2015 : l'année de la métamorphose pour l'image de François Hollande
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2015 : l'année de la métamorphose pour l'image de François Hollande
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L'actualité des socialistes du 19 décembre au 3 janvier (mise à jour)
A la une
RFI - François Hollande: terrorisme et chômage les défis de 2016
Le président François Hollande a présenté pour la quatrième fois ses vœux aux Français ce jeudi soir à 20h (heure de Paris), diffusés en direct sur RFI. Une allocution d’une petite dizaine de minutes au terme d’une année marquée par le terrorisme. L'année 2016 sera marquée par la menace terroriste et la lutte contre le chômage, a déclaré François Hollande
LCP - Pour 2016, Cambadélis souhaite que le PS "se dépasse" et que la gauche se rassemble
Complètement silencieux depuis que le président François Hollande a confirmé le 23 décembre que la possibilité de déchoir de sa nationalité un binational né Français convaincu de terrorisme serait inscrite dans sa révision constitutionnelle, M. Cambadélis n’aborde pas cette question dans une vidéo de voeux mise en ligne vendredi.
1er et 2 janvier
FranceTvinfo - 2015 : l'année de la métamorphose pour l'image de François Hollande
Après les attentats, le président s'est mué en véritable chef de guerre. Mais il lui reste encore la question du chômage à régler.
Libé - Élus de gauche contre la déchéance
Ils l'ont dit
Le 23 décembre, le Premier ministre Manuel Valls a confirmé que l'extension de la déchéance de nationalité à tous les binationaux figurerait bien dans la réforme constitutionnelle présentée aux parlementaires en février. Cette annonce a irrité de nombreux élus de gauche et écologistes.
La Croix - Opposés à la déchéance, Hidalgo et Mignard proposent l'indignité nationale
La maire PS de Paris, Anne Hidalgo, et l'avocat Jean-Pierre Mignard, proche de François Hollande, ont dénoncé mercredi "l'inégalitaire" déchéance de nationalité pour les binationaux jugés coupables de terrorisme, à laquelle ils veulent substituer "l'égalitaire" indignité nationale
INVITÉ RTL - Olivier Faure, député socialiste de Seine-et-Marne, estime que la déchéance de nationalité est "un contresens" et une mesure "impraticable".
30 et 31 décembre
Le Point - Macron dérange le PS, mais pas les Français
VIDÉO. Selon un sondage Ipsos pour "Le Point", l'opinion approuve ses propositions. 31 % des sondés pensent qu'il ferait un bon président.
Boursorama - Quilès (ex-ministre PS): "Réformez, sans toucher la Constitution"
L'ancien ministre socialiste Paul Quilès a proposé mercredi une "voie de sortie" au Président Hollande dans "l'imbroglio" sur la déchéance de nationalité, en passant par une réforme "sans toucher à la Constitution".
Dans une "adresse" au président de la République, M. Quilès, qui occupa plusieurs postes de ministre sous François Mitterrand, dont ceux de l'Intérieur et de la Défense, propose que "sans modifier la Constitution ni remettre en cause le droit du sol, le Parlement réécrive l'article 23-7 du code civil, afin de l’adapter aux besoins actuels de la lutte contre le terrorisme et à la sécurité des citoyens."
Le Parisien - Déchéance de nationalité : Hollande lâché par ses fidèles
Déchéance de la nationalité. Très critiqué à gauche, le texte de loi visant les binationaux condamnés pour terrorisme divise jusqu'au cercle le plus rapproché du chef de l'Etat.
Pas un mot. Rien. Le Parti socialiste se déchire et son premier secrétaire est aux abonnés absents. Aucune nouvelle de Jean-Christophe Cambadélis. Même pas un signe sur les ondes ou sur la Toile depuis le 23 décembre, jour de l’annonce du gouvernement d’inscrire l’extension de la déchéance de nationalité pour les binationaux nés français et reconnus coupables de faits de terrorisme. Et ça commence à se voir.Amendement sur la CSG, critiques sur la déchéance de nationalité, réticence face à la réforme territoriale et la réforme du collège... Depuis qu’il a quitté Matignon, l'ancien Premier ministre a multiplié les piques contre le gouvernement.Le Conseil constitutionnel juge non conforme l'exclusion des travailleurs non-salariés du dispositif.France Info - Christian Paul (PS) : "Nos valeurs, meilleures armes contre le terrorisme"
Le député PS de la Nièvre et porte-voix des frondeurs s'oppose au Premier ministre sur la question de la déchéance de nationalité. Une disposition qu'il est, selon lui, doit être "abandonnée en urgence".
Christian Paul, député PS de la Nièvre, était l'invité de France Info ce lundi. Le chef de file des "frondeurs" a expliqué pourquoi il s'oppose à la déchéance de nationalité pour les binationaux nés Français et condamnés pour terrorisme, une disposition voulue par l'exécutif.
Public Sénat - Paul (PS): "irresponsable" de maintenir le projet sur la déchéance de nationalité
Christian Paul, député PS et chef de file des "frondeurs", a jugé "irresponsable" de maintenir le projet d'élargir la déchéance de nationalité aux binationaux nés Français et condamnés pour terrorisme, un symbole qui s'adresse "de façon malsaine" à tous les binationaux selon lui.
Le flux des opposants à la déchéance de nationalité ne tarit pas. Il se renforce même chaque jour un peu plus, au grand regret de l'exécutif. Après la maire de Lille, Martine Aubry, l'ex-ministre de l'Économie Arnaud Montebourg, l'ancien premier ministre Jean-Marc Ayrault s'était, lui aussi, fendu d'un tweet pour déplorer le maintien dans la réforme constitutionnelle d'une mesure très controversée à gauche. Dans la soirée, Kader Arif, un hollandais historique, fustigeait à son tour la déchéance de nationalité pour les binationaux nés en France coupables d'actes de terrorisme. «Quelle victoire symbolique à fracturer cela? Toucher au cœur de la République, c'est l'affaiblir et non la renforcer», a estimé sur Twitter l'ex-ministre délégué aux Anciens Combattants.
Des militants du Parti socialiste ont annoncé avoir saisi la Haute autorité éthique du parti au sujet du projet d'élargir la déchéance de nationalité aux binationaux nés Français et condamnés pour terrorisme et de récentes déclarations de Manuel Valls, jugées contraires à la "déclaration de principe" du PS.
Contre toute attente, le projet du gouvernement d’inscrire dans la Constitution la déchéance de nationalité ne choque pas dans les sections socialistes.Le député PS Christophe Caresche a dénoncé lundi un "concours Lépine de l'indignation" à gauche sur la question de la déchéance de nationalité, la "gravité de la situation" n'ayant selon lui pas été "intériorisée" par une partie de la classe politique.28 et 29 décembreLe Figaro - La déchéance de nationalité sème le trouble au PS
De nombreux socialistes dont l'ami du président Julien Dray et un ancien ministre Benoît Hamon s'opposent à la décision de François Hollande. Un document a été envoyé aux parlementaires PS pour les convaincre du bien-fondé du dispositif, défendu à l'origine par le FN.
Libé - Régionales : après l’échec, la gauche à sec
La gauche a perdu plus de la moitié de ses élus régionaux aux dernières élections. Conséquence directe : de l’argent en moins dans les caisses des partis et de nombreux collaborateurs au chômage.
Hamon : "Hollande propose une réforme de la Constitution inspirée et soutenue par le FN"
INTERVIEW - L'ancien ministre Benoît Hamon, figure de l'aile gauche du PS, s'oppose vertement à la mesure de déchéance de nationalité pour les binationaux proposée par François Hollande.
Libé - «Une partie de la gauche s'égare» sur la déchéance de nationalité, selon Valls
Le Premier ministre réagissait ce dimanche aux nombreuses critiques venant de son camp, suite à la décision du gouvernement d'introduire la déchéance de nationalité aux binationaux dans le projet de révision constitutionnelle
Marianne - Philippe Noguès, le frondeur qui a (vraiment) frondé
Fin juin, il claquait la porte du PS et de son groupe parlementaire pour cause de désaccord sur la ligne politique développée par François Hollande. Philippe Noguès, député breton atypique, n'a depuis pas chômé. Après avoir tenté de créer en vain un nouveau groupe parlementaire, il souhaite lancer une nouvelle organisation politique sous la forme d'association : Voix de gauche. Portrait d'un frondeur allé jusqu'au bout de sa fronde.
27 décembre
Le Parisien - Déchéance de nationalité : entre Hollande et la gauche, c'est le divorce
Le maintien assumé de la déchéance de nationalité dans la réforme constitutionnelle pourrait être le point de non-retour entre la gauche et le président, qui regarde déjà à droite et au centre pour l'après-2017...
Le Figaro - Déchéance de nationalité : Cambadélis opposé «jusqu'au bout»
Selon son très proche entourage, "Jean Christophe Cambadélis s'est opposé à la déchéance de la nationalité jusqu'au bout, mais il n'a pas obtenu gain de cause". "Il ne prend pas position pour ne pas affaiblir le président, mais il ne prend pas position non plus pour la mesure", fait-on observer au Figaro. "Il parlera en temps et en heure", prévient-on enfin.
Le Lab - L'argumentaire envoyé aux députés PS pour défendre la déchéance de nationalité
On imagine le malaise : comment défendre une mesure prônée en son temps par Nicolas Sarkozy puis le Front national lorsqu'on est un député socialiste ? C'est bien ce qui arrive aux élus PS, sommés de dire le moins de mal possible de la déchéance de nationalité des binationaux condamnés pour terrorisme. "Près de 80% des députés PS sont contre", confiait le 23 décembre, cité par L'Obs, le député PS Bernard Roman. Signe que la tâche n'est pas aisée...
Défendre la déchéance de nationalité alors qu'on est député PS n'est pas une chose facile. Encore moins quand les ténors du parti (aujourd'hui membres du gouvernement) ont dit par le passé tout le mal qu'ils pensaient de cette mesure jugée par les intéressés "inefficace" et "nauséabonde" quand elle était proposée par la droite.
Du 23 au 26 décembre
BFM TV - Déchéance de nationalité: y a-t-il une majorité au PS?
Le revirement surprise du gouvernement sur le maintien de la déchéance de nationalité dans le projet de réforme constitutionnelle provoque des remous à gauche. Au PS la grogne n'est pas limitée aux frondeurs.
L'Obs - Déchéance de nationalité : rétropédalage pour François Hollande
Brocardée après les attentats du 13 novembre, la déchéance de nationalité pour les binationaux terroristes ne fera pas partie du projet de réforme constitutionnelle, présenté mercredi.
Le Point - François Hollande dans les pas de François Mitterrand
Si les deux présidents socialistes de la Ve République se sont attaqués au "monde de la finance", ils se sont heurtés aux réalités économiques.
Ils sont les deux seuls présidents de gauche de la Ve République. François Hollande et François Mitterrand ont bien plus qu'un prénom en partage, ils ont caressé l'un et l'autre un rêve, celui de "changer la vie", avant de se heurter aux réalités économiques et d'affronter l'expérience amère de la désillusion. En 2012, il y a du François Mitterrand chez François Hollande. Sur le fond, d'abord, lorsqu'il pourfend au Bourget le "monde de la finance", son "véritable adversaire".
La Tribune - Fiscalité : la promesse de François Hollande sera-t-elle tenue ?
En novembre 2014, le président de la République promettait qu'il n'y aurait plus de hausses d'impôts d'ici à 2017. Après le vote, jeudi, par le Parlement du projet de loi de finances 2016, il est temps de vérifier si l'engagement devant les Français sera bien tenu.
Grosse claque pour les partis traditionnels de gouvernement en Espagne où les grands partis de droite (PP) et de gauche (PSOE) connaissent une chute historique. Jamais le Parti socialiste espagnol n’avait obtenu un si faible résultat, érodé par la percée importante de la gauche radicale incarnée par le mouvement issu des Indignés, Podemos. Un scrutin scruté attentivement par les frondeurs du PS qui appellent depuis plusieurs mois à la création d’un Podemos ou d’un Syriza à la française.
21 et 22 décembre
Les Inrocks - Reportage en Espagne, où Podemos vient de réaliser une percée historique
Le Parti Populaire sort en tête des élections législatives en Espagne avec 25 % des voix, mais très loin de la majorité absolue. La deuxième place est disputée par les socialistes du PSOE et le parti de gauche radicale Podemos, ouvrant plusieurs scénarios d’alliances incertains.
Le JDD - Une alliance PS-"progressistes" avant le mariage en 2017?
Le PS prépare l'année 2016 et pourrait construire une alliance fédérant ses alliés ainsi que des formations centristes et écologistes. L'objectif? Recomposer la gauche avant la présidentielle.
Le Figaro - Ile-de-France : duel au sommet pour la présidence du groupe PS
L'élection à la présidence du groupe socialiste francilien a été le théâtre d'une virulente confrontation. C'est le vallsiste Carlos Da Silva qui a remporté la mise, devant Benoit Hamon. François Hollande et Manuel Valls ont été à la manœuvre.
19 et 20 décembre
Huffington Post, Guillaume Balas - Des propositions pour agir dès maintenant
Les résultats des élections régionales peuvent conduire à de lourdes erreurs d’analyse. La relative bonne résistance de la Gauche et particulièrement du PS ne doivent pas masquer les terribles crises vécues par la société française et les risques de disqualification précoce de la Gauche à l’élection présidentielle.
Le constat est clair, si les socialistes veulent encore être utiles au pays, ils doivent changer de politique et de stratégie0.
Mauvaise semaine pour Nicolas Sarkozy sur le front des sondages. Alors que son parti Les Républicains est sorti mathématiquement vainqueur des élections régionales, l'ancien chef de l'Etat est désormais devancé par son successeur François Hollande.
L'actuel président de la République est en mesure de se qualifier au second tour de la présidentielle 2017 face à Marine Le Pen, selon un sondage de l'Ifop-Fiducial pour Atlantico publié vendredi 18 décembre. Nicolas Sarkozy serait éliminé dès le premier tour.
Entre brouillage des partis et dispersion de son électorat, le Parti socialiste est à la recherche de renouveau. Il propose une “alliance populaire”, qui rassemblerait les forces républicaines et de gauche, dès le premier tour de l’élection présidentielle de 2017
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L'actualité des socialistes du 14 au 20 décembre (mise à jour)
A la une
Le JDD - Une alliance PS-"progressistes" avant le mariage en 2017?
Le PS prépare l'année 2016 et pourrait construire une alliance fédérant ses alliés ainsi que des formations centristes et écologistes. L'objectif? Recomposer la gauche avant la présidentielle.
19 et 20 décembre
Huffington Post, Guillaume Balas - Des propositions pour agir dès maintenant
Les résultats des élections régionales peuvent conduire à de lourdes erreurs d’analyse. La relative bonne résistance de la Gauche et particulièrement du PS ne doivent pas masquer les terribles crises vécues par la société française et les risques de disqualification précoce de la Gauche à l’élection présidentielle.
Le constat est clair, si les socialistes veulent encore être utiles au pays, ils doivent changer de politique et de stratégie0.
Mauvaise semaine pour Nicolas Sarkozy sur le front des sondages. Alors que son parti Les Républicains est sorti mathématiquement vainqueur des élections régionales, l'ancien chef de l'Etat est désormais devancé par son successeur François Hollande.
L'actuel président de la République est en mesure de se qualifier au second tour de la présidentielle 2017 face à Marine Le Pen, selon un sondage de l'Ifop-Fiducial pour Atlantico publié vendredi 18 décembre. Nicolas Sarkozy serait éliminé dès le premier tour.
Entre brouillage des partis et dispersion de son électorat, le Parti socialiste est à la recherche de renouveau. Il propose une “alliance populaire”, qui rassemblerait les forces républicaines et de gauche, dès le premier tour de l’élection présidentielle de 2017.
18 décembre
Lui Président - Cumul des fonctions : l’exception Le Drian à la règle de Hollande
« Moi, président de la République, les ministres ne pourraient pas cumuler leurs fonctions avec un mandat local » . Une promesse de campagne prononcée par François Hollande que le ministre de la défense s'apprête à briser. Après sa victoire avec 51,4% des voix au second tour des régionales, Jean-Yves Le Drian se retrouve à cumuler ses fonctions ministérielles avec celles, nouvelles, de président de la région Bretagne. Explication de l'intéressé sur RTL, lundi 14 décembre : « Il y a une situation dramatique, tendue et dans cette période d'état d'urgence, il était compliqué pour le président de se séparer du ministre de la défense. »
L'Obs - "Le PS n’a jamais connu de vraie mutation culturelle"
Alors que les régionales confrontent à nouveau le PS à la question de son identité, l'historien et socialiste Alain Bergounioux analyse pour "l'Obs" l'évolution idéologique du parti.
Regards - Élus régionaux : un plus bas historique pour la gauche
La gauche a perdu la moitié de ses sièges de 2010, le Front de gauche deux tiers. Le PCF est absent de sept assemblées quand le FN est présent dans toutes… Les élus régionaux, par formation et par région : récapitu
Le Figaro - Régionales : la déroute du PS et de sa gauche détaillée en chiffres
«Les régionales sont un 21 avril bis. Quand la gauche fait moins de 35% aux élections au premier tour, il y a urgence à se poser des questions», s'alarme le socialiste Laurent Grandguillaume, cité dans l'Express ce mercredi. Pourtant en gardant la main sur cinq régions métropolitaines, c'est plutôt une satisfaction d'avoir «sauvé les meubles» qui prévaut au gouvernement comme au PS, au lendemain des élections régionales. Mais au-delà du coloris des cartes, si l'on compare aux dernières élections régionales en 2010, l'ensemble des partis de gauche ont perdu la moitié de leurs élus régionaux, comme le rapporte la revue politique engagée à gauche Regards. La représentation des forces de gauche atteint son niveau le plus faible depuis que les conseils régionaux sont élus au suffrage universel (1986).
Le Lab - Pourquoi François Hollande peut être réélu en 2017 (selon Jean-Christophe Cambadélis)
Puisque les régionales n'ont pas été, pour la gauche, le désastre annoncé, certains au Parti socialiste se mettent à avoir quelques espoirs pour 2017. Oui, pour Jean-Christophe Cambadélis par exemple, François Hollande peut être réélu président de la République dans deux ans.
16 et 17 décembre
Le Point - Les frondeurs réclament un nouvel "agenda politique" début 2016
Ils demandent un agenda axé sur les questions économiques et sociales qui pourrait permettre de rassembler à gauche, "comme en 2012".
France Info - Les frondeurs préparent leur come-back
Les députés PS organisent une riposte début janvier avec l’ensemble de la gauche.
Christian Paul et Laurent Baumel sont encore abasourdis par l’attitude du Premier ministre devant le groupe PS mardi à l’Assemblée : "Un déni de défaite, Manuel Valls continue de surjouer la dramatisation." Car pour eux, c’est bien une défaite, la cinquième depuis le début du quinquennat de François Hollande. Et ils estiment que la réponse de l’exécutif est loin d’être à la hauteur. "Le sac est vide", se plaint le leader des frondeurs. Christian Paul regrette que le Premier ministre n’ait évoqué aucune mesure devant eux.
Le Parisien - Cambadélis veut, dès 2016, fondre le PS dans une «Alliance populaire»
Jean-Christophe Cambadélis a annoncé qu'un appel à la création de l'Alliance populaire sera lancé début février.
Sud Ouest - PS: le vent de fronde ne souffle plus
Au PS, les lendemains de défaite électorale portent encore et toujours sur la ligne politique. Mais ces débats semblent déjà mort-nés, pour plusieurs raisons. Un, ils ont été tranchés en juin au congrès de Poitiers. Deux, la défaite est beaucoup moins ample que prévu ; elle prend même parfois des airs de petite victoire. Trois, la gauche radicale s’effondre, ce que ne traduit donc pas une demande de politique plus à gauche dans la population. Quatre, chacun sait qu’à seize mois de l’élection présidentielle, Hollande et Valls ne peuvent plus changer de ligne. Même si le tournant sécuritaire de novembre s’est accompagné d’une mise entre parenthèses du « pacte de stabilité » européen.
Huffington Post, G.Balas - Des propositions pour agir dès maintenant
Les résultats des élections régionales peuvent conduire à de lourdes erreurs d'analyse. La relative bonne résistance de la Gauche et particulièrement du PS ne doivent pas masquer les terribles crises vécues par la société française et les risques de disqualification précoce de la Gauche à l'élection présidentielle.
Le constat est clair, si les socialistes veulent encore être utiles au pays, ils doivent changer de politique et de stratégie
Le Figaro - Sondage : Hollande absent du second tour de la présidentielle dans tous les cas
Selon une étude TNS Sofres pour Le Figaro, RTL et LCI, la présidentielle de 2017 serait largement remportée par Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé
Challenges - Derrière Julien Dray et le changement de nom du PS, la campagne Hollande 2017
L'évocation par Julien Dray d'un changement de nom du PS est révélatrice de la nécessité pour François Hollande de se donner les moyens de rassembler la gauche et au-delà en contournant un PS devenu boulet.
Boursorama - Le Roux (PS): "Les chômeurs n'ont rien à craindre"
Le chef des députés PS, Bruno Le Roux, a assuré mardi que "les chômeurs n'ont rien à craindre" des nouvelles mesures sur l'emploi, alors que Manuel Valls a évoqué des "contreparties" pour les demandeurs d'emploi qui bénéficieraient du plan de formation en préparation.
Le Monde - Duflot propose à Hollande une « coalition » avec les écologistes et les communistes
Au lendemain des régionales, l’ex-ministre du logement et coprésidente du groupe écologiste à l’Assemblée nationale, Cécile Duflot, propose à François Hollande de mettre sur pied « une coalition de transformation » dont elle définit les bases.Au lendemain des régionales, Julien Dray envisage un changement de nom du PS. Pour Laurent Bouvet, au lendemain des élections régionales, il est à craindre que tout change pour que rien ne change.
LCP - PS : "l’Alliance populaire" voulue par Cambadélis devrait naître mi-février
"L'Alliance populaire" souhaitée par le Premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis devrait être portée sur les fonts baptismaux à la mi-février au travers de la publication d'un texte fondateur, a affirmé lundi à l'AFP la porte-parole du PS Corinne Narassiguin.
14 et 15 décembre
Le Monde - Manuel Valls promet de nouvelles mesures pour l’emploi en janvier
Au lendemain du second tour des élections régionales, qui a vu le Parti socialiste (PS) ne remporter que cinq des treize régions, le premier ministre, Manuel Valls, s’est exprimé, lundi 14 décembre, sur France 2, promettant des annonces de François Hollande sur l’emploi en janvier.
« Il n’y a qu’une seule défaite : celle du Front national (FN), grâce à tous ces électeurs de gauche qui sont allés voter et je m’en réjouis », a-t-il d’abord dit. Le premier ministre a néanmoins insisté sur la nécessité de « redonner envie de voter pour et pas seulement contre ». « Il y a trop de division, trop de rejet, parfois de la haine, un climat que parfois la classe politique entretient et dont le Front national profite. Il nous appartient d’avancer. »
Orange - Régionales : le patron du PS replace les frondeurs au centre de l'arèneLe PS a certes réussi à conserver cinq régions métropolitaines et donc limité la casse au second tour des régionales. Mais le score historique du FN, la perte de l'Ile-de-France ou l'abandon du nord et du sud du pays a fait sortir du bois les frondeurs socialistes, qui ont trouvé un allié surprise en la personne du patron du PS.
Benoît Hamon : "En Île-de-France, il y a eu un transfert de voix du FN vers la droite"
Invité de France Info ce lundi, le colistier de Claude Bartolone défait par Valérie Pécresse (LR) a reproché à la candidate LR en Île-de-France d'avoir fait des œillades à l'extrême droite. Pour lui, elle a été "élue sur son programme par des électeurs du Front national".
L'Obs - Au PS, la tentation d'un "grand parti de gauche réformateur" avant 2017
Paris (AFP) - Au lendemain des élections régionales où il a un peu mieux résisté que prévu, le PS doit s'atteler à l'élargissement de la gauche réformiste et ambitionne de se "dépasser" pour espérer être présent au second tour de la présidentielle en 2017.
Libé, L.Joffrin - Cette victoire est surtout une non-défaite
Le sursaut a eu lieu. Face au danger, l’électorat républicain a surmonté son indifférence, sa déception ou sa colère, pour opposer au Front national une barrière démocratique qui le prive des succès espérés. Une nouvelle fois, ceux qui soupirent sur la décadence de l’esprit civique, sur le déclin des valeurs communes, se sont trompés. On le voit depuis le 13 Novembre, dans la tragédie ou dans l’affrontement politique, la culture républicaine résiste. Se sont trompés tout autant ceux qui prédisent depuis des années la mort de la gauche. Dépités, ils la voient survivre malgré les difficultés, pour offrir au PS un nombre de régions inespéré.
Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du Parti socialiste, a fait part de sa satisfaction au terme du second tour des élections régionales. Il estime néanmoins que la défaite du Front national et le score de la gauche constituent « un succès sans joie (…) parce que l’abstention est encore trop forte. Sans joie parce que l’extrême droite est décidément trop haut. »L'Obs - Une réussite, la COP21 ? Mais oui, plutôt !
La Conférence climatique de Paris n'a pas accouché d'un éléphant, mais certainement pas d'une souris. Et le pari n'était pas gagné, loin de là.
L'Obs - COP21 : "Où sont les financements pour le Sud ?"
C'est un grand oublié de l'accord final de la COP de Paris : les financements pour aider le Sud à se développer vert ne sont pérennisés que jusqu'en 2025. Mais ensuite ? Interview d'Armelle Le Comte, de l'ONG Oxfam.
L'Obs - COP21 : les avancées et… ce qui a été oublié dans l'accord
Alors, mi-chèvre mi-chou, la conférence climatique de Paris ? Il est vrai que beaucoup a été accompli, mais beaucoup reste à faire. Bilan
Le Point - COP21 : un immense succès diplomatique, mais un échec climatique
L'accord contre le réchauffement est réellement historique. Reste que pour y arriver, de nombreux compromis ont vidé le texte de sa substance.
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L'actualité des socialistes du 30 novembre au 13 décembre (mise à jour)
Prochaine mise à jour dimanche soir
A la une
Lyon Mag - Le PS et la stratégie du scorpion
Meeting de fin de campagne pour Queyranne.
9 décembre. Ninkasi Gerland. 20h30. Cécile Cukierman, sénatrice du Parti Communiste est à la tribune pour dire qu’elle aurait voulu faire dès le départ l’union avec Queyranne. Jean-Charles Kholhaas vient ensuite, qui sous-entend qu’il aurait bien voulu ne pas la faire du tout, cette union. Mais c’est le moment de l’unité. Il y Najat Vallaud-Belkacem aussi. Calme et souriante. Elle a 5 minutes. Elle est arrivée pile à temps dans la voiture de Didier Vullierme, le numéro 7 sur la liste de Queyranne et secrétaire de section du PS de Villeurbanne. Je passe là-dessus.
11, 12 et 13 décembre
L'Obs - Le PS en Nord-Pas-de-Calais, une chute aux sources anciennes
Lille (AFP) - Une nouvelle fois lourdement défaite dimanche dernier, la gauche dans le Nord-Pas-de-Calais paie le prix de ses errements locaux mais surtout l'addition de la crise industrielle qu'elle a prise de plein fouet, selon des analystes et militants de la région.
Libé - Cambadélis sort sa plume pour câliner les socialistes retirés (ou pas)
Dans un courrier dont Libération a obtenu copie, le patron du PS s'adresse aux militants socialistes qui n'auront pas d'élus régionaux. Et fait comme si, dans l'Est, ils avaient suivi la consigne
Il est « en deuil », abattu. Quatre jours après le premier tour des élections régionales, qui a vu le Front national (FN) remporter 40,6 % des voix en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, Emmanuel Cau est venu signer un dernier papier, « vider » son ordinateur, dire au revoir à ceux qui sont encore là. La décision du PS de retirer ses listes dans cette région pour faire barrage au FN a scellé son sortLe JDD - Régionales : les derniers sondages avant le second tour
La droite face au FN dans le Nord et en Paca, le duel Pécresse-Bartolone en Ile-de-France, la triangulaire dans le Grand Est... Voici les principaux points chauds du second tour des élections régionales dimanche.
Elections régionales en France: un second tour extrêmement serré
Le second tour des élections régionales approche en France et la campagne électorale se termine ce vendredi 11 décembre. Après ses résultats imposants du premier tour, le FN est évidemment au coeur de toutes les discussions. Dans de nombreuses régions, des triangulaires verront s'affronter les candidats de la droite, de la gauche et du FN
Boursorama - Claude Bartolone maintient ses propos contre Valérie Pécresse
PARIS (Reuters) - Claude Bartolone, candidat socialiste aux élections régionales en Ile-de-France, a déclaré vendredi qu'il ne retirait "rien" de ses attaques contre son adversaire de droite Valérie Pécresse, qualifiée d'avocate de "la race blanche".
La chef de file des listes Les Républicains-UDI-MoDem entend porter plainte pour "injure aggravée" après que le président de l'Assemblée l'a accusée dans L'Obs de tenir les "mêmes propos que le FN".
Francetvinfo - Régionales : la polémique Bartolone, Pécresse et "race blanche" en six actes
Le candidat PS en Ile-de-France accuse son adversaire de faire la "danse du ventre aux électeurs du FN". Valérie Pécresse envisage de porter plainte pour "injure aggravée".
Les Inrocks - Pourquoi le FN a franchi un cap grâce aux élections régionales
Au lendemain du premier tour des élections régionales, cinq politologues tenaient une conférence sur les “Radicalités politiques” de la Fondation Jean-Jaurès. Ils ont livré à un parterre de journalistes leurs analyses sur l’installation durable du FN dans le paysage politique français.
10 décembre
France 3 - Christian Paul, le chef de file des frondeurs PS, demande un "nouvel agenda politique"
Christian Paul, député de la Nièvre et chef de file des députés frondeurs du PS, a appelé à "réunir la gauche" et à définir après les régionales "un nouvel agenda politique qui rende ce rassemblement possible".
Le Figaro - Régionales : le «barrage républicain» laisse les frondeurs du PS sceptiques
Le «barrage républicain» passe mal à la gauche du Parti socialiste. Prôné au soir des résultats par Jean-Christophe Cambadélis, puis par Manuel Valls lundi soir, le désistement de la liste socialiste au profit de la droite pour contrer le FN en Paca, Nord-Pas-de-Calais-Picardie et Grand-Est, créé un malaise chez les frondeurs. «Il ne faut pas confondre résistance et capitulation», estime Jean-Pierre Blazy, député-maire socialiste de Gonesse (Val-d'Oise). Parfois classé frondeur, le député appelle à soutenir Jean-Pierre Masseret qui a refusé de se retirer dans l'Est, ouvrant la voie à une victoire du frontiste Florian Philippot dimanche prochain. «Pour faire barrage au FN, il faut opposer une résistance de gauche perceptible par les électeurs dans les actes», préconise Blazy. Il appele plutôt à «résister» en tenant «les engagements de campagne de 2012 du candidat François Hollande» et en obtenant «un arrêt des politiques d'austérité en Europe qui fabriquent du chômage».
Europe 1 - Le retour des frondeurs
Manuel Valls qui croyait s’être débarrassé des frondeurs va devoir de nouveau compter avec eux.
Le retour des frondeurs c’est maintenant puisqu’ils vont se réunir dimanche après-midi et interviendront dans le débat dès dimanche soir à l’occasion des résultats des régionales pour réclamer un changement dans la politique gouvernementale.
9 décembre
Gérard Filoche estime que battre le FN ne peut pas passer par une alliance entre la gauche et la droite. "Seule une gauche qui croit en la gauche, et fait une politique de gauche, peut nous sauver du désastre", martèle-
Challenges - Comment les choix du PS contribuent à faire monter le FN
Le PS actuel n'a-t-il pas sa part de responsabilité dans la montée du vote FN et de ses idées dans la société? Le politologue Fabien Escalona, spécialiste des gauches européennes à Sciences Po Grenoble, répond par l'affirmative.
Les Inrocks - “Le PS est dans une logique d’auto-destruction”
Au lendemain des élections régionales, le chercheur Rémi Lefebvre dépeint un Parti socialiste qui ne séduit plus les milieux populaires, enfermé dans des “luttes stériles” et un “entre-soi groupusculaire”.
Le Monde - Elections régionales : comment en est-on arrivé là ?
Editorial du « Monde ». Après sa percée aux élections européennes de 2014 (25 % des voix), confirmée aux départementales de mars 2015, le Front national poursuit donc sa marche en avant. Au premier tour des régionales, dimanche 6 décembre, le parti d’extrême droite a réalisé une performance totalement inédite. Non seulement il a recueilli 27,83 % des suffrages sur le plan national et devancé à la fois l’union des droites Républicains-UDI-MoDem (27,33 %) et les listes socialistes (23,26 %), mais il arrive en tête dans six des treize grandes régions métropolitaines et se trouve en position de force pour l’emporter en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, en Provence-Alpes-Côte d’Azur, voire en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine.7 et 8 décembre
Francetvinfo - Régionales : quelle stratégie pour le PS, région par région ?
Au lendemain du premier tour, certains accords sont déjà scellés et des candidatures enterrées. Mais les partis ont jusqu'à mardi 18 heures pour déposer leurs listes définitives.
ELECTIONS Jusque-là, la fédération départementale du PS n'avait jamais apporté son soutien au président socialiste de Rhône-Alpes, en raison de divisions internes...
POLITIQUE Certains militants du PS et sympathisants de gauche ont du mal à comprendre le désistement de Pierre de Saintignon…
Le Monde - Elections régionales : un résultat médiocre pour le PS au premier tour
Avec 22 % à 23 % des voix selon les instituts de sondages, le Parti socialiste se place en troisième position du premier tour des élections régionales, derrière le FN et Les Républicains. Un résultat médiocre, qui confirme, voire amplifie les estimations de votes dans les derniers jours de la campagne. Largement décrochée face à l’extrême droite dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie et en PACA, les socialistes se retrouvent dans une situation politiquement compliquée alors qu’au même moment, électoralement, le PS est en situation de se maintenir et peut-être de l’emporter au second tour dans plusieurs autres régions.Europe 1 - Régionales : Cambadélis annonce le retrait des listes PS en Paca et dans le Nord
Le député de Paris a annoncé que le PS allait tout faire pour faire barrage au FN dans ces deux régions.
Marine Le Pen et Marion Maréchal – Le Pen sont dans une position idéale pour s’imposer dans le Nord-Pas-de-Calais et en Paca, après leurs très bons scores au premier tour des régionales. Mais Jean-Christophe Cambadélis entend tout faire pour faire barrage au FN.
20 Minutes - Régionales 2015: 34% des jeunes ont voté Front national
EXCLUSIF C 'est 4 points de plus que la moyenne nationale, selon un sondage Harris Interactive pour «20 Minutes»..
Le FN est le grand vainqueur du premier tour des régionales. Le parti de Marine Le Pen a séduit près de 30 % des électeurs au niveau national. Chez les jeunes, le score est encore plus impressionnant. Selon une enquête exclusive* de Harris Interactive pour 20 Minutes, 34 % des 18-30 ans ont voté pour le Front national au premier tour. Le Parti socialiste (et alliés) arrive loin derrière à 22 %, la droite et le centre (LR-UDI-MoDem) à 19 %, et les listes Front de Gauche-EELV à 12 %.
Challenges - Régionales: entre défaite et espoir de victoire(s), le paradoxe du PS
La gauche sort du premier tour dans une situation paradoxale. Malgré un faible score de 36% des voix, elle peut cependant espérer gagner entre 3 et 6 régions au second tour. Un phénomène dû au score du FN et au mode de scrutin.
Un Front national en tête, mais dans des proportions plus importantes qu’escompté par les instituts de sondage, des Républicains dont la victoire annoncée sera forcément ternie par cette poussée de l’extrême droite et des socialistes en chute libre : le premier tour des élections régionales, dimanche 6 décembre, semble avoir confirmé, mais également amplifié les estimations réalisées par les instituts de sondage dans les derniers jours de la campagne.Le Figaro - Face au FN, le PS choisit le «barrage républicain» contre l'avis de ses candidats
Dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie, en Paca et dans le Grand Est, le Front national est en tête, les socialistes en troisième position. La direction du PS a demandé aux candidats de se retirer.
Francetvinfo - Elections régionales : sans surprise, le PS en difficulté à l'issue du premier tour
La gauche, qui avait remporté la quasi-totalité des régions en 2010, s'est effondrée, dimanche. Elle devrait toutefois conserver certains bastions.
Le JDD - Régionales : le PS en bonne position en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes
REGIONALES 2015 - La grande région du Sud-Ouest rassemblant l'Aquitaine, le Limousin et Poitou-Charentes est l'une des deux seules avec la Bretagne où le PS termine en tête du premier tour. Avec 31,5% des voix, la liste d'Alain Rousset devance nettement la droite de Virgine Calmels (25,9%) et le FN (22,8%).
Boursorama - Le candidat du PS en PACA écarte tout désistement face au FN
PARIS (Reuters) - Le candidat du PS en Provence-Alpes-Côte-d'Azur, Christophe Castaner, a écarté dimanche tout désistement au profit de la droite face au Front national dont la liste menée par Marion Maréchal-Le Pen a obtenu plus de 41% des voix au premier tour des élections régionales
Impôt sur le revenu et CSG : le Sénat rejette l'amendement Ayrault
Cet amendement propose de baisser la CSG sur les bas revenus.
Le Sénat a rejeté vendredi l'amendement au projet de loi de finances 2016 de l'ex-Premier ministre Jean-Marc Ayrault adopté par les députés. Cet amendement amorce une progressivité de la CSG. Il pourrait toutefois être à nouveau introduit en nouvelle lecture à l'Assemblée nationale où il avait suscité en première lecture de profondes critiques d'une partie des socialistes et de fortes réserves du gouvernement.
6 décembre
Boursorama - Régionales: le PS maintient le mystère sur ses intentions pour le second tour
Le PS, en mauvaise posture dans la plupart des régions, entretient soigneusement le mystère sur ses intentions pour le deuxième tour des régionales, réservant sa réponse pour dimanche soir, et assurant toutefois qu'il fera tout pour faire barrage au Front national.
A quelques jours du scrutin, le Front national est en tête des intentions de vote au premier tour des élections régionales des 6 et 13 décembre, dans le total agrégé au plan national ainsi que dans six régions sur douze (hors Corse et outre-mer).
De quelque façon que l’on prenne ce très vaste sondage, le poids de l’extrême droite et sa progression sont les principaux enseignements de la première vague de l’enquête Ipsos/Sopra Steria pour le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) et Le Monde, réalisée par Internet du 20 au 29 novembre auprès d’un échantillon de 23 061 personnes.
4 et 5 décembreLe Figaro - Déchéance de nationalité : les réticences de Martine Aubry
L'inscription dans la Constitution de la déchéance de nationalité pour les djihadistes binationaux nés en France fait débat au Parti socialiste. Annoncée par le président de la République lors de son discours devant le Congrès de Versailles, la mesure irrite la majorité. Dernier exemple en date, la sortie ce jeudi de Martine Aubry sur BFM-TV et RMC. «Je ne suis pas sûre que ce soit très efficace. On ne modifie pas des textes aussi importants pour faire bien ou pour faire plaisir ou donner l'impression que l'on va plus loin», a déclaré la maire PS de Lille.
Le Monde - Refusons l’extension de la déchéance de la nationalité ! Par Patrick Weil et Jules LepoutreAprès que François Hollande a déclaré au Congrès du 16 novembre vouloir « pouvoir déchoir de sa nationalité française un individu condamné pour une atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ou un acte de terrorisme, même s’il est né français, je dis bien “même s’il est né français” dès lors qu’il bénéficie d’une autre nationalité », voilà que le gouvernement demande au Conseil d’Etat s’il n’est pas nécessaire de modifier la Constitution pour mettre en œuvre la proposition du président. La réponse est doublement : Non ! Non, juridiquement, et non politiquement au sens le plus noble du terme.
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a lancé jeudi un appel à une "participation massive" des Français, avant le premier tour des régionales dimanche.
"L'enjeu du premier tour, ce n'est pas le score du FN mais la participation (...) Dimanche, allez voter! (...) Transformez la journée de dimanche en une manifestation civique puisque nous ne pouvons manifester", a souligné le responsable PS dans une déclaration lue devant la presse.
Francetvinfo - Régionales : Valls invoque le "patriotisme" pour appeler au vote PS
Le Premier ministre faisait jeudi son seul et unique meeting, pour soutenir la candidature de Claude Bartolone à Paris.
Le Parisien - Lanceurs d’alerte : un député PS veut une agence nationale de l'alerte
Yann Galut, député (PS) du Cher spécialiste de la lutte contre la fraude fiscale, dépose ce matin à l’Assemblée nationale une proposition de loi relative à la protection des lanceurs d’alerte. Il a été le rapporteur de la loi de lutte contre la fraude fiscale et la grande délinquance économique et financière de 2013.
2 et 3 décembre
Metro - Déchéance de nationalité : gros cas de conscience au PS
TROUBLE - Au lendemain des attentats, François Hollande a annoncé une mesure visant à déchoir de leur nationalité des individus liés au terrorisme dans le cas où ils seraient binationaux, y compris s'ils sont nés en France. Le projet, soumis à l'expertise du Conseil d'Etat, crée de sérieux remous à gauche. Et un peu aussi à droite. Voici pourquoi.
Boursorama - Régionales: maintien ou pas ? Le PS fera connaître sa décision dimanche soir
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis fera connaître la position du parti sur l'éventuel maintien de ses listes au second tour des régionales dès dimanche soir, a-t-on appris auprès de plusieurs sources au PS mercredi.
"Le Bureau national se réunira à 21H30 (dimanche), Jean-Christophe Cambadélis s'exprimera à l'issue. Il fixera la ligne", a indiqué un cadre du PS. "Un vote du BN" devrait "asseoir sa position", a-t-il ajouté.
Boursorama - Régionales: le PS n'envisage ni retrait ni fusion au 2e tour dans le Grand Est
Le candidat socialiste dans le Grand Est Jean-Pierre Masseret n'envisage "ni retrait, ni fusion" avec la droite au second tour des élections régionales, a-t-il déclaré mercredi lors d'un débat avec les autres têtes de liste de la région.
Boursorama - Régionales : En Bourgogne-Franche-Comté, Montebourg mouille le maillot pour la liste PS
Bien qu'en réserve de la vie publique, l'ancien ministre de l'Économie effectue ce mercredi un déplacement de campagne dans le Jura et le Doubs pour soutenir la tête de liste du PS en Bourgogne-Franche-Comté, Marie-Guite Dufay.
Bond de popularité pour le président de la République. La cote de François Hollande a augmenté de 22 points en un mois pour atteindre 50 % d’opinions positives, son meilleur score depuis juillet 2012, selon le tableau de bord IFOP/Fiducial pour Paris Match et Sud Radio réalisé après les attentats du 13 novembre et publié mardi 1er décembre.Europe 1 - Régionales : l’impossible équation du PS face au FN
Dans les régions où le Front national peut l’emporter, le Parti socialiste est déchiré entre fusion avec la droite, retrait pur et simple ou maintien de sa liste. Et aucune solution n’est satisfaisante.
La Tribune - Régionales Île-de-France : en retard, le PS jette ses dernières forces dans la bataille.
Les lieutenants de campagne de Claude Bartolone dénoncent la « dérive droitière » de la candidate LR-UDI-MoDem, Valérie Pécresse, et tentent de la mettre face à ses contradictions.
L'Obs - Régionales: Cambadélis qualifie de "fait majeur" la prise de position de la Voix du Nord
Le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a salué lundi soir la prise de position de la Voix du Nord contre Marine Le Pen aux régionales dans le Nord-pas-de-Calais/Picardie, la qualifiant de "fait majeur".
30 novembre et 1er décembre
France 3 - Sondage. Match serré entre Wauquiez et Queyranne
Un sondage sorti ce dimanche 29 novembre confirme "un match extrêmement serré", dixit BVA, entre le Président de la Région Rhône-Alpes sortant, Jean-Jack Queyranne, et son opposant Laurent Wauquiez.
Boursorama - Régionales: pour Cambadélis (PS), le FN est "surcoté"
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, a jugé dimanche que le Front national était "surcoté" dans les sondages, qui ne mesurent pas le vote frontiste mais la "peur" des Français à l'approche des élections régionales des 6 et 13 décembre.
Les Républicains (LR) et le Front National (FN) font jeu égal au premier tour des élections régionales du 6 décembre avec chacun 28% des intentions de vote, loin devant le Parti socialiste (22%), selon un sondage Ifop publié par le Journal du Dimanche ce 29 novembre. "Il n'y a pas d'effet électoral post-attentat", souligne l'hebdomadaire.
Le JDD - Notre sondage avant les régionales : la droite et le FN au coude à coude
46% des électeurs ont l’intention de voter aux élections des 6 et 13 décembre. Le FN progresse. A gauche, il n’y a pas d’effet électoral post-attentats.
Libé - Contre le FN, la droite lorgne les voix PS
Dans leurs régions respectives, Xavier Bertrand et Christian Estrosi tablent sur un désistement des socialistes avant le second tour.
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Discours du président de la République lors de la remise du prix de la Fondation Jacques CHIRAC
Discours du président de la République lors de... par elysee -
L'actualité des socialistes du 16 au 29 novembre (mise à jour)
A la une
Le Figaro - Régionales : inquiétude au PS devant l'absence de stratégie face à la montée du FN
L'approche du premier tour des élections régionales et la nette progression du FN dans les sondages rend certains socialistes fébriles.
Quelles que soient les variations de l'opinion ou les surprises de l'actualité, la direction du PS répète sa ligne comme un mantra: aucune décision, aucune stratégie ne sera arrêtée pour réagir face à la poussée du FN avant le soir du premier tour. Une posture destinée à préserver la campagne des candidats sur le terrain, et à donner le change au ni-ni des Républicains. Mais à dix jours premier tour, alors que la montée du FN se profile après les attentats du 13 novembre, tous les socialistes ne veulent plus jouer à se faire peur en repoussant au dernier moment les décisions cruciales. «Je sais que c'est difficile à croire mais rien n'est arrêté» sur la stratégie au soir du premier tour, déplore le député PS Yann Galut dans Le Parisien ce jeudi.
27, 28 et 29 novembre
Libé - Régionales: le PS mise sur une campagne très courte, «sans trompettes ni fanfreluches»
Le PS mise pour les régionales sur une campagne très courte et sobre, qui ne reprendra son plein élan, l’espace d’une semaine, qu’après l’hommage national vendredi aux victimes des attentats, ses responsables étant persuadés que l’électorat ne se déterminera qu’au dernier moment.
Le Parisien - Le FN dopé par les attentats : la grande peur du PS
LE FAIT DU JOUR. Le sondage exclusif Odoxa pour notre journal et BFMTV révèle que le FN est le seul parti à progresser réellement depuis les attentats.
FranceTVinfo - Régionales : les candidats PS ne profitent pas de la popularité de François Hollande
Si le président de la République remonte dans les sondages, après les attentats, les socialistes sont quand même donnés perdants aux prochaines élections.
Cette réunion au ministère de l'Intérieur, qui sera hebdomadaire, doit permettre au Parlement de contrôler l'application de ce régime d'exception.25 et 26 novembre
Libé - Les socialistes repartent (presque) en campagne
Plus de dix jours après les attentats, les listes PS reprennent le chemin des marchés quand les ministres et la direction socialiste préfèrent temporiser.
Le PS mise pour les régionales sur une campagne très courte et sobre, qui ne reprendra son plein élan, l'espace d'une semaine, qu'après l'hommage national vendredi aux victimes des attentats, ses responsables étant persuadés que l'électorat ne se déterminera qu'au dernier moment.
Le Figaro - Les députés PS qui ont voté contre l'état d'urgence convoqués à Solférino
Les trois élus qui se sont opposés au projet de loi prolongeant l'état d'urgence jeudi dernier devront s'en expliquer devant la direction du parti après les régionales.
Le Point - Post-attentats : demandez l'argumentaire du PS !
La campagne régionale va reprendre vendredi au PS. La Rue de Solférino a préparé des arguments pour répondre aux critiques.
Le Progrès - Rhône-Alpes/Auvergne : Wauquiez et Queyranne restent au coude à coude
Selon un sondage Elabe diffusé lundi pour Les Echos, Radio Classique et Alila, le duel est toujours aussi serré, au deuxième tour du scrutin de décembre, entre les candidats Les Républicains-UDI-MoDem et PS-PRG.
23 et 24 novembre
WHAT HE SAYS ? - "C'est une sorte d'explication de texte que nous allons faire ensemble, comme si vous étiez dans une classe préparatoire." Guillaume Durand n'est pas qu'intervieweur politique, il est aussi un homme de lettres. Et c'est avec cette double casquette qu'il a interrogé Jean-Christophe Cambadélis, sur Radio Classique et LCI, lundi 23 novembre.
«Que les prières soient faites en arabe, ça peut se comprendre, mais que les prêches soient en français, c’est important (…) Les prêches, c’est là où il y a le message qui est délivré, il faut que ce soit fait en français. »
Cette phrase n’a pas été prononcée par un élu des Républicains, mais bien par Julien Dray, figure du parti socialiste, invité de RTL lundi 23 novembre. Il n’est pas le seul : la demande a aussi été formulée par le parti des radicaux de gauche.
Le Figaro - Interdire les prêches en arabe, une idée de droite qui gagne le PS
Réclamée de longue date par le FN et certains cadres des Républicains, cette mesure est désormais plébiscitée par Julien Dray.
L'Express - La proposition de loi "zéro chômeur de longue durée" bientôt à l'Assemblée
Une proposition de loi socialiste destinée à éradiquer le chômage de longue durée sera examinée en séance à l'Assemblée nationale fin novembre, avec le soutien du gouvernement. Et si c'était son arme ultime?
C'était une utopie, ce sera peut-être bientôt une loi. En juillet dernier, le député socialiste Laurent Grandguillaume a déposé une proposition de loi destinée à éradiquer le chômage de longue durée.
Ils n’ont été que six à dire non. Six députés - trois socialistes et trois écologistes - ont voté contre le projet de loi prolongeant l'état d'urgence le jeudi 19 novembre. Un petit nombre qui illustre le rassemblement de la gauche derrière certaines décisions de François Hollande, après les attentats du 13 novembre. Ainsi, Cécile Duflot a donné son "soutien" au gouvernement pour protéger les Français tandis que Jean-Luc Mélenchon s'est félicité de l'abandon des contraintes budgétaires européennes, tout en regrettant la logique sécuritaire du chef de l'État.
Francetvinfo - Régionales : la gauche est unie partout (...selon le ministère de l'Intérieur !)
Alors que la gauche part divisée dans toutes les régions, le ministère a baptisé "listes d'union de la gauche" celles du PS. De quoi susciter la colère des communistes.
RFI - Claude Bartolone: «Oui on peut combattre Daech, oui on peut triompher de Daech!»
Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale, tête de liste PS pour les élections régionales en Ile-de-France était ce lundi l’invité du matin de RFI. Lutte contre le terrorisme, campagne électorale suspendue, marathon diplomatique de François Hollande, il répond aux questions de Frédéric Rivière.
France Info - Régionales : les attentats changent la donne au PS
"La République forte", c’est le nouveau slogan du candidat socialiste en PACA, Christophe Castaner.
Les attentats du 13 novembre à Paris et à Saint6Denis ont renforcé le Front national en Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA°. Selon un sondage exclusif IPSOS/Sopra Steria pour France Info et France 3, le FN bénéficie d’un effet "attentats".
Les Inrocks - Robert Badinter : “l’État de droit n’est pas l’État de faiblesse”
Deux jours avant les attentats qui ont touché la France, Robert Badinter a animé une conférence à Genève – à l’occasion des Rencontres internationales de la ville –, pour évoquer, entre autre, le “terrorisme et la loi”. L’ancien garde des Sceaux y révélait les dangers de l’adoption des lois et des juridictions d’exceptions, qui mettent en péril l’État de droit. Ses propos coïncident malheureusement avec l’actualité, et Robert Badinter les a réaffirmés lundi sur France 2.
21 et 22 novembre
BFMTV - Les cotes de popularité de Hollande et Valls en hausse après les attentats
La cote de popularité de François Hollande a crû de 8 points en novembre et celle de Manuel Valls de 3 points, selon un sondage BVA pour Orange et iTélé réalisé après les attentats du 13 novembre et publié ce samedi, mais ces progressions sont moindres que celles constatées après les attentats de janvier.
Libé - La semaine «ensanglotée» de François Hollande
«Monsieur le Président, le Quick a sauté.» Chuchotés à l’oreille du chef de l’Etat au Stade de France, ces mots ont marqué le début de l’«horreur». Coulisses des sept derniers jours.
Libé - Daech utilise Michel Onfray dans sa dernière vidéo de propagande
Caution intello.
L'état islamique a publié une nouvelle vidéo, la cinquième, pour revendiquer une fois encore les attentats de Paris. Mais la nouveauté cette fois-ci c'est que le groupe islamiste utilise des extraits de plusieurs interviews du philosophe Michel Onfray, dont un extrait où il appelle à cesser de combattre les jihadistesPolitis - Etat d’urgence : Valls admet ne pas respecter la Constitution
Le Premier ministre a déclaré devant le Sénat qu’il y aurait « un risque » à saisir le Conseil constitutionnel. Il y a dix ans, un propos similaire d’un ministre UMP avait suscité un tollé.
La Croix - Le PS reprendra le 28 novembre sa campagne pour les élections régionales
Le bilan des attentats a atteint 130 morts, a indiqué vendredi 20 novembre le premier ministre, après le décès d’un blessé à l’hôpital.
Le JDD - La campagne des régionales reprend, focalisée sur les attentats
Une semaine après les attentats de Paris, les candidats aux régionales reprennent doucement leurs déplacements. Mais le risque terroriste et l'enjeu sécuritaire deviennent une préoccupation majeure des discours de campagne.
Huffington Post - Après les attentats, la donne des régionales bouleversée selon un premier sondage
Tout doucement, la vie politique reprend son cours une semaine après les attentats de Paris. Après l'avoir suspendue vendredi 13, tous les partis n'ont pas officiellement repris la campagne en vue des élections régionales (le PS ne le fera qu'après les obsèques nationales du 27 novembre) mais de nombreux candidats sont déjà repartis à la rencontre des électeurs et les panneaux électoraux commencent à être installés dans les rues.
Boursier.com - Le FN en tête au premier tour des régionales dans deux sondages
Le Front national est en tête des intentions de vote pour le premier tour des élections régionales (27%) devant les listes PS-PRG (26%) qui devanceraient de peu les listes Républicains-UDI-MoDem (25%), selon un sondage Harris Interactive pour 20Minutes diffusé vendredi.
Le Lab - Régionales : le PS ne distribuera pas ses tracts dénonçant "les mauvais coups de la droite"
C’est l’histoire d’un tract de campagne particulièrement offensif qui n’inondera finalement pas les marchés français. Comme l’annonce l’AFP ce 18 novembre, le Parti socialiste a décidé de ne pas distribuer son tract pour les régionales dénonçant "les mauvais coups de la droite".
20 novembre
Libé - Les chroniques martiales de Valls
Lors du vote prolongeant et amplifiant l’état d’urgence à l’Assemblée jeudi, le Premier ministre a rappelé que certaines «libertés» seraient «limitées».
Le Point - Pourquoi ils ont dit non à la prolongation de l'état d'urgence
Ils sont six, trois socialistes frondeurs et trois écolos, à avoir voté contre l'extension de trois mois de l'état d'urgence souhaitée par le gouvernement.
Énième sursaut ? Régressions démocratiques ? Réveil des consciences ? Comment empêcher d’autres morts, d’autres destins brisés par des esprits aussi manipulés que résolus à tuer ? Ce qui se joue depuis janvier 2015 et novembre 2015, c’est-à-dire l’avenir de notre société, se dessine en ce moment. Sur le front extérieur comme intérieur, le président de la République a déclaré la France « en guerre ».Les députés ont adopté jeudi le projet de loi renforçant l’état d’urgence, les sénateurs devant se prononcer ce vendredi. Passage en revue des dispositions votées et envisagées par l’exécutif, et des éventuelles menaces qu’elles représentent pour les libertés publiques.Boursorama - Bartolone (PS): pas de "lien" entre "banlieues populaires" et "ces terroristes"Claude Bartolone, député PS de Seine-Saint-Denis et président de l'Assemblée nationale, a appelé mercredi à ne pas établir de "lien" entre "les banlieues populaires" et "ces terroristes", alors qu'une opération antiterroriste est en cours à Saint-Denis, au nord de Paris.
18 et 19 novembreFrance Info - Jean-Christophe Cambadélis : "Nous entrons dans les années de sang"
"Nous sommes dans une guerre totale", ce sont les mots du premier secrétaire du Parti Socialiste, Jean-Christophe Cambadélis lundi sur France Info. Après les attentats simultanés qui ont frappé Paris et Saint-Denis vendredi, "il faut passer de la solidarité à l'action", estime le responsable PS.
L'Obs - Le député socialiste frondeur Pouria Amirshahi critique le côté sécuritaire du discours de François Hollande devant le Congrès. "Il y a eu 11 lois sécuritaires en 5 ans, est-ce que cela a empêché les attentats ?"
Paris - Le président de la commission des Lois de l'Assemblée nationale, Jean-Jacques Urvoas (PS), a assuré mardi que les mesures législatives proposées en accompagnement de la prolongation de l'état d'urgence ne changent pas "le droit existant".
Public Sénat - Syrie : le PS prêt à suivre Hollande dans son rapprochement avec Poutine
Depuis la série d’attentats à Paris et Saint-Denis, François Hollande n’a plus d’autre choix que de dégeler ses relations avec Poutine pour faire front face à Daesh. La gauche sénatoriale préfère mettre en avant la future coalition internationale plutôt qu’un rapprochement avec Moscou.
L'Obs - Hollande offensif sur les fronts intérieur et extérieur contre l'Etat islamique
François Hollande a annoncé lundi que la France allait intensifier ses frappes en Syrie et qu'il rencontrerait les présidents Barack Obama et Vladimir Poutine en vue d'une "grande coalition" pour "détruire" le groupe Etat islamique (EI), parallèlement à un renforcement de la sécurité intérieure.
L'Obs - Hollande veut étendre la déchéance de nationalité aux binationaux "nés Français"
Le président François Hollande a annoncé lundi au Parlement, réuni en Congrès à Versailles, son souhait que la déchéance de nationalité puisse être étendue aux binationaux "nés Français" en cas de terrorisme.
16 et 17 novembre
L'Obs - Urvoas (PS) contre les propositions de la droite sur la sécurité
Paris (AFP) - Placer en résidence surveillée ou sous bracelet électronique les personnes faisant l'objet d'une fiche S signalant leur radicalisation est "une mauvaise idée", a estimé lundi le président de la commission des Lois de l'Assemblée nationale, Jean-Jacques Urvoas.
Le JDD - Attentats de Paris : la campagne électorale suspendue
Le PS, Les Républicains et le FN ont annoncé vendredi soir la suspension de leur campagne pour les élections régionales, le mois prochain, après les attentats sans précédent à Paris.
Alors qu’un djihadiste-kamikaze responsable du drame du 13 novembre au Bataclan a été identifié et s'avère être Français, Claude Bartolone est interrogé, ce dimanche 15 novembre sur RTL, sur la notion "d’ennemi de l’intérieur", avancée par Manuel Valls en 2013 et plus récemment par plusieurs personnalités de l’opposition de la droite et du centre comme la porte-parole de LR Lydia Guirous, Nadine Morano ou Christian Estrosi.
Libé - Un gouvernement d’union nationale? «Pourquoi pas?», répond Bartolone
Interrogé sur cette possibilité au Grand Jury RTL-Le Figaro- LCI, M. Bartolone a jugé que «si à un moment donné, des hommes et des femmes qui viennent de bords différents sont capables de se rassembler sur le même projet politique, pour éviter les débauchages individuels (...) pourquoi pas».
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François Hollande annonce le renfort des moyens de la police et de la justice
François Hollande annonce le renfort des moyens... par lemondefr -
François Hollande : "Le peuple français se met debout chaque fois qu'un de ses enfants est à terre"
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François Hollande : "Il faut détruire Daech"
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Le discours de François Hollande devant le Congrès, en cinq phrases
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L'actualité des socialistes du 3 au 15 novembre (mise à jour)
A la une
RTL - Attentats à Paris : "La France pleure ses morts", dit Jean-Christophe Cambadélis
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a réagi samedi 14 novembre à l'attaque terroriste qui a touché Paris et Saint-Denis, vendredi soir.
14 et 15 novemrbe
A l'issue de près de deux heures de débat intense dans un hémicycle inhabituellement garni pour un débat budgétaire, les députés ont donné leur feu vert, 35 voix contre 21, à l'amendement de Jean-Marc Ayrault et de Pierre-Alain Muet (PS), présenté dans le cadre du projet de budget de l'Etat pour 2016.
La Tribune - Amendement Ayrault-Muet : vers une CSG progressive ?
La CSG va-t-elle devenir progressive ? Sans doute pas, mais une petite brèche a été ouverte avec le vote de l'amendement au projet de loi de finances 2016, défendu par les deux députés PS, Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet, était adopté. Il faut dire que cet amendement a reçu un accueil favorable de 161 députés socialistes - soit plus de la moitié du groupe - mais aussi des députés écologistes et d'une partie des radicaux de gauche. Aussi, à son corps défendant Manuel Valls a dû accepter la présentation de cet amendement.
Le Figaro - CSG : Ayrault passe en force contre le gouvernement
Le gouvernement ne voulait pas de cet amendement. Mais cent soixante députés socialistes l'avaient paraphé. Jeudi après-midi, l'examen à l'Assemblée nationale de l'amendement de Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet qui amorce une progressivité de la CSG a provoqué une bataille feutrée entre l'exécutif et la majorité. Il a été adopté avec 35 voix pour et 21 contre sur 56 votants. Sans passion et sans que le ministre des Finances s'y oppose.L'ex-Premier ministre propose de remplacer une part de la future prime d’activité par une baisse de la CSG. L'Assemblée l'a suivi malgré les réserves du gouvernement.Sur l’amendement Ayrault-Muet, le gouvernement était contre mais a dû plier devant la mobilisation de sa majorité, donnant à nouveau un sentiment de confusion sur un sujet, il est vrai, très technique.12 et 13 novembre
Public Sénat - Régionales: Jean-Christophe Cambadélis (PS) appelle Valls à la « cohérence »
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, a appelé jeudi « tous les socialistes », y compris Manuel Valls, à la « cohérence » et à "se concentrer sur le premier tour" des élections régionales, alors que le Premier ministre a évoqué l'hypothèse d'une fusion des listes avec la droite face au FN.
Pierre de Saintignon, tête de liste PS aux régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, a demandé jeudi à Manuel Valls de "cesser ces petites phrases qui nuisent à notre campagne", alors que le Premier ministre a évoqué l'hypothèse d'une fusion des listes gauche-droite face au FN.
Public Sénat - Fusion des listes PS/LR : Le dernier « tabou » de Manuel Valls en passe d’être levé
A trois semaines des régionales, Manuel Valls a réaffirmé cet après midi la possibilité d’une fusion entre les deux tours des listes PS et les Républicains dans les régions où le FN est en tête des sondages. Un plan anti-FN rejeté par la droite mais qui fait son chemin à gauche.
Slate - Montebourg 2017, la possibilité d'une candidature
Les événements inciteraient irrésistiblement Montebourg à se porter candidat à la primaire socialiste de 2016.
Quelque part en France, un homme fougueux se débat avec une vie un tantinet compliquée. Papa d’un bébé né bien avant terme, il ne saurait négliger sa vie de famille. Entrepreneur néophyte, le voici confronté à des responsabilités inédites pour lui. Et, comme si tout cela ne suffisait pas, Arnaud Montebourg guette, dans la «marche vers le désastre» conduite vaillamment par François Hollande, l’opportunité de revenir au centre de la vie publique.
Europe 1 - Fusion des listes aux régionales : Aubry s'oppose à Valls
La maire de Lille n'apprécie pas du tout l'idée de Matignon de fusionner les listes de gauche avec celle des Républicains pour barrer la route au FN.
INFO EUROPE 1 - Comme l'a révélé Europe 1, le Premier ministre Manuel Valls plaide pour une fusion des listes de gauche avec celle des Républicains dans l'hypothèse où le FN arriverait largement en tête au deuxième tour des régionales dans la grande région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, où Marine Le Pen est donnée favorite. Et cela ne plaît pas du tout à Martine Aubry.
Le Point - CSG : le gouvernement se prépare à soutenir l'amendement Ayrault
EXCLUSIF. L'amendement de l'ancien Premier ministre devrait être adopté. Matignon confirme son soutien sous réserve de lever les derniers obstacles techniques.
Boursorama - CSG : objectifs et obstacles de "l'impôt citoyen" de Jean-Marc Ayrault
Dans un amendement, Jean-Marc Ayrault, propose de réunir la CSG et l'impôt sur le revenu. Grâce à un report d'une partie de la prime d'activité, la CSG serait également réduite pour les bas revenus (moins de 1,3 smic). L'ancien premier ministre aurait réuni près de 190 députés autour de sa proposition, dont 161 socialistes. Le gouvernement de Manuel Valls pourrait être contraint de suivre.
10 et 11 novembre
L’ancien Premier ministre est venu défendre à Matignon son amendement, soutenu par plus de 160 députés PS, amorçant le rapprochement entre l’impôt sur le revenu et la CSG. Manuel Valls a évoqué la perspective d'un «accord», à condition de lever «toutes les difficultés techniques, juridiques». Le texte doit être débattu jeudi à l’Assemblée.Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a exprimé mardi ses réserves sur l'amendement de l'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault visant à amorcer le rapprochement entre l'impôt sur le revenu et la CSG, estimant que cette dernière avait des "vertus".C'est un pavé dans la mare de François Hollande et Manuel Valls. L'ancien Premier ministre et député PS Jean-Marc Ayrault a déposé un amendement détonnant au projet de loi de finances 2016. Ce texte amorce une fusion de l'impôt sur le revenu et de la CSG.Le Front de gauche ne soutiendra pas l'amendement Ayrault-Muet visant à amorcer un rapprochement entre impôt sur le revenu et CSG, car il refuse une évolution de cette contribution en "levier de fiscalité", a indiqué mardi son chef de file à l'Assemblée, André Chassaigne.Le Point - Amendement CSG : Ayrault sera reçu par Valls
Les deux hommes discuteront mardi matin de la proposition de rendre la CSG progressive qui avait obtenu le soutien d'un centaine de députés PS.
Le JDD - Impôts : quand Ayrault convainc Hollande
L’exécutif cherche un compromis avec l’ancien Premier ministre sur une réforme de la CSG, jusqu’ici repoussée, qui s’appliquerait en 2017. La mesure est largement soutenue à gauche.
Un ex-Premier ministre qui convainc son président de lancer une réforme fiscale jusque-là repoussée, c'est l'étonnante histoire en passe de se dérouler cette semaine. Les députés doivent examiner jeudi un amendement de Jean-Marc Ayrault signé par 160 socialistes dont plusieurs anciens ministres (Kader Arif, Michèle Delaunay, Frédéric Cuvillier…). Son but est de réduire la CSG des salariés modestes directement sur leur feuille de paie, par imputation de la nouvelle prime d'activité (ex-RSA). Une forme de rapprochement de la CSG avec l'impôt sur le revenu, qui sera prélevé à la source en 2018. Une façon de tenir cette promesse, jamais appliquée, du candidat Hollande. "Cet amendement correspond au souhait d'une majorité du groupe de poursuivre le chantier des réformes et de donner des signaux à la gauche sans compliquer la tâche de l'exécutif", argumente Jean-Marc Ayrault.
Le Figaro - Pour Valls, «les Français sont à cran vis-à-vis de l'impôt»
Il y a un mois, Michel Sapin avait trouvé l'idée «intéressante» mais «complexe». Ce dimanche, Manuel Valls a employé la même méthode pour commenter la proposition de son prédécesseur Jean-Marc Ayrault de remplacer l'impôt sur le revenu et la CSG par un impôt citoyen sur le revenu. «C'est une belle idée, mais je ne suis pas sûr que les Français lient automatiquement l'impôt et la citoyenneté», a-t-il déclaré sur i-Télé et Europe 1. Refuser, mais sans froisser. C'est pourquoi l'amendement sera «examiné de la manière la plus précise possible» dans le débat sur le budget 2016 à partir de jeudi à l'Assemblée nationale.
ON VA PAS PINAILLER - Le matin, la porte-parole du PS est d'humeur badine. Sur le plateau de LCP, lundi 9 novembre, Juliette Méadel a balayé d'un revers de main les critiques des écologistes sur l'annonce par le gouvernement de la reprise des travaux de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, en Loire-Atlantique. Interrogée sur les difficultés que ce débat pourrait ajouter à l'union de la gauche pour le second tour, la jeune socialiste a livré une explication pour le moins inattendue.
Francetvinfo - Régionales : le FN provoque un dilemme au PS
La percée du FN pour les élections régionales place le PS en position délicate. Dans certaines régions, la gauche n'arriverait qu'en 3e position et se retrouverait face à un dilemme : se maintenir avec le risque de voir gagner le FN ou se retirer et disparaître.
La Tribune - Pourquoi la nouvelle coalition au Portugal est une chance pour l'Europe
Le gouvernement portugais de droite devrait chuter mardi 10 novembre, renversé par une alliance de gauche. Ce nouveau gouvernement représente une nouvelle chance pour la zone euro. Saura-t-elle la saisir?
A gauche, "Mouvement commun" se veut un "Podemos" à la française
Le "Mouvement commun", issu d'une initiative du député PS frondeur Pouria Amirshahi, a été lancé dimanche. Réunissant notamment Cécile Duflot, ou encore Pierre Laurent, il ambitionne "une autre façon d'agir" en politique, à gauche.
9 novembre
Le député PS Pouria Amirshahi lance, avec Noël Mamère et Marie-Noëlle Lienemann notamment, une initiative politico-citoyenne visant à rapprocher les élus de la société civile et à nourrir le débat idéologique à gauche.Dimanche après-midi, Pouria Amirshahi lancera à Montreuil le "Mouvement commun". L’idée est de créer une sorte de "lobby citoyen" menant des campagnes d’opinion. Dans une gauche en décomposition, cette initiative, qui n’est pas la première du genre, parviendra-t-elle à durer et à peser? Les avis sont déjà partagés.
Libé - Pouria Amirshahi lance son Mouvement commun
Un nouveau-né. Ce dimanche, le député socialiste Pouria Amirshahi ouvre la porte du Mouvement commun, «un lobby citoyen», «un grand mouvement qui prépare la France». L'inauguration aura lieu à la maison de l'arbre, à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Les organisateurs espèrent attirer «plus de 500 personnes». Au programme : ateliers, rencontres, plénières et lancement d'une Web TV. Sur Internet, le Mouvement commun compte près de 1 500 signataires. Pas mal pour un début. Parmi les participants, on retrouve des politiques, classés à gauche, de premier rang. Ils représentent près de 15 % des signataires. Mais la force est ailleurs. La majorité des âmes est issue de la société civile : sans emplois, étudiants, enseignants, agriculteurs, profs ou artistes.
Basta Mag - Vers un « mouvement commun » ouvert aux citoyens pour refonder la gauche ?
Un énième appel à refonder la gauche ? Pas si sûr. Le « mouvement commun » sera lancé ce 8 novembre à Montreuil, en Seine-Saint-Denis. Initié par le député socialiste Pouria Amirshahi, l’appel affiche de grandes « audaces démocratiques, sociales et écologiques ». Il ambitionne de « construire la France et l’Europe de demain » en inventant « un espoir commun, dans la délibération collective, plutôt que dans l’aventure personnelle ». Pas question, pour le député, de se lancer dans une vaine recomposition d’appareils politiques en déliquescence. « Ce n’est pas un parti de plus, mais un mouvement politique », assure à Basta ! Pouria Amirshahi. « Aller sur le terrain de la compétition électorale est à mon avis contre-productif. » Et ce, quels que soient les résultats des élections régionales et la configuration des scrutins présidentiels en 2017. Le député frondeur veut au contraire « prendre du temps ». Malgré les débâcles annoncées.
Libé - Pierre de Saintignon, l’inconnu socialiste qui se révèle âpre débatteur
Chez Jean-Jacques Bourdin, chez Léa Salamé, en débat face à Marine Le Pen et Xavier Bertrand sur i-Télé : l’inconnu socialiste Pierre de Saintignon s’est retrouvé partout, et on l’a vu se battre. Comme un boxeur, le souffle court. Moins expérimenté que ses deux adversaires, il a une longueur d’avance comme vice-président à la région Nord Pas-de-Calais depuis dix-sept ans, à la fois proche des milieux patronaux, et à l’aise avec les syndicats.
Le Parti socialiste est en ordre de bataille pour les élections régionales, les 6 et 13 décembre prochains. C’est ce qu’affirment les socialistes, disciples de la méthode Coué, alors que la quasi-totalité des sondages annoncent de grandes pertes à gauche.
Challenges - Valls sonne la mobilisation générale contre le Front National et se paie Sarkozy
Le Premier ministre a déclaré qu'il faudra "tout faire" pour éviter que des régions soient gagnées par le FN, et réitéré des propos sous-entendant que le PS serait prêt à pratiquer un "front républicain" avec la droite.
8 novembre
Valls sur Facebook - L’autorité : une exigence, une éthique, des actes.
Dans un monde en perpétuelle effervescence, des images et des faits ont, ces dernières semaines, interpellé nos concitoyens : les violences à Air France ; les scènes d’émeutes de Moirans ; une fusillade mortelle à Marseille ; un violent règlement de compte en marge d’une fête foraine, à Clermont-Ferrand…Tous ces faits sont distincts et indépendants. Ils n’ont ni le même poids, ni la même portée. Pourtant, un débat s’est ouvert. Un débat qui n’a rien de nouveau, mais qui nécessite, une fois encore, des réponses approfondies.
Le Monde - Le PS a-t-il renoncé au front républicain ?
Les élections régionales auront lieu les 6 et 13 décembre. L’idée d’un désistement du Parti socialiste au second tour pour faire obstacle à une victoire du Front national ne fait plus consensus chez les militants.
Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, explique que « l’unité de la gauche maintenant acquise », le PS prendra ses responsabilités pour gagner au second tour. « Sachant que la droite refusera le Front républicain et qu’il ne lui en sera jamais fait grief ».
4, 5, 6 et 7 novembreLe premier ministre Manuel Valls a défendu jeudi 5 novembre son action constante pour défendre l’autorité, face aux accusations de laxisme du Front national et d’une partie de la droite, qu’il accuse à son tour de « singer l’autorité », dans une tribune publiée sur Internet.Alors que Laurent Wauquiez a participé lundi à une réunion organisé par les militants de la Manif pour Tous, le candidat républicain est accusé de "braconner sur les terres du Front National" par le Parti Socialiste.
Libé - Ile-de France : Bartolone, à gauche toute
.... Aide personnalisée au logement rabotée pour les étudiants, demi-part des veufs, don du sang autorisé aux homosexuels abstinents depuis un an... Le cafouillage sur l’allocation handicapés lui inspire cette réflexion : «A Bercy, dans un bureau, il y a un mec qui a pensé : "Pas de bras, pas d’alloc" et on laisse faire ça...» Entre les patinages de la semaine et la sortie de Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers définitivement enterré, ce militant tente quand même de se rassurer : «Je sais que Claude a cette distance avec l’exécutif». Sous-entendu, qui le protège. «Je pensais que nous allions totalement décrocher, ajoute-t-il. Et puis non».
Mais si le secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement en attribuait la responsabilité à l'ancienne majorité de droite, Jean-Marie Le Guen prétendait alors que le gouvernement n'avait pas vu venir ces augmentations: "Sur la question de la fiscalité des petites retraites, il y avait du mécontentent et on n'avait pas beaucoup d'arguments pour dire que c'était une mesure juste, puisqu'en fait, elle nous avait échappée" reconnaissait-il sur LCP.
Le JDD - Cambadélis défie Valls sur le droit de vote des étrangers
Jean-Christophe Cambadélis s’oppose à Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers. Le Premier ministre veut enterrer la réforme. Le patron du PS tient à concrétiser le programme de François Hollande.
RTL- Droit de vote des étrangers : le Parti socialiste se divise
Manuel Valls a mis les socialistes dans l'embarras en annonçant que le droit de vote des étrangers n'était plus à l'agenda du gouvernement et du parti socialiste lors d'un débat avec les étudiants de Sciences Po mardi 2 novembre.
Libé - Pourquoi le dossier Notre-Dame-des-Landes revient-il en piste ?
Vendredi soir, un communiqué de la préfecture de Loire-Atlantique remet le feu à Notre-Dame-des-Landes. Voilà qu’après le rejet, par le tribunal administratif de Nantes en juillet, des recours déposés par les opposants au projet de nouvel aéroport du Grand-Ouest, des appels d’offres ont été lancés pour que débutent les travaux en 2016. Drôle de timing, à cinq semaines des régionales et moins d’un mois de la COP21.
Boursier - Code du travail : Manuel Valls veut "révolutionner" sans toucher aux 35H
La réforme du Code du Travail, présentée mardi, s'étalera sur deux ans, en commençant par le temps de travail. Le Premier ministre a confié à Robert Badinter une mission pour fixer un socle de droits garantis à tous.
RTL - Un choc fiscal pour huit Français sur dix
REPLAY - REPLAY / INVITÉ RTL - Christophe Caresche, député socialiste de Paris et membre de la commission des finances à l'Assemblée renvient sur le "Portrait social" publié par l'Insee.
PS - « Vous avez dit Front républicain ? »
Dans le tricampisme, le PS et ses alliés assument leur combat au premier tour pour des régions solidaires et écologiques. Nous nous battrons pour créer la surprise dès le premier tour. Puis nous analyserons la situation. L’unité de la gauche maintenant acquise, nous prendrons nos responsabilités pour gagner au second tour. Sachant que la droite refusera le Front républicain et qu’il ne lui en sera jamais fait grief.
Libé, L'édito - François Hollande et l’excellence écologique ? La bonne blague !
En matière d’écologie, on savait l’exécutif champion du grand écart entre le discours et les actes. Alors que François Hollande jurait en 2012 vouloir «faire de la France la nation de l’excellence environnementale», il n’a cessé, depuis, de faire preuve d’incohérence et d’agir exactement dans le sens opposé. Abandon de l’écotaxe poids lourds, choix du tout-routier au détriment de modes de transport plus écologiques, innombrables gages accordés à l’agriculture industrielle, visite présidentielle en Alberta (Canada), là où est extrait des sables bitumineux le pétrole le plus sale du monde, atermoiements sans fin pour cesser les aides à l’exportation des centrales à charbon ou les avantages fiscaux accordés au diesel, coupes incessantes dans les budgets du ministère de l’Ecologie… La liste est loin d’être exhaustive. On avait presque fini par s’y faire. Et même par en rire jaune - c’est meilleur pour la santé et ça permet de ne pas se ruiner en mouchoirs.
Devant l’unanimité des critiques, le gouvernenent a revu sa copie sur la réforme du calcul de l’allocation aux adultes handicapés (AAH). Mardi 3 novembre au soir, la secrétaire d’Etat aux personnes handicapées, Ségolène Neuville, a annoncé le retrait de cette disposition du projet de budget 2016.A près d’un mois des régionales et quelques jours après le zigzag sur les impôts des retraités modestes, Manuel Valls a annoncé mardi le report d’un an de l’entrée en vigueur de la réforme controversée des dotations aux collectivités territoriales.
L'Obs - Pouria Amirshahi (PS) lance un "Mouvement commun" réunissant politiques et société civile
Le député PS Pouria Amirshahi lance le week-end prochain un "Mouvement commun" voulant associer de façon "innovante" politiques et société civile, mais sans être un "parti politique ou une écurie présidentielle".
"On veut créer un lobby citoyen, (un) grand mouvement qui prépare la France d'après", a expliqué lundi sur RFI le député des Français de l'étranger.
Il voulait créer un Podemos à la française. Voilà donc sa naissance. Comme le révèle Le Monde le 31 octobre, le député PS Pouria Amirshahi va lancer le 8 novembre prochain son "Mouvement commun".
L’idée est simple : créer un mouvement social issu de la société civile pour apporter des propositions concrètes au monde politique. À l'heure où nous écrivons ces lignes, un peu plus de 850 personnes ont signé l'appel.
L'Humanité - Pouria Amirshahi lance un "Mouvement commun" réunissant politiques et société civile
Le député PS Pouria Amirshahi lance le week-end prochain un "Mouvement commun" voulant associer de façon "innovante" politiques et société civile, mais sans être un "parti politique ou une écurie présidentielle".
2 et 3 novembre
29 parlementaires de gauche, socialistes, communistes et écologistes interpellent d'une même voix le Gouvernement pour réclamer le rétablissement de la demi-part fiscale pour les personnes veuves. Ils expliquent les raisons qui les poussent à agir dans une tribune que nous publions.
Libé - Retraités et impôts locaux: une promesse, beaucoup de flou
Payer sa taxe d’habitation? Ne pas payer? Etre remboursé? Comment? Qui est concerné? Pour quel coût budgétaire? Les promesses faites à certains retraités dont les impôts locaux s’envolent, posent bien des questions, loin de l’apaisement fiscal prôné par l’exécutif.
Libé - Dur, dur, la com du gouvernement sur les baisses d'impôts
Son message phare de l'automne a été percuté par le succès d'un amendement sur la CSG progressive, la décision surprise d’augmenter la taxation du diesel et, désormais, par la contestation à propos des impôts locaux payés par les retraités modestes.
Blog Le Monde - Hollande chez « Lucette », une étape dans une stratégie de quadrillage médiatique
La rentrée de François Hollande a été médiatique. Comme le racontait Le Monde le 20 octobre, le chef de l'Etat a choisi de multiplier les visites et les apparitions publiques, "comme si, en cet automne, pas un lieu, pas une thématique, pas une part de marché médiatique et pas une catégorie sociologique ne devait échapper à François Hollande".
Public Sénat - Régionales: le PS, de nouveau accusé de "faire le jeu" du FN, s'en défend
Le PS fait-il le jeu du Front national, à l'approche des élections régionales? L'accusation, maintes fois adressée à un Parti socialiste soupçonné d'y trouver son compte électoral, refait surface alors que l'exécutif a fait du FN sa cible prioritaire. Les ténors du parti s'en défendent, renvoyant chacun à sa responsabilité.