Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

badinter

  • La vidéo de la fin semaine : Robert Badinter "Nous ne réalisons pas assez, nous Français, qu'il y a une guerre en Europe"

    Robert Badinter, ancien garde des Sceaux et ancien président du Conseil constitutionnel, coauteur de Vladimir Poutine. L’accusation. (Fayard),

  • Elisabeth Badinter : "On livre des hommes à la vindicte publique sans passer par la justice"

    Elisabeth Badinter, philosophe, spécialiste du siècle des Lumières, est l'invitée de 7h50. Elle revient sur les manifestations contre le régime iranien après la mort de Mahsa Amini et exprime ses craintes sur le recul des droits des femmes dans le monde.

  • Héritiers de l'avenir : Robert Badinter

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Robert Badinter, ancien président du Conseil constitutionnel, ancien Garde des Sceaux et ministre de la Justice, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l'Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès. Robert Badinter devient en 1981 ministre de la Justice de François Mitterrand dans le deuxième gouvernement de Pierre Mauroy. Proche du nouveau président depuis plusieurs années, il reste avant tout comme celui qui abolit la peine de mort dans notre pays. Dans cet entretien, au-delà de l'abolition, Robert Badinter revient sur sa relation avec le Parti socialiste, nous fait participer aux coulisses de la campagne présidentielle de 1981 et évoque aussi une autre réforme emblématique portée par la gauche au pouvoir, la dépénalisation de l'homosexualité. Il revient longuement sur sa présidence au Conseil constitutionnel et son action pour instaurer la question prioritaire de constitutionnalité (QPC).

  • Robert Badinter : Invité spécial - C l’hebdo - 19/10/2019

    Son nom est déjà entré dans les livres d’histoire. Militant des droits de l’homme, avocat de causes célèbres, ancien garde des sceaux, ancien président du conseil constitutionnel. Il poursuit son combat pour la justice : l’humanisation des prisons, l’abolition universelle de la peine de mort. Quel regard porte-t-il sur les questions qui agitent le débat public, et notamment celle du voile et de la laïcité ? Comment défendre les principes qui fondent notre République ? Rendez-vous avec Robert Badinter.

  • Paris Match - Pour Robert Badinter, le voile en sortie scolaire n’est "pas illégal mais pas bienvenu"

    Invité samedi soir dans l’émission «C l’hebdo», sur France 5, Robert Badinter est revenu sur la polémique entourant le port du voile par des mères accompagnant des enfants en sortie scolaire.

    Robert Badinter était invité samedi soir de l’émission «C l’hebdo», sur France 5. Interrogé par Ali Baddou sur la polémique entourant le port du voile par des mères lors de sorties scolaires, l’ancien ministre de la Justice a estimé qu’il n’était pas «illégal mais pas bienvenu». Faisant référence à cette mère prise à partie par un élu FN alors qu’elle accompagnait la classe de son fils au conseil régional de Bourgogne-France-Comté, Robert Badinter a rappelé que «juridiquement, elle pouvait porter ce qu’on appelle le voile». «Est-ce à dire que c’était bienvenu ? Je vous le dis franchement, je ne le pense pas.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Un peu d'histoire : Robert Badinter sur la peine de mort et le terrorisme (INA, 1978)

    Robert BADINTER explique que l'application de la peine de mort aux terroristes les transfigurent en martyres. Il donne notament l'exemple des dirigeants de l'Etat d'Israël qui refusent d'exécuter les terroristes pour ne pas susciter des vocations chez les extrémistes.

  • Le JDD - Robert Badinter : "S’abstenir, c’est favoriser l’élection de Marine Le Pen"

    INTERVIEW - Dans le JDD, l'ancien garde des Sceaux socialiste Robert Badinter met en garde contre le danger Le Pen et pense que l'élection n'est pas "pliée". Extraits.

    Considérez-vous, comme certains à gauche, que face à Marine Le Pen, l’élection d’Emmanuel Macron est acquise?
    Je ne ressens pas le même optimisme que nombre de mes amis. Non, l'élection présidentielle n’est pas "pliée" et la défaite de Mme Le Pen n'est pas acquise. Le résultat peut dépendre du taux d’abstention au second tour, notamment à gauche. Il suffit qu'une proportion élevée des électeurs s’abstienne de voter pour M. Macron, et Mme Le Pen peut l’emporter.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Slate - Non, le terrorisme islamique ne se «gère» pas ! Bruno Bertrand et François Braize et Jean Petrilli

    Se limiter au bras armé dans l’appréciation de ce qu’il nous faut faire est une erreur d’analyse et nous enferme dans une logique d’impuissance.

    Bras armé du totalitarisme religieux de Daech, le terrorisme n’est pas le cœur du sujet: il est comme le doigt du sage qui montre la lune! Nous sommes en guerre, par les armes et par le combat idéologique, contre un fondamentalisme religieux, inspirateur et commanditaire du terrorisme, et ce dernier doit être détruit avec lui. En outre, il ne faut pas se tromper sur le diagnostic et les remèdes face au radicalisme islamiste, y compris non violent, et il faut en tirer toutes les conséquences en termes d’exigence et de fermeté laïques, en particulier à l’école où tout se joue.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________