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International - Page 21

  • La Vie des idées - Trump ou la diplomatie du choc Les enjeux de Jérusalem capitale

    La reconnaissance par Donald Trump de Jérusalem comme capitale d’Israël marque un revirement historique. Si ses effets juridiques sont nuls, le statut de la ville restant le même au regard du droit international, elle traduit toutefois une recomposition des alliances au Moyen-Orient, et pourrait avoir des conséquences politiques profondes.

    Le président des États-Unis D. Trump a déclaré le 6 décembre 2017 qu’il reconnaissait Jérusalem comme la capitale de l’État d’Israël. Aussi surprenante qu’elle ait pu paraître, cette annonce est le résultat d’un projet ancien de la diplomatie américaine de déplacer l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem. Mettant fin à un consensus ancien de la communauté internationale sur le statut de Jérusalem, D. Trump rompt ainsi avec tous ses prédécesseurs.

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  • La photo de cette femme brandissant son voile devient l’un des symboles des manifestations contre le gouvernement en Iran

    IMAGE Le pays est agité depuis jeudi par des manifestations contre le gouvernement du président Hassan Rohani. Pour protester contre le régime, des femmes ôtent leur voile en public…

    Un symbole. Depuis le 28 décembre en Iran, les protestations antigouvernementales se multiplient à travers tout le pays. Les manifestants dénoncent le gouvernement du président Hassan Rohani jugé incapable de répondre aux difficultés économiques. Le régime est également largement remis en cause et notamment par des femmes, dont certaines veulent être libres de porter le voile ou non. Malgré les sanctions encourues, quelques-unes osent ôter leur hijab en public.

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  • La Vie des Idées - La chasse aux intellectuels en Turquie

    Le putsch raté de juillet 2016 a fourni au pouvoir turc l’occasion d’un gigantesque contre-coup d’État. Le régime de Tayyip Erdoğan, qui cherche à mettre au pas de vastes secteurs de la société civile, parviendra-t-il à gagner sa guerre culturelle contre l’université ?

    La Turquie vit depuis plus d’un an sous un régime d’état d’exception. Le coup d’État militaire du 15 juillet 2016 a échoué, probablement grâce aux fuites provenant du camp des putschistes ou d’autres sources. La nuit du 15 au 16 juillet, il y a eu quelques heurts sanglants entre les putschistes et les forces loyales au gouvernement, des bombardements et des manifestations pro-gouvernementaux qui ont coûté, au total, la vie à 249 personnes. Le putsch a échoué, probablement grâce au retrait, au dernier moment, d’une partie des officiers de cette funeste initiative.

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  • Le Vent se lève - Catalogne : la polarisation politique se confirme

    Albert Borras Ruis est doctorant à l’Institut Français de Géopolitique. Il revient dans cet article sur les élections régionales du 21 décembre 2017 en Catalogne, qui ont vu les indépendantistes conserver leur majorité absolue malgré l’ascension du parti de centre-droit Ciudadanos. Convoqué à la suite de la suspension de l’autonomie de la région, le scrutin devait permettre de trancher le conflit politique qui oppose le gouvernement espagnol à la Généralité de Catalogne, dont l’ancien président Carles Puigdemont est aujourd’hui retranché à Bruxelles. Loin de satisfaire les desseins de Mariano Rajoy, les résultats démontrent l’affaiblissement du Parti populaire ainsi que les maigres perspectives de la gauche non indépendantiste, tout en confirmant la tendance à la polarisation politique dans la société catalane.

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  • RFI - Espagne: unionistes et indépendantistes laissent éclater leurs divisions

    En Catalogne, c’est la dernière ligne droite avant les élections régionales de jeudi 21 décembre. Ce dimanche 17 décembre, sept candidats se sont affrontés lors du premier débat diffusé à l’échelle nationale sur la chaîne la Sexta. A l’heure où les derniers sondages donnent des résultats très serrés entre le bloc des unionistes et celui des indépendantistes, ces deux blocs sont apparus très divisés dimanche soir.

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  • Le Figaro - Le SPD pour des négociations ouvertes avec Merkel

    Le Parti social-démocrate aura rarement été aussi divisé. Deux mois et demi après les élections fédérales, le SPD a décidé, jeudi, lors d'un congrès à Berlin, d'engager des discussions «ouvertes» avec la CDU/CSU pour donner à l'Allemagne un gouvernement mais sans préjuger de leur résultat. Traumatisé par sa défaite, la pire de son histoire (seulement 20,5 % de voix), en crise existentielle, le SPD hésite et tremble: la base redoute une nouvelle grande coalition, les élus plaident pour gouverner au nom de «la responsabilité», d'autres cherchent une voie intermédiaire comme «tolérer» un gouvernement minoritaire d'Angela Merkel, quelques-uns, très rares, préféreraient de nouvelles élections.

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  • Conseil du Parti socialiste européen : le Parti socialiste français obtient des avancées sur la démocratie et l’intégration sociale

    01 décembre 2017

    Les 1er et 2 décembre, se tient le Conseil du Parti socialiste européen à Lisbonne.

    Au Portugal, le seul pays d’Europe où un gouvernement de gauche bénéficie du soutien de toutes les forces progressistes et qui réussit à relever le pays après une brutale cure d’austérité, les socialistes européens sont venus réaffirmer leur volonté de changer l’Europe.

    La délégation conduite par Rachid Temal, Coordinateur du Parti socialiste, a défendu avec succès une avancée démocratique avec un programme et un-e candidat-e communs des socialistes européens et l’idée de listes transnationales – après le Brexit – pour renforcer l’européanisation des élections européennes.

    Cette démocratisation passe aussi par l’ouverture de possibilités de primaires pour choisir le candidat-e socialiste à présidence de la Commission européenne.

    Il faut aussi un bon programme pour réorienter l’Europe. C’est aussi ce que les socialistes européens veulent construire. Le Parti socialiste sera un acteur majeur dans la construction de ce programme commun pour une Europe de gauche.

    Participaient aussi à la délégation, Olivier Faure, président du groupe Nouvelle gauche à l’Assemblée nationale, Christine Revault d’Allonnes- Bonnefoy, présidente de la délégation socialiste au Parlement européen Pervenche Berès et Emmanuel Maurel, députés européens ainsi que les secrétaires nationales Florence Augier et Rita Maalouf et les secrétaires nationaux Maurice Braud et Antoine Varoquié.

  • Courrier International - Mário Centeno, “le Ronaldo de l’Ecofin”, favori pour la présidence de l’Eurogroupe

    Le ministre des Finances portugais, soutenu par Berlin et Paris, est bien parti pour diriger la zone euro à partir de lundi 4 décembre. Mais ce transfert de Lisbonne à Bruxelles suscite craintes et critiques au Portugal.

    Son sport de jeunesse est le rugby, son terrain d’excellence l’économie. Mais c’est à un footballeur, son plus fameux compatriote, qu’on le compare aujourd’hui. Le ministre des Finances portugais Mário Centeno, surnommé “le Ronaldo de l’Ecofin” (le Conseil des Affaires économiques et financières de l’UE) par son homologue allemand, est officiellement candidat depuis jeudi 30 novembre à la présidence de l’Eurogroupe. Et il part favori pour succéder ce lundi au Néerlandais Jeroen Dijsselbloem à ce poste stratégique des institutions européennes, face à trois concurrents : la Lettonne de centre droit Dana Reizniece-Ozola, le social-démocrate slovaque Peter Kazimir et le libéral luxembourgeois Pierre Gramegna.

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  • Le Monde - Une exposition sur les « martyrs » fait scandale à Berlin

    Présentée par un collectif danois, elle met sur le même plan Socrate, Martin Luther King et l’un des auteurs de l’attaque du Bataclan ou Mohammed Atta, le chef du commando du 11-Septembre.

    Il y a Socrate, sainte Apolline d’Alexandrie et Martin Luther King. Et puis, il y a Ismaël Omar Mostefaï, l’un des trois terroristes qui ont attaqué le Bataclan, le 13 novembre 2015, laissant derrière eux 90 morts. Tous sont placés sur le même plan dans une exposition intitulée « Musée des martyrs », imaginée par Ida Grarup Nielsen et Henrik Grimbäck, deux artistes danois, membres du collectif The Other Eye of the Tiger (L’Autre œil du Tigre) et présentée à Berlin. Inaugurée la semaine dernière et prévue pour durer jusqu’à mercredi, elle suscite l’indignation, en Allemagne comme en France.
     
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  • Libé - En Israël, la corruption met la gauche dans la rue

    Samedi, 20 000 manifestants se sont réunis à Tel-Aviv contre la «corruption» du gouvernement Nétanyahou, alors qu'un projet de loi décrit par l'opposition et la presse comme un bouclier censé protéger le Premier ministre des affaires le touchant doit être voté lundi. Face à la gronde, Nétanyahou a demandé dimanche à ce que cette loi ne s'applique pas à sa personne.

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  • Regards - Aux États-Unis, la gauche "socialiste" de Sanders remporte des élections

    La brillante campagne présidentielle de Bernie Sanders n’est pas restée sans lendemain malgré la victoire de Trump : les élections locales ont porté aux responsabilités nombre de ses partisans et autres figures de l’opposition au milliardaire-président.

    Il faut savoir reconnaître les bonnes nouvelles quand elles pointent leur nez, même timidement et sans fanfare, au milieu de la nuit trumpienne : les résultats des élections locales du 7 novembre dernier aux États-Unis ne reflètent pas seulement un fort rejet du Parti républicain du président, ils laissent espérer que la construction d’une force politique radicale amorcée par Bernie Sanders ne s’est pas essoufflée à la fin de sa campagne

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