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International - Page 22

  • Le Monde - Pologne : « Les conservateurs au pouvoir se comportent comme les communistes des années 1980 »

    Attaqué devant un tribunal militaire, le journaliste Tomasz Piatek dénonce la volonté de contrôle des médias par le gouvernement polonais.

    Le journaliste polonais Tomasz Piatek vient de recevoir le prix TV5-Reporters sans frontière pour la liberté de la presse, signe de leur inquiétude pour les médias polonais depuis l’arrivée au pouvoir en 2015 du parti ultraconservateur Droit et justice (PiS). Journaliste au quotidien Gazeta Wyborcza, il a consacré un livre aux liens de l’entourage du ministre de la défense, Antoni Macierewicz, avec la Russie, ce qui lui vaut d’être poursuivi devant un procureur militaire. De passage à Paris, il a répondu lundi 13 novembre aux questions du Monde.
     
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  • Le Parti socialiste dénonce la marche nationaliste en Pologne

    14 novembre 2017

    A l’occasion de la fête de l’indépendance polonaise, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont défilé dans les rues du pays à l’appel de l’extrême droite.

    Ces marches nationalistes au cour desquelles ont été scandés et brandis des mots d’ordre racistes et homophones, illustrent bien l’ancrage du nationalisme et des replis identitaires en Europe.

    Le jour même où les peuples d’Europe commémoraient la fin du premier conflit mondial qui fut provoqué par l’exacerbation des nationalismes, l’extrême-droite demeure une menace pour la démocratie. Fascisante hier, national populiste aujourd’hui, elle fait de la haine de l’autre un programme politique qui ne peut que mener au chaos.

    Le renforcement de cette idéologie de haine qui a remporté des succès électoraux en Allemagne, en Autriche ou encore en République tchèque ces dernières semaines est une menace pour l’unité de l’Europe et les politiques de justice sociale qui sont une meilleure réponse à la crise que le néolibéralisme.

    Le Parti socialiste renouvelle son engagement à lutter avec toutes les gauches européennes contre le nationalisme qui n’a amené que la désolation sur le continent.

  • Fondation Jean Jaurès : Élections en Allemagne : quelles sont les perspectives du SPD ? Analyse de Christian Petry

    Comment analyser les résultats du SPD à l’issue des élections fédérales en Allemagne, le 24 septembre 2017 ? Arrivé second avec un peu plus de 20% des voix, le SPD a atteint son plus bas score.

    Si les résultats sont décevants, Christian Petry, député SPD au Bundestag, porte-parole adjoint du groupe parlementaire, chargé des affaires européennes, y voit, néanmoins, l’occasion de saisir de cette opportunité pour incarner la principale force politique d’opposition.

    L'entretien est traduit en français par Isabelle Fagard.

  • LVS - Entretien avec Rita Maestre : “nous ne devons pas nous considérer comme des invités au sein des institutions”

    Rita Maestre est membre de la direction de Podemos et porte-parole de la mairie de Madrid. Sa trajectoire est emblématique de ces jeunes Indignés espagnols qui, après avoir occupé les places en 2011, tentent aujourd’hui de changer la vie depuis les institutions municipales. Nous l’avons interrogée sur son parcours, le rôle du mouvement des Indignés, ainsi que sur l’étendue et les limites de la pratique politique au sein des institutions.

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  • Le vent se lève - Aux USA, Bernie Sanders prépare sa « Révolution »

    Le sénateur du Vermont n’a pas disparu de la vie politique américaine au lendemain de sa défaite face à Hillary Clinton. Au contraire. A travers son mouvement « Our Revolution », il se prépare à doter la gauche américaine d’une émanation politique puissante. Au point d’avaler le parti démocrate?

    Un an après, on l’avait un peu oublié. Depuis l’élection de Donald Trump, les campagnes politiques en France, aux Pays-Bas ou au Royaume-Uni ainsi que le référendum italien ont absorbé la quasi-totalité de l’espace médiatique. Tout juste nos médias traitaient-ils en coup de vent des derniers tweets du président américain et du possible coup de pouce des russes dont il aurait bénéficié. Depuis la campagne présidentielle de l’an dernier (qui a commencé début 2015), beaucoup d’eau a pourtant coulé sous les ponts. Et, contrairement à sa rivale de la primaire démocrate Hillary Clinton, le sénateur Bernie Sanders n’a pas disparu du monde politique du jour au lendemain. Au contraire, il est sur tous les fronts contre les régressions tous azimuts de l’ère Trump et tente d’échafauder une stratégie politique permettant une « révolution » politique dans une des démocraties les plus imparfaites au monde

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  • Turquie : « La restriction des droits des femmes est une obsession pour le président Erdogan »

    Des femmes turques réclament le droit de s’habiller comme elles veulent. La chercheuse Sophie Bessis analyse l’évolution rigoriste d’une partie du pays.

    Depuis plusieurs jours, les femmes turques sont dans la rue pour réclamer la liberté de s’habiller comme elles l’entendent. Deux femmes ont été agressées dans les transports publics par des hommes qui jugeaient le port d’un débardeur ou d’un short « provocant ».

    Sophie Bessis est une historienne franco-tunisienne et chercheuse associée à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). Elle est également l’auteure de plusieurs ouvrages traitant de la condition des femmes dans les pays arabo-musulmans, du Maghreb et du monde arabe. Elle livre son point de vue sur la situation en Turquie, où le conservatisme patriarcal tend à s’imposer progressivement, avec l’assentiment du pouvoir en place.

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  • Arte - Indonésie : la puissance, l'islam et la démocratie (2/2) Le géant en marche

    Premier pays musulman au monde, l'archipel indonésien est l'une des nouvelles puissances émergentes en Asie du Sud-Est. En deux volets, un documentaire passionnant sur son histoire et sa marche vers l'avenir. Première partie : Le géant invisible. Riche d'immenses ressources naturelles, l'Indonésie a mis fin à quatre siècles de colonisation hollandaise au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Ponctuée d'épisodes tragiques, sa conquête de l'indépendance et de la démocratie n'ont pas été sans heurts.

    Premier pays musulman de la planète en nombre d'habitants et plus grande nation insulaire, elle est en passe de devenir, malgré de nombreux écueils, un nouveau géant asiatique. Plongeant dans son histoire et son passé récent grâce à de nombreuses archives, Frédéric Compain brosse un tableau complet de la société indonésienne et des enjeux auxquels elle doit faire face. Une fresque passionnante, nourrie par les éclairages de témoins et d'analystes de premier plan (hommes politiques, responsables religieux, historiens, économistes, défenseurs des droits de l'homme, journalistes…).

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  • Arte - Indonésie : la puissance, l'islam et la démocratie (1/2) Le géant invisible

    Premier pays musulman au monde, l'archipel indonésien est l'une des nouvelles puissances émergentes en Asie du Sud-Est. En deux volets, un documentaire passionnant sur son histoire et sa marche vers l'avenir. Première partie : Le géant invisible. Riche d'immenses ressources naturelles, l'Indonésie a mis fin à quatre siècles de colonisation hollandaise au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Ponctuée d'épisodes tragiques, sa conquête de l'indépendance et de la démocratie n'ont pas été sans heurts.

    Premier pays musulman de la planète en nombre d'habitants et plus grande nation insulaire, elle est en passe de devenir, malgré de nombreux écueils, un nouveau géant asiatique. Plongeant dans son histoire et son passé récent grâce à de nombreuses archives, Frédéric Compain brosse un tableau complet de la société indonésienne et des enjeux auxquels elle doit faire face. Une fresque passionnante, nourrie par les éclairages de témoins et d'analystes de premier plan (hommes politiques, responsables religieux, historiens, économistes, défenseurs des droits de l'homme, journalistes…).

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  • Le Vent se lève - « Podemos ne voulait pas réinventer la gauche mais reconstruire un espace d’émancipation » – Entretien avec Juan Carlos Monedero

    À travers cet entretien, Juan Carlos Monedero, co-fondateur de Podemos et professeur de science politique à l’Université Complutense de Madrid, revient sur les faiblesses de la logique populiste défendue par Íñigo Errejón. Nous donnions le mois dernier la parole à Jorge Lago, membre du Conseil citoyen de Podemos, pour qui la logique populiste et la transversalité sont indispensables pour construire de nouvelles identités politiques. Juan Carlos Monedero considère, au contraire, que ces logiques annihilent les « véritables possibilités de changement » en voulant « séduire » à tout prix. Il revient également, au cours de cet entretien, sur l’avenir de Podemos et son rapport au PSOE, l’homologue espagnol du PS, et sur la dispute de l’espace politique de la gauche en Espagne. L’analyse comparative avec la France et l’Italie qui est livrée à la fin de cet entretien ouvre de nombreuses pistes pour comprendre quelle stratégie la gauche française devrait aujourd’hui adopter et donne à réfléchir sur l’importance du renouvellement des leaders politiques.
     
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  • Envoyé spécial - Un bref moment d'optimisme – 25 mai 2017 (France 2)

    Exceptionnellement pour "Envoyé spécial", Amos Gitaï signe une version 52 minutes du long-métrage documentaire A l’ouest du Jourdain, qui est sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes.

  • Le Vent se lève - Que retenir de Vistalegre II, le congrès de Podemos ?

    Ce week-end avait lieu à Madrid le très attendu Vistalegre II, le deuxième congrès de Podemos. Les résultats du vote des inscrits ont renforcé le leadership de Pablo Iglesias sur l’organisation, au détriment de son numéro 2 Iñigo Errejón. Cet article revient sur cet événement fondamental dans l’histoire du jeune parti, le contexte dans lequel il s’est tenu et les enjeux qu’il dessine pour les années à venir. 

    En octobre 2014, Podemos tenait son premier Congrès à Madrid, dans le Palacio Vistalegre. Après une percée inattendue lors des élections européennes du mois de mai, cette « assemblée citoyenne » avait pour but de fixer les contours de l’organisation, jusqu’alors présentée comme une plateforme citoyenne. Au terme de Vistalegre I, Podemos adoptait des structures caractéristiques d’un parti politique, afin de donner corps à une « machine de guerre électorale » destinée à remporter le scrutin décisif du 20 décembre 2015. C’est la liste de Pablo Iglesias, Claro que Podemos, qui s’était alors largement imposée face au secteur anticapitaliste. Le projet Claro que Podemos était incarné par 5 figures aujourd’hui considérées comme le « groupe promoteur » du parti : Pablo Iglesias, Juan Carlos Monedero, Luis Alegre, Carolina Bescansa… et Iñigo Errejón.

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