A la une
Lyon Mag - Queyranne cherche-t-il à ménager les susceptibilités des socialistes lyonnais ?
Le président sortant de la région a présenté la liste de la Métropole de Lyon ce vendredi. Farida Boudaoud, qui a crispé la fédération PS du Rhône et qui fut longtemps pressentie pour occuper la deuxième position, sera finalement sixième. Un geste d’apaisement de la part de Jean-Jack Queyranne
3 et 4 octobre
Le Figaro - Cambadélis va lancer un «appel des 100» pour réunir la gauche
Il semble bien décidé à multiplier ce type d'initiatives. Depuis qu'il a été élu premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis a fait de l'union de la gauche son principal cheval de bataille. Après avoir d'abord tenté, en vain, de co-organiser l'université d'été de son parti avec EELV et le PCF, le député de Paris s'est ensuite mis en tête d'organiser un référendum sur le rassemblement de son camp aux régionales. Mais ça n'est pas tout: il envisage désormais de lancer, début 2016, un «appel des 100».
Le Figaro - PS : la recette d'Epinay de 1971 pour réunir la gauche
De l'initiave de Cambadélis, révélée par l'Opinion, de lancer un appel des 100 début 2016 pour refédérer les courants de gauche, naitra-t'il un nouveau parti? Retour sur la renaissance du PS en juin 1971 à Epinay.
Le JDD - Martine Aubry heureuse, loin d'Emmanuel Macron
Martine Aubry ne regrette pas une seconde sa saillie contre le ministre de l’Économie. Mais la vie continue, dit celle qui a toujours rêvé d’être ministre de la Culture.Le titre sonne comme un slogan : "Tu dois changer ta vie!". L'injonction est, au fond, une méthode antimorosité, une manière de vivre malgré la crise, de renaître quand tout va mal. "C'est une adresse à chacun d'entre nous, il faut se dire, quand tout ne va pas très bien, qu'il y a des petits moments de bonheur partout", raconte Martine Aubry en inaugurant samedi matin au Tripostal l'exposition qui porte ce nom.
Le Figaro - Régionales : les élus PS s'inquiètent d'un effet Macron
En Conseil des ministres hier, François Hollande et Manuel Valls ont recadré leurs ministres les invitant à « maîtriser la parole gouvernementale et ne pas ouvrir des débats qui n'étaient pas prévus à l'agenda ». En ligne de mire : Emmanuel Macron.
1er octobre
Les Echos - New Wind, le nouveau pari d'Arnaud Montebourg
Emmanuel Macron, ce nouvel enfant terrible de la gauche, aime se présenter en «homme libre». Pour justifier ses dernières sorties fracassantes, il se dit «dans la vérité du moment où il parle». Alors prenons le ministre de l’économie au mot. Invité du Monde Festival ce dimanche, le ministre de l’Economie a été interrogé sur ses ambitions pour 2017. Voici sa réponse : «C’est une question d’un autre temps. On est en train de parler de la transformation du monde ou bien d’essayer d’en approcher les contours et il faudrait que la vie politique, elle puisse continuer à fonctionner comme elle fonctionnait dans les années 50.»
30 octobre
Libé - Cambadélis en monsieur Loyal de son référendum
.... L’ouverture des votes en ligne aura lieu le vendredi 16 octobre. Le lendemain débuteront les votes physiques. Solférino espère ouvrir un bureau de vote dans chacun des 2 000 cantons de France. Les lieux restent à définir. Le site du PS proposera une Googlemap des bureaux. Le dimanche 18 octobre: clôture du vote physique et en ligne. Dans la soirée, un point presse annoncera une première tendance. Les scores officiels seront proclamés quelques jours plus tard après validation par la haute autorité.
Europe 1 - Cambadélis présente les modalités de son référendum... sans convaincre
Les modalités du référendum sur "l'unité de la gauche et des écologistes", qui sera organisé le 16 octobre prochain par le PS, ont été présentées mardi rue de Solferino, à Paris. "Face à la droite et l'extrême droite, souhaitez-vous l'unité de la gauche et des écologistes aux élections régionales ?", sera ainsi la question posée aux votants, a annoncé le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis… qui n'a, semble t-il, pas éteint le scepticisme de ses partenaires.
Le Figaro - Valls recadre Macron : «l'expérience d'élu de terrain est irremplaçable»
Celui que l'on surnomme volontiers «le bon élève du gouvernement» commencerait-il à agacer certains de ses chefs ? Après avoir secoué l'opinion et surtout le PS, en remettant en cause la pertinence des 35 heures et le statut des fonctionnaires, Emmanuel Macron a de nouveau fait parler de lui en estimant que le fait d'accéder à de hautes fonctions par le biais d'élections relevait «d'un cursus d'un ancien temps». Une confidence lâchée à l'occasion du festival le Monde et qui est tombée à point nommé, alors que des rumeurs persistantes font état d'une volonté de l'exécutif de voir son poulain légitimé par les urnes une fois pour toutes. Interrogé ce lundi, Manuel Valls siffle la fin de la récréation et entend bien ramener le patron de Bercy dans le rang.
Le Figaro - Cambadélis qualifie Macron de «ministre d'ouverture»
Les oreilles d'Emmanuel Macron ont une nouvelle fois sifflé. Mardi matin, le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, visiblement agacé, a enfoncé le clou après les dernières déclarations du ministre de l'Économie Emmanuel Macron, qui n'est pas membre du PS. Comme pour mieux tourner la page. «C'est un ministre d'ouverture et le Parti socialiste ne polémique pas avec un ministre d'ouverture. Ce qu'il dit ne nous engage pas et ce que nous pensons ne l'engage pas. On en restera là», a-t-il affirmé lors d'une conférence de presse au siège du parti consacrée au référendum du PS sur l'unité de la gauche pour les régionales.
BFM TV - "Emmanuel Macron est un problème", assure Laurent Baumel
La venue du ministre de l'Economie Emmanuel Macron mardi au séminaire des députés PS n'a pas ravi tous les députés socialistes après ses déclarations sur le statut des fonctionnaires, le frondeur Laurent Baumel jugeant même qu'il devait quitter le gouvernement.
28 et 29 septembre
Le Point - Pour Macron, passer par l'élection est "un cursus d'un ancien temps"
Lors d'un forum organisé par "Le Monde", le ministre de l'Économie a assuré qu'il n'avait pas l'intention d'être candidat aux législatives de 2017.Boursorama - Frondeuse, Anne Hidalgo ?
Les sujets sur lesquels l'élue socialiste s'est fait entendre ne manquent pas, avec parfois des victoires - comme sur la taxe de séjour - et parfois des défaites comme sur le travail dominical. Reste qu'un an et demi après son élection à la maire de Paris, Anne Hidalgo s'est fait une place atypique dans le paysage politico-médiatique. Celle d'une "sociale-démocrate" indépendante et batailleuse, qui ne cachent pas ses désaccords avec le gouvernement.
Le Figaro - Dray veut inviter Macron aux réunions du PS
L'ex-député PS Julien Dray, tête de liste aux régionales dans le Val-de-Marne, a suggéré dimanche au Parti socialiste d'inviter le ministre de l'Economie Emmanuel Macron à ses réunions et à des meetings, après le "Macron ras-le-bol" de Martine Aubry.
RTL - Élections régionales 2015 : Anne Hidalgo défend l'idée d'un front républicain contre le FN
Pour la maire PS de Paris, en cas de "risque majeur" de voir le FN diriger une région, il faudrait "se retirer".
Le JDD - Régionales en Ile-de-France: Pécresse et Bartolone au coude-à-coude
L’enquête Ifop pour le JDD révèle un duel très serré en Ile-de-France entre Valérie Pécresse (LR) et Claude Bartolone (PS) à trois mois des régionales. Le FN progresse ; les écologistes déçoivent.