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laurent baumel

  • Intervention de Laurent Baumel au Conseil National du Parti Socialiste du 13 octobre 2018

  • Laurent Baumel, coordinateur du programme d'Arnaud Montebourg, était sur RMC dans Bourdin Direct

  • France Inter, Le téléphone sonne : Et maintenant la gauche?

    ....  A gauche, historique mais pour d’autres raisons : la bataille entre un premier ministre et le président de la République, bataille de plus en plus ouverte avec un parfum de crise de régime. Et ce n’est pas la seule question qui se pose à la gauche : nom et nombre définitif de candidats, participer ou non à la primaire, ligne politique, tous ces sujets sont encore très largement ouverts. Vos questions, vos analyses dans le Téléphone Sonne de France Inter !

    Avec Laurent Baumel, Brice teinturier et Laurent Bouvet

    Lire et écouter la suite
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  • Emmanuel Macron, une candidature annoncée mercredi: pourquoi se déclare-t-il le 16 novembre ?

  • L'actualité des socialistes du 1er au 14 juillet (revue de presse bi-mensuelle.... en été)

    A LA UNE
     
    Promenade des anglais, Nice, Marc Chagallpierre-emmanuel guigo,rocard,macron,valls,hollande,cambadelis,benoit hamon,christian paul,laurent baumel,ps,parti socialiste,politique,actualite
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    C’est un texte important, capital même, que nous publions ci-dessous. Il a pour objectif de faire entendre la voix de cette majorité dite "de culture musulmane", qui rejette l’islamisme et revendique la laïcité et l’universalisme. Contrainte au silence par la menace, les pressions, les compromissions, elle veut aujourd’hui réaffirmer son existence et ses convictions auprès des pouvoirs publics, des politiques, de l’opinion. Ce que pensent les personnes qui ont signé et signeront cet appel est aujourd’hui systématiquement nié, non seulement par les islamistes mais aussi par leurs complices conscients ou inconscients. A "Marianne", nous considérons comme nos compagnons de route les plus exposés de ces femmes et de ces hommes de parole. Nous savons que, dans leur sillage, s’inscrit la multitude des âmes libres. A l’heure des tragédies qui menacent nos valeurs, l’écouter constitue une urgence vitale...
     
    La France gangrenée par l’islamisme, Par André GERIN, Député-maire honoraire de Vénissieux,Septembre 2015
     
    En 2007, j’écrivais un livre intitulé « les ghettos de la République » dans lequel j’ai voulu dépeindre la réalité d’une situation que je connais bien. J’y racontais sans fards, la vie des quartiers au quotidien, j’y décrivais la violence, l’économie parallèle, la place prise par les fondamentalistes musulmans, les difficultés d’intégration et la misère. Depuis, c’est la société dans son ensemble qui s’est beaucoup dégradée comme si nous n’étions plus capables de répondre aux défis de l’intégration. Allons-nous laisser l’islamisme et le Front national remplir ce vide, pour notre avenir et pour notre pays ? C’est l’équation historique à laquelle nous devons répondre.

    ANALYSES

    David Chopin - Non, la social-démocratie n’est pas l’accord d’entreprise…

    Prenons le temps de la réflexion et du long terme pour comprendre la véritable signification de la « Loi Travail ». Les débats se sont achevés hier, avec l’utilisation de l’article 49.3. Ce texte est un ensemble (trop) touffu de dispositions, dont la rédaction de l’article 2 a finalement fait l’objet du plus de polémiques. Gageons qu’il ne va pas, à lui seul, créer « l’inversion de la hiérarchie des normes ». Mais il participe à un mouvement de fond de la forme iconoclaste de la social-démocratie à la française.
     
     
    Adeptes du 49.3 à l’Assemblée, les dirigeants socialistes ne semblent pas plus apprécier le débat au sein de leur propre parti. Un constat confirmé par l’annulation de l’université d’été par Jean-Christophe Cambadélis ? Entretien avec Rémi Lefebvre.

    Rémi Lefebvre est professeur de sciences politiques à l’université de Lille 2, et chercheur au CERAPS. Spécialiste du Parti socialiste, il décrit son « autodestruction » en cours.

    Télérama - Yves Sintomer : “La démocratie devient un spectacle, pendant que l'essentiel se déroule en coulisses”

    Professeur de science politique à Paris 8, Yves Sintomer interroge notre système démocratique actuel, où citoyens et élus n'ont plus prise sur les décisions importantes. Et avertit : si on ne redonne pas du pouvoir au peuple, on court à la catastrophe.

    FRONDEURS

     
    Député socialiste d’Indre-et-Loire, Laurent Baumel s’est « démené », mercredi 6 juillet, pour déposer une motion de censure contre le gouvernement sur le projet de loi travail. En vain.

    Comme lors du premier 49.3, au mois de mai, vous n’êtes donc pas parvenu à déposer une motion de censure de gauche. Comment cela se fait-il qu’une fois encore, vous n’ayez que 56 signataires, au lieu des 58 requis ?

    Nous avons gagné des voix par rapport à la première fois, mais nous en avons aussi perdues. Il y a eu quatre « entrants » et quatre « sortants ». Yann Galut [PS, Cher] n’a, par exemple, pas signé cette fois car il se situe déjà dans l’après, la primaire, dans laquelle il veut soutenir un autre candidat que François Hollande. Il ne voit pas l’intérêt de cet acte symbolique sans effet concret. Il est sur un autre raisonnement politique et stratégique. Tout comme Karine Berger [PS, Hautes-Alpes] qui, comme lui, appelle pourtant à la démission de Manuel Valls. Mais je n’en veux à personne.

     
    Rupture de ban au PS. Le député du Gard Patrice Prat a annoncé mardi 12 juillet sa décision de quitter le Parti socialiste et le groupe socialiste à l’Assemblée nationale.

    L’élu, proche d’Arnaud Montebourg, explique sur son site vouloir être « cohérent sur toute la ligne » après avoir signé, à deux reprises, en mai et en juillet, des projets de motion de censure du gouvernement.

    Le Monde, Les décodeurs - Après la loi travail et les 49.3, qui sont les frondeurs de la majorité PS ?

    Depuis l'arrivée de Manuel Valls à Matignon, ils sont le poil à gratter de la majorité. Les « frondeurs », tantôt une poignée, tantôt une centaine, mettent en garde le couple exécutif contre une dérive trop social-libérale.

    Qui sont-ils ? Vote après vote, sorties médiatiques après coups d'éclat, forment-ils un groupe cohérent ou une nébuleuse à géométrie variable ?

    Après l'échec de la deuxième tentative de « motion de censure de la gauche » contre la loi travail, Les Décodeurs font le bilan, en visualisant le rapport de force, au travers de onze grands événements en forme de plébiscite ou de motion de défiance.

    Chaque bulle représente un député socialiste. En cliquant dessus, vous pouvez la mettre en évidence pour la suivre plus aisément. A l'aide du menu, parcourez les événements pour voir évoluer le rapport de force entre les loyalistes et les frondeurs.

    BUDGET

     
    Après une baisse continue depuis 2013, les dépenses de l’Etat devraient repartir à la hausse en 2017. Dans ce dernier budget du quinquennat avant l’élection présidentielle, elles s’élèveront à 388,5 milliards d’euros (hors charge de la dette et pensions), contre 385,9 milliards d’euros en loi de finances initiale en 2016, le gouvernement ayant décidé de dégager 7 milliards d’euros supplémentaires en faveur des trois secteurs considérés comme prioritaires : sécurité et justice, éducation et emploi.
     
    FRANCE
     
     
    Les dernières élections, aussi bien nationales que départementales et régionales, ont montré combien les fractures territoriales étaient devenues un enjeu majeur. Un document publié jeudi 7 juillet par France Stratégie, l’organisme de réflexion et d’expertise rattaché au ­premier ministre, montre que les inégalités territoriales se sont creusées entre 2000 et 2013. Les métropoles, Paris en particulier, concentrent l’activité à haute valeur ajoutée et les populations qualifiées. Le Nord-Est et le Centre ont notamment décroché par rapport au reste du pays. Les villes moyennes et les territoires peu denses se fragilisent.
     
    BAP
     
     
    INTERVIEW - Selon Jean-Michel Baylet, ministre et ancien président du PRG, "le pacte fondateur" de la Belle Alliance populaire "est rompu".
     
    PS
     
    11 juillet 2016

    Ce week-end, l’Université d’été de la fédération socialiste des Pyrénées-Atlantiques a été violemment interrompue par des militants souhaitant empêcher son bon déroulement.

    MACRON

    Le Monde - Macron prend le large, Hollande reste impassible
    Emmanuel Macron n’a plus de limites. Le ministre de l’économie s’est appliqué à le démontrer dans un discours de plus d’une heure, prononcé mardi 12 juillet à l’occasion du premier meeting de son mouvement En Marche ! « Ce mouvement, rien ne peut plus l’arrêter (…) Nous le porterons jusqu’en 2017 et jusqu’à la victoire », a-t-il conclu sous les applaudissements et les « Macron président ».

    M. Macron n’a pas fait là que confirmer sa stratégie des derniers mois – l’affichage d’une offre politique innovante au-delà des clivages partisans. Il s’est offert, aussi, une démonstration de force, celle d’« un rassemblement large, fort, volontaire, de toutes celles et ceux qui veulent juste changer le pays ». Et, surtout, il a affirmé, sans vergogne mais sans toutefois jamais mordre formellement le trait, une ambition, la volonté de « commencer à écrire une nouvelle histoire ». La sienne.

    Boursier.com - Manuel Valls sonne la charge contre Emmanuel Macron

    PARIS (Reuters) - Manuel Valls a ouvertement déclaré la guerre à Emmanuel Macron mercredi, au lendemain du meeting parisien du ministre de l'Economie, en l'accusant de "céder aux sirènes du populisme" et de dénigrer un "système" dont il est le "produit".

    Le Figaro - Macron fait un pas supplémentaire vers 2017

    Le ministre a tenu son premier meeting parisien mardi soir. Il a assuré vouloir porter son mouvement «jusqu'à la victoire».

    Emmanuel Macron a franchi un pas vers la présidentielle. Assez petit pour ne pas franchir la ligne rouge. Suffisant pour rendre sa situation vite intenable au gouvernement… Avec un certain talent, le ministre de l'Économie a entraîné la Mutualité jusqu'aux frontières de la rupture. «Imaginez où nous serons dans trois mois ; dans six mois ; dans un an!» a-t-il lancé aux militants de son mouvement En marche!, attisant leur envie d'en découdre. Des «Macron président!» ont d'ailleurs fusé dans l'assemblée.

    La Tribune - Valls et Macron : c'est la lutte finale !

    A la veille de l'interview télévisée du président de la République du 14 juillet, Manuel Valls et Emmanuel Macron ne prennent plus de gants. Le Premier ministre veut la tête de son ministre de l'Economie, dont il dénonce le positionnement « antisystème ». Le président du mouvement en Marche agace ses collègues par ses ambiguïtés calculées, mais ménage François Hollande. Pas sûr que le chef de l'Etat sonne demain la fin de la partie tant la guerre sans merci entre ses deux dauphins le sert... pour l'instant.

    ROCARD
     
    Par Timothée Duverger, chargé de cours à l’Institut d’études politiques de Bordeaux

    Dans ses mémoires publiés en 2010, Si ça vous amuse. Chronique de mes faits et méfaits (J’ai lu, réédition, 2014), Michel Rocard raconte avoir donné « comme ministre […] un puissant coup d’accélérateur à l’économie sociale ».

    Il n’est pas rare que de tels récits soient autant des reconstructions de la réalité historique que des justifications des décisions prises. Rien de tout cela avec Michel Rocard. Il y apporte un témoignage précis et éclairant sur la décennie 1974-1983 qui l’a conduit de l’utopie autogestionnaire à l’institutionnalisation de l’économie sociale.

    Libé - Rocard l’intellectuel, Par Pierre-Emmanuel Guigo, enseignant à Sciences-Po Paris, responsable de l'Association Michel-Rocard et auteur d’une thèse sur la communication de Michel Rocard

    Auteur de plus de quarante livres, l’ex-Premier ministre s’entretenait régulièrement avec le philosophe Paul Ricœur. A la passion mitterrandienne, le père de la «deuxième gauche» répondait par la rigueur intellectuelle. Il voulait convaincre plus que persuader.

    Le Monde - Michel Rocard, un esprit réaliste, voulant réconcilier la gauche et l’économie

    Dans Le Monde, Daniel Cohen, président du Conseil d'orientation scientifique de la Fondation Jean-Jaurès, et Gilles Finchelstein, son directeur général, reviennent sur le parcours et la personnalité de Michel Rocard.

    Michel Rocard est mort. C’est la vie politique française tout entière qui est en deuil. Il ne s’agit pas, ici, à chaud, de dresser un bilan: le recul est trop court, la place trop limitée, le chagrin trop présent. Il faut essayer, simplement, de commencer à prendre la mesure de la richesse et, surtout, de l’actualité de cet homme. Il faut tenter de penser ce que, avec lui, la « deuxième gauche » a apporté à la gauche et à la France.

    Libé, L.Joffrin - Michel Rocard, un homme moderne

    Pionnier de la social-démocratie, mentor d’une génération de socialistes, l’ancien Premier ministre au phrasé caractéristique est mort samedi à 85 ans des suites d’un cancer. Il laisse des réformes essentielles et un sens aigu de la morale en politique.

    L'Express - La dernière interview de Michel Rocard, un testament politique

    Le 23 juin dernier, Michel Rocard se confiait aux journalistes du Point. Une dernière intervention médiatique qui sonne comme un testament politique, ce dimanche, au lendemain de sa mort.

    Le Point - Michel Rocard : sa toute dernière interview

    VIDÉO. L'ancien Premier ministre nous avait accordé le 8 juin dernier un entretien-fleuve. Un testament politique qui prend tout son sens aujourd'hui

    L'Obs - Économie : ce que Michel Rocard a apporté à la gauche et au Parti socialiste

    LE PLUS. Michel Rocard, mort samedi 2 juillet à l'âge de 85 ans, était une figure marquante de la politique française. Premier ministre de 1988 à 1991, théoricien de la "deuxième gauche", il avait fait de l'économie l'un de ses sujets de prédilection. Qu'a-t-il apporté à la gauche en la matière ? Éclairage de l'historien Mathieu Fulla, auteur de "Les socialistes français et l'économie (1944-1981)".

  • Baumel: “Nous sommes plus fidèles aux valeurs du Parti socialiste que les gens qui dirigent la France”

    Les députés de gauche ont échoué mercredi à déposer une motion de censure après l’utilisation du 49.3 par Manuel Valls pour faire adopter la loi Travail. Malgré cet échec, le député socialiste frondeur Laurent Baumel estime qu’il fallait faire un geste, même symbolique, pour signifier la rupture entre la majorité au gouvernement et le reste du parti.


    Baumel: “Nous sommes plus fidèles aux valeurs... par BFMTV

  • L'actualité des socialistes du 10 au 16 juin (revue de presse hebdomadaire)

    PRIMAIRE
     
     
    Souvent raillé jusque dans son propre camp, présenté comme un pur produit de l'appareil socialiste, le premier secrétaire est en passe de se sortir du bourbier de la primaire.
     
     
    Le conseil national du parti socialiste a approuvé samedi 18 juin, à l’unanimité, l’organisation en janvier 2017 d’une primaire ouverte à « la gauche de gouvernement », après une proposition de son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis. Ce dernier souhaite donner une suite à la « Belle Alliance populaire » créée en juin 2015 après le congrès socialiste de Poitiers. Celle-ci rassemble le PS, le Parti radical de gauche (PRG) et les écologistes pro-gouvernement.
     
     
    A l'heure actuelle, la seule socialiste candidate  est Marie Noelle Lienemann. Une frondeuse, pas vraiment pro-gouvernement donc. 

    "C'est une bonne avancée (...) On vit une crise politique majeure qui exige d'avoir un candidat de la gauche capable de rassembler"

    Marie Noelle Lienemann

    Un coup de pression sur les autres formations de gauche, pour qu'elles participent à cette primaire, espère le député frondeur Jérôme Guedj, membre du Bureau national du PS. 

    Le député socialiste frondeur Jérôme Guedj

    Le Point - Primaire du PS : Christian Paul salue une "avancée" tout en restant pruden

    Malgré l'annonce de ce débat ouvert, le chef de file des frondeurs demande que cette élection soit irréversible, loyale et ouverte.
     

    Libération publie ce jour une interview de Jean-Christophe Cambadélis que vous pouvez retrouver en cliquant ici ou lire dans son intégralité ci-dessous.

    Le premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, défendra ce samedi lors du conseil national du Parti socialiste un vote de désignation du candidat à la présidentielle, François Hollande compris.

     
    Libé - La primaire citoyenne que la gauche attend Par le collectif «les Jeunes avec Arnaud Montebourg»
     
    Pour «les Jeunes avec Arnaud Montebourg», la primaire est la condition sine qua non pour que les valeurs de gauche soient présentes au second tour de l'élection présidentielle.
     
     
    Tour à tour réclamée, promise, puis déclinée, la primaire à gauche n'aura vraisemblablement pas lieu. Retour sur un enterrement programmé.

    Le programme paraît bien vague. Le conseil national du PS, qui se réunit samedi 18 juin, doit plancher sur le "suivi de l'organisation et du calendrier des primaires de la gauche et des écologistes". Mais comment suivre l'organisation et le calendrier d'un scrutin dont la tenue est plus qu'incertaine ?

     
    Le premier secrétaire du PS annonce à «Libération» que son parti organisera une primaire en vue de la présidentielle de 2017 avec (ou sans) l'ensemble de la gauche. Il dit souhaiter que François Hollande y participe.
     
     
    Le premier secrétaire du Parti socialiste a pris position. Après plusieurs mois de suspense, Jean-Christophe Cambadélis va proposer samedi 18 juin aux socialistes, en plein accord avec le président François Hollande, l'organisation, fin janvier, d'une primaire de la gauche de gouvernement en vue de 2017.
     
     
    Des militants socialistes assignent leur parti en justice pour l’obliger à organiser une primaire, avant la présidentielle. Les Verts et le PC ne veulent plus s’allier avec le PS. C’est le début de la fin ?

    BFMTV - Cambadélis préférerait "des primaires de toute la gauche à des primaires rabougries"

    Le premier secrétaire du Parti socialiste a appelé dimanche le Parti communiste français et Europe Écologie-Les Verts à la raison, plaidant pour des primaires à gauche.

    ANALYSES
     

    17 juin 2016 - Pour réduire les inégalités face à l’emploi, il faut mieux former les jeunes et sanctionner l’abus de recours aux contrats précaires. Rendre l’emploi encore plus flexible n’est pas la bonne solution. Par Denis Clerc, économiste, fondateur du magazine Alternatives économiques. Extrait de l’ouvrage « Que faire contre les inégalités ? 30 experts s’engagent ».

    EUROPE
     
    Pour neuf responsables socialistes européens, c'est le moment ou jamais de donner un coup d'accélérateur au projet, exhortant les gouvernements à placer l'intérêt des citoyens au-dessus de celui de la finance.
     
    FRONDEURS

    Libé - Les frondeurs lancent la consultation «marathon»

    Avant le retour du projet de loi travail à l'Assemblée, députés socialistes, écologistes et communistes opposés au texte veulent démontrer qu'un «compromis est possible»

    Le Figaro - La Haute autorité éthique du PS ouvre la voie à des sanctions contre les frondeurs

    Le 12 mai dernier, la direction du PS avait promis des suites à la tentative ratée des députés frondeurs de déposer une motion de censure contre le gouvernement, deux jours plus tôt. Jean-Christophe Cambadélis a donc saisi la Haute autorité éthique (HAE) du PS pour statuer quant à de possibles sanctions, qui viseraient les 26 députés de la majorité qui avaient signé la motion, aux côtés de trente autres parlementaires de gauche. L'instance éthique a rendu ce lundi matin son avis et ouvre la voie à des «conséquences».

    Le Figaro - Loi travail : la diplomatie parallèle des frondeurs auprès des syndicats

    L'examen du projet de loi travail se poursuit ce mardi, alors que la France connaît une nouvelle journée de mobilisation syndicale. Si le gouvernement a fermé la porte à tout nouvel ajustement sur le texte, les négociations en coulisses continuent. Soucieux de ne pas apparaître comme des éléments bloquants sans proposition constructive, les frondeurs du PS, associés à plusieurs signataires de la motion de censure de gauche avortée en mai dernier, entendent bien démontrer que des évolutions restent possibles sur le texte. Objectif: renvoyer dans le camp du gouvernement l'accusation de «jusqu'auboutisme» régulièrement portée à l'encontre des opposants à la loi travail.

    Le Figaro - Règlements de comptes au PS après le coup de pression des frondeurs

    «Je ne souhaite pas m'associer à ceux qui défendent un tel programme. (…) Je m'oppose, aussi, et même encore plus, au risque de retour de la gauche au pouvoir». Ce lapsus, lâché ce jeudi matin par Christian Paul sur BFM-TV, traduit un état de tension persistant au sein de la majorité. L'échec de la motion de censure de gauche à deux signatures près ce mercredi à l'Assemblée, ne semble pas avoir calmé les esprits au Parti socialiste, toujours déchiré par les débats sur la loi Travail. Les frondeurs ne désarment pas et se préparent déjà à la suite des hostilités, alors que les soutiens de l'exécutif dénoncent le franchissement d'une «ligne rouge».

    LOI TRAVAIL

    Marianne - Loi Travail : le dalaï-Macron joue le contraste avec le caporal Valls

    Invité ce vendredi 17 juin sur la matinale de RTL, le ministre de l'Economie a prononcé des paroles apaisantes envers la CGT, qui contrastent avec le ton martial adopté cette semaine par Manuel Valls. Macron métamorphosé ? Ou pas…

    Le Lab - Manuel Valls ne fait pas de différence entre des manifestants anti-Loi Travail et les casseurs

    Le Parti socialiste se divise en deux catégories : ceux qui font une différence entre casseurs et manifestants contre la Loi Travail et ceux qui n'en font pas. Sans trop s'avancer, on peut considérer que Manuel Valls appartient vraisemblablement à la deuxième catégorie.

    En cette journée de mobilisation contre la loi El Khomri, Romain Colas se dit favorable à une négociation sur l'article 2, autour duquel se focalise désormais le conflit. Alors que la loi travail fera l'objet d'un vote au sénat le 28 juin, c'est un autre texte qui mobilise le député PS. Rapporteur de la loi Sapin II, il défend la convention judiciaire d'interêt public pour les faits de corruption et le dispositif rendant public les données financières et commerciales des multinationales. Membre d'une gauche fracturée, il estime que ce texte peut réunir sa famille politique.
     
    HULOT
     
     
    Son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, se dit "prêt à discuter" avec Nicolas Hulot. Il rend Cécile Duflot responsable de la "décomposition" d'Europe Ecologie-Les Verts .
     
    MACRON
     
     
    Déjà fini, la stratosphère sondagière pour Emmanuel Macron ! Selon le dernier baromètre Ifop-Fiducial pour "Paris Match" et Sud-Radio, les Français commencent à se lasser sérieusement du ministre de l'Economie. Et du côté de son tout jeune mouvement "En marche", les donateurs se font de plus en plus rares. Macron ne fait plus rêver, de quoi ravir chez Manuel Valls.
     
     
    PARTIELLE

    Le Figaro - Départementale partielle au Mans : le PS battu par un tandem EELV-PCF

    L'écart est infime mais le symbole est là. Avec 17 voix d'avance, un tandem EELV-PCF a remporté dimanche, au second tour, une élection départementale partielle dans la Sarthe, face à un autre binôme de gauche formé de socialistes. Elen Debost (EELV) et Gilles Leproust, maire PCF d'Allonnes, (1.664 voix, soit 50,26%) ont gagné cette partielle, dans le canton du Mans 7, organisé après l'annulation par le Conseil d'Etat, en mars 2016, du précédent scrutin qui avait vu la victoire des deux socialistes qui se représentaient.

    PS (communiqués)

    Loi Sapin 2 : hisser la France aux meilleurs standards internationaux de transparence et de lutte contre la corruption

    Le Parti socialiste se félicite du vote de la loi portant sur la transparence, la lutte contre la corruption et la modernisation de la vie économique. Sous l’impulsion de Michel Sapin, ministre des finances et des comptes publics, il s’agit d’une grande avancée pour la justice et la démocratie, une loi au service de valeurs que la gauche a toujours défendues.

    Les électorats du FN

    Que signifie voter Marine le Pen aujourd’hui ? Quels électorats attire-t-elle et pourquoi ? La dédiabolisation tant mise en avant par les journalistes et les membres du Front national lui-même a-t-elle eu l’effet escompté ? Son nouveau discours a-t-il convaincu ?

     

  • L'actualité des socialistes du 3 au 9 juin

    A LA UNE

    Le blog de Thomas Piketty - Loi travail : un effroyable gâchis

    Alors que les tensions sociales menacent de bloquer le pays et que le gouvernement s’obstine à refuser le dialogue et le compromis, la loi travail apparaît de plus en plus clairement pour ce qu’elle est : un effroyable gâchis, un de plus au sein d’un quinquennat raté, et peut-être le plus grave. Le gouvernement voudrait nous faire croire qu’il paie le prix d’être réformateur, et qu’il doit se battre seul contre tous les conservatismes. La vérité est toute autre : sur ce sujet comme sur les précédents, le pouvoir en place multiplie les improvisations, les mensonges et les bricolages.

    MONTEBOUG

    Boursorama - Montebourg (PS): sans primaire, 2017 sera "la chronique d'une élimination annoncée"

    L'ancien ministre de l'Economie (PS) Arnaud Montebourg a estimé mercredi que sans primaire à gauche, 2017 sera "la chronique d'une élimination annoncée", et a admis avoir commis des "erreurs" en soutenant François Hollande en 2011 et en aidant Manuel Valls à succéder à Jean-Marc Ayrault à Matignon.

    Le Figaro - Montebourg propose de tirer au sort les sénateurs

    Arnaud Montebourg lance une série de propositions pour bouleverser les institutions. Au programme : réforme du Sénat, limitation du pouvoir de nomination du chef de l'État et responsabilité individuelle des ministres devant l'Assemblée.

    HOLLANDE
     
     
    Le président, qui voulait rassembler à tout prix, a pris acte du fossé qui le sépare désormais des écologistes et des frondeurs du PS. A un an de la présidentielle, il n'a pas d'autre choix que de brandir le drapeau du « réformisme ». Quitte à faire éclater la gauche.
     
    MACRON
     
     
    Le ministre de l’Economie accuse une forte baisse de de popularité chez les Français et notamment les sympathisants de gauche, dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ».

    PS
     
     
    Le premier secrétaire se bat pour préserver l'unité de son parti. Pour cela, il est persuadé de la nécessité d'une candidature présidentielle de François Hollande, l'organisation d'une primaire risquant d'entraîner une dislocation du PS.
     
     
    La recette n’est pas nouvelle, mais le Parti socialiste et le gouvernement ont décidé que le moment était venu de l’utiliser. La défense de la loi Travail, fortement contestée, a fourni le prétexte de cette tentative de contre-feu mise en scène au cours d’un meeting avec quatre protagonistes : Manuel Valls, Myriam El Khomri, Stéphane Le Foll et Jean-Christophe Cambadélis.
     
     
    Lors d’un meeting qui s’est tenu mercredi soir à Paris, les quatre orateurs - Valls, Le Foll, El Khomri et Cambadélis - ont voulu remobiliser leur camp avant l’examen du texte au Sénat et son retour à l’Assemblée nationale en juillet.
  • L'actualité des socialistes du 27 mai au 2 juin (revue de presse hebdomadaire)

    ANALYSES ET REFLEXIONS

    La Tribune, Romaric Godin - - Quand le FMI critique le néolibéralisme...

    Dans un article signé de trois de ses économistes, le FMI estime que les politiques "néolibérales" ont été "survendues", notamment l'ouverture des marchés de capitaux et les politiques d'austérité. Un tournant ?

    Dans les années 1980, le FMI était le bras armé de la révolution libérale qui avait commencé sous l'influence des penseurs monétaristes lors de la décennie précédente. L'institution promouvait partout où elle allait les mêmes politiques : réduction de la taille de l'Etat, excédents budgétaires, déconstructions des politiques sociales, privatisations massives et ouvertures des marchés. Ces politiques ont même été connues sous le nom de « consensus de Washington » en référence au siège du FMI.

    OFCE Département Analyse et prévision (Equipe France)- Chômage : ça va (un peu) mieux

    Les chiffres du chômage du mois d’avril 2016 publiés par Pôle Emploi font apparaître, après la baisse exceptionnelle enregistrée au mois de mars (–60000), une nouvelle baisse du nombre de demandeurs d’emploi n’exerçant aucune activité (catégorie A) de 19 900 personnes en France métropolitaine[1]. Ces deux mois de baisse consécutifs interviennent après une séquence d’alternance de baisses et de hausses mensuelles depuis le mois d’août 2015. Les statistiques mensuelles des demandeurs d’emplois sont habituellement volatiles, mais il n’en reste pas moins que l’inflexion de la trajectoire est perceptible. En 3 mois cette baisse est de 41 500. Elle se monte à 22 500 sur un an, soit la première baisse observée depuis le mois de septembre 2008, mois de la faillite de la banque Lehman Brothers (cf. graphique).

    Observatoire des inégalités - Les inégalités de salaires hommes-femmes : état des lieux

    27 mai 2016 - Tous temps de travail confondus, les hommes gagnent 23,5 % de plus que les femmes. Près de 11 % des écarts de salaires entre les deux sexes sont inexpliqués et relèvent d’une discrimination « pure ».

    Le salaire mensuel net moyen des hommes est de 2 389 euros pour un équivalent temps plein en 2013, celui des femmes de 1 934 euros, soit un écart de 455 euros, presque un demi Smic. Les hommes perçoivent donc, en moyenne, un salaire supérieur de 23,5 % (en équivalent temps plein [1]) à celui des femmes. Ou, ce qui revient au même, les femmes touchent en moyenne 81 % du salaire des hommes (1934 divisé par 2389), ou ont un salaire inférieur de 19 % (voir plus bas notre encadré méthodologique sur la façon de mesurer l’écart).

    PRIMAIRE

    Le Figaro - La Haute Autorité du PS n'a «aucun doute» sur la tenue de la primaire

    Voilà qui devrait rassurer les militants... Il n'y a, selon la Haute Autorité éthique (HAE) du Parti socialiste, «aucune raison de douter» que le candidat à l'élection présidentielle sera désigné, conformément aux statuts du PS, par une «primaire citoyenne». Réclamée par l'aile gauche du parti, la tenue effective du scrutin interne inquiète un trio de militants qui a décidé d'assigner le parti en justice pour le rappeler à ses obligations. L'audience doit avoir lieu le 6 juin prochain.

    LAICITE

    Printemps républicain - Du bon usage de la laïcité (et du Printemps républicain)

    Lors de la création du Printemps Républicain, nous avons posé un certain nombre de principes. Des polémiques récentes, que nous n’avons jamais provoquées mais auxquelles nous avons probablement trop peu répondu, montrent que nous n’avions pas exposé les choses assez clairement. Voici quelques rappels.

    SONDAGES

    François Hollande qui n’en finit pas de baisser, Alain Juppé qui continue de surnager, Nicolas Sarkozy se stabilise et Marine Le Pen qui se consolide : à dix mois de l’élection présidentielle, tels sont les principaux enseignements de la quatrième vague de l’enquête entreprise par le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), en collaboration avec Le Monde et réalisée par Ipsos-Sopra Steria. Cette enquête, commencée en novembre 2015 et prévue jusqu’en juin 2017, repose sur l’interrogation régulière d’un très large échantillon : pour cette quatrième vague, effectuée du 13 au 22 mai, 19 455 personnes ont été interrogées.

    Baromètre Harris Interactive / Délits d’Opinion : temps difficile pour l’exécutif

    1. Délits d’Opinion : François Hollande et Manuel Valls enregistrent une baisse de la confiance à leur égard ce mois-ci. Est-ce un échec de la stratégie de communication du « Ça va mieux ? »

    Jean-Daniel Lévy : Ce qui apparait certain, c’est que  – sur le court terme –cet axe de communication n’a pas d’impact positif sur la confiance exprimée à l’égard de l’exécutif. Avec respectivement 19% (-2) et 22% (-3) des Français leur accordant leur confiance, François Hollande comme Manuel Valls voient leur cotes décliner.

    LOI TRAVAIL

     
    La CGT est-elle en train de changer de stratégie dans son combat frontal contre la loi travail ? La question se pose depuis les déclarations de son secrétaire général, Philippe Martinez, lors d’un débat sur RTL, lundi 30 mai, avec Laurent Berger, le numéro un de la CFDT. Interrogé sur la question de savoir si le retrait du texte est toujours un « préalable » à l’ouverture de discussions avec le gouvernement, M. Martinez a répondu : « Il n’y a aucun préalable. On attend depuis trois mois pour pouvoir discuter ». Il ajoute qu’« une solution acceptable » est cherchée.

     
    Comment qualifier les stratégies des syndicats face à la loi travail ? Quelle est la représentativité des différents acteurs ? Quels sont les traits marquants de la contestation ?Alors que le Sénat a entamé l’examen du projet de loi de réforme du code du travail et que la mobilisation contre ce texte se poursuit, la sociologue Irène Pereira, co-présidente de l’Institut de recherche, étude et formation sur le syndicalisme et les mouvements sociaux (IRESMO) et auteure de Travailler et lutter (L’Harmattan, 2016), a répondu aux questions des internautes du Monde.fr.
     
    HOLLANDE
     
     
    «Il y a des fidélités qui ne sont pas dues au temps qu'il fait.» Frédérique Espagnac, ancienne attachée de presse de François Hollande désormais sénatrice des Pyrénées-Atlantiques, en sait quelque chose. La fidèle du président de la République, invitée de l'Association des journalistes parlementaires, est «persuadée que François Hollande sera réélu». Frédérique Espagnac mise à la fois sur la «capacité de sursaut inattendue» du chef de l'Etat et sur l'embellie des indicateurs économiques pour renverser des sondages en berne. «Nous ne sommes pas nombreux à croire en cette réélection», reconnaît-elle volontiers, de même qu'ils n'étaient «pas nombreux à le soutenir avant 2012».
     
     
    En clôture du 99e congrès des maires de France, François Hollande a annoncé que la baisse des dotations (3,7 milliards d'euros prévus en 2017) sera divisée finalement par deux pour le bloc communal. Pour les communes, ce geste représente une limitation de la baisse à un milliard d'euros au lieu des deux milliards prévus initialement environ.
     
    MACRON
     
     
    C'est en véritable superstar que le ministre a été accueilli. L'hôtel de ville a fait tellement salle comble que des écrans géants ont dû être installés.
     
     
    Selon les informations de Mediapart et du Canard Enchaîné, mardi 31 mai, Emmanuel Macron vient de subir une réévaluation du patrimoine immobilier de son couple qui va le forcer à payer l'Impôt sur la fortune (ISF). D'après le site d'informations, le ministre de l'Économie estimait ne pas être redevable de l'ISF mais les vérifications fiscales déclenchées après sa nomination au gouvernement ont débouché, au terme d'un an et demi de discussions avec l'administration fiscale, sur cette régularisation.
     
    GRECE
     
     
    En refusant de rétablir la dérogation sur le refinancement des banques grecques, la BCE a, ce jeudi, sanctionné une nouvelle volonté de résistance du gouvernement grec. Une décision logique au regard de l'attitude de la BCE depuis le début de la crise hellénique.

    PS

    Le Figaro - Valls, El Khomri, Le Foll et Cambadélis organisent un meeting commun à Paris

    Se serrer les coudes dans la tempête. Alors que la majorité traverse une crise profonde, et que plusieurs initiatives concurrentes ont déjà émergé en vue de 2017, le PS lance mercredi ce qui ressemble à un lancement de campagne présidentielle. Selon nos informations, Jean-Christophe Cambadélis, à la tête de la Belle Alliance Populaire, Stéphane Le Foll, l'instigateur de «Hé oh la gauche», Manuel Valls, qui a récemment initié des rencontres avec les Français, et Myriam El Khomri vont cette fois tenir un meeting sous la même bannière, mercredi 8 juin, au Salon de l'Aveyron dans le 12ème arrondissement de Paris.

    Silicon - Sous la pression de la CNIL, le PS finit par colmater ses fuites

    Il aura fallu lourdement insister pour que le Parti Socialiste daigne colmater une vulnérabilité de son site Web exposant rien moins que les données personnelles de ses adhérents. Le blog Zataz, spécialisé dans la sécurité, raconte comment les responsables du parti ont ignoré ses alertes à répétition. Voici environ 3 semaines, Zataz découvre une faille affectant « un sous-domaine du site Internet du Parti Socialiste ». Un lien vers le sous-dossier « Archives » du site permet d’ouvrir un espace d’administration sur le portail et d’accéder aux données de l’espace adhésion. Là, rangées dans des catégories (en attente de traitement, transmise, non finalisée, effective), figurent les données personnelles des adhérents (noms, prénoms, adresses, montants des cotisations…).

    RTL - Parti socialiste : "Nous ne sommes pas dans la cacophonie mais dans la polyphonie", estime Jean-Christophe Cambadélis

    Emmanuel Macron est-il trop éloigné de la ligne du Parti socialiste ? De nombreux électeurs socialistes dénoncent la position très à droite de l'actuel ministre de l'Économie. Ce dernier refuse de rentrer dans le moule et enchaîne les sorties quitte à créer de nouvelles polémiques. Alors que le trublion du gouvernement a officiellement lancé sa "Grande Marche" samedi 28 mai, ce dernier s'est une nouvelle fois fait remarquer la veille lors d'une visite à Lunel dans l'Hérault.

    Le Parti socialiste salue l’Initiative des autorités françaises pour la paix au Proche-Orient

    Le vendredi 3 juin 2016, s’ouvre à Paris et à l’instigation des autorités françaises « l’Initiative pour la paix au Proche-Orient ». Le Parti socialiste se félicite de cette initiative qui refuse que le processus de paix entre Israël et la Palestine demeure au point mort plus longtemps.

    La rémunération de tous les enseignants revalorisée dès 2017

    Le Parti socialiste se félicite de la hausse de la rémunération des enseignants annoncée par la ministre Najat Vallaud-Belkacem. C’est une nouvelle étape dans la Refondation de l’école engagée depuis quatre ans par le président de la République.

    Elle s’inscrit dans le cadre d’un dialogue social avec les organisations syndicales et fait suite aux annonces récentes du gouvernement relatives à l’alignement de la prime des professeurs des écoles sur celle de leurs collègues du secondaire (1.200 euros par an) et au dégel du point d’indice des fonctionnaires.

  • L'actualité des socialistes du 13 au 19 mai (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    Benoît Hamon à C Politique le 22 mai

    Le Monde - Parti socialiste : que va-t-il advenir des « frondeurs » ?

    Depuis la tentative – et l’échec – du dépôt par des députés de gauche d’une motion de censure du gouvernement le 11 mai, les appels à sanction à l’encontre des vingt-quatre socialistes « frondeurs » pleuvent du côté légitimiste du parti. Ainsi, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement, a souligné « l’incohérence » qu’il y a à critiquer « matin, midi et soir » l’action du gouvernement, « tout en restant au Parti socialiste ».
     
     
    La gauche française vit, alors même qu’elle exerce pour la quatrième fois depuis 1981 le pouvoir d’Etat, un de ces moments de crise aiguë dont elle est coutumière. Nouvel épisode, banal au fond, de la longue et insoluble crise identitaire qui la caractérise diront certains ; ultime soubresaut avant son indispensable refondation diront d’autres. Sans doute un peu des deux risquera-t-on, tant les tensions actuelles qui se manifestent en son sein témoignent d’une accumulation de paradoxes qu’il lui faudra résoudre si elle veut prétendre continuer de jouer un rôle historique dans le devenir du pays.

    ANALYSES ET REFLEXIONS

    Non Fiction - Comment réduire la pauvreté ? (Denis Clerc, Michel Dollé)

    Alors que la France est, en Europe, le pays qui consacre la part la plus importante de son PIB à la protection sociale, elle n’atteint que des résultats moyens en matière de lutte contre la pauvreté et contre le chômage. Plus de 13% de sa population est en situation de pauvreté, soit un « gigantesque gâchis humain » ; et le problème est bien antérieur à la crise des années 2008, nombre de facteurs s’avérant de nature structurelle. Enfin, toute une part des politiques publiques repose sur le fameux trickle down, hypothétique « effet de ruissellement » économique du haut en bas de la société, séduisant sur le papier mais largement inopérant en pratique : « les plus démunis sont souvent ignorés des embellies caractérisées par la création d’emplois et d’activités génératrices de revenus supplémentaires. Dans le meilleur des cas, un petit nombre, composé de ceux qui ont le plus d’atouts ou de chances, parvient à s’accrocher à l’un de ces navires qui monte ». Il y a donc urgence à agir autrement, d’autant que, nous montrent de façon convaincante les auteurs, « réduire la pauvreté » est « un défi à notre portée » par nombre d’adaptations qui n’ont rien de révolutionnaire (l’objectif étant ici, au contraire, de « trouver des voies réalistes » et de ne pas dépenser plus, mais mieux) et relèvent principalement de la lutte contre la pauvreté laborieuse d’une part, et de l’investissement social de l’autre.

    Les premiers mois tumultueux des primaires présidentielles reflètent un moment populiste de la politique américaine. Dans le camp démocrate, le seul sénateur autoproclamé socialiste, Bernie Sanders, a fait montre d’une force surprenante contre l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton, que l’on s’attendait à voir remporter l’investiture démocrate pratiquement sans opposition. Dans le camp républicain, le milliardaire homme d’affaire et de télévision Donald Trump s’est imposé comme le favori parmi une myriade de politiciens, qui comprenait notamment Jeb Bush, ancien gouverneur de Floride et frère du président George W. Bush. Bien qu’il ait récolté plus de 100 millions de dollars pour financer sa campagne, Jeb Bush n’a pas réussi à parler aux électeurs et s’est retiré de la course.
    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/02/26/michael-sandel-la-collusion-entre-les-partis-et-l-argent-fait-le-jeu-des-candidats-protestataires_4872389_3232.html#APOtw2r82VmSqJI3.99

    OFCE - Croître et durer par Hervé Péléraux

    Un environnement macroéconomique toujours favorable à une reprise

    La publication, le 29 avril dernier, d’une croissance de l’économie française de 0,5 % au premier trimestre 2016, en ligne avec nos dernières prévisions, est un signal conjoncturel encourageant. Elle confirme d’abord le changement du régime de croissance engagé à partir de la seconde moitié de 2014, passé de 0,1 % par trimestre en moyenne entre le deuxième trimestre 2011 et le deuxième trimestre 2014 à 0,3 % depuis (graphique). Elle semble ensuite indiquer que la capacité de croissance de l’économie française ne s’est pas éteinte après les crises à répétition survenues depuis 2008 et que l’appareil productif est à même de pouvoir répondre aux sollicitations de la demande intérieure à court terme, notamment en services. Enfin, en atteignant 2,2 % en rythme annualisé, la croissance du premier trimestre 2016 s’est élevée, comme aux deux trimestres précédents (respectivement 1,5 et 1,4 %), au-delà de la croissance potentielle évaluée à 1,3 % l’an selon nos estimations, ce qui pourrait signer une entrée de l’économie française dans une phase de reprise si le rythme d’expansion se maintenait durablement au-dessus de ce seuil.

    SONDAGES

    Qui seront les candidats alignés au premier tour de la présidentielle le 23 avril 2017 ? Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon à part, les représentants des principales forces politiques ne sont pas connus pour l’heure. Si bien que les instituts de sondage, qui tentent de prendre le pouls des électeurs à moins d’un an de l’échéance, doivent s’adapter aux différents scénarios possibles.
     
    MONTEBOUG
     

    L’ancien ministre (PS) de l’économie Arnaud Montebourg a lancé, lundi 16 mai, « un appel » aux Français pour leur « proposer dans les mois qui viennent de construire un grand projet alternatif pour la France ».

    Achevant l’ascension du mont Beuvray (Saône-et-Loire), qu’il fait traditionnellement chaque lundi de Pentecôte, il s’est adressé « aux économistes, aux entrepreneurs et aux syndicalistes, (…) aux citoyens engagés et tout simplement aux Français qui souhaitent peser sur le destin de notre nation et de notre continent ».

    RTL - Présidentielle 2017 : Arnaud Montebourg, la bouffée d'air frais des frondeurs socialistes au Mont-Beuvray

    L'ex-locataire de Bercy fait un pas vers son retour en politique ce lundi 16 mai au Mont Beuvray à l'occasion d'un événement organisé par les frondeurs Christian Paul et Laurent Baumel.

    Libé - Avec Montebourg au mont Beuvray : «C’est bien beau mais comment on fait maintenant ?»

    Lors de la traditionnelle ascension du mont Beuvray, Arnaud Montebourg a précisé son calendrier pour 2017, sans pour autant se déclarer officiellement candidat. Une démarche qui a laissé sceptique certains militants.


    Un pas de plus vers la candidature ? Lundi 16 mai, Arnaud Montebourg doit gravir le mont Beuvray, comme il le fait chaque année. Objectif de cette marche très politique dans le massif du Morvan : avancer un peu plus encore vers une candidature à la prochaine élection présidentielle. Le 8 mai, sur France 2, l’ancien ministre de l’économie était resté sibyllin au sujet de ses intentions réelles pour 2017. « S’il y avait des responsabilités à prendre, je les prendrais », a-t-il déclaré, sans plus de précision. Lundi, au mont Beuvray, il devrait « se mouiller davantage », selon Mathias Nirman, autoentrepreneur de 26 ans et membre du Parti socialiste (PS), à la tête du collectif Les Jeunes avec Arnaud.
     
    CHOMAGE
     
     
    En France métropolitaine, le taux de chômage s'est maintenu de justesse sous les 10% au premier trimestre 2016. Le chômage des seniors a reculé, mais celui des jeunes a grimpé.
     
     
    Selon l'OCDE, 9% des emplois en France présentent un "risque élevé de substitution" par des robots. Cela représente 2,4 millions d'emplois. Au total, près de 30% des emplois devront, au minimum, évoluer sérieusement
     
    ISLAMISME

    Télérama - Femme et islam : Fawzia Zouari, une guerrière sur le front de la laïcité

    “Il n'y a que ceux qui ont le pied sur la braise qui en ressentent la brûlure”, dit un proverbe arabe. Cette brûlure, des millions de femmes la ressentent quotidiennement en terre d'Islam. Fawzia Zouari, docteur en littérature française et comparée à la Sorbonne et romancière, sera l'invitée du festival Etonnants voyageurs, qui a débuté le 14 mai 2016 à Saint-Malo.

    Huffington Post - Djihadisme et islamisme, un lien organique, Jean-Louis Margolin Maître de conférences en histoire contemporaine à Aix-Marseille Université, chercheur à l'Institut de Recherches Asiatiques (IrAsia/CNRS)

    Les choses bougent vite à propos de notre connaissance du phénomène djihadiste. Une série de livres, d'articles académiques, de reportages et de films convergent, au-delà de leur diversité, dans une remise en cause des discours de banalisation et de minimisation qui longtemps ont dominé la scène intellectuelle et politique française.

    On tend ainsi à abandonner la présentation des djihadistes comme des brutes incultes droguées au captagon, totalement ignorantes du Coran, qui joueraient à la Guerre Sainte comme d'autres aux jeux vidéo.

    Télérama - De l'islamisme au surmusulman : quand la psychanalyse se penche sur les parcours sacrificiels

    Six mois après les attentats de Paris, on peine encore à expliquer le comportement de leurs auteurs. Faut-il aller chercher dans leur inconscient les motifs réels de leur violence et et de ce délirant désir de sacrifice ? Entretien avec le psychanalyste Fathi Benslama, auteur d'“Un furieux désir de sacrifice. Le surmusulman”.

     
    Le takfirisme est une sous-branche du salafisme. Cette famille religieuse issue du sunnisme (la principale branche de l’islam) prône une pratique rigoriste de la religion musulmane, proche de ses premiers fidèles (le terme salaf désigne, en arabe, les « ancêtres », en l’occurrence les premiers compagnons du Prophète).
     
    JUSTICE
     
    Divorcer sans passer devant le juge, simplifier le changement d’état civil des personnes transgenres et transsexuelles ou supprimer les tribunaux correctionnels pour mineurs : le projet de loi sur la « justice du XXIe siècle » est aussi vaste qu’hétéroclite. Les députés se saisissent mardi 17 mai de la dernière réforme judiciaire du quinquennat, portée par le ministre de la justice Jean-Jacques Urvoas.
     
    HARCELEMENT SEXUEL
     
     
    Les accusations d’agressions sexuelles visant Denis Baupin l’ont une nouvelle fois prouvé : le sexisme n’épargne aucune sphère de la société, encore moins la très masculine sphère politique. « Dans tous les partis, il y a du sexisme », « les remarques déplacées, les gestes équivoques, ça arrive, comme partout », « il y a du sexisme dans tous les lieux de pouvoir », lâchent pêle-mêle des élus Les Républicains, socialistes ou communistes, encore marqués par l’affaire DSK, qui avait mis au jour le sentiment de toute-puissance de certains hommes politiques.
     
    TAFTA
     
     
    Conclure l’accord commercial entre les Etats-Unis et l’Europe (Tafta, Trans Atlantic Free Trade Agreement, ou TTIP) si possible, avant la fin du mandat de Barack Obama, en janvier 2017. Ne pas abaisser les normes européennes, protéger les indications géographiques — en clair, le savoir-faire européen et les spécificités des produits locaux —, obtenir un engagement clair des Etats-Unis sur le développement durable : les objectifs de la commissaire européenne au commerce, la libérale suédoise Cecilia Malmström, restent les mêmes, comme elle l’a répété vendredi 13 mai, à Bruxelles, lors d’un conseil des ministres du commerce.
     
    NUIT DEBOUT
     
    Le Monde - Nuit debout est un rassemblement plus diversifié qu’on ne le dit Par un collectif de chercheurs en sciences sociales

    Sur Nuit debout, on a tout entendu : « La moyenne d’âge est de 25 ans », « un entre-soi de bobos parisiens », « aucun vrai prolétaire », mais « une bourgeoisie blanche urbaine », « des SDF et des punks à chien qui boivent de la bière », « un rassemblement d’étudiants déclassés, de militants de l’ultra-gauche et de semi-professionnels de l’agit-prop »… Ces énoncés, souvent tranchants, mobilisent des catégories toutes faites, disent quoi penser, clament ce que le mouvement est, doit ou ne doit pas devenir, hiérarchisent les endroits ou les moments de la place, le « vrai » et le « faux » Nuit debout. On plaide ici pour une autre approche : commencer par établir les faits, en enquêtant collectivement.

    ACTUALITES PS
     
     
    En proie à la division, le PS est au bord de l'explosion selon le premier secrétaire du Parti socialiste. Pour lequel seul François Hollande maintient l'unité du parti.
     
     
    Depuis la tentative – et l’échec – du dépôt par des députés de gauche d’une motion de censure du gouvernement le 11 mai, les appels à sanction à l’encontre des vingt-quatre socialistes « frondeurs » pleuvent du côté légitimiste du parti. Ainsi, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement, a souligné « l’incohérence » qu’il y a à critiquer « matin, midi et soir » l’action du gouvernement, « tout en restant au Parti socialiste ».
     
    Lorsque, début 2015, Emmanuel Macron était venu présenter devant les députés son projet de loi pour la croissance et l’activité, il bénéficiait encore de l’avantage de la nouveauté et de la curiosité. La majorité du groupe socialiste de l’Assemblée nationale s’efforça, tout au long des travaux en commission et de l’examen en séance, d’épauler le novice qui effectuait ses premiers pas dans l’arène politique et de l’aider à déjouer les embûches. Même si, à l’arrivée, ce fut un 49.3 qui ponctua les débats.
     
     
    Les loyalistes appellent à la condamnation des frondeurs, les frondeurs refusent de quitter le PS, et les aubrystes sont prêts à arbitrer le match.

    Recoller les morceaux. C'est ce qui attend un Parti socialiste plus divisé que jamais, à un an de l'élection présidentielle. L'utilisation du 49-3 par le gouvernement pour faire passer la loi Travail, puis la signature, par 25 députés encartés, d'une motion de censure, ont fracturé le parti. Alors que certains, parmi les "loyalistes", appellent à sanctionner les frondeurs, ces derniers ne sont pas décidés à partir. Au milieu de cette guerre fratricide, les proches de Martine Aubry comptent jouer les casques bleus.

     
    A un an de la présidentielle, la formation de la rue de Solférino semble plus fragile que jamais.
     
    Le parti socialiste semble au bord de l'implosion après l'épisode du 49.3 et de la tentative de motion de censure de gauche sur la loi Travail. Alors que Manuel Valls a réclamé, jeudi 12 mai, une "clarification" aux frondeurs, que le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a saisi la Haute autorité éthique du parti, les trublions socialistes assurent - par la voix de Pascal Cherki - qu'ils ont une "tactique". Francetv info revient sur les clans qui s'affrontent rue de Solférino
     
    PS (communiqués)
     
     
    Ce vendredi 13 mai, Jean-Christophe Cambadélis a adressé une lettre à Nicolas Sarkozy, Jean-Christophe Lagarde, Pierre Laurent et tous les dirigeants de partis politiques républicains et d’organisations syndicales, à propos des violences en général et des attaques de permanences de parlementaires perpétrées depuis plusieurs semaines.
  • Laurent Baumel: "Nous ne serons pas en mesure" de déposer une motion de censure de gauche