François Hollande fait un pas vers Martine Aubry par Lopinionfr
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François Hollande fait un pas vers Martine Aubry
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L'actualité des socialistes du 23 au 29 mars (mise à jour)
Prochaine mise à jour dimanche à 20h
Challenges - Dès lundi, le PS en quête de rabibochage avec le reste de la gauche
La majorité réfléchissait déjà à l'après-départementales vendredi, l'exécutif semblant peu pressé de remanier et le parti socialiste se disant prêt à un réchauffement de ses relations avec ses partenaires de gauche dès lundi.
Ouest France - Sondage : Hollande en baisse, Valls en chute
La cote de confiance de François Hollande est en baisse de trois points par rapport à février à 29%, celle de Manuel Valls chute de sept points à 39%.
Télérama - Départementales 2015 “Le FN n'est pas arrivé premier, la belle affaire”
Le pire aurait donc été évité. Moins d'abstention et un Front National en seconde place. A quelques jours du second tour, il est plus que jamais nécessaire de regarder les résultats en face.
27 mars
Les Echos - Métropole de Lyon : Collomb face à la grève des agents du département
Depuis lundi entre 1.100 et 2.000 grévistes manifestent, faisant déjà quatre blessés.
La greffe de Lyon avec son département prend mal. Trois mois après sa naissance, la métropole lyonnaise fait face à une mobilisation d’agents de cette nouvelle collectivité fusionnant l’ex-Grand Lyon et le Conseil général du Rhône sur le territoire de l’agglomération. En cause : les conditions de travail et le régime indemnitaire des agents du département, selon les revendications d’une large intersyndicale (CGT, CGC, CFDT, Unsa, FO, CFTC, FAFPT et SUD). Lundi, entre 1.100 et 2.000 personnels ont manifesté dans les rues de la ville, avant d’interrompre une réunion entre le président de la métropole Gérard Collomb et les représentants syndicaux. Selon la métropole, deux policiers et deux manifestants ont été blessés au cours d’affrontements avec les forces de l’ordre.
Marianne - Laurent Bouvet : "Pour la droite, ce sera une victoire à la Pyrrhus"
Pour le politologue et essayiste Laurent Bouvet, auteur de "L'insécurité culturelle" (Fayard), la victoire de la droite au second tour des élections départementales est assurée, mais ne règle en rien le problème de l'attitude à adopter face au Front national. Sur cette question, il y a bien sûr des divergences entre l'UMP et l'UDI, mais également au sein du parti présidé par Nicolas Sarkozy...Le ministre de l’Économie est intervenu dans une émission de la BBC consacrée à la France. Entre trois éloges des "réformes" et deux aphorismes édifiants, il a confié ses regrets que notre pays n’ait pas pris le train des années Thatcher.26 mars
Le Figaro - PS : Martine Aubry et Benoît Hamon ne se parlent plus
L'ancien ministre de l'Éducation nationale et la maire de Lille avaient pourtant fait alliance à la fin du congrès de Reims en 2008, permettant la victoire de Martine Aubry face à Ségolène Royal.
20 minutes - VIDEO. «Quelle catastrophe !» :L’émission de la BBC sur la France dans laquelle Le Pen et Macron se lâchentBBC2, grosse chaîne de télévision anglaise, et spécialiste économique ont enquêté sur la France. Le documentaire «Quelle catastrophe ! » diffusé ce week-end dresse un portrait qui fait peur…
Le Monde - Le scrutin départemental projeté sur les régionales
Le Point - Martine Aubry et Jean-Marc Ayrault déjeunent à l'Élysée
En plein entre-deux-tours des départementales, François Hollande a convié son ex-Premier ministre et la maire de Lille. Objectif : afficher l'union du PS.
25 mars
Le lab - Gérard Collomb estime avoir plus réformé, à lui seul, que plusieurs ministres
Le maire de Lyon Gérard Collomb a connu un nouvel accès de modestie, mardi 24 mars. Invité des Indés Radio, l’élu socialiste a déclaré qu’il pensait avoir plus fait pour réformer la France, à lui seul, que plusieurs ministres réunis. Une manière pour le sénateur-maire de Lyon d'expliquer que l'on peut faire plus, avec de la longévité, en étant élu local qu'en passant brièvement dans un ministère.
Le Figaro - Pas-de-Calais : malgré la menace FN, le PS se maintient dans quatre cantons
Bien que distancés par la droite et le FN au premier tour, plusieurs binômes socialistes ont maintenu leur candidature dans le Pas-de-Calais... avec le soutien du parti.
L'Obs - Départementales 2015 : 4 départements où les divisions ont été fatales à la gauche
A chaque fois, le total des voix montre que la gauche était majoritaire... A chaque fois, elle est éliminée dès le premier tour.
LCP - Départementales : Valls appelle Sarkozy à "se reprendre" après sa "faute morale"
Manuel Valls a appelé mardi Nicolas Sarkozy à "se reprendre", après avoir réaffirmé que le président de l'UMP commettait "une faute morale et politique" avec le "ni-ni" face au FN, et martelé l'appel au "rassemblement" à gauche avant le second tour des départementales.
Paris-Match - Enquête Ifop-Fiducial départementales, Le PS, piégé par le front républicain?
Selon notre sondage Ifop-Fiducial pour Paris-Match, iTélé et Sud-Radio, les Français ont infligé un nouveau vote-sanction contre l’exécutif. Le deuxième tour des élections départementales sera un nouveau test pour le front républicain. Les sympathisants socialistes semblent plus motivés pour voter pour la droite que l’inverse. Le FN pourrait en profiter.
Au lendemain du premier tour des élections départementales, lundi 23 mars, l'UMP paraît en bonne position pour emporter une large victoire. Le parti de droite et ses alliés sont en tête dans plus de 800 cantons sur 2 000 et en ballottage dans plus de 1 200.24 mars
On se retire dans l'Aisne, faites de même dans le Vaucluse. C'est en substance ce que propose le Parti socialiste à l'UMP en vue du second tour des départementales le 29 mars. Une demande qui ne risque pas d'être acceptée côté UMP, Nicolas Sarkozy ayant annoncé au soir du premier tour qu'il n'y aurait pas de front républicain, c'est-à-dire pas d'appel au vote contre le FN, mais pas non plus de désistement en faveur du candidat le mieux placé pour faire battre le FN.
Le Monde - Elections départementales : un premier tour sans grand perdant ?
Si les chiffres distinguent clairement les résultats des principales formations politiques au premier tour des élections départementales, sur le plan de la communication, aucun parti n'endosse le rôle de grand perdant et chacun se félicite de ses réussites, plus ou moins flagrantes.Ouest-France - Départementales. Le PS a pris la marée mais n'a pas bu la tasse
Le parti socialiste espère sauver au moins 20 départements lors du deuxième tour des départementales. Le mot d'ordre est clair : rassemblement.
On annonçait une vague bleu marine déferlant sur les urnes, mais le tsunami semble avoir été contenu. Au lendemain du premier tour des départementales, le PS espère conserver une vingtaine de départements.
Une finale UPN-FN, ce sera le menu du second tour des Départementales, dimanche prochain dans le Pévèle-Mélantois. Si la percée du FN et l’effondrement du PS étaient prévus au niveau national, l’implantation locale du parti frontiste a franchi un nouveau cap, sur tous les terrains.
Libé - «La gauche est très fragile, mais le PS se maintient»
François Miquet-Marty, président de Viavoice, institut d’études et de conseil en opinions, analyse les résultats du scrutin. Selon lui, le FN progresse, le PS n’est plus dans un «déclin continu» et l’UMP apparaît comme une force d’alternance.
Le Monde - Le PS minimise sa déroute
« Un score honorable. » L’adjectif qualificatif utilisé par le premier ministre Manuel Valls, peu après 20 heures, pour qualifier le résultat du PS lors du premier tour des élections départementales, dimanche 22 mars, ne trompe personne : les socialistes encaissent là une cuisante défaite, sans doute l’une des plus sérieuses de leur histoire électorale, même s’il faudra attendre le soir du deuxième tour, dimanche 29 mars, pour mesurer l’exacte étendue des dégâts. Selon Jean-Marie Le Guen, ministre des relations avec le Parlement, la gauche serait absente « dans 500 cantons » au second tour.23 marsLe Monde - Résultats des départementales : dans le Nord, le naufrage du PS
Le Parti socialiste, aux commandes du conseil général du Nord depuis 1998, est voué à perdre ce bastion, écrasé au premier tour des départementales par l'UMP-UDI et par le FN, qui se livreront de nombreux duels au second tour dimanche prochain.Le Télégramme - Côtes-d'Armor. La gauche ébranlée
Malgré une forte poussée du Front national, qui trouble le jeu dans plusieurs cantons, le PS et ses alliés semblent être en mesure de conserver la majorité des sièges au futur conseil départemental. Mais rien n'est encore joué entre Alain Cadec, leader de la droite costarmoricaine, et Vincent Le Meaux, dauphin du président sortant Claudy Lebreton.Qui remplacera Pierre Maille (PS) à la tête du Finistère ? La droite progresse mais le PS a fait mieux que résister, notamment dans les grandes villes, comme à Brest où Bernadette Malgorn se retrouve en situation inconfortable pour le second tour. Le Front national est éliminé partout sauf à Plouzané.L’UMP est arrivé largement en tête avec 31% des suffrages. Le FN arrive en deuxième position (24,7%) et devance le PS (19,9%), selon les estimations de l’institut CSA. La participation a été de 51% pour ce scrutin.
France Info - 170 élus de droite, 44 de gauche et 6 du FN dès le 1er tour
Selon des estimations d'Ipsos Sopra Stéria, l'UMP est en tête de ce premier tour des élections départementales avec 36,3%, suivi par le PS 28% et du FN 24,5%. A suivre en direct sur France Info et franceinfo.fr. Selon le ministère de l'Intérieur, 170 élus de droite, 44 de gauche et 6 du FN ont été élus dès le 1er tour
Départementales : la soirée électorale de Mediapart
À partir de 20 h 30, Mediapart vous propose une soirée électorale originale diffusée en direct et en streaming sur notre site, pour comprendre les résultats du premier tour des départementales. Choc du Front national, effondrement du PS ? Mais aussi parité, abstention, réforme territoriale.
Libé - Le FN rate la pole position, la gauche résiste
Des surprises sont apparues à l’issue du premier tour de ces élections départementales.
Le Point - Départementales 2015 - Corrèze : le PS triomphe à Tulle !
Le maire socialiste de Tulle, Bernard Combes, est crédité de près de 49,85 % des suffrages au premier tour et frôle donc la majorité absolue. C'est une surprise, car les sondages précédant l'élection promettaient une déconvenue au PS dans l'ancien fief du président de la République François Hollande. Il y aura donc un second comptage des voix en raison du bon résultat de Bernard Combes, qui pourrait même être réélu conseiller départemental dès ce soir s'il dépasse, finalement, les 50 %
L'Obs - EN DIRECT. Départementales : dernière ligne droite avant les résultats
Suivez, minute par minute, le 1er tour du scrutin. A 17 heures, le taux de participation s'établissait à 42,98%. Retrouvez tous les résultats à partir de 20 heures.
Libé, Joffrin - L’union ou le suicide
Les uns s’abstiennent, les autres se divisent. Une partie des électeurs de gauche s’apprêtent à rester chez eux. Les autres ne savent plus où ils habitent. Triste perspective pour la majorité dans ces élections locales au si fort retentissement national… En ces premiers jours de printemps, entrons-nous dans l’hiver de la gauche ?
Libé - La gauche à la recherche de ses électeurs perdus
Sentiment de trahison, montée de l’individualisme, confiance enfuie… Ceux qui ont élu Hollande en 2012 semblent s’être évaporés, promettant une défaite dimanche.
Lyon Capitale - Touraine (PS)en passe de révolutionner le don d'organes
La Commission des Affaires Sociales de l’assemblée nationale a voté vendredi un amendement à la loi de Santé déposé par Jean-Louis Touraine qui pourrait permettre d'augmenter de 25% le don d'organe en France.
Culturebox - Dutilleux privé de plaque : Jack Lang "abasourdi" par cette "ânerie"
L'ancien ministre socialiste de la Culture Jack Lang s'est déclaré "abasourdi" par la décision de la mairie de Paris de reporter la pose d'une plaque commémorative en l'honneur du compositeur Henri Dutilleux, ajoutant que c'était une "ânerie".
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Chômage : "J'attends que M. Hollande tienne ses promesses", dit une senior qui avait interrogé le Président
Chômage : "J'attends que M. Hollande tienne ses... by rtl-fr -
L'actualité des socialistes du 16 au 22 mars (mise à jour)
Fin de campagne.... prochaine mise à jour dimanche à 20h
A la une
Départementales : une campagne éclipsée par la menace du FN
C’est une drôle de campagne qui raconte une France prête à tout instant à verser dans l’irrationalité. Comme cet homme qui interpelle sa conseillère générale dans le Tarn-et-Garonne, à propos de l’impossible édification de son pigeonnier pour cause de zone inondable. « Qu’est ce que vous allez faire pour moi ? », lance-t-il comme une supplique. Quand l’élue lui répond que cela ne relève pas des compétences du conseil général, il rétorque, désabusé : « Décidément, il n’y a que Marine qui s’occupe de nous… »
20, 21 et 22 mars
Le député PS vient de rendre un rapport sur l’emploi des jeunes en Europe. Il répond aux questions de Contexte.
Le ministre de l'Économie était en déplacement jeudi à Fresnes à la rencontre des militants à trois jours du premier tour des départementales.Un petit pas pour le socialisme mais un grand pas pour celui qui, bien que n’ayant pas en poche la carte du parti du même nom, tenait meeting, jeudi 19 mars, pour les élections départementales. Certes, la salle était modeste, mais elle était pleine. Deux cents personnes s’étaient déplacées à Fresnes (Val-de-Marne), tout autant pour encourager les candidats du PS, dans ce département – un des deux derniers – dirigé par le PCF, que pour écouter la tête d’affiche du jour : Emmanuel Macron.Manuel Valls s'est rendu dans le fief du président, en Corrèze, à trois jours du premier tour des départementales. Au menu : taper sur Sarkozy, déconstruire le discours du FN, et assurer de sa fidélité au chef de l'Etat.L’épisode de pollution se poursuivant à Paris, la maire PS de la capitale, Anne Hidalgo, a réitéré sa demande de mise en place de la circulation alternée pour la journée de samedi, en raison de la persistance du pic de pollution aux particules fines PM10.
Les Echos - Benoît Hamon à la recherche de la gauche perdue
L'ancien ministre de Manuel Valls, débarqué fin août, a fait son retour dans le jeu politique comme « haut-parleur des frondeurs ». A trois mois du congrès du PS, cet électron libre oscille entre doute et envie d'agir.Le Monde - Hollande choisit le magazine « Society » pour corriger son image
Par petites touches, François Hollande, à l’approche du troisième anniversaire de son élection, s’emploie à corriger son image. Et sur des supports de plus en plus inattendus. Entre confidences personnelles et vision régalienne, le président accorde ainsi un entretien fleuve au tout nouveau magazine Society, dans son deuxième numéro, à paraître vendredi 20 mars. Un média apparemment décalé pour une stratégie de présentation de lui-même qui se précise, visant à souligner une forme de présidentialité acquise lors des attentats de janvier sans pour autant gommer un sens de la proximité, qui, en campagne, avait constitué l’une de ses forces.Libé - Montebourg chez Habitat
Reconversion. L'ancien ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a été nommé vice-président du conseil d'administration de la chaîne d'ameublement française Habitat.
Le Monde - La gauche peut-elle perdre la Seine-Saint-Denis ?
L’ancienne banlieue rouge a pris quelques bleus. Dirigée pendant quarante et un ans par les communistes, puis par les socialistes depuis 2008, la Seine-Saint-Denis est un bastion de la gauche depuis la naissance du département, en 1968. « D’habitude, on connaît l’issue des élections à l’avance », confirme Stéphane Troussel, le président socialiste du conseil général. La gauche ou la gauche. Mais si celle-ci reste favorite pour le scrutin départemental des 22 et 29 mars, prévient-il, « l’incertitude existe avec la droite ».En meeting mercredi soir dans le Pas-de-Calais, le Premier ministre a dû s’employer pour booster les socialistes dans un département à haut risque FN.
Libé - En cas de cession, le gouvernement à reculons sur le droit des salariés
Selon «les Echos», la sanction en cas de non respect du droit à l'information des salariés lors de la vente de leur entreprise serait allégée. Hamon juge la réforme «non opportune».
19 mars
Le Monde - Départementales : la déroute annoncée du PS
S'attendant à une sévère défaite, le Parti socialiste fait profil bas avant les élections départementales des 22 et 29 mars. Dépourvue de bilan solide en matière économique, traversée par une ligne de fracture depuis en plus en plus profonde entre légitimistes et « frondeurs », la majorité, et au premier chef Manuel Valls, ont fait du Front national leur principal cible.En meeting lundi soir à Evry, le Premier ministre a vivement répliqué à Nicolas Sarkozy, à quelques jours du premier tour des départementales.Le Monde - Jean-Christophe Cambadélis : « Il y a une impunité pour le FN »
Pour Jean-Christophe Cambadélis, « il y a aujourd’hui dans notre pays une impunité pour le Front national et l’extrême droite ». Invité du « Forum France Bleu-France Info », mercredi 18 mars, à quelques jours du premier tour des élections départementales, le premier secrétaire du PS, a poursuivi : « Aujourd’hui, on peut dire ce que l’on veut dans l’espace public, on peut faire ce que l’on veut, être soutenu par les banques poutiniennes, détourner les fonds du Parlement européen pour financier l’ensemble de son appareil politique, ça n’intéresse personne. »Le Monde - Aubry brouille les pistes sur sa succession à Lille
Après l’annonce surprise de l’installation à Lille de l’ancien ministre de la ville François Lamy, le 15 novembre 2014, les rumeurs allaient bon train sur l’avenir de l’ancien conseiller municipal d’opposition de Palaiseau (Essonne). Martine Aubry préparait-elle sa succession en mairie de Lille ? A défaut de clarifier ses intentions pour les élections municipales de 2020, l’ancien ministre du gouvernement Ayrault a confirmé son intention de prendre place de manière durable dans la capitale des Flandres.Libé - Loi prostitution : démission soudaine d'un sénateur PS opposé à la pénalisation des clients
En désaccord avec le gouvernement, Jean-Pierre Godefroy a démissionné de la commission spéciale sur la loi prostitution.
Le Monde - Ayrault à l’heure des comptes
Une interview à Ouest France pour mobiliser la gauche et régler ses comptes avec Manuel Valls. Jean-Marc Ayrault n'a pas attendu le résultat des élections départementales pour se démarquer fortement de son successeur.
18 mars
Le Monde - Jean-Marc Ayrault, un premier ministre dans les yeux de sa fille
Jean-Marc Ayrault ne semble pas amer, ou rancunier. Un peu interdit plutôt, meurtri aussi, par ces deux années à Matignon et par la façon dont elles se sont terminées. C’est sa fille, Elise, qui, au terme du documentaire qu’elle lui consacre - « Mon père, ce Ayrault », diffusé en avril sur France 3 - le dit : pour elle, sa démission fut un « soulagement ». « Tu souffrais pour moi… », relance l’intéressé.Le JDD - Départementales : deux économistes prédisent une grande vague bleue
Deux économistes chercheurs à l'université Paris II prédisent une grande vague bleue aux élections départementales, en fonction d'un modèle économétrique qui intègre l'évolution du chômage et la popularité de l'exécutif. L'UMP emporterait environ trois cantons sur quatre. La gauche perdrait des bastions comme le Pas-de-Calais, et le FN remporterait plus de 100 cantons.
LCP - Guedj (PS) : "problème éthique et moral" dans le soutien de Sarkozy à Tron
Jérôme Guedj, le président (PS) du conseil général de l'Essonne, a qualifié lundi de "petit problème éthique et moral" le fait que Nicolas Sarkozy vienne soutenir lundi soir Georges Tron, renvoyé aux assises pour viols et agressions sexuelles.
17 mars
Dans le cadre du projet de loi santé, deux amendements interdisant le recours aux mannequins dénutris et l’apologie de l’anorexie ont été déposés ce matin à l’Assemblée nationale par le député PS de l’Isère, le Dr Olivier Véran, neurologue au CHU de Grenoble, par ailleurs rapporteur du volet Promotion et prévention du projet de loi.
Le Figaro - Bouches-du-Rhône : le socialiste Mennucci veut en finir avec Guérini
Le député de Marseille appelle les électeurs à ne pas voter pour le président sortant du Conseil général des Bouches du Rhône mais pour les socialistes.
Libé - PS, UMP, et FN : «La tripartition est un système transitoire»
Jérôme Fourquet, directeur à l’Ifop, analyse les conséquences de la montée de l’extrême droite.
Pour Jérôme Fourquet, directeur du département opinion publique à l’Ifop, l’élimination toujours plus fréquente des candidats PS ou UMP aux premiers tours des scrutins majoritaires peut précipiter la recomposition du paysage politique. De Valls à Juppé, plusieurs responsables de partis ne disent pas autre chose.
16 mars
La journaliste reçoit Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti Socialiste. Son portrait, dans l'exercice de sa fonction, ainsi qu'un débat autour d'un thème d'actualité sont les temps forts de l'émission qui se termine par la réponse aux questions diverses, sur la base de SMS ou de questions postéessur les réseaux sociaux par les téléspectateurs.
Rendre le vote obligatoire permettrait-il de résoudre la crise démocratique qui sévit en France ? L’écologiste François de Rugy le pense, lui qui a déposé une proposition de loi en ce sens. Il a trouvé ce dimanche 15 mars deux soutiens de poids dans la majorité socialiste alors qu'une note d'un think-tank proche du PS plaide en ce sens.
Libé - Sondage: popularité en baisse pour Hollande et Valls
François Hollande et Manuel Valls continuent de perdre les points de popularité acquis après les attentats de janvier avec respectivement 27% et 40% de bonnes opinions, selon un sondage BVA-Orange-iTELE publié samedi.
Le Lab - Manuel Valls met en garde les communistes, qui "peuvent disparaître"
Quoi qu’il en dise, Manuel Valls ne réserve pas ses coups au seul Front national. Dans le Journal du Dimanche de ce 15 mars, le Premier ministre en campagne adresse une sérieuse mise en garde aux communistes dans la perspective de 2017.
Libé - En visite à Amiens, Najat Vallaud-Belkacem joue à domicile
A quelques jours des départementales, la ministre de l'Education nationale s'est rendue vendredi soir dans le quartier de son enfance, pour une visite politique aux airs de retour aux sources.
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L'actualité des socialistes du 9 au 15 mars (mise à jour)
15 mars
L'Express - La croisade acharnée de Manuel Valls contre le FN en quatre actes
En campagne pour les élections départementales depuis le début du mois, Manuel Valls enchaîne les tacles au Front national, favori des scrutins selon les sondages. D'abord alarmiste, le Premier ministre se montre de plus en plus dur.
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis déclare dans un entretien à paraître dimanche dans La Provence qu'il faut dans les Bouches-du-Rhône "en finir avec le système GG: Guérini-Gaudin", refusant d'apporter son soutien à Jean-Noël Guérini en cas de duel contre l'UMP aux départementales.
Chaque samedi, LCI rencontre un acteur majeur de la politique française dans son bureau. L’occasion de découvrir ce qui orne le lieu de travail de ces politiques. Ce 14 mars, c’est au tour du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, d’ouvrir les portes de son bureau à l’Hôtel de Lassay.
Libé - Hollande veut s’offrir des Verts
Dans la perspective de 2017, le Président veut faire entrer Emmanuelle Cosse au gouvernement, quitte à déstabiliser les écologistes.
Le vert est devenu une matière hautement inflammable et François Hollande ne rechigne pas à jouer avec les allumettes. Profitant des courants contraires qui traversent Europe Ecologie-les Verts (lire ci-contre), le chef de l’Etat a décidé de taper le plus haut possible, lançant les grandes manœuvres autour de la secrétaire nationale du parti, Emmanuelle Cosse.
14 mars
Libé - Hidalgo pour un «parcours d’accompagnement» des jeunes de milieux populaires
La maire (PS) de Paris Anne Hidalgo va mettre en place un «parcours d’accompagnement» des «jeunes héros», issus des milieux populaires, qui veulent «réussir par l’école» et «s’insérer», avec notamment du tutorat et des stages de remise à niveau, a-t-elle annoncé jeudi.
Europe 1 - L’appel du PS à ouvrir des écoles musulmanes inquiète les enseignants
Un communiqué du PS appelle au "développement de l’enseignement privé confessionnel musulman”. Pour les syndicats cette mesure va à l’encontre du vivre-ensemble.
L’affaire cristallise une nouvelle fois le malaise à gauche autour de la laïcité et de l’islam. Un communiqué du parti socialiste, daté du 26 février dernier, appelle au "développement de l’enseignement privé confessionnel musulman”. Cette proposition, qui vise à ouvrir davantage d’écoles musulmanes, figure dans un rapport sur la cohésion républicaine, commandé dans la foulée des attentats de janvier. Repérée le 8 mars par le secrétaire national à la laïcité du Parti radical de gauche, cette annonce inquiète désormais l’ensemble des syndicats de l'Education. Forcé de s’expliquer, le Parti socialiste plaide la “maladresse dans la formulation”.
INTERVIEW – À quelques jours des élections départementales, le député PS d’Indre-et-Loire, l’un des chefs de file des frondeurs, réaffirme sa volonté « d’inflexion sérieuse » de la politique économique et sociale du gouvernement.
13 mars
L'ancien ministre PS Benoît Hamon "comprend la logique" de François Hollande, qui écarte un changement de ligne économique, mais estime que l'exécutif devra "répondre" à la "demande de pouvoir d'achat, d'emploi" et de "cohésion sociale".
Le Lab - Entre Manuel Valls et les frondeurs, le dialogue de sourds
TOI D'ABORD ! NON, TOI ... - Si François Hollande a rencontré une délégation de "frondeurs" mercredi 11 mars - une démarche très peu appréciée côté députés loyalistes - Manuel Valls ne veut pas, quant à lui, donner trop d'importance à ce rendez-vous. Chose amusante, ce 12 mars, Le Figaro fait dialoguer Premier ministre et représentant des frondeurs par articles interposés. Et visiblement, chacun attend de l'autre un signe.
Le Figaro - «Ministres faibles» : Manuel Valls contredit François Hollande
En marge d'un voyage à dominante économique en Pologne, Manuel Valls a réagi a la déclaration de François Hollande qui estime qu'un «premier ministre fort» est fatalement entouré de «ministre faibles».
Boursorama - Hollande a reçu 14 frondeurs du PS à l'Elysée pour renouer le dialogue
L'opération rabibochage a duré deux heures et demie. François Hollande a reçu quatorze députés «frondeurs» du Parti socialiste à l'Elysée, mercredi soir, dans le salon des Ambassadeurs du palais présidentiel où se tient chaque semaine le Conseil des ministres, pour renouer avec eux un dialogue rompu lors du débat sur la loi Macron. Une conversation bien loin des sanctions envisagées un temps, quand ces élus avaient contraint le gouvernement à passer en force et utliser l'article 49.3 pour imposer ce texte. Parmi les députés conviés à l'Elysée, figuraient Barbara Romagnan, Christian Paul, Pouria Amirshahi, Laurent Baumel, Benoît Hamon, Henri Emmanuelli et Pascal Cherki.
DEPARTEMENTALES - Déplacer onze ministres pour annoncer un plan ruralité dans un des fiefs du vote FN, qui plus est à une semaine du premier tour élections départementales... le sens du timing du premier ministre ne manquera pas de donner du grain à moudre à ceux qui l'accusent de faire campagne aux frais de l'Etat.
Le Figaro - François Hollande absout les frondeurs
..... C'est pourtant sur la forme que les frondeurs trouvaient des motifs de satisfaction. «Cette rencontre, c'est la reconnaissance d'un fait politique, c'est nouveau et c'est quelque chose de signifiant», se réjouissait Pouria Amirshahi. Une reconnaissance officielle de l'Élysée qui avait des allures de victoire pour les frondeurs. L'un d'eux, Laurent Baumel, estime à l'issue de la réunion que «François Hollande a écouté tout le monde avec attention», même si, «sur les demandes spécifiques , il n'y a pas eu de réponses». Le député d'Indre-et-Loire dit avoir ressenti «un accord sur la nécessité d'un rassemblement» du PS et de la gauche «sur les questions de fond». «Ce n'est pas le cas de tout le monde», souligne-t-il.
12 mars
Libé - Les frondeurs reçus à l'Elysée, consécration de la dissidence
François Hollande reçoit ce mercredi une délégation de députés frondeurs. De quoi agacer au Parti socialiste, même si tous reconnaissent qu'il est nécessaire de rassembler la gauche.
Le Figaro - La réception des frondeurs à l'Élysée fait enrager les loyalistes du PS
Le président devrait recevoir ce mercredi soir une douzaine de députés issus du groupe des frondeurs du PS afin de calmer les tensions internes au sein de la majorité
Huffington Post - François Hollande reçoit des députés frondeurs à l'Elysée
Des députés socialistes frondeurs seront reçus mercredi 11 mars dans la soirée par François Hollande, a-t-on appris mardi 10 mars de sources concordantes. Aucun de ces députés n'a voulu indiquer à l'AFP s'ils allaient participer à cette rencontre, confirmée par plusieurs autres responsables du groupe socialiste.
REPLAY/ÉDITO – À une dizaine de jours des élections départementales, François Hollande reçoit ce soir à l'Élysée les députés frondeurs du PS.Challenges - Interview exclusive : François Hollande se confie à Challenges
Dans l'entretien qu'il a accordé à Challenges, le président de la République fait front. Aucun regret et aucune concession, notamment vis-à-vis "des frondeurs", ne semblent au programme. Extraits.
Challenges - Les projets de François Hollande avant 2017
EXCLUSIF Valls et Macron, Front national et élections départementales, croissance et déclinisme… Le chef de l’Etat fait le point sur les dossiers chauds. Entretien exclusif à l’Elysée.
BFMTV - Les frondeurs "ne sont pas irréconciliables", assure Jérôme Guedj
Jérôme Guedj, membre du bureau politique du PS et président du Conseil général de l'Essonne, a prévenu mercredi sur BFMTV que le gouvernement devait "trouver les conditions du rassemblement" pour éviter une défaite dès le premier tour des élections départementales.
Midi Libre - Départementales : Cambadélis déplore un "suicide politique en direct" de la gauche
Mercredi, le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a déploré une division "incompréhensible" de la gauche, un "suicide politique en direct" avant les élections départementales.
François Hollande a fait part de sa «stupeur» et de son «émotion» après le crash mortel en Argentine dans lequel ont péri dix personnes dont huit Français. Patrick Kanner, ministre des Sports, a indiqué qu’il travaillait à l’organisation d’un «hommage national». D’autres politiques ont également réagi.
11 mars
Le Monde - Des promesses de campagne à la loi sur la fin de vie : un grand malentendu ?
C’est l’histoire d’une promesse de campagne si habilement formulée que chacun y a lu ce qu’il voulait y voir. Lorsque le 26 janvier 2012, à la Maison des métallos, à Paris, le candidat François Hollande présente parmi ses soixante engagements pour la France une mesure, la vingt-et-unième, prévoyant une « assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité », les partisans de l’euthanasie ne doutent pas que si le candidat socialiste est élu, une aide active à mourir sera mise en place. Certes, il s’est déclaré opposé à l’euthanasie, mais à l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), on croit que seul le mot lui fait peur.La ministre de l’Ecologie a évoqué pour Notre-Dame-des-Landes une consultation citoyenne «au niveau départemental».Coulisses . Le débat sur la proposition de loi a été reporté
Trop touchy ? Jeudi, les députés étaient censés examiner une proposition de loi des radicaux de gauche interdisant le port du voile dans les crèches et les centres de loisirs privés financés par de l’argent public.Étant donné son poids au Parti socialiste, les déclarations de Martine Aubry sont toujours très attendues. En témoigne le nombre de journalistes ce lundi matin pour la conférence de presse du PS donné au siège de la fédération du nord à l’occasion du lancement officiel de la campagne pour les élections départementales. Martine Aubry a fustigé les communistes et les Verts, qui ont refusé toute alliance dans le Nord. Elle a taclé Nicolas Sarkozy et la droite. Et réagi aux déclarations de Manuel Valls.
10 mars
Libé - La logique comptable fait son lit à l’hôpital
«Libération» a eu accès à un texte confidentiel qui prévoit des économies drastiques, des coupes dans les effectifs, et accroît la centralisation.
9 mars
Le Lab - Jérôme Guedj, comme d'autres frondeurs, "rêve" de discuter avec François Hollande
I HAVE A DREAM – François Hollande va-t-il finir par recevoir les députés "frondeurs" ? Pour certains, c'est une certitude. Reste plus qu'à caler une date, selon le bon vouloir présidentiel.
En attendant, certains élus pas franchement d'accord avec la politique menée par le gouvernement font preuve d'une légère impatience. À l'image de Jérôme Guedj, plus vraiment député depuis le retour à l'Assemblée de François Lamy, mais bien toujours "frondeur".
Libé - Pour Manuel Valls, le Front National est «aux portes du pouvoir» dès 2017
Dans un entretien, le Premier ministre a revendiqué la «stigmatisation du Front national», un parti qui «n’apporte aucune solution», à quelques semaines des élections départementales.
On le sait, deux lignes s'opposent chez les écologistes : les pro-gouvernement et les autres, plutôt tentés par un rapprochement avec le Front de gauche. Selon les informations du Journal du dimanche de ce 8 mars, certains membres de EELV mènent donc une réflexion concrète sur l'émergence d'un pôle pro-gouvernement structuré, quitte à provoquer une scission au sein du parti.
Le JDD - Jean-Marie Le Guen : "On a trop souvent joué avec le FN"
INTERVIEW - Jean-Marie Le Guen, secrétaire d'Etat (PS) aux Relations avec le Parlement revient sur son analyse politique qu'il vient de rediger pour la Fondation Jean-Jaurès.
Le JDD - EELV : Cécile Duflot n'a pas peur d'une scission
L’ex-ministre du Logement est convaincue que la majorité des écologistes soutient sa ligne. Et n’est pas inquiète que quelques ténors, comme Jean-Vincent Placé, veuillent rallier Hollande.
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RTL - Pourquoi François Hollande reçoit-il les frondeurs ?
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L'actualité des socialistes du 2 au 8 mars (mise à jour)
A la une
Public Sénat - Jean-Marc Germain souhaite le retour des « aubrystes » au gouvernement
Invité de Parlement Hebdo sur Public Sénat et LCP-AN ce vendredi, Jean-Marc Germain, l’un des fers de lance des frondeurs au sein du PS, se dit favorable au retour des « aubrystes » au sein du gouvernement.
Les Echos - Remaniement : les «frondeurs» PS prêts à entrer au gouvernement
Les députés socialistes frondeurs rencontreront François Hollande « dans les jours qui viennent », a annoncé Jean-Marc Germain.
7 mars
La Gazette des Communes - « Les départements sont sauvés », assure Claudy Lebreton
Le président de l'Assemblée des départements de France, Claudy Lebreton (PS), estime, à deux semaines des élections, que "les départements sont sauvés" et que ceux-ci conserveront la plupart de leurs compétences dans la future loi sur l'organisation territoriale de la République (NOTRe).
Les Inrocks - Féministes: le bras de fer qui fait tanguer Paris
Dans le XXe à Paris, la lutte entre Rokhaya Diallo et la maire PS de l’arrondissement, Frédérique Calandra, pourrait mettre à mal la majorité municipale.
Les Echos - Un an après, Manuel Valls toujours en quête d’un bilan
31 Mars 2014 : au lendemain des municipales, Manuel Valls est choisi par François Hollande pour succéder à Jean-Marc Ayrault. Un an après, la force de ses mots ne s’est pas traduite en changements notables pour les Français.
Francetvinfo - Tournée des départementales 2015 : Valls répond à Sarkozy
À quinze jours du premier tour des élections départementales, la campagne tourne à l'affrontement entre l'UMP et le PS. Au coeur du débat, la montée du Front national.
Le Monde, Les décodeurs - Le vote obligatoire changerait-il quelque chose ?
« Un apartheid territorial, social, ethnique » est à l'œuvre dans les quartiers populaires. Au lendemain des attentats de Paris, le premier ministre, Manuel Valls, avait voulu frapper un grand coup et rompre avec un discours convenu sur les banlieues.
Alors que M. Valls préside ce vendredi 6 mars un comité interministériel à la citoyenneté et à l'égalité, le député PS du Val-d'Oise Philippe Doucet a de son côté rendu publiques ses « 24 propositions pour lutter vraiment contre l'apartheid ».
Libé - A Sivens, les zadistes expulsés, les questions évacuées
Le vote par le conseil général du Tarn d’un projet très flou de barrage plus petit ne rassure pas les opposants, qui ont été délogés du site «sans incident».
Le Monde - Les propositions d’un député PS contre l’« apartheid territorial, social et ethnique »
Il y a plus d’un mois, suite aux attentats de Paris, Manuel Valls, avait jeté cette expression controversée dans l’espace public : un « apartheid territorial, social, ethnique » qui se serait « imposé à notre pays » dans les banlieues et quartiers populaires. Vendredi 6 mars, alors que le premier ministre doit présider un comité interministériel à la citoyenneté et à l’égalité et faire des annonces sur la politique de la ville, le député socialiste du Val-d’Oise, Philippe Doucet, a décidé de rendre publiques de son côté ses « 24 propositions pour lutter vraiment contre l’apartheid ».Europe 1 - Les partisans de Hollande préparent déjà 2017
.... Et les partisans de François Hollande s'y mettent aussi. Un think tank, Démocratie 2012, planche déjà sur son programme pour un second quinquennat.L'Elysée surveille ça de près. Europe 1 a pu assister en exclusivité à la deuxième réunion de ce groupe, créé en 2011 pendant la primaire socialiste et aujourd’hui réactivé. Ce think tank fait régulièrement parvenir des notes à l’Elysée avec des propositions d’idées ou de projets. Au palais, on regarde ça d’un œil distant, mais bienveillant.
Le Monde - Le gouvernement va débloquer 170 millions d'euros pour les contrats aidés
Le gouvernement va débloquer une enveloppe de 170 millions d'euros pour accélérer le nombre de contrats aidés d'ici à l'été, révèlent Les Echos jeudi 5 mars, et dont Le Monde a eu confirmation. Le financement se fera « non pas en prévoyant de nouvelles entrées en plus des 445 000 déjà budgétées pour l'année mais en accélérant le calendrier », et donc en finançant certains contrats sur une durée plus longue que prévu en 2015, explique le journal.
Le Monde - Départementales : Solférino redoute une bérézina dès le premier tour
Face aux prévisions plus que sombres pour les élections départementales, le PS tente de mobiliser ses troupes dans la dernière ligne droite. Le premier secrétaire du parti, Jean-Christophe Cambadélis, a tenu une conférence de presse jeudi 5 mars, destinée à relancer la machine socialiste, à deux semaines du premier tour. « Il y a comme un frémissement dans le pays », veut croire le patron de Solférino, qui voit dans les chiffres du chômage de janvier (baisse de 19 100 inscrits en catégorie A) un encouragement à poursuivre la politique menée depuis un an. « Le redressement est en marche. C’est la différence avec les élections municipales, où il n’était même pas perceptible, là où la colère, elle, l’était. »Le Parisien - Départementales : le PS sonne l'heure de la mobilisation
Branle-bas de combat pour éviter une nouvelle déroute après les municipales et les européennes. A trois semaines du premier tour des élections départementales, Jean-Christophe Cambadélis a lancé jeudi un appel à la mobilisation de l'électorat du PS.
6 mars
Le Monde - Le plan pauvreté de Manuel Valls déçoit les associations
Un long discours, pas moins de 11 ministres et secrétaires d’Etat l’entourant, 49 mesures annoncées et des mots pour dire la « solidarité » affichée. Manuel Valls n’a pas ménagé sa peine lors de la présentation de son « plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale », mardi 3 mars au ministère de la santé. Mais, mis à part l’annonce de la création de la prime d’activité, fusionnant le RSA et la prime pour l’emploi, la déception était visible du côté des acteurs du secteur.Le Premier ministre a présenté le plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté afin de se racheter une image sociale. Mais la seule grande nouvelle est la prime d'activité.Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'éducation nationale, reprendra les fonctions de Geneviève Fioraso, secrétaire d'Etat chargée de la recherche et de l'enseignement supérieur, a annoncé l'Elysée jeudi 5 mars. Mme Fioraso a présenté sa démission du gouvernement pour des raisons de santé.Le chef de l’Etat reperd 4 points dans le baromètre CSA pour « Les Echos » et Radio Classique. Le Premier ministre chute de 7 points, victime du 49-3.5 marsLe Figaro - Départementales : Valls conseille aux candidats PS de ne pas parler d'économie
Pour le premier ministre, le manque de «succès véritables» sur les dossiers économiques impose de mobiliser les électeurs sur d'autres thématiques.
Les Echos - Départementales : Hollande attaque de front le FN
François Hollande a une nouvelle fois mis en garde contre le FN, dont il dit vouloir « arracher les électeurs ». « Car si le FN est dans la République, puisqu’il participe aux élections, c’est tout sauf le parti de la République. Ses propositions sont autant de reculs pour notre pays et pour ses électeurs », prévient-il.
Le Lab - Le PS rode ses éléments de langage à dégainer après la défaite annoncée des départementales
.... Alors que se profilent les élections départementales, Manuel Valls, Jean-Christophe Cambadélis, Bruno Le Roux, Didier Guillaume et le président des Radicaux de gauche Jean-Michel Baylet se sont réunis le 24 février à Matignon, dévoile le Canard. Objectif : préparer la déroute annoncée.
Le Quotidien du Médecin - Geneviève Fioraso pourrait bientôt quitter le gouvernement
L’information qui avait filtré dans les colonnes de « l’Express » hier a été confirmée ce matin par Stéphane Le Foll, le porte-parole du gouvernement : « Mme Fioraso connaît des problèmes de santé, qui ont l’air d’être assez graves » et qui pourraient conduire l’actuelle secrétaire d’État chargée de l’Enseignement supérieur et de la Recherche à quitter le gouvernement.
Libé - La gauche met de l'eau dans son voile
Obligation de neutralité pour les crèches, pour les centres sociaux, mais finalement pas pour les nounous. Réunis ce mercredi matin en commission des lois pour discuter de la proposition de loi des radicaux de gauche sur l’obligation de neutralité des personnels chargés d'enfants de moins de 6 ans, les députés sont en train de faire machine arrière sur la question des assistantes maternelles. Sous l’impulsion du député PS et ancien maire d’Argenteuil Philippe Doucet, qui a déposé un amendement en ce sens, les parlementaires devraient en effet finalement circonscrire l’obligation de neutralité aux crèches et centres de loisirs dans la proposition de loi qu’ils discuteront en séance publique le 12 mars prochain.
Libé - Hollande demande un «rapprochement» à EDF et Areva
Le président français François Hollande a annoncé mercredi à Madrid avoir demandé aux dirigeants d’Areva et d’EDF de travailler à un «rapprochement» des deux groupes. «J’ai demandé aux dirigeants des deux entreprises de présenter un rapprochement qui pourrait être confirmé dans quelques mois», a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse. L’objectif est que «les acteurs de l’équipe de France du nucléaire puissent collaborer davantage que ça n’était le cas dans le passé et c’est un euphémisme», a-t-il ajouté.
4 mars
Les Echos - Les députés PS se disent « attachés » à la généralisation du tiers payant
Les députés socialistes sont « attachés » à la généralisation du tiers payant et il faut que les « problèmes techniques » pour sa mise en place soient « réglés », a déclaré, hier, un de leurs porte-parole, Hugues FourageLe Lab - Ces 49 députés PS qui avaient prévu de ne pas voter la loi Macron
..... Selon des documents qu’a pu consulter le Lab, le gouvernement et le groupe socialiste de l’Assemblée, présidé par Bruno Le Roux, avaient établi un pointage des votes des différents groupes. Et du leur. Et le verdict était que le texte devait passer par trois voix d’avance (265 pour, 262 contre). D'après les "intentions" des uns et des autres. Une avance trop courte donc pour que le gouvernement prenne le risque d’avoir un vote contre, le forçant à engager le 49.3. La faute aux quelques députés, comme certains fondateurs de Cohérence socialiste (Yann Galut, Alexis Bachelay, Valérie Rabault et Karine Berger) qui ont refusé de révéler leurs intentions de vote, rendant le comptage trop incertain.
3 mars
Le lab - Tout va bien pour les frondeurs, merci pour eux
L'INFO. Ils ont hanté les nuits de François Hollande et Manuel Valls. Les deux têtes de l'exécutif ont même, à cause d'eux, dû dégainer l'arme atomique du 49-3 pour s'assurer que la loi Macron serait votée. Eux, ce sont "les frondeurs", ces élus socialistes qui ne cautionnent pas la politique du gouvernement. Sauf qu'après avoir été tancés par nombre de leurs petits camarades, ces élus sortent finalement ragaillardis de cette séquence.
Libé, l'édito de Joffrin - Force majeure
On connaît le vieux dicton électoral : au premier tour, on choisit, au second tour, on élimine. Au premier tour, parmi huit ou dix noms, on désigne le candidat qu’on aime, au second, entre les deux qui restent en piste, on écarte celui qu’on déteste. C’était hier… Désormais la montée du Front national place la gauche devant un autre aphorisme, nettement plus désagréable : au premier tour, on est éliminé, au second tour, on n’a plus le choix.
CAMARADES - Henri Emmanuelli sort de sa réserve. Celui qui a signé la contribution de Benoît Hamon en vue du congrès du PS, qui se déroulera à Poitiers les 5, 6 et 7 juin, a décidé de briguer un nouveau mandat de président du Conseil général des Landes. Et pour ce faire, il se démarque de la ligne gouvernementale. Au JDD, daté du 1er mars, il justifie sa démarche en expliquant que "ce n'est pas le moment de tourner le dos".
L'Obs - Cambadélis (PS): Sarkozy entre "coup de rabot" et "coup de marteau"
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, a estimé que le programme de Nicolas Sarkozy se résumait à un "coup de rabot sur notre modèle social" et un "coup de marteau sur la République", après son entretien au Figaro lundi.
Le Figaro - L'avertissement à Hollande du frondeur Christian Paul : «Il est minuit moins le quart»
Le député frondeur de la Nièvre pourrait être discrètement reçu par le président de la République, inquiet pour la cohésion de sa majorité. Il juge que les réformes portées depuis deux ans ne portent pas leurs fruits.
Le Parisien - Sondage : les frondeurs du PS ont la cote
Si les Français ne partagent pas forcément leurs idées, ils comprennent la démarche des frondeurs du Parti socialiste. C'est ce que montre notre sondage* Odoxa publié ce dimanche. Les députés frondeurs PS recueillent ainsi 55% de bonnes opinions, 65% des Français jugeant «normal» qu'ils s'opposent au gouvernement et 70% estimant que le PS devrait «rappeler à François Hollande ses engagements de campagne».
INTERVIEW Le député Pouria Amirshahi réagit au sondage sur la perception qu’ont les Français de la gauche du PS...
2 mars
Le Lab - François Hollande devrait rencontrer les députés "frondeurs" au cours du mois de mars
CAJOLER - François Hollande a beau les qualifier de "complètement dingos", les députés "frondeurs" sont en passe d'être écoutés. Ou au moins reçus. Comme le révèle un confidentiel du JDD dimanche 1er mars, les députés Laurent Baumel, Christian Paul, Pouria Amirshahi et d'autres devraient s'entretenir courant mars avec François Hollande. Si le lieu reste à déterminer, la rencontre devrait se faire dans la première quinzaine du mois.
Politis – Laurent Baumel “J’essaie de sauver le PS plutôt que de le fuir”
Député d’Indre-et-Loire, Laurent Baumel revient sur la crise politique engendrée par la loi Macron et sur la stratégie des frondeurs.
Il n’est pas le plus gauchiste des frondeurs, mais cela n’empêche pas Laurent Baumel d’en être l’un des principaux porte-parole. Élu pour la première fois député (d’Indre-et-Loire) en 2012, cet ancien strauss-kahnien est l’un des trente et un députés à s’être abstenus, en septembre, sur le vote de confiance au gouvernement Valls 2.
Marianne - Le hollandisme de souche, Joseph Macé-Scaron
Le refus permanent de nommer les choses est bien l'essence du hollandisme du souche. La scène se passe au dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France, qui n'est plus connu, aujourd'hui, que sous son acronyme : Crif. Loin de l'esprit universaliste de Théo Klein, cet événement mi-politique, mi-mondain est devenu, avec le temps et la confusion intellectuelle, la manifestation pas très habile des noces du communautarisme et de l'entre-soi. Un tout petit monde - les hommes avec de longues écharpes blanches et les dames en robe de soirée - se presse ainsi autour des tables pour se faire morigéner par le président du Crif, l'inénarrable Roger Cukierman, qui défend les Français de confession juive avec la grâce et l'habileté de Mr Bean lorsqu'il prépare la dinde de NoëlLes Echos - Départementales 2015 : les départements qui pourraient basculer
Entre 30 et 40 départements, sur 101, semblent susceptibles de basculer à droite lors des élections départementales des 22 et 29 mars. Le FN pourrait remporter le Var, le Vaucluse, voire le Pas-de-Calais.
Le Monde - Comment la nouvelle prime d’activité va fonctionner
La prime pour l’emploi (PPE) et le RSA activité sont bientôt morts, bienvenue à la nouvelle « prime d’activité ». Le Monde a eu connaissance des modalités précises de cette nouvelle prestation, qui devraient être présentées mardi 3 mars par le premier ministre, Manuel Valls. Elle entérine la fusion PPE-RSA, dont la complexité et le manque d’efficacité sont critiqués depuis longtemps, mais qui a jusqu’ici toujours été retardée par crainte de faire trop de perdants. -
L'actualité des socialistes du 23 février au 2 mars (mise à jour)
A la une
Politis – Laurent Baumel “J’essaie de sauver le PS plutôt que de le fuir”
Député d’Indre-et-Loire, Laurent Baumel revient sur la crise politique engendrée par la loi Macron et sur la stratégie des frondeurs.
Il n’est pas le plus gauchiste des frondeurs, mais cela n’empêche pas Laurent Baumel d’en être l’un des principaux porte-parole. Élu pour la première fois député (d’Indre-et-Loire) en 2012, cet ancien strauss-kahnien est l’un des trente et un députés à s’être abstenus, en septembre, sur le vote de confiance au gouvernement Valls 2.
1er et 2 mars
Marianne - Le hollandisme de souche, Joseph Macé-Scaron
Le refus permanent de nommer les choses est bien l'essence du hollandisme du souche. La scène se passe au dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France, qui n'est plus connu, aujourd'hui, que sous son acronyme : Crif. Loin de l'esprit universaliste de Théo Klein, cet événement mi-politique, mi-mondain est devenu, avec le temps et la confusion intellectuelle, la manifestation pas très habile des noces du communautarisme et de l'entre-soi. Un tout petit monde - les hommes avec de longues écharpes blanches et les dames en robe de soirée - se presse ainsi autour des tables pour se faire morigéner par le président du Crif, l'inénarrable Roger Cukierman, qui défend les Français de confession juive avec la grâce et l'habileté de Mr Bean lorsqu'il prépare la dinde de NoëlLes Echos - Départementales 2015 : les départements qui pourraient basculer
Entre 30 et 40 départements, sur 101, semblent susceptibles de basculer à droite lors des élections départementales des 22 et 29 mars. Le FN pourrait remporter le Var, le Vaucluse, voire le Pas-de-Calais.
Le Monde - Comment la nouvelle prime d’activité va fonctionner
La prime pour l’emploi (PPE) et le RSA activité sont bientôt morts, bienvenue à la nouvelle « prime d’activité ». Le Monde a eu connaissance des modalités précises de cette nouvelle prestation, qui devraient être présentées mardi 3 mars par le premier ministre, Manuel Valls. Elle entérine la fusion PPE-RSA, dont la complexité et le manque d’efficacité sont critiqués depuis longtemps, mais qui a jusqu’ici toujours été retardée par crainte de faire trop de perdants.28 février
L'Express - Aubry, si près, si loin du pouvoir
Tiraillée entre l'envie de peser sur le plan national et le souhait de se concentrer sur son fief lillois, Martine Aubry ira-t-elle au clash lors du congrès du PS, en juin?
Francetvinfo - Emmanuel Macron : "C'est à l'approche du combat que le samouraï acquiert la sérénité"
"Envoyé spécial" vous a proposé le jeudi 26 février un portrait du jeune ministre de l'Économie, Emmanuel Macron. Cet extrait du chapitre 1, intitulé "Candide ou l'optimisme", vous fait découvrir son côté philosophe.
Le Point - Laurent Baumel : "Le vallsisme se nourrit d'avoir des ennemis"
Le député frondeur de l'Indre-et-Loire réagit à la résolution du bureau national du PS et dénonce la méthode du Premier ministre. Interview.
Après l'utilisation de l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer en force la loi Macron, le bureau national du Parti socialiste promettait d'être mouvementé. Si la direction du parti n'a pas pris de sanction à l'égard des frondeurs, il faudra désormais suivre ses consignes de vote sur les textes "après audition du gouvernement". Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a dû trouver un juste milieu entre renforcer la discipline du groupe et éviter de cogner trop fort sur les rebelles pour afficher un semblant d'unité. Laurent Baumel, député frondeur d'Indre-et-Loire, revient sur ce texte, les divisions de la gauche, et la méthode du Premier ministre.
27 février
Libé -«Les gens me connaissent, ils votent pour moi, pas pour François Hollande»
Libération suit jusqu'au congrès du PS la vie militante de deux sections socialistes. Aujourd'hui, à Amiens, le candidat local, élu depuis trente ans, lance la campagne départementale en tandem avec une novice en politique.
Libé - Dialogue social : avis de temps calme au PS
A première vue, le texte sur le dialogue social présenté ce mardi par Manuel Valls ne devrait pas recréer le psychodrame socialiste connu avec la loi Macron.
Une semaine après la loi Macron, c’était le texte qui aurait pu enflammer de nouveau la plaine socialiste. Mais à la direction du PS, compte tenu du psychodrame autour du 49.3 et des mesures a minima annoncées ce mercredi par Manuel Valls, on ne craint pas de remake. «Le gouvernement ne peut pas braquer la CFDT» qui a déjà fixé ses «lignes rouges» sur le futur texte, prédit un proche du premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis.
L'Obs - Cambadélis veut sanctionner la visite du député PS chez Assad : ce n'est pas démocratique
Le chef de l'Etat et le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, ont sévèrement condamné le déplacement diplomatique en Syrie du député PS Gérard Bapt. Après l'épisode des frondeurs et de la motion de censure, les menaces de sanction pleuvent au PS. Une gestion du parti qui est tout sauf démocratique, estime notre contributrice Dominique Bochel Guégan.
Les Echos - Macron fustige les « fainéants » du PS et critique Hamon
Le ministre de l’Economie critique les « jeux d’appareil » qui ont, d’après lui, « pris en otage » son projet de loi sur la croissance et l’activité, quelques mois avant le congrès du Parti socialiste de juin.Emmanuel Macron n'a décidément pas encaissé les soubresauts politiques qui ont entouré son projet de loi, adopté en force la semaine dernière grâce à l'article 49-3. Dans une interview au Monde, le ministre s'est même indirectement et violemment attaqué aux frondeurs.
Emmanuel Macron est revenu, ce jeudi dans "Le Monde", sur l'épisode du 49-3 employé pour faire passer son projet de loi. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le ministre de l'Economie est remonté contre les frondeurs.INVITÉ RTL - Le Premier secrétaire du PS a évoqué le besoin d'union de la gauche et sa relation avec le Premier ministre, notamment par rapport aux frondeursLibé - 35 heures, seuils sociaux... Le florilège libéral du gouvernement
En amont de la rencontre sur la réforme du dialogue social organisée à Matignon, ce mercredi à 15 heures, en présence des partenaires sociaux, retour sur le discours socialement décomplexé du gouvernement en 14 citations.
26 février
L'Express - Un remaniement du gouvernement après les départementales ' Sans doute à minima
Paris - Evoqué dans les cercles politiques avant la folle semaine du "49-3", un remaniement du gouvernement après les départementales reste d'actualité, mais pourrait se révéler très réduit, à en croire certaines sources dans la majorité.
France Inter - A quoi joue donc Martine Aubry?
Maintenant que les frondeurs ont fait trembler le gouvernement, au PS, tous les regards se tournent vers Martine Aubry. Soit elle rentre dans la bataille du prochain congrès du PS en juin, et cela peut faire tomber Manuel Valls ; soit elle rentre dans le rang.
C'est donc l'heure des choix.
Le Figaro, blog - Aubry, Cambadelis, Hamon, Collomb... Un Congrès du PS bien peu numérique
Du 5 au 7 juin, le Parti Socialiste tiendra son Congrès à Poitiers. De même que le Baromètre des Primaires de l’UMP s’attache à analyser l’activité des principaux leaders de l’opposition (Xavier Bertrand, Christian Estrosi, François Fillon, Alain Juppé, Bruno Le Maire et Nicolas Sarkozy) sur Twitter, Facebook, Instagram et YouTube, le Baromètre du Congrès du PS détaillera au fil du printemps celle des premiers signataires des sept principales contributions soumises aux militants : Martine Aubry, Karine Berger, Jean-Christophe Cambadelis, Gérard Collomb, Benoit Hamon, Emmanuel Maurel et Christian Paul.
L'Obs - PS: Cambadélis en équilibriste entre les "frondeurs" et le gouvernement
Une sorte de jugement de Salomon: c'est ce qu'il ressort des décisions prises par la direction du PS mardi, qui a rappelé à l'ordre les députés "frondeurs" pour avoir voulu voter "contre" la loi Macron, tout en réclamant, sur ce texte, d'être davantage écouté par le gouvernement.
L'Obs - Loi Macron : le Parti socialiste ne punit pas les "frondeurs"
Le PS a quand même rappelé à l'ordre les députés "frondeurs" pour avoir voulu voter "contre" la loi Macron. Mais il a aussi réclamé d'être davantage écouté par le gouvernement.
Le Point - Municipales : à Vénissieux, une élection peut en cacher une autre
Des élections municipales sont organisées en même temps que les départementales. Un enjeu pour le maire PS de Lyon qui entend conserver sa majorité à la métropole.
25 février
TF1 - Loi Macron : Cambadélis joue l'équilibriste au PS pour éviter les déchirures
Le PS a rappelé mardi à ses parlementaires l'obligation "en toutes circonstances" de "respecter la régle de l'unité de vote de leur groupe", dans une "résolution" présentée lors d'un bureau national du parti.
L'Express - Bureau national du PS: pas de sanction, et une résolution "mi-chèvre, mi-chou"
Adoptée, la résolution présentée ce mardi par le parti ne satisfait pour autant pas tout le monde. Elle rappelle à l'ordre les frondeurs sans exonérer pour autant le gouvernement de ses responsabilités.
Les Echos - Le PS appelle à « l’unité de vote » mais veut être entendu sur la loi Macron
Après l’utilisation du 49-3 sur le projet de loi Macron, le bureau national du PS a rappelé les frondeurs à l’ordre. Mais il estime aussi que sa recommandation sur le travail du dimanche n’a pas « été étudiée comme elle aurait dû »
Public Sénat - Le PS entre « cour d’école » et « débat politique »
Après la résistance des députés PS « frondeurs », qui ont contraint Manuel Valls à recourir au 49-3 sur la loi Macron, c’est un bureau national en forme de rappel à l’ordre qui s’annonce. Les explications devraient être franches, mais le PS ne devrait pas prononcer d’exclusion.
Libé - PS: «franche explication» en vue au bureau national
Taper du poing sur la table, mais sans forcément pousser à la sanction contrer les frondeurs: le patron du PS Jean-Christophe Cambadélis a promis de «mettre les points sur les i» mardi lors d’un bureau national, après la semaine houleuse vécue par la majorité.
BFMTV - Le Bureau national du PS se penche en douceur sur le cas des "frondeurs"
Le bureau national du PS mardi doit mettre un terme aux scènes de désaccord public au sein de la majorité. Entre des frondeurs, peu présents au sein de l'instance, qui veulent du débat et des pro-gouvernement qui appellent à la solidarité, les échanges devraient être fermes, mais calmes à un mois des élections départementales.
Le Monde - Bruno Le Roux : « Le comportement des frondeurs est individualiste »
Quelques heures avant le bureau national du PS, le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, Bruno Le Roux, a de nouveau appelé les « frondeurs » à la « responsabilité », mardi 24 février, sur BFM-TV,et exclu d’éventuelles sanctions à leur encontre. « La liberté est totale au PS, a-t-il rappelé. Mais quand une décision est prise, elle s’impose à tous. Je dis simplement qu’il y a des règles. Il y a des statuts et un règlement qui nous engagent. »Paris Match - Montebourg, Hamon, Filippetti, Dans les coulisses d’un crash politique
Dans « Les grands garçons » (Editions Plon), le journaliste Claude Askolovitch décrypte les ressorts qui ont conduit au sacrifice d’une grande partie de la génération des quadras-quinquas du PS: Arnaud Montebourg, Benoît Hamon et Aurélie Filippetti. Manuel Valls fait figure de rescapé. Derrière les trentenaires poussent. Emmanuel Macron en tête.
20 minutes - VIDEO. «Français de souche»: D'Aurélie Filippetti à Valérie Trierweiler en passant par Thierry Mariani, l’expression utilisée par François Hollande ne passe pas
POLEMIQUE Au dîner annuel du Crif, le président a employé ce concept jusque-là utilisé pour qualifier les auteurs de la profanation du cimetière juif de Sarre-Union...
Le Lab - Les frondeurs sanctionnés ? Ce serait une première depuis ...1998
ÇA VA BARDER ... OU PAS - Promis, ça va être sportif ! Une grosse explication entre les patrons de Solférino et les "frondeurs" et autres opposants à la loi Macron. Suite à l'utilisation du 49-3 pour faire passer le texte face à l'hostilité d'une partie du groupe socialiste qui menaçait de s'abstenir ou de voter contre, l'exécutif et les patrons du parti et du groupe socialiste à l'Assemblée ne décolèrent pas. Est annoncée pour mardi 24, une réunion tonique du Bureau national du PS (l'instance dirigeante du parti où sont représentées toutes les tendances du parti). Une explication de texte qui ne devrait pas entraîner pour autant de sanction.
24 février
Le Monde - Pour les élections départementales, la gauche en ordre dispersé
Si les socialistes ont fort à faire pour garder leur cohésion en interne, ils doivent aussi éviter de perdre totalement le contact avec leurs partenaires de gauche. La finalisation des listes de candidature pour les départementales avait donné le ton dès lundi 16 février d’une semaine marquée du sceau de la division. La carte des alliances dessine le portrait d’une gauche atomisée.JUSTE UNE MISE AU POINT - Après le douloureux épisode du 49-3, le bureau national du Parti socialiste, qui se tient mardi, s'annonce animé.Une semaine après le psychodrame, l'heure est aux explications. Le recours contraint à l'article 49-3 pour faire passer la loi Macron à l'Assemblée nationale sera le principal sujet du bureau national du Parti socialiste, qui se réunit mardi en fin d'après-midi. Avec cette question : quel sort réserver aux "frondeurs", tenus pour responsables de ce couac ?
Le bureau national du Parti socialiste de ce mardi 24 s'annonce tendu. Dans le viseur du patron de Solférino et du gouvernement: les frondeurs qui étaient prêts à voter contre la loi Macron et ont forcé Manuel Valls au passage en force. "Pas acceptable", pour une majorité du parti.Francetvinfo - Le PS va-t-il survivre au quinquennat de François Hollande ?
Pour comprendre la crise que traverse la majorité, francetv info a interrogé Denis Lefebvre, spécialiste de l'histoire du Parti socialiste.
A moins de quatre mois du congrès de Poitiers, le Parti socialiste est-il menacé d'une scission ? A-t-il déjà connu des crises aussi fortes par le passé ? Alors que la majorité a connu de nouvelles turbulences durant la semaine, avec l'emploi de 49.3 pour faire passer la loi Macron, mardi 17 février, francetv info a interrogé l'historien Denis Lefebvre. Auteur de nombreux ouvrages sur l'histoire du PS (Le Socialisme pour les nuls, 2008), il est secrétaire général de l'Office universitaire de recherche socialiste (OURS).
23 février
BFMTV - Le Foll aux frondeurs: "Il y a une solidarité à avoir"
"Quand on est élu et qu'on souhaite une étiquette, qui est liée je le rappelle à une élection présidentielle, il y a une solidarité à avoir", a indiqué Stéphane Le Foll à l'adresse des frondeurs dimanche.
Bilan de santé de la majorité au terme d'une semaine mouvementée marquée par le recours au 49-3 et le rejet d'une motion de censure contre le gouvernement : le chef de file des députés PS est l'invité de Marc Fauvelle.
RFI - Après la loi Macron, le PS au bord de la rupture
Le Parti socialiste sort plus divisé que jamais de la crise politique liée à la loi Macron, passée en force grâce à l'article 49-3. Une situation délicate à quatre mois d'un congrès interne qui s'annonce houleux. Mardi, le PS tiendra un bureau national pour en tirer les enseignements, peut-être pour prononcer des sanctions qu’une partie des socialistes réclament. En tout cas, l’ambiance entre socialistes reste tendue.
itélé - Jean-Marie Le Guen : "Les frondeurs ne sont pas rentrés dans le jeu parlementaire"
Slate - Samia Ghali: «Dans les quartiers, le bonheur n'existe plus»
Pour la sénatrice et maire de secteur de Marseille, l'espoir des premières années de mandat a laissé place à une forme d'impuissance, avec les dommages collatéraux que sa proximité avec les habitants impose.
L'ambiance entre Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste, et Benoît Hamon, ancien ministre de l'Éducation, est *un peu* tendue. Déjà fin 2014, le Lab révélait la plainte du camp Hamon suite à une lettre de Cambadélis adressée au CSA dans laquelle il considérait le député des Yvelines comme un "personnage hostile au président de la République". Alors que le congrès du parti se tiendra en juin à Poitiers, les petites gentillesses entre les deux reprennent.
Le JDD - Emmanuel Macron : "Nous n'allons pas décevoir…"
INTERVIEW - Emmanuel Macron, ministre de l'économie, revient pour le JDD sur l'adoption au forceps de sa loi croissance et activité. Et évoque les réformes à venir.
Direct Matin - ondage : Aucune personnalité à gauche de Valls ne ferait mieux que lui
Pour les Français, aucune des personnalités politiques situées à la gauche de Manuel Valls ne ferait mieux que lui, selon un sondage BVA réalisé pour Orange et iTÉLÉ.
Le JDD - Manuel Valls lance le chantier du code du travail
Le gouvernement est décidé à poursuivre les réformes et à obliger les frondeurs à choisir. Il y va de l’intérêt national, dit-on à Matignon et à Bercy.
Le Parisien - PS : à Lyon, les frondeurs inquiètent les militants
« C’est lamentable, puéril et irresponsable ! » Fabien Gueguen, 23 ans, membre du PS depuis 2011, n’a pas de mots assez durs pour qualifier le spectacle qu’offrent actuellement les députés de la majorité. « On a l’impression qu’ils défendent leur propre intérêt plutôt que l’intérêt général », juge cet étudiant en droit lyonnais.
Le JDD - Pour Cambadélis, c'est le vote FN qui a amené à la profanation d'un cimetière juif
Invité dimanche de l'émission Le Supplément sur Canal +, le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a expliqué que le score du FN à Sarre-Union, dans le Bas-Rhin, n'est pas étranger à la profanation du cimetière juif la semaine dernière. Le parti de Marine Le Pen a réagi.
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L'actualité des socialistes du 9 au 22 février (mise à jour)
A la une
Francetvinfo - Rechute de popularité pour Hollande et Valls
Après le bond spectaculaire du mois de janvier, le chef de l'Etat et son Premier ministre voient leur cote de popularité reculer en février, selon un sondage publié dans "Le journal du dimanche".
22 février
Slate - Le choc brutal des légitimités économique et démocratique
Sur la loi Macron comme en Grèce se joue un affrontement entre les engagements pris devant les électeurs et les contraintes extra-politiques, entre les promesses et le savoir économique.
Razzy Hammadi ne veut pas revivre le psychodrame de la loi Macron. Et pour cela, le député de Seine-Saint-Denis a une proposition simple: interdire aux députés PS de voter contre les textes du gouvernement. Une mesure que l'élu verrait bien être intégrée au "règlement du parti" lors du congrès de Poitiers, comme il le confiait au Figaro jeudi . Problème ? Cela n'est pas vraiment compatible avec la Constitution qui stipule dans son article 27 que "tout mandat impératif est nul" et que le "droit de vote des membres du Parlement est personnel." Vendredi 20 février, l'ancien président du MJS a donc été obligé de mettre un peu d'eau dans son vin.
Is it a plane ? Is it a bird ? No, it's Arnaud Montebourg. Qu'on se le dise : ce n'est pas un miroir, fut-il gigantesque, qui va empêcher l'ancien ministre de l'Économie de faire ce qu'il lui plait. Arnaud Montebourg sera donc bien à Princeton lundi 23 février pour donner une conférence. Ce qui n'était pas garanti.
Le Lab - Comment les socialistes ont essayé de gagner la voix de Thomas Thévenoud sur la loi Macron
Le gouvernement de Manuel Valls n'était pas prêt à tout pour faire voter la fameuse loi Macron. Pas question, par exemple de devoir l'adoption à un député centriste ou UMP. Mais l'exécutif se serait quand même bien accommodé de la voix de Thomas Thévenoud.
L'Obs - Six Français sur dix pensent que le PS va imploser après la loi Macron
Six Français sur dix pensent que le Parti socialiste va imploser, à la suite des divisions nées du débat sur la loi Macron, selon un sondage Odoxa pour CQFD et iTELE publié vendredi.
DNA - Élections départementales : de 30 à 40 départements pourraient basculer
Entre trente et quarante départements, sur 101, semblent susceptibles de basculer à droite lors des élections départementales des 22 et 29 mars.21 février
Libé - Frondeurs: ressentiment et interrogations chez les socialistes
Le coup d’éclat des «frondeurs» sur la loi Macron a laissé des traces profondes de ressentiment chez plusieurs socialistes qui, pour certains, vont jusqu’à prôner l’exclusion pure et simple de ces députés rebelles.
Cette solution radicale de l’exclusion n’a toutefois pas les faveurs d’importantes personnalités socialistes, qui reconnaissent cependant que le PS doit observer une plus stricte discipline majoritaire.
Europe 1 - Pour Valls, le 49-3 est la faute de… Cambadélis
L’exécutif veut tirer les leçons de "l'épisode 49.3". Et surtout comprendre comment il en est arrivé à être contraint d'utiliser cette arme constitutionnelle pour faire passer la loi Macron. Selon les informations d'Europe 1, un homme est particulièrement dans le viseur de Manuel Valls : Jean-Christophe Cambadélis. Le premier secrétaire du parti socialiste est clairement accusé de ne pas avoir fait son job.
Difficile de s'y retrouver dans la loi Macron, car il y a tout et n'importe quoi : libéralisation du transport de car, travail le dimanche, révision des modalités de licenciement, financement des entreprises, etc. Mais il y a un article de loi injustement méconnu : il s'agit de l'article 34 sur l'allègement de la fiscalité des actions gratuites.
LCP - Thierry Mandon : les frondeurs « ne peuvent pas avoir des responsabilités » au PS
Le secrétaire d’Etat à la Réforme de l’Etat et à la Simplification était l’invité de Parlement hebdo sur Public Sénat et LCP-AN ce vendredi. Interrogé sur les « frondeurs » du PS qui ont contraint Manuel Valls à avoir recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution pour passer en force sur la loi Macron, il a appelé à une forme de sanction
Les Echos - "Loi Macron" : et maintenant ?
Le texte a été adopté en première lecture à l'Assemblée au prix d'un recours douloureux à l'article 49-3. Il doit maintenant être examiné par le Sénat avant de subir l'épreuve de la seconde lecture au Palais-Bourbon. Dans quelles conditions ?
20 minutes - Motion de censure: «L’UMP est dans une obsession de revanche»
INTERVIEW C'est ce qu'estime Pouria Amirshahi, député PS des Français établis à l'étranger, et frondeur qui ne votera pas la motion de censure ce jeudi...
20 février
LCP - Hamon (PS) ne votera "évidemment" pas la motion de censure
Un des porte-voix de l'aile gauche du PS, Benoît Hamon, a dit jeudi qu'il ne voterait "évidemment" pas la motion de censure dans l'après-midi, estimant toutefois que la politique économique et budgétaire du gouvernement "échoue".
Le Point - 49.3 : le fossé se creuse entre PS et frondeurs
Les députés frondeurs n'excluent plus un changement de Premier ministre, tandis que le président du groupe Bruno Le Roux les appelle à "se ressaisir".
Le président de l'Assemblée appelle au rassemblement des socialistes après le traumatisme causé par le recours à l'article 49-3.
Slate - Derrière le 49-3 se cache le congrès du PS
Les grandes déclarations des uns et des autres sur la question du travail le dimanche ne servent que d’éblouissement idéologique alors que les choses importantes se passent dans les sombres coulisses: combien de voix chaque «motion» récoltera en juin? Qui mettra la main sur Solferino?
Le Figaro - Michèle Delaunay : « Le gouvernement a cédé au lobby du tabac »
INTERVIEW - Pour la députée PS de la Gironde et cancérologue, l'adoption d'un nouveau mode de calcul de la taxe du tabac résulte de la pression des cigarettiers et des buralistes.DÉCRYPTAGE Anticipant une nouvelle vague UMP et la montée du FN, le PS craint également des alliances naissantes à sa gauche.L'Obs - "Tout cela va se payer" : les députés dans la zone de turbulences
Au PS, frondeurs et partisans du texte d'Emmanuel Macron ont, sans surprise, campé sur leur position ce mercredi. Du pain béni pour l'opposition.
Boursorama - La loi Macron creuse les divisions du PS avant son congrès par Elizabeth Pineau
PARIS, 18 février (Reuters) - Le Parti socialiste sort plus divisé que jamais de la crise politique liée à la loi Macron, à quatre mois d'un congrès interne qui s'annonce aussi orageux que les récents débats entre le gouvernement et une partie de sa majorité.
19 février
Malgré l'annonce du gouvernement de recourir à l'article 49.3 et le fait que la loi Macron sera donc -vraisemblablement- adoptée, tout ne semble pas perdu pour les députés PS frondeurs qui espèrent encore faire plier l'exécutif sur sa ligne économique. Quitte à ce que cela entraîne le départ de Manuel Valls. Le changement de Premier ministre? "C'est une option" confirme Christian Paul, invité sur LCI, mercredi 18 février.
Libé - Loi Macron, Aubry «regrette qu'on n'ait pas continué à discuter»
Les réactions politiques sont nombreuses au lendemain de la décision du Premier ministre d'avoir recours à l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer la loi Macron.
"Ce n'est pas un politique." "Il n'a pas encore tous les codes du milieu." Ces déclarations de ténors socialistes pour parler d'Emmanuel Macron avant le début de l'examen de sa loi prennent désormais un sens nouveau. Au lendemain de la décision de Manuel Valls de passer en force, via le 49.3, c'est bien de l'échec du jeune ministre de l'Economie dont il est question.
Le Monde - Après Macron et Valls, François Hollande justifie le recours au 49-3
Après Emmanuel Macron et Manuel Valls, c'est au tour de François Hollande de justifier le recours à l'article 49-3 pour le projet de loi Macron.Marianne - Loi Macron : mais pourquoi Valls a-t-il choisi le passage en force ?
Manuel Valls vient donc d'annoncer qu'il utilise le mécanisme du 49-3 pour faire passer la loi Macron. Une surprise puisque les pronostics sur les votes étaient plutôt positifs. Une mauvaise nouvelle pour l'exécutif s'il envisageait de jouer la carte du rassemblement...
Hufington Post - Emmanuel Macron n'a pas sa carte de membre du Parti socialiste
Il a poursuivi ce qui devait être le service après-vente de sa loi. Après le 20 heures de France 2 mardi soir, Emmanuel Macron était sur RMC et BFMV ce jeudi matin. Mais le ministre de l'Economie en est réduit dans les deux cas à justifier le passage en force du gouvernement pour faire adopter son texte. "C'est un acte de responsabilité, pas d'autorité", a-t-il tenté de faire croire.
FranceTVinfo - La fracture profonde de la majorité
Au lendemain du passage sans vote de la loi Macron à l'Assemblée, la division est bien marquée entre le gouvernement de Manuel Valls et les dissidents de gauche, notamment socialistes.
Huffington Post - Loi Macron : les députés frondeurs menacés d'exclusion du PS
Au lendemain du recours à l'article 49-3 de la Constitution, certains défenseurs de la loi Macron l'ont mauvaise. En témoignent les menaces formulées par Stéphane Le Foll ou encore Bruno Le Roux à l'encontre des frondeurs qui ont poussé l'exécutif à faire passer en force le texte d'Emmanuel Macron.
Huffington Post - Motion de censure: les frondeurs ont-ils réfléchi au coup d'après?
.... Pas question en effet pour un seul frondeur de joindre sa voix à celle de l'opposition, pas plus que pour les élus écologistes. "Ne perdez pas votre temps avec ça, il n'y aura aucun frondeur qui la votera, la motion de censure", éludait dès mercredi Laurent Baumel qui ne préfère pas réagir aux menaces d'exclusion de la part du gouvernement.
L'Humanité - Les députés de gauche cherchent une parade au 49-3
Après le coup de force de mardi, la tension n’est pas retombée et le fossé ouvert à gauche est loin d’être comblé entre les deux lignes qui mettent aux prises un gouvernement minoritaire et des députés cherchant à faire respecter le Parlement. Au cœur des débats, le vote sur la motion de censure, prévu cet après-midi.
Professeur à Sciences-Po, le politologue Pascal Perrineau tire les enseignements du recours au 49-3 sur la loi Macron, et met en garde la classe politique : « L’opinion est inquiète et même en colère ».
Le Monde, Les décodeurs - Pourquoi la motion de censure a très peu de chances de passer
Découlant logiquement de l'utilisation de l'alinéa 3 de l'article 49 de la Constitution, l'Assemblée votera, jeudi 19 février, une motion de censure contre le gouvernement. Déposée par l'Union pour un mouvement populaire (UMP) et l'Union des démocrates et indépendants (UDI), celle-ci a très peu de chances de passer. La motion de censure, si elle est approuvée, entraîne la démission du gouvernement. Jamais cependant une motion de censure n'a été adoptée après l'utilisation du 49-3.Pour la première fois sous le quinquennat de François Hollande, le gouvernement a décidé, ce mardi 17 février, d'avoir recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution sur la loi Macron. Cet article autorise le gouvernement à faire adopter un texte sans vote, le seul moyen de l’empêcher étant le vote d’une motion de censure par la majorité absolue des députés dans les 24 heures.
La Tribune - Loi Macron : Valls dégaine le "49-3" pour faire passer le texte en force
Inquiet de ne pas avoir de majorité, Manuel Valls a décidé d'utiliser l'article 49-3 pour faire passer la loi Macron
18 fevrier
INFO LCI. La loi Macron sera-t-elle votée ? Conseil des ministres exceptionnel à l'Elysée
Le Premier ministre a déclaré mardi matin devant les députés socialistes qu'à ce stade, le projet de loi Macron "ne passe pas" le cap du vote de l'Assemblée, ont rapporté plusieurs parlementaires à l'AFP. Selon nos informations, un conseil des ministres exceptionnel doit avoir lieu à 14h30 à l'Elysée.
Le JDD - Manuel Valls craint un rejet de la loi Macron
A quelques heures du vote prévu à l'Assemblée nationale, le Premier ministre Manuel Valls a affirmé mardi matin devant les députés PS qu'à ce stade, "la loi Macron ne (passait) pas". Une partie des frondeurs socialistes envisage en effet de voter contre le texte du ministre de l'Economie, de même qu'une grande majorité des députés écologistes et des élus Front de gauche.
15, 16 et 17 février
Libé - Benoît Hamon (PS) votera contre la loi Macron
L’ancien ministre et député socialiste Benoît Hamon a annoncé dimanche qu’il voterait «contre» la loi Macron, regrettant que le gouvernement n’ait pas introduit dans le texte un plancher minimum de compensations pour les travailleurs du dimanche.
Non, Arnaud Montebourg ne s'est pas rangé parmi les soutiens de la loi Macron, qui doit être votée ce mardi 17 février à l'Assemblée. Un écho du Parisien relayait des propos de l'ancien ministre appelant les députés socialistes à voter le texte. Auprès du Lab, l'ancien ministre dément cette déclaration. Ce qu'avait souligné ce matin Benoît Hamon sur France Inter.
RTL - Hamon tacle Cambadélis, Valls le recadre : un mini congrès PS avant l'heure
LE DÉCODEUR POLITIQUE - En 24 heures, les piques lancées entre Benoît Hamon et Manuel Valls ont donné un avant-goût du congrès socialiste qui se tiendra en juin
Le JDD - Loi Macron : Hamon et les frondeurs font de la résistance
L'ancien ministre Benoît Hamon comme plusieurs députés frondeurs devraient voter mardi contre la loi Macron. Une position qui agace au plus haut point l'exécutif.
Libé - Loi Macron : la pêche aux voix in extremis
Après des semaines de débat, l’adoption définitive du texte a lieu ce mardi. Le nombre de votes contre côté PS s’annonce inédit.
L'Obs - Valls "sous influence juive" : BHL dénonce une "phrase immonde"
Répondant à une question de Jean-Jacques Bourdin, l'ancien ministre PS Roland Dumas a provoqué un tollé en affirmant que Manuel Valls était "probablement" sous "influence juive".
Le Monde - Départementales : les écologistes préfèrent s’allier au Front de gauche
Chez les écologistes, la constitution des listes pour les élections départementales a relevé du travail de dentelle. Dans ce parti décentralisé, chaque région, voire chaque département, a eu toute latitude pour décider de sa stratégie d’alliance et du nom de ses candidats. Dans de nombreux départements, les choix se sont même faits canton par canton, ce qui peut donner un résultat en apparence confus.Le député PS "frondeur" Laurent Baumel souhaite que le système politique français se rééquilibre au profit du parlement, ce qui permettrait, à ses yeux, la suppression du droit de dissolution et de l'article 49/3. Dans une interview à L'Obs publiée aujourd'hui, l'élu d'Indre-et-Loire parle de "monarchie républicaine sans contre-pouvoirs parlementaires". Il déplore une "relégation des parlementaires au profit des cabinets ministériels", ce qui "coupe le pouvoir des réalités sociales".
Challenges - Travail dominical: "un recul démocratique" selon Hidalgo
C'est la dernière ligne droite pour le projet de loi Macron à l'Assemblée Nationale. Le débat se focalise sur la réforme du travail dominical, contre laquelle la maire de Paris s'insurge
RTL -Travail le dimanche : Macron dit non aux frondeurs
Agitant la menace de ne pas voter la loi, les députés PS "frondeurs" ont appelé Emmanuel Macron au "compromis politique" ce samedi.
Libé - Travail dominical: les frondeurs appellent Macron au «compromis», celui-ci dit non
Les députés PS «frondeurs» ont appelé samedi Emmanuel Macron au «compromis politique» sur le travail le dimanche, menaçant de ne pas voter son projet de loi mardi, mais le ministre a rejeté tout «compromis de façade» pour «rallier des voix».
Libé - Loi Macron: match en vue sur le volet social
Tout le monde attend le match gouvernement-frondeurs qui devrait se jouer ce week-end sur les bancs de l’Assemblée nationale. En jeu, les discussions sur le volet social du projet de loi pour l’activité, la croissance et l’égalité des chances économiques du ministre de l’Économie, Emmanuel Macron. Réforme des licenciements collectifs, allégement des sanctions applicables en cas d’entrave au fonctionnement des institutions représentatives du personnel, réforme prud’homale et mise en place d’un barème des indemnités de licenciement: les sujets de désaccord s’annoncent nombreux avant le vote global, mardi après-midi. Sans oublier l’enjeu du travail dominical qui divise la majorité.
Libé - Loi Macron : les frondeurs réduits à suivre le mouvement
Malgré des interventions visant à attaquer le projet de loi, les députés PS contestataires pèseront peu dans la balance lors du vote.
Libé - La caution de deux «frondeurs» sur le travail dominical
Le chef de file des députés PS, Bruno Le Roux, les appelle ses «super-héros». Sa «carte maîtresse» pour emporter la pleine adhésion des socialistes lors du vote du projet de loi Macron le 17 février. C’est que Stéphane Travert et Denys Robiliard, rapporteurs thématiques des deux chapitres du texte les plus polémiques à gauche - l’ouverture des commerces le dimanche et la réforme du droit de licenciement économique -, sont étiquetés «frondeurs».
FranceTVinfo - Loi Macron : feu vert au travail du dimanche
En France, le texte sur le travail du dimanche va être assoupli et étendu. L'article du projet de loi Macron a été voté par les députés ce samedi 14 février.
Le Parisien - Les ministres bâillonnés pour le congrès du PS
Pour éviter les couacs, Matignon a donné l'ordre aux ministres de ne pas signer de contribution en vue du congrès du PS, en juin. Des consignes qui agacent.
Le Parisien - PS : le coup de force de Cambadélis
Jean-Christophe Cambadélis fait plus que jamais figure de favori pour garder la tête du PS. L'actuel patron des socialistes dévoile ce matin la liste de ses soutiens en vue du congrès prévu en juin à Poitiers (Vienne). Selon nos informations, pas moins de 270 parlementaires le rejoignent.
12, 13 et 14 février
Boursier.com - Les cotes de François Hollande et Manuel Valls retombent
Un mois après les attentats de Paris, François Hollande et Manuel Valls perdent respectivement 5 et 6 points dans le baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio.
L'Express - Le régime des intermittents introduit dans la loi au printemps
Paris, 11 fév 2015 - Le Premier ministre Manuel Valls a précisé mercredi que le régime spécifique des intermittents du spectacle serait inscrit dans la loi "rapidement, dès la mi-2015", probablement dans le projet de loi de modernisation du dialogue social présenté au printemps.
Le Lab - Quand Hollande, Moscovici et Pellerin faisaient l’école buissonnière à la Cour des comptes
La Cour des comptes dévoile ce mercredi 11 février son traditionnel rapport public annuel, diagnostic redouté de la gestion de la dépense publique en France. L’occasion de se pencher sur les jeunes années passées à la Cour des comptes par François Hollande et d’autres figures de la majorité issues de l’institution fondée par Napoléon Ier.
Les Echos - Départementales : dans les Bouches-du-Rhône, Guérini mène toujours le bal à gauche
L’ex-homme fort du Parti socialiste, qui n’a pas perdu son influence sur la gauche départementale, se présente à Marseille.RECONVERSION BIS - Selon l’AFP, l’ancien ministre de l’Economie et du Redressement productif va donner des cours de macroéconomie à Princeton, une prestigieuse université américaine du New Jersey du 16 au 26 février.Le Monde - Les députés ne pourront plus acheter leur permanence avec leur indemnité
Un pas de plus vers le contrôle. Mercredi 18 février, en recevant le rapport des députés-questeurs en charge des finances du Palais-Bourbon, le bureau de l’Assemblée nationale devrait prendre une décision radicale concernant l’IRFM, cette « indemnité représentative de frais de mandat » dont dispose chaque député. D’un montant de 5 770 euros bruts mensuels, elle s’ajoute à la rémunération nette des élus et est régulièrement l’objet de critiques et de polémiques car elle n’est soumise à aucun contrôle et non imposable. Plusieurs députés se sont déjà fait attraper la main dans le sac, utilisant cette somme normalement réservée à leurs frais professionnels pour des cadeaux ou des voyages personnels. Si le président (PS) de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, a déjà fait baisser de 10 % cette indemnité dès le mois de juin 2012, des anomalies persistent dans son utilisation.L'Express - Congrès du PS: qui défiera vraiment Jean-Christophe Cambadélis?
Par la pluie de textes déposés en amont du Congrès du PS, les socialistes manifestent plus leur envie de débat que de changement de tête. Mais si les départementales se passaient mal, qui pourrait monter au créneau pour briguer le poste de premier secrétaire du parti?
11 février
Le Dauphiné Libéré - Jean-Christophe Cambadélis : « Il y a un risque d’éclatement du PS»
Dans une interview à paraître demain dans notre journal, Jean-Christophe Cambadélis n’exclut pas le risque d’éclatement du parti socialiste, dont il est le Premier secrétaire
Le JDD - Trois ministres se risquent aux départementales
Peu de membres du gouvernement mèneront campagne. Cinq d’entre eux ont un mandat départemental, mais seuls Patrick Kanner, André Vallini et Ségolène Neuville se représentent.
Le Figaro - À Marseille, Manuel Valls tourne la page des attentats
Le déplacement de deux jours du premier ministre dans la Cité phocéenne s'est déroulé dans une ambiance tendue, bien loin de l'état d'esprit des manifestations du 11 janvier.
L'Obs - Barbier devant les députés PS: "cette victoire est collective"
Le socialiste Frédéric Barbier, qui a remporté dimanche face au FN la législative partielle dans le Doubs, a salué mardi devant les députés de son groupe une "victoire collective", a constaté une journaliste de l'AFP.
L'Express - Congrès du PS: à quoi joue Martine Aubry avec sa contribution?
Martine Aubry n'a pas signé la contribution de Jean-Christophe Cambadélis, en amont du Congrès de Poitiers. Pire: la maire de Lille a déposé sa propre contribution. Mais elle n'en est pas encore à vouloir reprendre la tête du PS.Le JDD - Karine Berger : "La gauche a le devoir absolu de réhabiliter l'impôt citoyen"INTERVIEW – La députée socialiste, Karine Berger, se dit "choquée" par l'affaire des Swissleaks, qui met en lumière un vaste système de fraude fiscale via la banque HSBC. Membre de la commission des finances de l'Assemblée nationale et secrétaire national du PS à l'Economie, elle redoute les conséquences de ce nouveau scandale.
10 février
Le Figaro - Sondage : après l'embellie post-Charlie Hebdo, François Hollande replonge
La hausse spectaculaire du président de la République dans les sondages aura été de courte durée selon le baromètre Ipsos-Le Point.
Le Monde - Quand Jean-Christophe Cambadélis cible Bruno Le Maire
Bruno le Maire, l’homme le « plus dangereux » à l’UMP ? C’est en tout cas l’avis de Jean-Christophe Cambadélis, numéro un du PS. Dimanche, sur Radio J, le premier secrétaire, au lendemain du conseil national de l’UMP, a également estimé que Nicolas Sarkozy « fait flop », Alain Juppé « fait toc ».C'est devenu un classique, à droite, pour justifier une défaite ou évoquer une bataille électorale impliquant le FN et le PS : les renvoyer dos à dos. C'est ce qu'a fait Brice Hortefeux, ancien ministre de Nicolas Sarkozy, à propos de l'élection partielle du Doubs, remportée sur le fil par le PS.Le Monde - Travail le dimanche : Hidalgo conditionne son soutien aux nouvelles zones
La maire de Paris, Anne Hidalgo (PS), s'est dite ouverte, lundi 9 février, à la création de zones touristiques internationales à Paris, prévues par le volet sur le travail du dimanche de la loi Macron. L'édile a cependant conditionné ce soutien à la condition que le dernier mot revienne aux élus locaux plutôt qu'à l'Etat.Le Point - Législative dans le Doubs : le PS l'emporte d'une courte tête
Le socialiste Frédéric Barbier est élu : il obtient 51,43 % des voix contre 48,57 % à la candidate du Front national Sophie Montel.
Le Parisien - Législative dans le Doubs : Frédéric Barbier (PS), le discret laboureur
... Frédéric Barbier, 54 ans, cadre d'Electricité réseau distribution France (ERDF), est un homme de terroir d'un naturel prudent. Vice-président du conseil général du Doubs depuis 2011, cet enfant du pays (il est né à Audincourt et a grandi à Pont-de-Roide, dont il a été premier adjoint au maire) est propulsé au Palais-Bourbon en 2012 en tant que suppléant de Pierre Moscovici, nommé ministre de l'Economie.
9 février
Marianne - PS : à l'approche du congrès, alerte au tripatouillage !
Le PS réunit son Conseil national ce samedi. A cinq mois du prochain congrès, la tension monte d'un cran entre les différentes sensibilités du parti. En cause, le flou artistique qui règne autour du nombre exact d'adhérents ainsi que des suspicions de "ménages de printemps" qui seraient en cours au sein de certaines fédérations. Entre la direction et l'aile gauche, c'est désormais à couteaux tirés...L'Obs - Le Foll pointe une "radicalisation de droite" de la nouvelle génération UMP
Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement, a pointé dimanche "une nouvelle génération" à l'UMP positionnée "sur une radicalisation de droite", citant Laurent Wauquiez et Bruno Le Maire.
Même s'il ne met pas "sur le même plan" l’État hébreu et Daech, Jean-Christophe Cambadélis, numéro un du PS, a déploré dimanche 08 février que l'on assimile les juifs à Israël et les musulmans à l'organisation État islamique.
ÉCLAIRAGE - Le parti se lance dans une longue campagne afin que ses militants désignent leur prochain premier secrétaire.Pour le numéro un du PS, Nicolas Sarkozy "fait flop", Alain Juppé "fait toc", et le "plus dangereux" à l'UMP, c'est Bruno le Maire. -
Dissuasion nucléaire: "Il ne saurait être question de baisser la garde", prévient Hollande
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La rechute de François Hollande par Europe1fr