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International - Page 23

  • Envoyé spécial - Un bref moment d'optimisme – 25 mai 2017 (France 2)

    Exceptionnellement pour "Envoyé spécial", Amos Gitaï signe une version 52 minutes du long-métrage documentaire A l’ouest du Jourdain, qui est sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes.

  • Le Vent se lève - Que retenir de Vistalegre II, le congrès de Podemos ?

    Ce week-end avait lieu à Madrid le très attendu Vistalegre II, le deuxième congrès de Podemos. Les résultats du vote des inscrits ont renforcé le leadership de Pablo Iglesias sur l’organisation, au détriment de son numéro 2 Iñigo Errejón. Cet article revient sur cet événement fondamental dans l’histoire du jeune parti, le contexte dans lequel il s’est tenu et les enjeux qu’il dessine pour les années à venir. 

    En octobre 2014, Podemos tenait son premier Congrès à Madrid, dans le Palacio Vistalegre. Après une percée inattendue lors des élections européennes du mois de mai, cette « assemblée citoyenne » avait pour but de fixer les contours de l’organisation, jusqu’alors présentée comme une plateforme citoyenne. Au terme de Vistalegre I, Podemos adoptait des structures caractéristiques d’un parti politique, afin de donner corps à une « machine de guerre électorale » destinée à remporter le scrutin décisif du 20 décembre 2015. C’est la liste de Pablo Iglesias, Claro que Podemos, qui s’était alors largement imposée face au secteur anticapitaliste. Le projet Claro que Podemos était incarné par 5 figures aujourd’hui considérées comme le « groupe promoteur » du parti : Pablo Iglesias, Juan Carlos Monedero, Luis Alegre, Carolina Bescansa… et Iñigo Errejón.

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  • L'Humanité - Équateur. La révolution citoyenne, ou la « décennie gagnée »

    Les Équatoriens élisent ce dimanche leurs président et députés. Lenin Moreno, aspirant aux plus hautes fonctions de l’État, entend approfondir les politiques d’inclusion sociale et avancées économiques de son prédécesseur, Rafael Correa.

    Élu président à la surprise générale en 2006, Rafael Correa passe aujourd’hui la main. L’élection de cet économiste aux plus hautes fonctions de l’Équateur avait alors pris tout le monde de court. À l’époque, la nation andine n’était plus que l’ombre d’elle-même. L’État n’en avait que le nom, tant son rôle et ses missions avaient été réduits à la portion congrue. L’économie était asservie aux organismes financiers internationaux, conséquence de la dollarisation. Avec son mouvement Alliance Pays (AP), Rafael Correa bouscule ce décor moribond, en s’inscrivant dans la dynamique des changements structurels à l’œuvre avec l’avènement des gouvernements de gauche et de centre gauche dans l’hémisphère Sud du continent. Il impose alors son propre sillage avec « la révolution citoyenne », que ses partisans qualifient de décennie « gagnée ».

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  • L'Obs - Espagne: l'avenir politique du chef de Podemos se joue ce week-end

    L'issue d'une guerre fratricide au sommet de Podemos, le parti espagnol qui avait redonné espoir à la gauche radicale en Europe, se joue ce week-end, avec à la clef le maintien au pouvoir de son chef Pablo Iglesias.

    Ce qui avait commencé comme un débat sur la stratégie entre Pablo Iglesias et le numéro deux Inigo Errejon, co-fondateurs de ce mouvement anti-austérité proche du grec Syriza, a tourné à la foire d'empoigne.

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  • Libé - Podemos, crise de têtes

    En Espagne, le parti de la gauche radicale, devenu en deux ans une des premières formations du pays, se débat dans des querelles d’egos et des  divergences de ligne entre ses chefs, Pablo Iglesias et Iñigo Errejón.

    Prenez un parti qui vient tout juste de naître, ou presque, ajoutez un succès électoral vertigineux au point de devenir la troisième force au Parlement, additionnez le fait qu’il se compose de familles diverses et parfois antagonistes, et vous obtenez une situation explosive. Celle-là même que connaît Podemos, la formation issue de «l’indignation citoyenne» qui a bouleversé l’échiquier national, exprimant un puissant désenchantement envers la classe politique traditionnelle.

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  • Huffington Post - Les Tunisiens sont plus favorables à une démocratie libérale selon une étude de l'Université du Maryland

    73% des Tunisiens pensent que "la Tunisie est mieux lorsque la religion et la politique sont séparées".

    Tel est le résultat d'une étude menée par l'Université du Maryland sur la Tunisie entre 2013 et 2015 financée par l'AFRICOM et le bureau de recherche navale du Département de la Marine des États-Unis.

    Sous le nom de "Tunisie, un oasis de paix et de tolérance: Les résultats d'une enquête", l'étude a interrogé 3070 tunisiens de plus de 18 ans entre mars et mai 2013, puis entre avril et août 2015 afin de voir si leur perception avait évolué.

    Selon cette étude, s'il n'y a aucun changement dans les attitudes envers l'égalité des sexes, d'autres valeurs ont évolué.

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  • L'Obs - "La 'poutinisation' du monde est en marche"

    Pour le spécialiste de géopolitique François Heisbourg, avec la chute d'Alep et l'intervention du Kremlin dans l'élection américaine, la Russie impose désormais ses règles sur la scène internationale.

    Expert en géopolitique, François Heisbourg est conseiller spécial à la Fondation pour la Recherche stratégique. Il a notamment écrit "Secrètes histoires. La naissance du monde moderne" (Stock, 2015).

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  • Le Figaro - L'Espagne est-elle un laboratoire politique pour la gauche française ?

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - Mélenchon et Macron sont les deux figures françaises à gauche qui déstabilisent le PS. Pour Christophe Barret, malgré des différences, la poussée comme les limites de Podemos et de Ciudadanos en Espagne modèlent la recomposition politique européenne.


    Christophe Barret est historien et spécialiste de l'Espagne. Il vient de publier Podemos, pour une autre Europe aux éditions du Cerf.

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  • Mediapart - Podemos: le déchirement?

    En février prochain se tiendra à Madrid l'Assemblée "refondatrice" de Podemos. Une crise sans précédent oppose au sein du mouvement deux stratégies politiques mais surtout les deux principales personnalités du parti: Iglesias et Errejon.

    99 162 personnes viennent de voter pour définir les règles selon lesquelles se déroulera la prochaine « Assemblée de refondation du Parti » dite Vistalegre II, (deux ans après la première Vistalegre fondatrice). Il s’agissait de trancher entre  les deux principales propositions, celle de Pablo Iglesias et  celle de ĺñigo Errejón. Le premier proposait que les motions présentées à l’Assemblée et la désignation de leurs auteurs à la direction (Consejo ciudadano) ne soient l’objet que d’un seul scrutin. Errejón quant à lui proposait deux scrutins séparés l’un concernant les documents l’autre les personnes aspirant à la direction.

     Quant aux « Anticapitalistas » animés par l’eurodéputé Miguel Urbán, la députée au parlement d’Andalousie Teresa Rodriguez et le maire de Cadix José María Gonzalez (Kichi), après avoir tenté une « conciliation » ils ont semble-t-il gardé profil bas en attendant l’Assemblée où ils proposent, comme ils l’avaient fait lors du premier Vistalegre, un document politique « horizontaliste » en opposition avec  le « verticalisme » des deux autres. 

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  • Le Monde - Mort de Fidel Castro : « Ce qui reste de la révolution cubaine, c’est aujourd’hui sa répression »Par Renée Fregosi (Philosophe, directrice de recherche en science politique à l'université Paris-III-Sorbonne-Nouvelle)

    Pour la philosophe et politologue Renée Fregosi, le mythe de la belle révolution tropicale a la vie dure. La « réussite » du régime castriste est bien davantage idéologique que matérielle.

    La mort de Fidel Castro, qui affirmait volontiers « Je suis la révolution », conduit tout naturellement à s’interroger sur la fin de son régime. Comme son « lider máximo », l’agonie de la révolution cubaine est bien longue. En dissonance avec les éloges en faveur de la Cuba castriste notamment en France, en Russie et au Venezuela chaviste, rappelons l’anecdote signalée par Marcel Niedergang (1922-2001) dans l’un de ses derniers articles en 2001 (repris par Le Monde du 26 novembre) : au fameux slogan « Le socialisme ou la mort ! » proclamé par le régime sur les murs de La Havane, des opposants ont répondu courageusement en écrivant furtivement « Quelle différence ? »

    Car ce qui reste de la révolution cubaine, c’est aujourd’hui essentiellement sa répression. Dès les premiers mois après la prise de La Havane en 1959, avait commencé l’épuration au sein de l’opposition démocratique au dictateur Batista et parmi les compagnons mêmes des Castro (comme Huber Matos, comandante dans la Sierra, condamné à vingt ans de prison).

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  • Le Monde - Aux Etats-Unis, le Parti démocrate face à l’offensive des progressistes

    Après la défaite face à Donald Trump, la gauche du parti entend tourner la page Clinton et dénonce un parti devenu une machine à collecter des fonds.
     
    ..... Bernie Sanders, de retour au Sénat, a été plus direct. Il a tonné contre un mouvement plus préoccupé de lever des fonds auprès « des riches, dans les cocktails » que de l’Amérique d’en-bas. Le parti a besoin d’un « réexamen fondamental », a-t-il exigé. Au total, Mme Clinton a collecté 972 millions de dollars (908 millions d’euros) pour sa campagne, dont 56 % auprès de gros donateurs. Elle a elle-même participé à 400 événements de levée de fonds. « Le parti actuel est devenu une gigantesque machine à collecter des fonds, déplore l’économiste Robert Reich, ancien ministre de Bill Clinton. Soit il fait le ménage, soit nous lançons un troisième parti. »
     
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