur», proteste le chef de file des «frondeurs», Christian Paul.
Le Monde - Martine Aubry s’agace des pressions l’incitant à mener les régionales dans le Nord
Elle ne sait plus sur quel ton le dire : Martine Aubry n’a pas du tout l’intention de prendre la tête de la liste PS-PRG-MRC aux élections régionales des 6 et 13 décembre en Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Qu’importe si le candidat socialiste désigné, son premier adjoint à la mairie de Lille, Pierre de Saintignon, ne décolle pas dans les sondages face à Xavier Bertrand et à Marine Le Pen, et que le risque d’une victoire finale du FN n’est pas à écarter. Pour Martine Aubry, c’est nonAu sein d'un comité consultatif, l'économiste français et le prix Nobel d'économie américain conseilleront Jeremy Corbyn, le nouveau leader du Labour. Thomas Piketty veut montrer "l'échec de l'austérité au Royaume-Uni".Nous voilà pourvus d’un nouveau rapport pour « refaire la démocratie » dans la V° République. Rendu public vendredi 2 octobre, il n’est jamais que le quatrième en vingt ans et le deuxième en trois ans, sans compter ceux adoptés par les partis de gauche. Ce grand nombre devrait suffire au bonheur des réformateurs du régime. Mais l’impuissance à passer à l’acte dévalue considérablement l’intérêt de ces rapports ; surtout dans ce quinquennat où François Hollande aura enterré les cinq révisions qu’il avait promises et accentué le présidentialisme du régime. Cela suffit (il y en a assez!) de réinventer la poudre si elle ne sert pas à armer le vrai changement démocratique que la société attend.
Du 5 au 8 octobre
Boursier - Le PS espère sauver les meubles aux élections régionales
Le Parti socialiste espère garder le contrôle de quatre régions aux élections régionales des 6 et 13 décembre malgré les divisions de la gauche dans une France recomposée où le Front national paraît en mesure de faire un bon résultat.
La Tribune - Statut des fonctionnaires : Bartolone fusille Macron
Décidément, Emmanuel Macron continue d'en agacer plus d'un... Claude Bartolone, président de l'Assemblée et tête de liste PS aux élections régionales en Ile-de-France, a affirmé dimanche sur Canal + que le ministre de l'Economie avait fait "une erreur" et "une faute politique" en critiquant le statut des fonctionnaires. "Il faut faire très attention, surtout quand on est ministre, à employer les termes qu'il convient. Le service public est le patrimoine de ceux qui n'ont pas de patrimoine", a affirmé Claude Bartolone, lors de l'émission Le supplément.
Huffington Post - Référendum du PS: quand la gauche de la gauche trolle Cambadélis
C'est à s'y méprendre. Si l'on ne regarde pas attentivement, impossible de faire la différence (sur le papier) entre le référendum lancé il y a quelques jours par le Parti socialiste de Jean-Christophe Cambadélis et celui dont plusieurs membres de la gauche de la gauche ont pris l'initiative lundi 5 octobre.
Le Parisien - Gauche : le contre-référendum qui va agacer le PS
Voilà qui risque fort d'agacer Jean-Christophe Cambadélis. Alors que le premier secrétaire du PS organise les 16, 17 et 18 octobre un référendum sur l'union de la gauche aux régionales, des «déçus» de la politique de François Hollande organisent leur propre référendum les mêmes jours.
Boursorama - Impôt obligatoire pour tous : le PS hostile, Hammadi maintient l'amendement
On le sait : on peut être socialiste et ne pas être sur la même longueur d'onde. Dernière illustration en date, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Bruno Le Roux, s'est dit lundi opposé à un amendement du député PS Razzy Hammadi visant à établir un impôt sur le revenu minimum obligatoire.
Le Point - Régionales 2015 : Queyranne se rebelle contre le PS
Le candidat PS en Auvergne-Rhône-Alpes n'a pas suivi les injonctions de son parti et ne va donc pas évincer de sa liste la dissidente Farida Boudaoud.
Challenges - La job machine repart, Hollande peut sourire
L'Insee annonce dans sa dernière note de conjoncture une stabilisation du chômage. Fait étonnant: malgré une faible croissance, la France crée des emplois. Une bonne nouvelle qui s'explique grâce aux effets positifs du CICE et du Pacte de responsabilité.
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L'actualité des socialistes du 28 septembre au 4 octobre (mise à jour)
A la une
Lyon Mag - Queyranne cherche-t-il à ménager les susceptibilités des socialistes lyonnais ?
Le président sortant de la région a présenté la liste de la Métropole de Lyon ce vendredi. Farida Boudaoud, qui a crispé la fédération PS du Rhône et qui fut longtemps pressentie pour occuper la deuxième position, sera finalement sixième. Un geste d’apaisement de la part de Jean-Jack Queyranne
3 et 4 octobre
Le Figaro - Cambadélis va lancer un «appel des 100» pour réunir la gauche
Il semble bien décidé à multiplier ce type d'initiatives. Depuis qu'il a été élu premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis a fait de l'union de la gauche son principal cheval de bataille. Après avoir d'abord tenté, en vain, de co-organiser l'université d'été de son parti avec EELV et le PCF, le député de Paris s'est ensuite mis en tête d'organiser un référendum sur le rassemblement de son camp aux régionales. Mais ça n'est pas tout: il envisage désormais de lancer, début 2016, un «appel des 100».
Le Figaro - PS : la recette d'Epinay de 1971 pour réunir la gauche
De l'initiave de Cambadélis, révélée par l'Opinion, de lancer un appel des 100 début 2016 pour refédérer les courants de gauche, naitra-t'il un nouveau parti? Retour sur la renaissance du PS en juin 1971 à Epinay.
« J’ai très mal vécu le choix qui a été fait par 274 militants de ma région d’une stratégie de division de la gauche. » C’est ainsi que Barbara Pompili a justifié l’annonce, mercredi 30 septembre, de son départ du parti Europe Ecologie-Les Verts. Le rejet de sa motion, prônant une alliance avec le Parti socialiste, par les militants du Nord-Pas-de-Calais-Picardie, le 12 septembre (qui ont préféré s’allier avec le Parti de gauche au premier tour) a poussé la coprésidente du groupe parlementaire des Verts à se « mettre en retrait des partis politiques ».2 octobreLe JDD - Martine Aubry heureuse, loin d'Emmanuel Macron
Martine Aubry ne regrette pas une seconde sa saillie contre le ministre de l’Économie. Mais la vie continue, dit celle qui a toujours rêvé d’être ministre de la Culture.Le titre sonne comme un slogan : "Tu dois changer ta vie!". L'injonction est, au fond, une méthode antimorosité, une manière de vivre malgré la crise, de renaître quand tout va mal. "C'est une adresse à chacun d'entre nous, il faut se dire, quand tout ne va pas très bien, qu'il y a des petits moments de bonheur partout", raconte Martine Aubry en inaugurant samedi matin au Tripostal l'exposition qui porte ce nom.
Le Figaro - Régionales : les élus PS s'inquiètent d'un effet Macron
En Conseil des ministres hier, François Hollande et Manuel Valls ont recadré leurs ministres les invitant à « maîtriser la parole gouvernementale et ne pas ouvrir des débats qui n'étaient pas prévus à l'agenda ». En ligne de mire : Emmanuel Macron.
1er octobre
Les Echos - New Wind, le nouveau pari d'Arnaud Montebourg
L’ancien ministre annonce jeudi son entrée au capital de New Wind, une start-up conceptrice d’éoliennes domestiques, dont deux prototypes seront exposés à la conférence de Paris sur le climat.Emmanuel Macron, ce nouvel enfant terrible de la gauche, aime se présenter en «homme libre». Pour justifier ses dernières sorties fracassantes, il se dit «dans la vérité du moment où il parle». Alors prenons le ministre de l’économie au mot. Invité du Monde Festival ce dimanche, le ministre de l’Economie a été interrogé sur ses ambitions pour 2017. Voici sa réponse : «C’est une question d’un autre temps. On est en train de parler de la transformation du monde ou bien d’essayer d’en approcher les contours et il faudrait que la vie politique, elle puisse continuer à fonctionner comme elle fonctionnait dans les années 50.»
30 octobre
Libé - Cambadélis en monsieur Loyal de son référendum
.... L’ouverture des votes en ligne aura lieu le vendredi 16 octobre. Le lendemain débuteront les votes physiques. Solférino espère ouvrir un bureau de vote dans chacun des 2 000 cantons de France. Les lieux restent à définir. Le site du PS proposera une Googlemap des bureaux. Le dimanche 18 octobre: clôture du vote physique et en ligne. Dans la soirée, un point presse annoncera une première tendance. Les scores officiels seront proclamés quelques jours plus tard après validation par la haute autorité.
Europe 1 - Cambadélis présente les modalités de son référendum... sans convaincre
Les modalités du référendum sur "l'unité de la gauche et des écologistes", qui sera organisé le 16 octobre prochain par le PS, ont été présentées mardi rue de Solferino, à Paris. "Face à la droite et l'extrême droite, souhaitez-vous l'unité de la gauche et des écologistes aux élections régionales ?", sera ainsi la question posée aux votants, a annoncé le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis… qui n'a, semble t-il, pas éteint le scepticisme de ses partenaires.
Le Figaro - Valls recadre Macron : «l'expérience d'élu de terrain est irremplaçable»
Celui que l'on surnomme volontiers «le bon élève du gouvernement» commencerait-il à agacer certains de ses chefs ? Après avoir secoué l'opinion et surtout le PS, en remettant en cause la pertinence des 35 heures et le statut des fonctionnaires, Emmanuel Macron a de nouveau fait parler de lui en estimant que le fait d'accéder à de hautes fonctions par le biais d'élections relevait «d'un cursus d'un ancien temps». Une confidence lâchée à l'occasion du festival le Monde et qui est tombée à point nommé, alors que des rumeurs persistantes font état d'une volonté de l'exécutif de voir son poulain légitimé par les urnes une fois pour toutes. Interrogé ce lundi, Manuel Valls siffle la fin de la récréation et entend bien ramener le patron de Bercy dans le rang.
Le Figaro - Cambadélis qualifie Macron de «ministre d'ouverture»
Les oreilles d'Emmanuel Macron ont une nouvelle fois sifflé. Mardi matin, le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, visiblement agacé, a enfoncé le clou après les dernières déclarations du ministre de l'Économie Emmanuel Macron, qui n'est pas membre du PS. Comme pour mieux tourner la page. «C'est un ministre d'ouverture et le Parti socialiste ne polémique pas avec un ministre d'ouverture. Ce qu'il dit ne nous engage pas et ce que nous pensons ne l'engage pas. On en restera là», a-t-il affirmé lors d'une conférence de presse au siège du parti consacrée au référendum du PS sur l'unité de la gauche pour les régionales.
BFM TV - "Emmanuel Macron est un problème", assure Laurent Baumel
La venue du ministre de l'Economie Emmanuel Macron mardi au séminaire des députés PS n'a pas ravi tous les députés socialistes après ses déclarations sur le statut des fonctionnaires, le frondeur Laurent Baumel jugeant même qu'il devait quitter le gouvernement.
28 et 29 septembre
Le Point - Pour Macron, passer par l'élection est "un cursus d'un ancien temps"
Lors d'un forum organisé par "Le Monde", le ministre de l'Économie a assuré qu'il n'avait pas l'intention d'être candidat aux législatives de 2017.Boursorama - Frondeuse, Anne Hidalgo ?
Les sujets sur lesquels l'élue socialiste s'est fait entendre ne manquent pas, avec parfois des victoires - comme sur la taxe de séjour - et parfois des défaites comme sur le travail dominical. Reste qu'un an et demi après son élection à la maire de Paris, Anne Hidalgo s'est fait une place atypique dans le paysage politico-médiatique. Celle d'une "sociale-démocrate" indépendante et batailleuse, qui ne cachent pas ses désaccords avec le gouvernement.
Le Figaro - Dray veut inviter Macron aux réunions du PS
L'ex-député PS Julien Dray, tête de liste aux régionales dans le Val-de-Marne, a suggéré dimanche au Parti socialiste d'inviter le ministre de l'Economie Emmanuel Macron à ses réunions et à des meetings, après le "Macron ras-le-bol" de Martine Aubry.
RTL - Élections régionales 2015 : Anne Hidalgo défend l'idée d'un front républicain contre le FN
Pour la maire PS de Paris, en cas de "risque majeur" de voir le FN diriger une région, il faudrait "se retirer".
Le JDD - Régionales en Ile-de-France: Pécresse et Bartolone au coude-à-coude
L’enquête Ifop pour le JDD révèle un duel très serré en Ile-de-France entre Valérie Pécresse (LR) et Claude Bartolone (PS) à trois mois des régionales. Le FN progresse ; les écologistes déçoivent.
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L'actualité des socialistes du 21 au 27 septembre (mise à jour)
A la une
Le Parisien - Sondage régionales : le PS à 23% derrière Les Républicains (35%) et le FN (26%)
Notre sondage exclusif Odoxa pour BFMTV et notre journal est inquiétant pour le PS, qui avait pourtant été élu à la tête de la quasi-totalité des régions il y a cinq ans.
26 et 27 septembre
Le Parisien - PS : le référendum sur l'union à gauche ne convainc pas
Selon un sondage Odoxa pour notre journal et BFMTV, le vote sur l'union à gauche dès le premier tour laisse sceptiques les sympathisants. La direction du PS a encore trois semaines pour mobiliser.
Pour le patron du PS, certains membres du gouvernement, à l'instar de la maire de Lille, n'ont pas apprécié les récentes déclarations du ministre de l'Économie.
La maire de Lille Martine Aubry (PS) a affirmé vendredi qu'"on avait encore le temps de faire retourner la courbe du chômage", souhaitant, si François Hollande y parvient, qu'il soit "le candidat de la gauche" en 2017.
LCI - Céline Pina (PS) : "C'est le déni qui fait le jeu du Front national"
Pour s'être opposée à la tenue d'un salon dédié à la femme musulmane, l'élue PS du Val-d'Oise a été accusée de faire le jeu du Front national.
Les Echos - Cambadélis menace d’exclure les députés PS qui voteront contre le budget
Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS, s’emploie à resserrer les rangs de la majorité. Quitte à faire usage de la menace. Au cours du conseil national du PS qui s’est tenu samedi dernier, il a menacé d’exclusion du parti les députés qui voteront contre le projet de loi de Finances pour 2016, qui doit être débattu en octobre à l’Assemblée nationale.
Pour le baptême du feu de la nouvelle ministre du travail, Myriam El Khomri, le chômage a atteint un nouveau record : selon les statistiques publiées jeudi 24 septembre par ses services et par Pôle emploi, le nombre de demandeurs d’emploi sans aucune activité (catégorie A) s’est accru de 20 000 en août, en métropole, soit une hausse de 0,6 % par rapport à juillet et de 4,6 % en un an. Des chiffres qui n’ont pas manqué de faire réagir.Le Figaro - Une figure de l'aile gauche du PS lance le site Macron-demission.fr
«Si l'on veut sauver la gauche du désastre, il faut la sauver de Macron», c'est le credo de Gérard Filoche, figure de la gauche du PS et adversaire de la première heure d'Emmanuel Macron. Après la dernière sortie du ministre de l'Économie au sujet des statuts des fonctionnaires, l'ancien inspecteur du travail n'entend pas s'en tenir au «ras-le-bol» lancé un peu plus tôt par Martine Aubry. Invité mercredi soir sur BFM TV, le membre du bureau national du PS a indiqué avoir lancé un site dédié à la perte du patron de Bercy, Macron-demission.fr. Un geste fort de la dernière chance que devrait tenter selon lui le chef de l'État, pour limiter la casse annoncée aux élections régionales de décembre prochain.
25 septembre
LCP - PS : la volte-face de Cambadélis
Lors du conseil national du parti, samedi dernier, le premier secrétaire du PS a tenté de faire voter une résolution saluant les annonces du gouvernement sur les baisses d’impôts et le milliard consacré aux collectivités locales. Un document qui aurait eu le mérite, pour l’exécutif, de faire oublier le texte voté par la rue de Solférino en juillet et rédigé par Jean-Marc Germain, qui demandait la réorientation des aides du CICE…
Le Parisien - Macron, frondeurs... Les petites confidences des députés PS sur leur rentrée
D'un côté, Emmanuel Macron et ses sorties choc sur les 35 heures ou le statut des fonctionnaires. De l'autre, des frondeurs qui réagissent au quart de tour et menacent déjà de voter contre le budget 2016.
Entre le marteau et l'enclume, le gros des troupes du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, réuni en séminaire en début de semaine. Des députés PS qui votent dans leur grande majorité les textes présentés par le gouvernement (voir notre infographie ci-dessous), ne font pas parler d'eux. Comment vivent-ils cette rentrée 2015?
Europe 1 - "Ras-le-bol !", le coup de gueule de Martine Aubry contre Macron
La maire de Lille est fermement opposée à la méthode du ministre de l'Economie sur le travail du dimanche.
Martine Aubry est en colère, et elle le dit. La maire de Lille avait déjà manifesté, sur Europe 1, son soutien à Anne Hidalgo dans la bataille qui oppose la maire de Paris à Emmanuel Macron sur le travail du dimanche. Et les propos du ministre de l'Economie sur les fonctionnaires ont été la goutte d'eau. Mercredi, la maire de Lille a donc réitéré ses critiques à l’encontre du ministre de l’Economie, avec un peu plus de virulence encore : "Macron ? Ras-le-bol ! Ras-le-bol ! Je supporte de moins en moins cette arrogance, et cette ignorance de ce que vivent les gens !"
24 septembre
BFMTV - Filoche: "J’ouvre le site macron-demission.fr"
Emmanuel Macron semble bel et bien dans le viseur d'une partie des militants socialistes. Ses déclarations polémiques à répétition ne passent pas auprès de l’aile gauche du parti. En guise de contestation, Gérard Filoche a créé un site où il exige sa démission.
Les sympathisants de gauche sont dans une très large majorité favorables à des listes d'union à gauche dès le 1er tour des élections régionales et plébiscitent l'idée du PS d'un référendum sur le sujet, selon un sondage BVA diffusé mercredi.
Libé - CICE : où sont passés les 25 milliards ?
Le rapport 2015 sur le crédit d’impôt compétitivité emploi pointe une utilisation du dispositif éloignée des objectifs : les hausses de salaires sont privilégiées à l’investissement et il profite peu aux exportations.
Libé - La France a réduit ses inégalités
D'après l'Insee, les écarts de niveaux de vie ont diminué en 2013. Un résultat dû en partie à la politique fiscale de François Hollande.
23 septembre
Libé - François Hollande préface un ouvrage en faveur du dialogue social
Un livre, publié jeudi, revient sur l'histoire de la démocratie sociale et les perspectives offertes par la concertation collective. Une ode au compromis et au bilan du Président, qui signe les premières pages du livre.
Libé - Hidalgo veut redistribuer les cartes à Paris
Dans une note à François Hollande et Manuel Valls, la maire PS de la capitale présente ses projets de réorganisation des pouvoirs dans sa ville.
Libé - Devant le groupe PS, Macron interdit de riposte
Après sa sortie sur le statut des fonctionnaires, le ministre de l'Economie a été recadré et fortement encouragé à mieux maîtriser ses propos afin de ne pas brouiller le message des socialistes.
France Info - Séminaire au goût de recadrage pour les députés PS
Le séminaire du groupe PS à l'Assemblée nationale s'est terminé par une intervention du premier ministre. Un séminaire ou il a beaucoup été question de discipline, de soutien des députés de la majorité à la politique gouvernementale. Un séminaire où le ministre de l'économie s'est rendu ce mardi et bien qu'interpellé sur les fonctionnaires par un élu, il n'a pas répondu.
Boursorama - L'iconoclaste Macron froidement accueilli par les députés PS
PARIS (Reuters) - Les députés socialistes réunis à huis clos ont réservé mardi un accueil glacial à Emmanuel Macron, coupable selon plusieurs participants de brouiller le message gouvernemental par ses déclarations sur le statut des fonctionnaires ou les 35 heures.
Challenges - Pourquoi le PS prend un très gros risque avec son référendum
INTERVIEW Timing trop serré, difficultés d’organisation, frilosité des autres partis: tout laisse à penser que le référendum du PS sur les élections régionales sera un échec selon Jérôme Fourquet (IFOP).
Francetvinfo - INFOGRAPHIES. Régionales : pourquoi le PS panique
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a annoncé la tenue prochaine d'un référendum sur "l'union de la gauche" aux régionales. Une initiative qui traduit une certaine peur de la déroute lors des élections régionales de décembre.
Paul Alliès - De la dégénérescence du parlement socialiste
Samedi 19 septembre se réunissait le Conseil National du Parti socialiste, autrement dit son parlement. Ce fut aussi le jour où le Premier secrétaire annonça la tenue d’un « référendum » pour exiger l’union de la gauche aux élections régionales. Or le parlement n’a pas débattu un seul instant de cette proposition.
22 septembre
Le Figaro - Le PS érige sa défaite à Noisy-le-Grand en cas d'école
Alors que Jean-Christophe Cambadélis va organiser un référendum sur la stratégie d'alliance des partis de gauche pour les régionales, la défaite du PS à la municipale partielle de Noisy-le-Grand sert d'avertissement.
PS - Contribution de Jean-Chistophe Cambadélis au Conseil national du 19 septembre 2015
Une confusion politique extrême règne en France. Elle est causée par l’opposition de droite et d’extrême droite qui ont de plus en plus de mal à dissimuler leur rapprochement de fait et qui, lentement mais sûrement, remettent en cause les repères républicains de notre démocratie. Il y a un grand danger que la crise des réfugiés va accentuer.
Le Monde, Les décodeurs - « Référendum » du PS sur les régionales, mode d’emploi
En annonçant, samedi 19 septembre, la tenue d’un référendum du 16 au 18 octobre sur l’union des listes de gauche aux élections régionales, Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste (PS), a bousculé le début de campagne. Pour l’instant, les formations de gauche partent en ordre dispersé dans la quasi-totalité des régions. Même dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie et en Provence-Alpes-Côte d’Azur, régions où une victoire du Front national se profile, socialistes, écologistes et Front de gauche n’ont pas réussi à s’entendre.Le Figaro - Régionales : le référendum socialiste en trois questions
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, veut consulter le peuple de gauche sur une union dès le premier tour du scrutin. Focus sur les modalités du vote et ses éventuelles conséquences.
L'Huma - Au PS, un référendum pour imposer l’union régionales
Plombé par un gouvernement discrédité dans l’opinion publique, le PS tente d’obliger le reste de la gauche à lui emboîter le pas en organisant une consultation.
LCP - Le Roux (PS): "passer au-dessus" de ceux qui "veulent faire perdre la gauche"
Bruno Le Roux, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, a justifié lundi le référendum du "peuple de gauche" souhaité par le patron du PS …
TF1 - PS : "Macron est très cohérent et sait où il va"
Le journaliste et écrivain, Denis Jeambar, estime qu'Emmanuel Macron a très bien compris la double personnalité de François Hollande et sait en jouer.
Le Parisien - PS : Valls auprès des députés socialistes pour leur séminaire de rentrée
Les rentrées sont souvent l'occasion de bonne résolution. Manuel Valls, qui sera ce lundi après-midi aux côtés des députés PS pour leur séminaire de rentrée à l'Assemblée, doit rêver que certains d'entre eux reviennent plus.
L'Obs - PS: Faure accuse le Front de gauche d'être devenu "l'allié objectif de la droite
Olivier Faure, porte-parole du PS, a accusé lundi le Front de gauche d'être devenu "l'allié objectif de la droite", justifiant la volonté du premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis d'appeler "le peuple de gauche" à se prononcer directement sur l'unité aux élections régionales.
Le Figaro - Excédée par les «provocations» de Macron, l'aile gauche du PS demande sa démission
Les critiques fusent à gauche, après la nouvelle sortie du ministre de l'Économie Emmanuel Macron sur le statut des fonctionnaires, qui selon lui ne serait «plus justifiable». «On a fait partir Arnaud Montebourg pour moins que cela», a fait remarquer le député Laurent Baumel lors d'un Conseil national du PS qui se tenait samedi à la Mutualité à Paris.
Libé - La nouveauté du week-end : Pourquoi Cambadélis sort un référendum de son chapeau
Le patron du PS annonce vouloir sonder «le peuple de gauche» pour savoir s’il est favorable ou pas à l’unité pour les régionales.
21 septembre
L'Express - Le "référendum" de Cambadélis ne séduit pas la gauche du PS
Le Premier secrétaire du Parti socialiste a annoncé samedi l'organisation d'un rérérendum sur l'unité de la gauche aux élections régionales. La proposition suscite la colère des partenaires traditionnels du PS.
Boursier.com - Régionales: le PS organise un référendum sur l'union de la gauche
PARIS (Reuters) - Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a annoncé samedi la tenue mi-octobre d'un référendum sur l'union de la gauche aux élections régionales, en vue desquelles l'éclatement des forces promet de mettre la majorité gouvernementale en difficulté.
Le JDD - Le PS appelle à un "référendum" du "peuple de gauche"
Jean-Christophe Cambadélis a annoncé samedi soir l'organisation par le PS d'un référendum du "peuple de gauche", du 16 au 18 octobre, lui demandant s'il est favorable à l'unité entre le PS et les autres partis de gauche aux régionales de décembre.
Le Parisien - Régionales: Cambadélis tente un pari pour imposer par la base l'unité à gauche
Face au risque d'une déroute aux élections régionales, le patron du PS Jean-Christophe Cambadélis appelle le "peuple de gauche" à se prononcer par "référendum" mi-octobre pour imposer une unité que les états-majors des anciens alliés du PS refusent pour l'heure.
Montpellier - En terrain conquis chez les Radicaux de gauche, réunis à Montpellier pour leur 100e congrès, Manuel Valls a lancé dimanche un appel à l'unité de la gauche face au danger du FN
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L'actualité des socialistes du 14 au 20 septembre (mise à jour)
A la une
A GAUCHE POUR GAGNER / Note d’analyse et de débat
Le 17 septembre 2015
Les conditions politiques du rassemblement
La récente lettre de Jean-Christophe Cambadélis « à la gauche et aux écologistes » a un mérite : elle interpelle l’ensemble de la gauche sur un processus d’émiettement lourd de conséquences. Elle décrit l’orage qui arrive.
On pourrait y voir une figure imposée du discours politique. Les défaites se sont accumulées, d’autres s’annoncent. L’injonction à resserrer les rangs vient naturellement… Nous prenons le sujet comme il doit l’être : au sérieux, pas simplement comme une tentative désespérée à la veille des élections régionales.
Le JDD - Les frondeurs à Cambadélis : "La déception crée la dispersion"
Quelques jours après la lettre du numéro 1 socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, "à la gauche et aux écologistes", plusieurs signataires de la motion B (aile gauche du PS) lui répondent par écrit.
19 et 20 septembre
L'Obs - Le PS réunit son Conseil national pour parler régionales
Le Conseil national du Parti socialiste se réunit samedi pour aborder les élections régionales de décembre, qui s'annoncent très critiques pour la majorité.
Le Monde - Travail du dimanche : Hidalgo refuse de discuter avec Macron
« Que des coups politiques à prendre ! » C’est ainsi que réagit l’entourage d’Anne Hidalgo à la proposition d’Emmanuel Macron de discuter avec elle du dossier du travail du dimanche. La maire de Paris n’accepte pas « un strapontin », indique son cabinet après avoir été, selon elle, « maltraitée » par le ministre de l’économie. Elle fait grief à M. Macron d’avoir exclu les maires du travail d’élaboration des futures zones touristiques internationales (ZTI) dans lesquelles les commerces pourront être ouverts en soirée et le dimanche, en vertu de la loi pour la croissance, promulguée le 6 août. A Paris, Bercy prévoit d’autoriser la création de douze ZTI.18 septembreLe Lab - Le pôle "Gauche Forte" du PS demande la révocation de Robert Ménard de la mairie de Béziers
C'était leur réponse à la "Droite Forte" de feu l'UMP. Mais visiblement, les membres du mouvement interne au PS, la "Gauche Forte", ont trouvé un nouvel ennemi en la personne de Robert Ménard. Le 16 septembre, par communiqué, ils réclament la "révocation de Robert Ménard de sa fonction de maire de Béziers".
Europe 1 - Hollande agite (déjà) le 49-3 en vue du vote du Budget
Après avoir débattu des frappes en Syrie mardi, le Parlement poursuit mercredi les discussions sur l'accueil des réfugiés. Comme la veille, le débat - que la droite souhaiterait élargir à la libre circulation dans l'espace Schengen - se déroulera sans vote. En revanche, il y a bien un vote que l'exécutif appréhende, c'est celui du Budget, présenté au conseil des ministres à la fin du mois. Car en réaffirmant le cap de l'allègement des charges pour les entreprises, François Hollande se prépare à un nouveau bras de fer avec les frondeurs du PS.
17 septembre
Libé - Réformes du travail : La gauche divisée, les salariés méfiants
A rebours des idées reçues, notre sondage montre que les travailleurs restent attachés aux 35 heures et sont réticents aux réformes sociales programmées. Un thème qui fracture la gauche elle-même.
Libé - En Rhône-Alpes-Auvergne, la liste PS prend l'eau
Une vingtaine de colistiers, dont la femme du maire de Lyon, Gérard Collomb, ont décidé de faire défaut au président sortant et tête de liste socialiste, Jean-Jack Queyranne, dans une région où la gauche part déjà très divisée.
Frédérique Massat, députée socialiste de l'Ariège, va prendre la direction de la commission des affaires économiques à l'Assemblée nationale. Elle en était déjà la vice-pésidente.
Lyon Mag - Jean-Jack Queyranne : “Il y aura un match aux régionales et je suis là pour le gagner”
Une semaine après avoir lancé sa campagne à Clermont-Ferrand, Jean-Jack Queyranne a agréablement accueilli ce sondage BVA lui octroyant une deuxième place inespérée après le sondage IFOP de janvier. "Il y aura un match", promet le président de Rhône-Alpes qui explique cette nouvelle consultation : "On mesure qui peut construire cette nouvelle région qui mérite une personnalité qui joue le jeu. Je n’ai rien à perdre et à la fois tout à gagner pour la région. Je ne cherche pas un poste".
16 septembre
L'Obs - Le PS prend ses distances avec le "front républicain" contre le FN
Tournant au PS ou habileté tactique? Pour la première fois, le patron Jean-Christophe Cambadélis a estimé lundi que la stratégie du "Front républicain" n'était "désormais" plus possible en raison des "déclarations extrémistes" de candidats du parti Les Républicains.
Le Progrès - Une vingtaine de candidats PS quittent les listes Queyranne
Exclusif. Le feu couvait depuis quelques semaines, mais les socialistes du Rhône et de la Métropole de Lyon ont mis leur menace à exécution. Dans un courrier individuel adressé à la fédération du Rhône, une vingtaine de candidats figurant sur les listes de Jean-Jack Queyranne pour les élections régionales de décembre prochain viennent d’officialiser leur retrait.
Lyon Mag - Régionales : Collomb, Peillon, Sturla, les socialistes ont lâché Queyranne
Alors que Solférino doit bientôt arbitrer la guéguerre interne qui fait rage entre le PS du Rhône et Jean-Jack Queyranne, la fédération a décidé d'appliquer son ultimatum.
Emmanuelle Cosse, secrétaire nationale d’Europe Écologie-Les Verts (EELV), a conseillé à Jean-Christophe Cambadélis de «sortir des questions politicardes» en réponse à l’appel du PS pour une nouvelle alliance «politique et citoyenne», mais aurait préféré «faire autrement» que l’autonomie décidée par les militants en Nord-Pas-de-Calais/Picardie
La Tribune - DSK tacle Hollande, ses ministres et le PS
Dominique Strauss-Kahn, relaxé cet été dans l'affaire du Carlton de Lille, fait de nouveau parler de lui. Cette fois, il s'attaque au gouvernement, mais exclut un retour sur la scène politique.
Libé - Cambadélis : «Comme on dit en cyclisme : le trou est fait»
Le premier secrétaire du Parti socialiste pense déjà à la présidentielle de 2017 et estime que son parti reste le pivot de la gauche.
BFMTV - Benoît Hamon "regrette" qu'EELV parte aux regionales sans le PS en NPDC-Picardie
Benoît Hamon, un des porte-voix de l'aile gauche du Parti socialiste, a regretté lundi la décision des militants d'Europe-Ecologie/Les Verts (EELV) en Nord-Pas-de-Calais/Picardie de ne pas partir en tandem avec le PS aux élections régionales de décembre.
15 septembre
Libé - Cambadélis met en garde la gauche contre le «narcissisme des petites différences»
Dans une «lettre ouverte» envoyée lundi «à la gauche et aux écologistes» et que Libération publie, le patron du PS propose «l'ouverture d'une discussion collective pour bâtir une route commune»
Le Point - Le PS plaide pour une alliance de la "nouvelle gauche politique et citoyenne"
Face à la menace du "bloc réactionnaire", le Parti socialiste a publié une lettre ouverte à la gauche et aux écologistes pour s'allier.
Le Figaro - Face au FN, les socialistes prêts à abandonner le front républicain
Jean-Christophe Cambadélis plaide pour le maintien des listes socialistes dans les régions menacées par le FN. Un ministre propose pour sa part une fusion de liste avec Les Républicains dans le Nord.
Le Fifaro - Régionales : l'idée d'une fusion PS-Les Républicains ne convainc personne
L'hiver approche et avec lui la perspective pour le PS d'une lourde défaite aux élections régionales. Confronté aux bonnes intentions de vote en faveur de la droite et du FN et à la multiplication de listes à gauche au premier tour, le PS envisage de dépasser le réflexe du front républicain jusqu'ici en vigueur. Dans la configuration actuelle, il pourrait marquer la disparition quasi-totale des socialistes de la majorité des exécutifs régionaux. «Un influent ministre anonyme» cité par France Info, a imaginé une parade: proposer au soir du premier tour une fusion des listes PS et des Républicains, en échange notamment d'accord sur les votes essentiels comme le budget. Une option qui permettrait à la droite victorieuse de «choisir» une opposition régionale de gauche, là où le FN pourrait être tenté de paralyser les institutions. Mais à droite comme à gauche, l'idée ne fait pas recette.
14 septembre
Le Figaro - La vague de départs se poursuit chez EELV
La stratégie d'indépendance d'EELV vis-à-vis du PS pour les prochaines régionales continue de provoquer des remous au sein du parti. La promesse de listes autonomes dans plusieurs régions menacées par le FN avait déjà été dénoncée par Jean-Vincent Placé et François de Rugy, qui ont claqué la porte du parti. Mais, samedi, les militants écologistes Nord-Pas-de-Calais/Picardie ont confirmé sans surprise la rupture avec le PS, souhaitée par la candidate dans la région et porte-parole du parti Sandrine Rousseau.
L'élection de cet eurosceptique de 66 ans à la tête du parti travailliste britannique a été accueillie avec bienveillance par l'ensemble de la gauche française.
Libé - Avec Jeremy Corbyn, les travaillistes britanniques roulent à gauche
Ce vieux briscard de 66 ans a été élu haut la main à la tête du Labour. Mais sa ligne politique, proche de Podemos ou Syriza, est très éloignée de celle qui dominait depuis vingt ans et Tony Blair.
Libé, Joffrin - Vive le socialisme
Incroyable mais vrai : une réforme de gauche qui marche ! On est tellement tympanisé par le flonflon anti-Etat qui occupe le fond sonore de nos démocraties qu’on finit par douter de la pertinence de la régulation. A coups de grosse caisse et de sirènes d’alarme, on nous avait promis le pire si la puissance publique se mêlait de limiter des loyers de centre-ville, dont une bonne partie atteignait des niveaux indécents.
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L'actualité des socialistes du 7 au 13 septembre (mise à jour)
A la une
REPLAY - INFO RTL - Le chef de file des frondeurs socialistes compte lancer avec l'ancienne patronne des Verts, un nouveau mouvement citoyen.
12 et 13 septembre
Le Monde - Jeremy Corbyn élu au premier tour à la tête du Parti travailliste britannique
Le Labour Party, le Parti travailliste britannique, a annoncé, samedi 12 septembre, le résultat de sa primaire. Jeremy Corbyn, 66 ans, chantre de la gauche radicale, eurosceptique, farouche opposant des politiques d’austérité, dans la lignée des partis grec Syriza et espagnol Podemos prend la direction du principal parti d’opposition britannique, à la tête duquel il a été élu avec 59,5 % des suffrages. La campagne pour la primaire « a montré que notre parti, notre mouvement, passionné, démocrate, divers, était uni et résolument déterminé dans notre quête pour une société meilleure et juste pour tous », a-t-il déclaré
France 3 - Politique : les frondeurs vont-ils rejoindre un nouveau groupe "rose-rouge-vert" ?
Quatre députés de gauche tentent de mettre en place un nouveau groupe "rose-rouge-vert". Mais, les députés PS frondeurs ne les rejoindront pas, assure Christian Paul, député socialiste de la Nièvre et chef de file des frondeurs.
Favoriser l’emploi ne passe jamais par la perte des protections des salariés, même renommée « assouplissements » par certains.
Pour être progressiste, la modernité doit permettre aux salariés et chefs d’entreprises de mieux connaître leurs droits
et d’en acquérir de nouveaux.
Le rapport Combrexelle et la volonté affichée par le gouvernement de légiférer rapidement à sa suite partent d’une idée fausse : la législation du travail provoquerait des rigidités qui seraient un frein à l’embauche. Le marché du travail présente d’ores et déjà des souplesses, dont l’amplification ces dernières années au travers d’un maquis conventionnel n’a pas permis la baisse du chômage.
Ces propositions montrent l’absence totale d’imagination dont le gouvernement fait preuve.
Ils sont venus, ils sont tous là ; ils ne quittent à vrai dire jamais la scène : le MEDEF, ses greffiers (JD. Combrexelle, C.Radé) et ses propagandistes.
A l’heure où la meute communie sans vergogne, psalmodiant une même ode à un code du travail enfin sorti de son « obésité » pour être « simplifié », « lisible », « efficace », « juste » et « protecteur », il est de première nécessité pour éviter les constats « partagés » pavloviens de faire retour sur ce qu’ils ont fait et continuent de faire du Code du travail depuis une douzaine d’années.
Libé - COP21 : Hollande, le Vert en demi-teinte
Le président de la République lance ce jeudi la mobilisation de la France pour la conférence climat internationale qui va s'ouvrir fin novembre à Paris. S'il est vu par les écologistes comme encore trop timide, il a entamé une mue climatique.
Le Monde - « Le droit d’asile ne se découpe pas en tranches »
L’entretien accordé par Nicolas Sarkozy au Figaro, jeudi 10 septembre, a suscité de nombreuses réactions des personnalités politiques françaises. Notamment à gauche, où les ténors du Parti socialiste (PS) ont vivement critiqué les propos du président des Républicains sur l’accueil des migrants en France et la remise en question du droit du sol, que M. Sarkozy avait déjà évoquée le 13 juin.Député européen et figure de l’aile gauche du PS, Emmanuel Maurel, tire les leçons de la crise grecque, critiquant au passage la discrétion de la France et de l’Italie.
Le Monde - L’appel du PS pour soutenir les migrants
Le débit est rapide, la voix est ferme, presque sans émotion. « J’étais captive de Daech [acronyme arabe de l’Etat islamique] pendant 3 mois, j’ai été torturée plusieurs mois, enchaînée toute la journée, j’ai dû boire de l’eau dans laquelle il y avait des souris mortes, j’ai été battue, frappée avec un bâton. » Le témoignage de Jinan, jeune femme yézidie irakienne de 19 ans, retenue 12 semaines comme esclave par les djihadistes de l’Etat islamique, assomme la salle du Cirque d’hiver (Paris 11e), où se tenait mardi 8 septembre le meeting de soutien aux réfugiés organisé par le Parti socialiste.
TF1 - Meeting du PS pour l'accueil des réfugiés : "C'est l'appel de la dignité" pour Virgine Ledoyen
Ce mardi, le PS tenait un meeting depuis le Cirque d'hiver à Paris pour évoquer en profondeur l'accueil des réfugiés. La comédienne Virgine Ledoyen, présente dans l'assemblée, a salué la justesse et l'humanité du discours de la maire de Paris Anne Hidalgo.
10 septembre
Libé - Conférence de presse : et Hollande finit agacé...
Généralement à l'aise face aux journalistes, le président de la République a manifesté pour la première fois de l'agacement ce lundi, sur des questions récurrentes portant sur son avenir politique.
RFI - France: le meeting du PS sur les réfugiés perturbé par des militants
Après un long silence cet été, le Parti socialiste entend se saisir de la question de l'accueil des réfugiés. L'appel de Jean-Christophe Cambadélis aux maires de France, la semaine dernière, a été réitéré ce mardi au Cirque d'Hiver, à Paris, lors d’un meeting auquel ont assisté 200 militants et permanents du parti, cependant quelque peu chahutés au cours de la soirée.
Le Monde - Le PS renoue avec la société civile pour soutenir les migrants
Virginie Ledoyen et Claude Bartolone, Jane Birkin et Anne Hidalgo, mais aussi et surtout, en invitée d’honneur, Jinan, la jeune femme yézidie qui fut esclave sexuelle des djihadistes de l’Etat islamique... L’affiche du meeting de soutien aux réfugiés, organisé mardi 8 septembre au Cirque d’hiver (Paris 11e), traduit la volonté du Parti socialiste de renouer avec ses fondamentaux.
Tribune de Lyon - Exclusif. Cambadélis met la pression sur Queyranne
Selon nos informations, le bureau national du Parti Socialiste présidé par Jean-Christophe Cambadélis a décidé hier à Paris de soutenir la fédération socialiste du Rhône. En clair, la rue de Solférino a choisi d'imposer à Jean-Jack Queyranne, le candidat PS aux régionales en Rhône-Alpes-Auvergne, que sa liste métropolitaine soit soumise à l'approbation du bureau national. Une décision qui devrait donc obliger le président du conseil régional sortant à tenir compte de la position des militants PS du Rhône qui s'opposent à sa volonté d'imposer Farida Boudaoud (vice-présidente en charge de la Culture à la Région, exclue du PS en 2014 Ndlr) en 2e place sur sa liste.
9 septembreChristian Paul, chef de file des « frondeurs » et de l'aile gauche du PS, a estimé que François Hollande, lors de sa conférence de presse, avait manqué « d'audace » sur le plan de la politique économique, mais a salué une « prise de conscience, même tardive » sur les réfugiés.
Europe 1 - Hollande : cinq petites phrases très politiques
Accueil des réfugiés, baisse des impôts, réforme du droit du travail, lutte contre l'Etat islamique en Syrie… François Hollande a longuement fait le tour de ces sujets brûlants lors de sa conférence de presse, lundi à l'Elysée. Mais au-delà des annonces, le chef de l'Etat a aussi distillé quelques messages politiques. Europe 1 revient sur cinq déclarations lourdes de sens.
8 septembre
Francetvinfo - Revivez la conférence de presse de rentrée de François Hollande
Le président s'est notamment prononcé sur l'extension à la Syrie des frappes contre le groupe Etat islamique, sur l'accueil des réfugiés et sur les baisses fiscales prévues en 2016.
Le Monde - Le plan timide du gouvernement face au drame des migrants
Une dose d’humanitaire et une dose d’expulsion : le plan proposé en conseil des ministres, mercredi, par le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, pour répondre aux conséquences en France de la crise migratoire européenne ressemble à un cocktail savamment dosé pour déminer un sujet politiquement explosif. Au risque de fâcher tout le monde…Lyon Mag - Régionales : le PS du Rhône lance un ultimatum à Jean-Jack Queyranne
Rien ne va plus entre Jean-Jack Queyranne et le Parti socialiste du Rhône.
Cela fait plusieurs mois que les tensions existent, mais il y a désormais une trace écrite. Selon le Progrès, David Kimelfeld, premier fédéral, a adressé un courrier au président de la Région Rhône-Alpes pour évoquer les élections régionales.
Dans son ultimatum, il exhorte Queyranne à prendre 50% de socialistes sur sa liste. S'il refuse, le PS du Rhône ne fera pas campagne pour lui, ne financera pas ses actions et ne lui prêtera pas les locaux de la fédération du cours de la Liberté.Lyon Capitale - Régionales : Queyranne ne retient pas Caroline Collomb
Les relations entre Jean-Jack Queyranne et la fédération PS du Rhône continuent de se tendre. Les lyonnais ont ainsi boudé son meeting de lancement de campagne, samedi à Clermont-Ferrand. Alors que Caroline Collomb envisage de retirer sa candidature, le président de la région, qui la relègue de plus en plus bas sur sa liste, a confié que son retrait ne le gênerait pas.
Le JDD - Le JDD a assisté à la rencontre entre les frondeurs et Pablo Iglesias
EXCLUSIF - Plusieurs parlementaires socialistes, dont l'ancien ministre Benoît Hamon, ont rencontré dimanche à Paris, Pablo Iglesias, le chef de file du parti anti-libéral espagnol Podemos. Ils ont convenu de travailler à des "convergences" pour inverser le rapport de force dans l'Union européenne.
Le Point - Outre Mélenchon, Iglesias (Podemos) inspire aussi Hamon et les frondeurs du PS
L'ex-ministre de l'Education Benoît Hamon a salué dimanche des "convergences" avec la formation anti-libérale espagnole Podemos, à l'issue d'une rencontre de plusieurs frondeurs du Parti socialiste et du leader de Podemos, Pablo Iglesias, dimanche à Paris.
7 septembre
RFI - Marie-Noëlle Lienemann: «Il ne faut pas attendre que l'Europe nous contraigne»
Le président de la République française, François Hollande, tient ce lundi 7 septembre, une conférence de presse à l’Elysée. Il sera question de la crise des migrants, de la lutte contre l’organisation Etat islamique, mais aussi du marché du travail en France et de la réduction d’impôts qu’il envisage pour l’année 2016. Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice PS de Paris, membre de la Commission des Affaires économiques au Sénat et ancienne ministre, est l’invitée de Frédéric Rivière.
Invité de France Info ce 28 août, Claude Bartolone a vivement réagi au dernier drame impliquant des migrants en Autriche : entre 20 et 50 personnes ont été retrouvées mortes dans un camion. "C'est la responsabilité de l'Europe de les accueillir", lance-t-il en expliquant qu'il s'agit d'une question "d'honneur".
Le Parisien - PS : Cambadelis met le cap sur 2017
Éclatée façon puzzle, la gauche cherche les voies de l'unité. Lundi soir, à l'occasion d'une réunion de ses principaux dirigeants du PS, à son siège parisien de la rue de Solferino, à Paris, Jean Christophe Cambadelis lancera une série de rencontres avec la myriade de clubs, de partis et les personnalités qui souhaitent la victoire de la gauche lors de la prochaine élection présidentielle de 2017.
France 3 - Rhône-Alpes-Auvergne: Jean-Jack Queyranne (PS) lance sa campagne
Le président sortant de la région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne (PS), s'est officiellement lancé, samedi à Clermont-Ferrand, dans la "compétition" des élections en Rhône-Alpes-Auvergne, fustigeant au passage "la démagogie et le populisme" de son principal rival, le Républicain Laurent Wauquiez.
Boursorama - Migrants : le PS bat le rappel pour accueillir davantage de réfugiés
Après l'électrochoc provoqué par les photos du petit Aylan, les initiatives se multiplient pour faciliter l'accueil des réfugiés. Appel d'élus socialistes à un réseau de «villes solidaires», pétition, mobilisation citoyenne... Les photographies montrant l'enfant syrien de trois ans trouvé noyé sur une plage turque, ont déclenché un vaste mouvement, sur lequel le Parti socialiste s'est greffé.
La journaliste Léa Salamé estime que le premier secrétaire du PS "spécule" sur le programme du Front national.
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Conférence de presse : un rituel dépassé, Hollande "pris au piège de son engagement"
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L'actualité des socalistes du 31 août au 6 septembre (mise à jour)
A la une
Le Monde - Réfugiés : l’appel solidaire de Martine Aubry
Martine Aubry a annoncé lors d’un point presse en mairie, vendredi 4 septembre, que la ville de Lille allait prendre ses responsabilités en accueillant« sans difficulté une centaine de réfugiés ».
Depuis quinze jours, la maire de Lille travaillait avec les services de la ville pour trouver des terrains.
« Nous avons deux résidences appartenant à la Ville [et que la Ville comptait mettre en vente] pour accueillir des familles ou des individus isolés. Lille est prête. Et nous allons travailler sur la scolarisation des enfants, sur la santé, l’accompagnement psychologique et professionnel de ces personnes. »
6 septembre
Dominique Villemot monte au créneau pour défendre François Hollande face au livre de l'éditorialiste du "Monde" Françoise Fressoz, "le stage est fini". Ainsi, pour cet intime du chef de l'Etat, quand le président explique qu'il n'aurait pas dû supprimer la TVA sociale, il prouve qu'il "n'a pas un ego démesuré et sait reconnaître ses erreurs". Cet hollandiste de la première heure estime d'ailleurs que "ce n’est pas parce que le président n’a pas le comportement d’un monarque condescendant et autoritaire, comme certains de ses prédécesseurs, qu’il ne sait pas où il va."
Le JDD - Hollande : "Si nous avons échoué, Valls ne peut pas gagner"
CARREFOUR DES GAUCHES - La journaliste du Monde François Fressoz publie jeudi sa chronique du quinquennat : Le stage est fini. Elle a recueilli les confidences de plusieurs acteurs de premiers plans, dont François Hollande. C'est ce qui donne toute sa valeur au livre. Jugement critique d'Hollande sur son propre quinquennat, scène étonnante d'un Montebourg déboulant dans le bureau de Moscovici pour lui mettre un marché en main et contenu de l'accord Ayrault-Duflot pour que le premier puisse rester à Matignon après les municipales. Voilà quelques unes des pépites du livre
5 septembre
Le Figaro - Les frondeurs du PS et Mélenchon reçoivent le leader de Podemos
Alors que la gauche française est en pleine restructuration, les responsables consultent leurs homologues européens pour s'inspirer de leurs expériences. Ce week-end, le chef de file du parti antilibéral Podemos Pablo Iglesias est à l'honneur.
Après la diffusion d'une photo choc et en réponse à l'appel de François Hollande et Angela Merkel, le député PS toulousain, C. Borgel, demande aux maires d'accueillir des migrants.
France 24 - Migrants: appel socialiste à la constitution d'un "réseau de villes solidaires"
PARIS (AFP) - Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a lancé jeudi un appel à la "constitution d'un réseau de villes solidaires" qui s'engageraient à accueillir des réfugiés.
Dans un communiqué signé également par Pierre Cohen, le président de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains (Fnesr), le responsable PS appelle "l?ensemble des élus locaux socialistes et apparentés à prendre leur part, aux côtés des villes qui s?y sont déjà engagées, dans une grande mobilisation pour les réfugiés, afin de structurer un réseau de villes solidaires prêtes à s?engager à accueillir des familles sur leur territoire".
L'Humanité - Benoît Hamon : « L’idée selon laquelle le politique ne peut rien est absurde »
Pour l’ancien ministre, Benoît Hamon, le brouillage des lignes politiques rend le clivage droite-gauche désormais illisible. L’animateur de l’aile gauche du PS veut travailler à l’émergence d’un mouvement et n’exclut pas de participer à des primaires de la gauche en 2017.
4 septembre
Public Sénat - Gérard Filoche : «Manuel Valls ne connaît rien au code du travail»
Gérard Filoche, membre du bureau national du PS et de l’aile gauche du parti, apprécie peu les propos de Manuel Valls (voir la vidéo) qui veut « revoir en profondeur » le code du travail. « Il pense aux patrons, pas aux salariés » affirme cet ancien inspecteur du travail. Manuel Valls veut « faire plaisir à Monsieur Gattaz » selon Gérard Filoche, qui affirme que « plus d’un patron sur deux est un délinquant » car ils ne payent pas les heures supplémentaires. Entretien.
Le Point - Ces ministres qui n'ont pas de métier
La ministre du Travail est l'incarnation d'une singularité française : les membres du gouvernement n'ont souvent rien connu d'autre que la politique ou l'Ena
Le Figaro - 2017 en tête, Benoît Hamon annonce un nouveau mouvement à la gauche du PS
L'ancien ministre de l'Éducation n'exclut pas de participer à une éventuelle primaire de la gauche en vue de la présidentielle.
«Instruit par l'expérience, je considère que l'idée selon laquelle le politique ne peut rien est absurde», lance Benoît Hamon ce jeudi dans les colonnes de l'Humanité. Et l'éphémère ministre de l'Éducation, qui n'avait pas eu l'occasion de suivre une seule rentrée scolaire, entend bien se retrousser les manches pour réussir celle de cette année. Le programme annoncé par le député des Yvelines et figure de la gauche du PS est chargé: il annonce la création d'un nouveau mouvement à l'automne et sa volonté de se porter candidat à une éventuelle primaire de la gauche pour l'élection présidentielle.
Huffington Post - Mea culpa de Hollande: sa déclaration sur la TVA sociale ne trompe personne
Il commence son inventaire bien tôt. À un an et demi de la fin de son mandat, François Hollande regarde déjà dans le rétroviseur pour voir ce qu'il a bien fait et là où il a échoué depuis le début de son quinquennat. Une manière de préparer un peu plus encore une probable nouvelle candidature en 2017. Une manière surtout de se démarquer de son prédécesseur et possible rival; Nicolas Sarkozy n'a en effet jamais procédé publiquement à l'analyse de son passage à l'Elysée.
3 septembre
Libé (octobre 2014) - Myriam El-Khomri. Son nouveau pari
Ce jour de remaniement, elle achetait des chaussures en promotion au BHV, quand son portable a sonné. Dans le vacarme des annonces commerciales, elle captait un mot sur deux. C’était Manuel Valls : «Je te passe le Président.» François Hollande : «Un sujet… important… il va falloir beaucoup travailler.» Difficile de dire non, dans de telles circonstances, surtout lorsqu’on s’attend à tout, sauf à devenir secrétaire d’Etat à la politique de la Ville. Au journal de 20 heures, Valls a écorché son nom. La nuit suivante, Myriam el-Khomri n’a pas fermé l’œil. «Je n’aime pas quand tout va hypervite, on ne maîtrise rien», confie-t-elle. Née quelques jours après Najat Vallaud-Belkacem, elle est la benjamine du gouvernement.
Le Monde - L’ascension éclair de Myriam El Khomri, nouvelle ministre du travail
C’est un léger remaniement qu’ont opéré François Hollande et Manuel Valls, mercredi 2 septembre. En nommant Myriam El Khomri au ministère du travail, en remplacement du démissionnaire François Rebsamen, le président de la République et le premier ministre créent la surprise avec la promotion éclair de celle qui était jusque-là secrétaire d’Etat chargée de la politique de la ville. Son précédent portefeuille sera repris en main par son ministre de tutelle, Patrick Kanner. En revanche, avec ce remplacement poste pour poste, ils limitent la portée politique de ce changement au gouvernement.Elue du XVIIIe arrondissement de Paris, l'ex-adjointe d'Anne Hidalgo est pourtant davantage spécialisée dans les questions de sécurité.
Les Echos - Myriam El Khomri, le pari risqué de François Hollande à l’emploi
La benjamine du gouvernement, qui détenait le portefeuille de la Politique de la ville depuis août 2014, a succédé ce mercredi à François Rebsamen. Le chef de l’Etat a fait le choix du renouvellement et de l’image.
Libé - Les six conseils de «Libé» à Myriam El-Khomri
Tout juste nommée au ministère du Travail, la nouvelle locataire de la rue de Grenelle va devoir user de qualités si elle veut durer à ce poste sensible
Le Figaro - Pour le frondeur PS Baumel, «il ne faut pas enterrer Bayrou» pour 2017
Député d'Indre-et-Loire et figure des frondeurs socialistes, Laurent Baumel juge que face à la lassitude de l'électorat vis-à-vis du duel Hollande-Sarkozy, François Bayrou pourrait créer la surprise.
Le Lab - Le frondeur Laurent Baumel estime que Bruno Le Roux "ne sert à rien"
#PLUTÔTSYMPA - Cela n'a rien de nouveau, les relations entre les membres du gouvernement et les frondeurs n'ont rien d'idylliques. Cependant, un homme ne fait pas (encore?) partie du gouvernement mais provoque quand même l'ire des députés frondeurs. C'est Bruno Le Roux, le patron du groupe socialiste à l'Assemblée et proche de François Hollande.
Le Parisien - PS : Cambadélis et Macron signent la paix des braves
Jean Christophe Cambadélis avait promis une discussion «franche et amicale», l'entretien avec Emmanuel Macron est devenu... «détendu et constructif». Peu importent les termes, le premier secrétaire du PS et le ministre de l'Economie se sont rencontrés lundi après midi à Bercy pour arrondir les angles.
Libé - Jean-Daniel Lévy : «Emmanuel Macron est devenu emblématique»
Le directeur du département politique et opinion de l’institut de sondages Harris Interactive France analyse la cote du ministre de l'Economie.
2 septembre
Le Monde - Pourquoi M. Hollande a décidé de se faire le champion des baisses d’impôts
C’est un regret qui concerne le début du quinquennat mais dont l’aveu éclaire la façon dont le chef de l’Etat envisage la fin de son mandat. Dans un livre à paraître mercredi (Le Stage est fini, Albin Michel, 264 pages, 18 euros), François Hollande fait part à notre collaboratrice Françoise Fressoz du regard critique qu’il porte sur la politique fiscale des débuts de son mandat. « On paie souvent la première loi de finances rectificative, reconnaît le président de la République. Pour Sarkozy, c’était la loi travail, emploi, pouvoir d’achat interprétée comme un cadeau fiscal. Il l’a payé tout son quinquennat. Nous, on a payé les 11 milliards d’impôts nouveaux levés à notre arrivée. »L’ancien premier ministre Jean-Marc Ayrault ne s’en cache plus. Au micro d’Europe 1, le député de Loire-Atlantique s’est dit intéressé par la présidence de l’Assemblée nationale dans l’hypothèse où le titulaire du perchoir, Claude Bartolone, remporterait les élections régionales en Ile-de-France en décembre.Boursorama - Hollande regrette que la gauche française ne soit pas "mature"
PARIS (Reuters) - En plus de trois ans à l'Elysée, François Hollande reconnaît avoir engagé des réformes "qui ne sont pas toutes de gauche" mais il regrette que ses choix aient été critiqués par un Parti socialiste qui manque selon lui de maturité.
Dans un entretien accordé le 9 juillet à la journaliste du Monde Françoise Fressoz, qui en rend compte dans un livre intitulé "Le stage est fini" (Albin Michel) à paraître jeudi, le président fait un constat sévère pour son camp divisé.
Poussée vers la sortie de l'Assemblée nationale par Cécile Duflot, la socialiste Danièle Hoffman-Rispal rêve de prendre sa revanche en 2017. Le parti temporise.
C'était il y a seize mois. Danièle Hoffman-Rispal, députée socialiste emblématique de la 6e circonscription de Paris (11e/20e arrondissements) quittait, «dépitée», son siège du palais Bourbon. Conséquence d'un accord électoral signé avant les législatives de 2012 et du départ de Cécile Duflot du gouvernement. Grâce à Martine Aubry, l'écologiste était parvenue à prendre la place de titulaire dans cette «circonscription en or» pour la gauche, et ce malgré la bronca des socialistes parisiens. Danièle Hoffman-Rispal avait simplement obtenu comme lot de consolation d'être suppléante et de siéger deux ans à l'Assemblée nationale pendant la participation de Cécile Duflot au gouvernement de Jean-Marc Ayrault.
1er septembre
Europe 1 - Régionales : l'impossible union PS-écologistes
N'en déplaise à Manuel Valls, les militants PS ont fait le deuil des alliances électorales avec EELV.
L'appel se voulait le plus solennel possible. Le problème, c'est que personne n'y croit. Dans son discours clôturant l'université d'été du Parti socialiste à La Rochelle, dimanche, Manuel Valls a appelé à des listes communes avec les écologistes dès le premier tour des élections régionales de décembre. "Socialistes, écologistes, radicaux doivent combattre, unis dès le premier tour, dans le Nord-Pas-de-Calais et Picardie, en Provence Alpes-Côte d'Azur, et si possible partout en France", a lancé le Premier ministre. Mais même si Manuel Valls a mouillé la chemise, il n'est pas sûr que cela suffise à transformer cette exhortation en réalité...
France 3 - Le Parti socialiste prépare les élections régionales
L'université d'été du Parti socialiste, à la Rochelle, est l'occasion pour le mouvement de préparer les élections régionales de décembre 2015. Pour cela des ateliers destinés aux élus candidats à ce scrutin sont organisés. L'un d'eux concernait la nouvelle région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes.
Marianne - La Rochelle, "un grand cru", vraiment ?
L'université d'été du Parti socialiste s'achève à La Rochelle. Discordes internes, discussions houleuses avec ses alliés écolos, rien ne va plus. Jean-Christophe Cambadélis a vu sans rire dans cette édition 2015 « un grand cru.
Libé - La Rochelle, une gauche à implosion
Démissions chez les écologistes, débat sur les 35 heures, recomposition des «progressistes»… L’université d’été du PS a montré l’étendue des chantiers de la majorité.
31 août
Le JDD - Réforme fiscale : Jean-Marc Ayrault veut faire "bouger les lignes"
Depuis l'université d'été du PS à La Rochelle, Jean-Marc Ayrault a appelé samedi le gouvernement à mettre en place une vraie réforme fiscale, allant plus loin que le simple prélèvement à la source. L’ancien Premier ministre a écrit à ce sujet un livre avec le député socialiste Pierre-Alain Muet
Le Parisien - Cambadélis à «BFM Politique» : le PS est «social-écologique»
«Le Parisien» - «Aujourd'hui en France» s'associe désormais à BFMTV pour recevoir, chaque dimanche soir, un invité politique. Cette fois, le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, est venu débriefer l'intense week-end d'université d'été de son parti, entre divisions et rabibochages.
Manuel Valls a mouillé la chemise, au propre comme au figuré. Le premier ministre, une heure durant et la chemise blanche trempée de sueur, a livré dimanche 30 août un discours de clôture de l’université d’été du PS à La Rochelle dont la nouveauté n’était pas dans des annonces particulières – il n’y en a eu aucune – mais dans sa tonalité.Le Monde - A La Rochelle, Manuel Valls appelle à l’union avec les écologistes pour les régionales
Manuel Valls a opté pour un discours énergique à l’occasion de la clôture de l’université du PS, dimanche 30 août à La Rochelle, sous un soleil de plomb. Un discours plutôt réussi dans la forme, mais sur le fond, aucune annonce ni nouveauté. Le premier ministre s’est appliqué à défendre le cap de sa politique, a appelé à l’union des gauches pour les élections régionales et est revenu sur la crise migratoire à laquelle doit faire face l’Europe.Le Premier ministre a livré un discours habité en clôture de l'université d'été de la Rochelle, portant sur les migrants, le droit du travail, la politique économique, les régionales et la cohésion au sein du PS.
L'Express - Manuel Valls à La Rochelle: la réforme pour le code du travail, pas pour les 35h
En une heure de discours, Manuel Valls a balayé en clôture de l'université du PS tous les sujets du moment, de la polémique Macron au drame des migrants, du FN aux régionales.Boursorama - La Rochelle : Valls appelle au «volontarisme» et à la «constance»
«Il y a un, pour la première fois comme Premier ministre, je concluais cette université dans cette ville où nous nous retrouvons toujours avec plaisir.» C'est par les sentiments que Manuel Valls a attaqué ce dimanche son discours de clôture du traditionnel rendez-vous des socialistes à La Rochelle (Charente-Maritime). L'an dernier en effet, malgré des coups d'éclats pendant le week-end, le chef du gouvernement avait réussi à séduire les militants et se faire généreusement applaudir. Cette fois encore, Manuel Valls, chemise largement trempée de sueur, a misé sur l'assurance que le gouvernement respectait les valeurs traditionnelles du Parti socialiste et recherchait la «constance» et «l'humanité» dans son action, contrairement à «l'opposition» prête à «adopter tous les points de vue» car «pressée de revenir au pouvoir
Libé - Valls : «le code du travail est si complexe qu’il est devenu inefficace»
Lors du discours de clôture de l'université d'été du PS à La Rochelle, le Premier ministre a ouvert la voie à une réforme du code du travail.
Libé - La base du PS tombe sur Macron
A La Rochelle, la déclaration du ministre contre les 35 heures a été au centre des débats entre militants.