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  • BNF - Victor Hugo et la peine de mort | Robert Badinter

    9 févr. 2024

    Robert Badinter été particulièrement marqué chez Victor Hugo par ce qui fut le premier, le plus long et le plus constant de tous les combats de l’écrivain – celui qu’il mena contre la peine de mort. Ce combat d’Hugo contre la peine de mort est d’abord mené au moyen de son œuvre littéraire. Dans deux romans, "Le Dernier jour d’un condamné" (1829) et "Claude Gueux" (1834), il dépeint la cruauté des exécutions capitales auxquelles il a assisté dans son enfance. Dès l’enfance, il est fortement impressionné par la vision d’un condamné conduit à l’échafaud puis par les préparatifs du bourreau dressant la guillotine en place de Grève.

    Hanté par ces « meurtres judiciaires », il va tenter toute sa vie d’infléchir l’opinion en décrivant l’horreur de l’exécution, sa barbarie, en démontrant l’injustice et l’inefficacité du châtiment. Utilisant son génie d’écrivain et son statut d’homme politique, il met son talent au service de cette cause, à travers romans, poèmes, plaidoiries devant les tribunaux, discours et votes à la Chambre des pairs, à l’Assemblée puis au Sénat, articles dans la presse européenne et lettres d’intervention en faveur de condamnés en France comme à l’étranger.

  • Fondation Jean Jaurès - Héritiers de l’avenir : Robert Badinter

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Robert Badinter, ancien président du Conseil constitutionnel, ancien Garde des Sceaux et ministre de la Justice, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Robert Badinter devient en 1981 ministre de la Justice de François Mitterrand dans le deuxième gouvernement de Pierre Mauroy. Proche du nouveau président depuis plusieurs années, il reste avant tout comme celui qui abolit la peine de mort dans notre pays. Dans cet entretien, au-delà de l’abolition, Robert Badinter revient sur sa relation avec le Parti socialiste, nous fait participer aux coulisses de la campagne présidentielle de 1981 et évoque aussi une autre réforme emblématique portée par la gauche au pouvoir, la dépénalisation de l’homosexualité. Il revient longuement sur sa présidence au Conseil constitutionnel et son action pour instaurer la question prioritaire de constitutionnalité (QPC).

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  • La vidéo de la fin semaine : Robert Badinter "Nous ne réalisons pas assez, nous Français, qu'il y a une guerre en Europe"

    Robert Badinter, ancien garde des Sceaux et ancien président du Conseil constitutionnel, coauteur de Vladimir Poutine. L’accusation. (Fayard),

  • Elisabeth Badinter : "On livre des hommes à la vindicte publique sans passer par la justice"

    Elisabeth Badinter, philosophe, spécialiste du siècle des Lumières, est l'invitée de 7h50. Elle revient sur les manifestations contre le régime iranien après la mort de Mahsa Amini et exprime ses craintes sur le recul des droits des femmes dans le monde.

  • Héritiers de l'avenir : Robert Badinter

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Robert Badinter, ancien président du Conseil constitutionnel, ancien Garde des Sceaux et ministre de la Justice, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l'Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès. Robert Badinter devient en 1981 ministre de la Justice de François Mitterrand dans le deuxième gouvernement de Pierre Mauroy. Proche du nouveau président depuis plusieurs années, il reste avant tout comme celui qui abolit la peine de mort dans notre pays. Dans cet entretien, au-delà de l'abolition, Robert Badinter revient sur sa relation avec le Parti socialiste, nous fait participer aux coulisses de la campagne présidentielle de 1981 et évoque aussi une autre réforme emblématique portée par la gauche au pouvoir, la dépénalisation de l'homosexualité. Il revient longuement sur sa présidence au Conseil constitutionnel et son action pour instaurer la question prioritaire de constitutionnalité (QPC).

  • Robert Badinter : Invité spécial - C l’hebdo - 19/10/2019

    Son nom est déjà entré dans les livres d’histoire. Militant des droits de l’homme, avocat de causes célèbres, ancien garde des sceaux, ancien président du conseil constitutionnel. Il poursuit son combat pour la justice : l’humanisation des prisons, l’abolition universelle de la peine de mort. Quel regard porte-t-il sur les questions qui agitent le débat public, et notamment celle du voile et de la laïcité ? Comment défendre les principes qui fondent notre République ? Rendez-vous avec Robert Badinter.

  • Paris Match - Pour Robert Badinter, le voile en sortie scolaire n’est "pas illégal mais pas bienvenu"

    Invité samedi soir dans l’émission «C l’hebdo», sur France 5, Robert Badinter est revenu sur la polémique entourant le port du voile par des mères accompagnant des enfants en sortie scolaire.

    Robert Badinter était invité samedi soir de l’émission «C l’hebdo», sur France 5. Interrogé par Ali Baddou sur la polémique entourant le port du voile par des mères lors de sorties scolaires, l’ancien ministre de la Justice a estimé qu’il n’était pas «illégal mais pas bienvenu». Faisant référence à cette mère prise à partie par un élu FN alors qu’elle accompagnait la classe de son fils au conseil régional de Bourgogne-France-Comté, Robert Badinter a rappelé que «juridiquement, elle pouvait porter ce qu’on appelle le voile». «Est-ce à dire que c’était bienvenu ? Je vous le dis franchement, je ne le pense pas.

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  • Un peu d'histoire : Robert Badinter sur la peine de mort et le terrorisme (INA, 1978)

    Robert BADINTER explique que l'application de la peine de mort aux terroristes les transfigurent en martyres. Il donne notament l'exemple des dirigeants de l'Etat d'Israël qui refusent d'exécuter les terroristes pour ne pas susciter des vocations chez les extrémistes.