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  • Libé - Groß première L’Allemagne tient son nouveau gouvernement, et il est paritaire

    Plusieurs femmes occuperont des ministères régaliens dans le futur gouvernement allemand, dirigé par les sociaux-démocrates.
    En seize ans de mandature d’Angela Merkel, l’Allemagne a pris l’habitude de la présence de femmes au sommet de l’Etat. Mais le gouvernement qui doit entrer en fonction mercredi revêt un caractère inédit : pour la première fois, il comptera autant de femmes que d’hommes, comme l’a annoncé ce lundi le futur chancelier social-démocrate Olaf Scholz. «La parité est pour moi importante, c’est pourquoi, parmi les seize ministres, il y aura huit hommes et huit femmes», a assuré l’ancien ministre des Finances, qui, de longue date, s’affirme féministe.
     
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  • L'Obs - Résultats des élections en Allemagne : le SPD d’Olaf Scholz revendique la victoire

    Qui succédera à Angela Merkel ? Les sociaux-démocrates d’Olaf Scholz et les conservateurs d’Armin Laschet sont dans un mouchoir de poche, autour de 25 %, selon des estimations.

    Les instituts de sondage annonçaient des résultats serrés. C’est le cas. Les sociaux-démocrates et les conservateurs sont au coude-à-coude en Allemagne, selon des projections à la sortie des urnes communiqués dimanche 26 septembre. Les deux partis prétendent l’un comme l’autre vouloir former le prochain gouvernement.

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  • Fondation Jean Jaurès - La social-démocratie allemande est-elle de retour ?

    Les Allemands partagent traditionnellement leurs voix entre deux blocs. Ce vote “stratégique” a pu favoriser des petits partis. On peut ainsi prendre l’exemple des libéraux du FDP, qui ont ainsi pu facilement dépasser le seuil des 5%, faire leur entrée au Bundestag et y endosser le rôle de faiseurs de roi dans les négociations de formation des coalitions.

    Cependant, le jeu politique allemand s’est désormais spectaculairement complexifié. Les scénarios de formation de coalition sont cette fois-ci difficilement lisibles, ce qui complique la réflexion des Allemands au moment de décider de leur vote. Une difficulté qui touche même les électeurs les mieux informés. 

    Cette complexification du jeu politique allemand s’explique en partie par le déclin du Lagerkampf, la “lutte des camps”. Il fut en effet un temps où la politique allemande se divisait entre un bloc conservateur – les chrétiens-démocrates de centre-droit de la CDU, les Bavarois de l’Union chrétienne-sociale (CSU) et les libéraux du FDP – et un bloc “progressiste” constitué des sociaux-démocrates du SDP et des Verts. Cette frontière s’est depuis largement brouillée : les deux derniers gouvernements ont été formés autour de “grandes coalitions” incluant à la fois la CDU/CSU et le SPD. Ces alliances contre-nature entre deux blocs idéologiques antagonistes ont pu donner à une partie de l’électorat des deux camps le sentiment d’avoir été trompé. 

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  • Le Monde - En Allemagne, le SPD embarrassé par la proposition de « collectiviser » BMW

    Kevin Kühnert, le président des jeunes sociaux-démocrates a suscité de vives réactions à droite comme à gauche, à moins de trois semaines des élections européennes, que son parti aborde en situation de faiblesse

    A trois semaines des élections européennes du 26 mai, c’est une polémique qui devrait compliquer un peu plus la campagne, déjà difficile, du Parti social-démocrate d’Allemagne (SPD). En se déclarant favorable à la « collectivisation » de grandes entreprises telles que BMW, Kevin Kühnert, le président des « Jusos », les jeunes socialistes, a ouvert une discussion passionnée outre-Rhin, y compris au SPD où ses propos risquent de relancer le débat sur la participation de celui-ci à « grande coalition » d’Angela Merkel.

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  • Le Monde - Les sociaux-démocrates allemands élisent pour la première fois une femme présidente

    Elue lors du congrès du SPD, dimanche, Andrea Nahles devra présider une formation qui gouverne avec ses adversaires, les conservateurs

    Un de plus… Pour la cinquième fois en un an, le Parti social-démocrate d’Allemagne (SPD) se réunit en congrès, dimanche 22 avril. Cette fois, le rendez-vous a lieu à Wiesbaden (Hesse), près de Francfort. L’ordre du jour comporte un seul point : l’élection du nouveau président de la formation, ou plutôt de sa nouvelle présidente, puisque seules deux femmes se disputent le poste : Andrea Nahles, 47 ans, chef de file du groupe SPD au Bundestag, et Simone Lange, 41 ans, maire de Flensburg (Schleswig-Holstein), petite ville du nord de l’Allemagne située à la frontière avec le Danemark.
     
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  • Emmanuel Maurel (PS) : "Nous devons renouer avec une analyse critique du système capitaliste."

    Au lendemain de l'accord des sociaux-démocrates allemands avec les conservateurs de la CDU, où va la social-démocratie ? Quel avenir pour les socialistes français alors que se prépare le congrès de la "refondation". Pour en parler, Emmanuel Maurel, candidat de l'aile gauche du PS pour en prendre la tête, était l'invité de #LaMidinale.

  • Le Figaro - Le SPD pour des négociations ouvertes avec Merkel

    Le Parti social-démocrate aura rarement été aussi divisé. Deux mois et demi après les élections fédérales, le SPD a décidé, jeudi, lors d'un congrès à Berlin, d'engager des discussions «ouvertes» avec la CDU/CSU pour donner à l'Allemagne un gouvernement mais sans préjuger de leur résultat. Traumatisé par sa défaite, la pire de son histoire (seulement 20,5 % de voix), en crise existentielle, le SPD hésite et tremble: la base redoute une nouvelle grande coalition, les élus plaident pour gouverner au nom de «la responsabilité», d'autres cherchent une voie intermédiaire comme «tolérer» un gouvernement minoritaire d'Angela Merkel, quelques-uns, très rares, préféreraient de nouvelles élections.

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  • Fondation Jean Jaurès : Élections en Allemagne : quelles sont les perspectives du SPD ? Analyse de Christian Petry

    Comment analyser les résultats du SPD à l’issue des élections fédérales en Allemagne, le 24 septembre 2017 ? Arrivé second avec un peu plus de 20% des voix, le SPD a atteint son plus bas score.

    Si les résultats sont décevants, Christian Petry, député SPD au Bundestag, porte-parole adjoint du groupe parlementaire, chargé des affaires européennes, y voit, néanmoins, l’occasion de saisir de cette opportunité pour incarner la principale force politique d’opposition.

    L'entretien est traduit en français par Isabelle Fagard.

  • Le Monde - La gauche européenne effarée par l’effondrement du PS français

    Les partis socialistes d’Europe s’interrogent après la déroute de Benoît Hamon au premier tour de l’élection présidentielle.

    La performance catastrophique de Benoît Hamon au premier tour de la présidentielle consterne une gauche sociale-démocrate européenne déjà marquée par ses récents revers au Royaume-Uni, en Grèce et aux Pays-Bas, ses difficultés en Espagne ou la démission de Matteo Renzi en Italie, après l’échec de son référendum. L’effondrement du PS français ponctue une série que la mise en place du gouvernement de Stefan Löfven, fin 2014, en Suède, ou l’accession au pouvoir d’une coalition (minoritaire) de socialistes et d’indépendants au Portugal ne suffisent pas à égayer. Seul le SPD, emmené par Martin Schulz, offrira enfin, espèrent les sociaux-démocrates, une bonne surprise en septembre, lors des élections fédérales allemandes.
     
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  • Le #17h, épisode 79 - Le regard Daniel Stich, représentant du SPD, sur la campagne de Benoît Hamon


    Le #17h, épisode 79 - Le regard Daniel Stich... par PartiSocialiste

    Daniel Stich, Secrétaire général du SPD de Rhénanie-Palatinat, est en France pour suivre la campagne de Benoît Hamon. C'est l'occasion d'échanger sur les méthodes de mobilisation dans nos deux pays à quelques mois des élections fédérales en Allemagne, pour lesquelles les socialistes soutiennent Martin Schulz.