A la suite des élections du 5 mars 2018, nous vous proposons une émission spéciale pour comprendre ce qui s'est passé en Italie. Avec Christophe Ventura et Romaric Godin, présentée par Salomé Saqué et Lenny Benbara. Chroniqueuses : Maëlle Gélin et Marie Lucas.
International - Page 23
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Le Vent se lève - HEGEMON épisode 1 : Emission spéciale sur les élections italiennes
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Fondation Jean Jaurès - Au-delà des échecs : quelles perspectives pour la gauche en Amérique latine ?
La défaite récente du candidat soutenu par la gauche à la dernière élection présidentielle au Chili constitue un nouvel échec pour la gauche en Amérique latine. Si la gauche est multiple en Amérique latine, tant dans ses orientations idéologiques que dans ses pratiques du pouvoir, elle subit dans son ensemble depuis plusieurs années – l’Uruguay faisant exception – de nombreux revers électoraux (Argentine, Chili, Honduras – dans des conditions très contestables), mais aussi le « coup d’État constitutionnel » au Brésil, ou encore les grandes difficultés que rencontrent les autorités en place (Bolivie, Équateur, Venezuela). Quelles analyses et perspectives peut-on tirer de cette situation générale ? Un débat réunit :
- Carlos Ominami, président honoraire de Chile 21 et ancien ministre,
- Jean Mendelson, ancien ambassadeur,
- Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine de la Fondation. -
Mediapart - Les leçons du scrutin italien
Sur le plateau de Mediapart, ce mercredi 7 mars 2018, Donatella Alfonso, journaliste à La Repubblica, essayiste ; Camille Bedock, chercheuse en science politique à l'Université Libre de Bruxelles, auteure de « Reforming Democracy. Institutional Engineering in Western Europe » (Oxford University Press) ; Christophe Bouillaud, professeur en science politique, auteur d'un blog académique sur la vie politique italienne et Jérémy Dousson, directeur général adjoint de la coopérative Alternatives économiques, auteur d'« Un populisme à l'italienne ? Comprendre le mouvement 5 étoiles » (Les petits matins) analysent le scrutin italien du dimanche 4.
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Le Vent se lève - L'Œil de Bruxelles : Les stratégies des gauches européennes (Balas, Quatennens, Mola)
Grand débat sur les stratégies des gauches européennes avec Guillaume Balas, député européen et membre de Génération.s ; Adrien Quatennens, député France insoumise ; et Maite Mola, vice-présidente du Parti de la Gauche Européenne. Présenté par Raphaëlle Martinez et Maximilien Dardel.
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Terra Nova - L'Italie à l'épreuve des élections
Le 4 mars prochain, les Italiens éliront leurs sénateurs et leurs députés. Cette élection viendra ponctuer un long cycle d'échéances politiques décisives en Europe, depuis le referendum sur le Brexit en 2016 aux élections catalanes fin 2017, en passant par les élections législatives en Allemagne. Dans cette longue liste, le rendez-vous italien fait figure de dernier grand « risque politique » au sein de l'Union. Les électeurs italiens vont-ils contribuer au rétablissement de la confiance en Europe ou paralyser leur pays ?
Après l'échec du référendum voulu en décembre 2016 par Matteo Renzi pour réformer les institutions politiques (en particulier le Sénat) et sa démission, l'Italie est restée dans l'attente de ces nouvelles élections. Celles-ci pourraient bien déboucher sur une nouvelle impasse, sans majorité claire et sans coalition naturelle. Le rapport de force actuel est en effet difficile à lire, entre un nouveau pari de Renzi, un retour inattendu de Berlusconi et une montée en force de 5 étoiles, sans perspectives d'alliances.
Alors que, à partir des années 1970, l'Italie était l'un des pays les plus pro-européens, le mouvement s'est inversé, au point que les Italiens sont désormais plus eurosceptiques que les Français. Avec cette élection, les Italiens parviendront-ils à s'extraire de leurs débats internes et à revenir sur la scène européenne ? Marc Lazar, spécialiste de la vie politique italienne et professeur d'histoire et de sociologie politique à Sciences Po, a analysé pour Terra Nova les enjeux de ce scrutin à venir.
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Le vent se lève - En Espagne, Albert Rivera se rêve en Emmanuel Macron
Ciudadanos a le vent en poupe. La formation de centre-droit dirigée par Albert Rivera a su tirer parti de la crise catalane et se hisse désormais au premier plan dans les enquêtes d’opinion. L’occasion pour son leader de réaffirmer la nature de son projet politique national, qu’il définit lui-même comme « libéral progressiste », et de placer ses pas dans ceux du nouveau président de la République française.
« Pour la première fois en Catalogne, un parti constitutionnaliste a remporté les élections (…) La majorité sociale en Catalogne se sent catalane, espagnole et européenne, et elle le restera », scande en castillan Ines Arrimadas, la candidate victorieuse de Ciudadanos aux élections catalanes du 21 décembre 2017. A ses côtés, Albert Rivera arbore un sourire triomphal et salue une foule de plusieurs centaines de supporters galvanisés, avant de lui succéder à la tribune : « la victoire d’aujourd’hui n’est pas celle de Ciudadanos, c’est la victoire de la Catalogne, de l’Espagne unie et du futur de l’Europe ».
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Le Vent se lève - Déceptions et protestations dans l’Iran de Rohani
Huit ans après la vague contestataire violemment réprimée qui avait touché le pays suite à la réélection de Mahmud Ahmadinejad, une nouvelle série de manifestations, entachées de violences, secoue la République Islamique d’Iran. Dans un contexte qui diffère profondément de celui de 2009, ces événements révèlent les faiblesses internes d’un pays qui apparaissait jusque là comme un pôle de stabilité appelé à jouer un rôle hégémonique sur une partie de la région. Si les contestations, unifiées autour de revendications économiques, paraissent rassembler des courants politiques hétéroclites, sans mot d’ordre unificateur, elles ébranlent la classe politique iranienne et mettent en évidence les blocages auxquels est confronté le pays, tant à l’intérieur qu’à l’international.
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Pouria Amirshahi : "L'Iran est dans un moment de grande fragilité"
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La Vie des idées - Trump ou la diplomatie du choc Les enjeux de Jérusalem capitale
La reconnaissance par Donald Trump de Jérusalem comme capitale d’Israël marque un revirement historique. Si ses effets juridiques sont nuls, le statut de la ville restant le même au regard du droit international, elle traduit toutefois une recomposition des alliances au Moyen-Orient, et pourrait avoir des conséquences politiques profondes.
Le président des États-Unis D. Trump a déclaré le 6 décembre 2017 qu’il reconnaissait Jérusalem comme la capitale de l’État d’Israël. Aussi surprenante qu’elle ait pu paraître, cette annonce est le résultat d’un projet ancien de la diplomatie américaine de déplacer l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem. Mettant fin à un consensus ancien de la communauté internationale sur le statut de Jérusalem, D. Trump rompt ainsi avec tous ses prédécesseurs.
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La photo de cette femme brandissant son voile devient l’un des symboles des manifestations contre le gouvernement en Iran
IMAGE Le pays est agité depuis jeudi par des manifestations contre le gouvernement du président Hassan Rohani. Pour protester contre le régime, des femmes ôtent leur voile en public…
Un symbole. Depuis le 28 décembre en Iran, les protestations antigouvernementales se multiplient à travers tout le pays. Les manifestants dénoncent le gouvernement du président Hassan Rohani jugé incapable de répondre aux difficultés économiques. Le régime est également largement remis en cause et notamment par des femmes, dont certaines veulent être libres de porter le voile ou non. Malgré les sanctions encourues, quelques-unes osent ôter leur hijab en public.
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La Vie des Idées - La chasse aux intellectuels en Turquie
Le putsch raté de juillet 2016 a fourni au pouvoir turc l’occasion d’un gigantesque contre-coup d’État. Le régime de Tayyip Erdoğan, qui cherche à mettre au pas de vastes secteurs de la société civile, parviendra-t-il à gagner sa guerre culturelle contre l’université ?
La Turquie vit depuis plus d’un an sous un régime d’état d’exception. Le coup d’État militaire du 15 juillet 2016 a échoué, probablement grâce aux fuites provenant du camp des putschistes ou d’autres sources. La nuit du 15 au 16 juillet, il y a eu quelques heurts sanglants entre les putschistes et les forces loyales au gouvernement, des bombardements et des manifestations pro-gouvernementaux qui ont coûté, au total, la vie à 249 personnes. Le putsch a échoué, probablement grâce au retrait, au dernier moment, d’une partie des officiers de cette funeste initiative.
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