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  • Le Vent se léve - 10 MAI 1981 : FRANÇOIS MITTERRAND EST ÉLU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

    Les Français votent pour un programme de rupture : hausse du SMIC, retraite à 60 ans, cinquième semaine de congés payés, semaine de 39h, nationalisations. Mai 1981 demeure synonyme de progrès, avant que le tournant de la rigueur ne vienne refermer cette parenthèse.

  • Télérama - "De nos frères blessés', d'Hélier Cisterne : le face-à-face critique de Télérama

    Qui était Fernand Iveton ? “De nos frères blessés” raconte le destin oublié de ce militant pour l’indépendance de l’Algérie qui fut guillotiné en 1957 avec l’aval du garde des Sceaux, François Mitterrand.

  • Huffington Post - Derrière “De nos frères blessés”, la face sombre de Mitterrand pendant la guerre d’Algérie

    Dans son film, Hélier Cisterne raconte l'histoire de Fernand Iveton, militant pour la guerre d'Algérie, dont le destin est intimement lié à celui de François Mitterrand.

     Le 18 mars 1962, l’État français et le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) signaient les Accords d’Évian, mettant ainsi fin 132 années de colonisation par la France. Pendant les six années de guerre qui ont précédé cette décision, de nombreux militants se sont battus pour l’indépendance de l’Algérie. Parmi eux, Fernand Iveton. De nos frères blessés, le deuxième film d’Hélier Cisterne, en salles ce mercredi 23 mars, raconte son histoire et relève aussi la part sombre de François Mitterrand, à l’époque Garde des Sceaux. 

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    Libé, juin 1998 - L'affaire Iveton, un silence français par Jean-Luc Einaudi, historien

    Qui se souvient de Fernand Iveton, ouvrier, communiste, rallié au FLN, guillotiné à Alger, en 1957. Et qui se souvient du nom de celui qui était alors ministre de la Justice?

    Une vieille dame est morte, le dimanche 10 mai 1998, à Arcueil. Selon ses volontés, elle a emporté avec elle, dans la tombe, le portrait de l'homme qui fut l'amour de sa vie. Elle s'appelait Hélène Iveton.

    Son mari, Fernand Iveton, fut guillotiné à Alger, dans la cour de la prison Barberousse, le 11 février 1957. Qui se souvient de Fernand Iveton? Le ministre de la Justice s'appelait alors François Mitterrand.
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  • Le Monde - Génocide au Rwanda : Hubert Védrine défend devant la justice son rôle et celui de François Mitterrand

    L’ancien secrétaire général de l’Elysée poursuit pour « diffamation » et « injure » l’ex-officier de l’armée de terre Guillaume Ancel, qui l’a accusé dans plusieurs tweets et articles d’avoir collaboré avec les Hutu.

    Ils ne se sont croisés qu’une seule fois, brièvement, lors d’une université d’été du Parti socialiste à La Rochelle en 2014. Mais Hubert Védrine et Guillaume Ancel se connaissent depuis longtemps. L’ancien secrétaire général de l’Elysée (de 1991 à 1995) et l’ex-officier de l’armée de terre ayant servi au Rwanda en 1994 se sont retrouvés vendredi 18 février devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Entre les deux hommes, il n’y a eu aucun échange, quasiment aucun regard au cours de cette audience marathon qui a duré près de sept heures.

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  • Télos - Michel Rocard et le Rwanda, Vincent Duclert, 9 juin 2021

    L’engagement de la France au Rwanda de 1990 à 1993 s’est défini par un soutien sans faille à un régime raciste, corrompu et violent qui se transformera en un implacable pouvoir génocidaire responsable de l’extermination des Tutsi en 1994. Ces faits n’interrogent pas seulement les institutions de la République mais aussi le Parti socialiste, dont les dirigeants occupaient les plus hautes fonctions d’Etat. La position singulière de Michel Rocard, écarté des décisions avant de s’investir sur le sujet et de prendre des positions très fermes, permet de mieux lire ce qui apparaît aujourd’hui comme une ligne de faille déjà ancienne au sein du socialisme français.

    Premier ministre jusqu’en 1991, Michel Rocard était tenu par ses fonctions à en connaître des affaires françaises au Rwanda. Mais il fut exclu de toute décision dans cette politique à la fois militaire, diplomatique et africaine. L’engagement français au Rwanda est une décision des responsables de l’Elysée, le Président de la République entouré de son état-major particulier et de la cellule africaine, et de certains échelons des Armées et de la diplomatie.

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  • Paulette Decraene nous raconte son 10 mai 1981

    « Cela a été une grande date dans la mesure où c’était un changement, c’était quelques chose de nouveau ». Paulette Decraene, secrétaire de François Mitterrand, nous raconte son #10Mai1981.

  • L'Aurore, Jean Glavany - 10 mai 1981 : Premiers jours à l’Elysée

    Jeune collaborateur du candidat MITTERRAND, Jean GLAVANY devient chef de cabinet du Président de la République, après la victoire du 10 mai 1981. Il nous livre ses souvenirs de ces journées si particulières, la prise en mains de l'appareil d'Etat, et les petites surprises qu'elle réserve...

    1O mai 1981 à 18h30 : nous sommes à l’hôtel du Vieux Morvan et j’assure la permanence téléphonique dans la petite chambre 15 au premier étage, celle « habituelle » de François Mitterrand où l’on a fait installer une ligne directe. Celui qui n’est encore que le candidat pour quelques minutes encore est au rez-de-chaussée, devisant agréablement dans la grande salle de l’hôtel avec des amis et journalistes venus là librement. Le téléphone sonne, c’est Lionel Jospin : "Tu peux dire au Président qu’il est élu. Tous les instituts de sondage le donnent gagnant avec 51 ou 52%". Je raccroche le cœur battant et dévale l’escalier pour retrouver François Mitterrand dans la petite foule: il discute avec quelques amis dont le journaliste Ivan Levaï et s’est lancé dans une grande tirade -que je connais par cœur tant, depuis quelques années je l’ai entendue dans sa bouche- sur la forêt du Morvan, forêt de lumière, de hêtres et de chênes, menacée par la course folle au profit qui la voit envahie par les résineux...je n’ose l’interrompre mais mon pouls bat de plus en plus fort et mon secret me bat les tempes ! 

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  • François Mitterrand et Anne Pingeot : un amour aux mille mots

    À la femme qu’il a aimée en secret pendant 34 ans, François Mitterrand a écrit plus de 1 200 lettres, parfois plusieurs par jour. Des poèmes, des armes de séduction massive, pour rire, s’émouvoir, partager les doutes et la conquête du pouvoir, s’enivrer de mots. Voici leur histoire, racontée par ces lettres, et par les mots de celle qui les a reçues, Anne Pingeot.

  • #Mitterrand #10Mai1981 #gauche Les grandes mesures de la gauche

    Pour les 40 ans de l'élection de François #Mitterrand​, nous avons célébré l'esprit du #10Mai1981​. L'occasion de nous rappeler les grandes mesures qui ont vu le jour grâce à la #gauche​ et les combats qui restent à mene

  • Fondation Jean Jaurès - Mai 1981 – 40 ans après était en direct le 9 mai à 10h Le replay est ici

    À l'occasion du quarantième anniversaire de l'élection de François Mitterrand à la Présidence de la République, le 10 mai 1981, cet évènement en ligne permettra de revisiter l'ensemble des actions réalisées sous ses deux septennats à travers des table-rondes aux thématiques interrogeant précisément un aspect de sa politique mais aussi de mesurer le poids de l'héritage qu'a laissé François Mitterrand dans l'opinion. La présence de grands témoins et acteurs de l'époque sera aussi l'occasion de tenter un parallèle et de formuler des propositions pour un exercice du pouvoir plus fluide.

  • Le Monde - « 10 mai 81 : changer la vie ? », sur France 2 : les premiers pas de la Mitterrandie

    Ce documentaire un brin nostalgique permettra aux plus jeunes de découvrir un temps où la gauche savait parler au peuple, le faire rêver. Les plus anciens y retrouveront les photos de leurs illusions perdues ou de leur rage enfouie.

    Les plus de 50 ans se souviennent encore de ce dimanche 10 mai au soir quand, juste après l’annonce de la victoire de François Mitterrand, une foule s’élançait sous la pluie dans les rues de Paris pour gagner la place de la Bastille. Les socialistes prenaient possession de l’Elysée, et la droite semblait enfin sortie de l’histoire. C’est sur ces images pleines d’allégresse oubliée que Cécile Amar et Stéphane Benhamou ont démarré leur plongée dans les trois premières années de ce septennat si particulier. Le choix est judicieux tant les extraits d’archives télévisées, la texture des voix, les sons de l’époque immergent soudain le spectateur dans un monde qui semble à la fois « si loin et si proche », comme le dit la voix off d’Anna Mouglalis.

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