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La vidéo de la fin de semaine

  • Touche pas à mon pote

    21 juin 2025

    Début 1985, une « petite main » déferle dans les collèges et les lycées, s'imposant comme le signe de ralliement d'une jeunesse révoltée par les crimes racistes, les violences policières et la percée de l'extrême droite. Un an après la « Marche des beurs », des centaines de milliers de manifestants se joignent aux enfants d'immigrés pour dénoncer les discriminations et les inégalités... Un concert géant est organisé à Paris, place de la Concorde, tandis que des intellectuels, des journalistes, des vedettes du show-biz s'engagent aux côtés de SOS Racisme, l'association présidée par Harlem Désir. Touche pas à mon pote devient le slogan phare du mouvement antiraciste et le symbole de toute une génération. Mais derrière ces mobilisations de masse, se dessine une autre histoire dans les coulisses du pouvoir, sur fond de montée inexorable du Front National. Une histoire méconnue, racontée ici pour la première fois par ses principaux acteurs.

  • « J'ai enquêté en Bretagne sur les algues vertes » : Inès Léraud a révélé l'affaire

    24 juin 2025

    La cour administrative d’appel de Nantes a tranché ce mardi 24 juin 2025 : l’État a été reconnu responsable à 60 % de la mort de Jean-René Auffray, qui avait été retrouvé décédé dans une vasière polluée aux algues vertes à Hillion, dans les Côtes-d’Armor, en 2016. L’État devra verser près de 332 843 € aux proches de la famille de Jean-René Auffray. Nous avons rencontré Inès Léraud, journaliste indépendante qui a révélé le scandale des algues vertes, en novembre dernier. Elle nous raconte l'enquête qui a permis de rendre public toute cette affaire.

  • Discours politique : qui sont les “honnêtes gens” ? Le débat du 7/10

    17 juin 2025

    Ce mardi dans le "débat du 7/10" sur France Inter, Pierre-Henri Tavoillot, maître de conférences en philosophie à l’université de Paris-Sorbonne, et Clément Viktorovitch, maître de conférences en rhétorique à Sciences Po, échangent sur le thème "Discours politique : qui sont les “honnêtes gens” ?"

  • Parti socialiste : fin de l'ambiguïté sur Gaza ? Avec Pascal Cherki | Entretiens géopo

    À quelques jours du 81e Congrès du Parti socialiste (PS), quelle est la position du parti à l’égard de la situation à Gaza ? Si la question parait simple, la réponse est plus complexe. Une d’ambiguïté persiste quant au(x) positionnement(s) du PS vis-à-vis de la situation au Proche Orient. Historiquement, la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO), devenue aujourd’hui le Parti socialiste, s’est alignée sur la position du parti travailliste israélien. François Mitterrand a ensuite prononcé un discours en faveur d’un État d’Israël et d’un État palestinien devant la Knesset. Mais la disparition progressive de la gauche israélienne a rendu plus difficile le positionnement du Parti socialiste sur ce sujet, laissant place à des divisions internes. Ce positionnement est aujourd’hui rendu d’autant plus confus qu’il est assimilé à la lutte contre l’antisémitisme, cause instrumentalisée pour faire taire les voix qui se lèvent contre la situation en cours à Gaza. La question du Proche-Orient divise par ailleurs la gauche française au-delà du PS. Quel éclairage peut-on apporter quant au(x) positionnement(s) du Parti socialiste à l’égard de la situation à Gaza ? Dans quelle mesure les différentes appréciations de la gauche sur la situation au Proche-Orient pourraient-elles empêcher les partis de se coaliser ? Que faire pour rétablir un dialogue sain sur la question de l’État palestinien ? Autant d’enjeux abordés par Pascal Cherki, figure parisienne du Parti socialiste et ancien député.

  • Que reste-t-il de François Mitterrand ? | Les débats de Débatdoc

     

    24 mars 2025 Le DébatDoc | LCP

    Il y a 30 ans, François Mitterrand quittait la scène politique au terme d'un second septennat effectué à l'Elysée. Il aura écrit une page de notre histoire. Mais que retenons-nous aujourd'hui de cet ancien président ? Quel héritage politique a-t-il laissé à la gauche française ? Pour en débattre, Jean-Pierre Gratien reçoit l'historien Christophe Prochasson, spécialiste de l'histoire de la gauche, le député Boris Vallaud, Président du groupe « Socialistes et apparentés » à l'Assemblée nationale et la journaliste politique Astrid de Villaines. LCP fait la part belle à l'écriture documentaire en prime time. Ce rendez-vous offre une approche différenciée des réalités politiques, économiques, sociales ou mondiales....autant de thématiques qui invitent à prolonger le documentaire à l'occasion d'un débat animé par Jean-Pierre Gratien, en présence de parlementaires, acteurs de notre société et experts.

  • Arnaud Esquerre - Liberté, vérité, démocratie : peut-on tout dire en démocratie ?

    Sortie le 26 janv. 2025

    Arnaud Esquerre vous présente son ouvrage "Liberté, vérité, démocratie : peut-on tout dire en démocratie ?" aux éditions Flammarion. Entretien avec Mazarine Pingeot.

  • Gabriel Zucman : « Que les milliardaires ne paient pas moins d’impôts que leur secrétaire »

    Sortie le 28 févr. 2025 À l'air libre

    Les milliardaires français vont-ils se voir imposer de participer davantage à l’effort de solidarité collective ? Spécialiste des questions fiscales, l’économiste Gabriel Zucman, professeur à l’École normale supérieure, est à l’initiative d’une proposition de loi écologiste adoptée à l’Assemblée nationale le 20 février, qui vise à instaurer un impôt minimum de 2 % sur les hauts patrimoines dont la valeur est supérieure à 100 millions d’euros. D'après l’économiste, la France est devenue un eldorado fiscal pour les milliardaires qui paient moitié moins d’impôts que le reste de la population. Alors que dans le même temps, les recettes fiscales viennent à manquer pour équilibrer les comptes publics... D’où la nécessité impérieuse, selon lui, de taxer les ultrariches.

  • Boris Tavernier, le « militant associatif infiltré à l'Assemblée nationale »

    18 févr. 2025
  • IDDRI - Comment financer la protection de la biodiversité ?

    Le financement de la protection de la biodiversité était l’une des questions majeures discutées lors de la COP 16 qui s’est tenue à Cali, en Colombie, fin 2024, et qui reprend en février 2025 à Rome en Italie. Ce financement est en effet indispensable pour la mise en œuvre des stratégies des pays et l’atteinte des objectifs mondiaux en matière de biodiversité. Pourtant, derrière les chiffres et les engagements, des questions essentielles demeurent : qu’implique réellement de financer la biodiversité ? Quels sont les besoins concrets à court et long terme ? Quels leviers existent aujourd’hui et comment ces financements sont-ils déployés ? Juliette Landry répond aux questions de Sophie Larmoyer.

  • Alexeï Navalny | L'ennemi de Poutine | ARTE

    Rediffusion disponible jusqu'au 11/02/2026 Il était le plus célèbre des opposants à Vladimir Poutine, celui contre lequel le Kremlin n'avait de cesse de s'acharner : Alexeï Navalny est mort en détention le 16 février 2024. Raconté par ceux qui l'ont côtoyé au quotidien, le parcours parfois contradictoire d'un combattant au courage indéniable.  Rescapé en août 2020 d'une tentative d'empoisonnement au Novitchok, le poison favori des services secrets russes, hospitalisé à Berlin, puis arrêté dès son retour à Moscou et condamné au total à dix-neuf ans de prison pour "extrémisme", Alexeï Navalny, 47 ans, était le seul opposant ayant su conquérir en Russie une véritable popularité depuis que Vladimir Poutine a pris le pouvoir, au premier jour de l'an 2000. Transféré en secret dans un camp de l'Arctique sous un régime particulièrement sévère, l'ancien avocat continuait d'appeler la Russie à la résistance, jusqu'à sa mort annoncée le 16 février 2024 par l'administration pénitentiaire. Mais au-delà de son impressionnant courage, qu'est-ce qui animait celui qui s'est peu à peu révélé comme un redoutable animal politique ? Militant prodémocratie n'ayant jamais vraiment renié son flirt xénophobe avec l'extrême droite nationaliste, au début de sa carrière, il a construit au fil du temps une puissante machine médiatique, grâce à laquelle sa dénonciation féroce de la dictature et de la corruption a fédéré des milliers, puis des millions de supporters. En 2013, sa campagne pour la mairie de Moscou lui permet de remporter 27 % des suffrages face au candidat du pouvoir, malgré la fraude. Après sa dénonciation de la guerre déclenchée en sous-main contre l'Ukraine, en 2014, sa tentative pour se présenter à la présidentielle, quatre ans plus tard, en fait définitivement l'homme à abattre pour le Kremlin.

  • LES « VALEURS » LIBÉRALES SONT UN LEURRE : la liberté est menacée partout - Joseph Stiglitz