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syriza

  • Telos - Syriza: l’autre défaite du populisme de gauche

    Avec un retard de 9,4 points sur le parti conservateur de la Nouvelle Démocratie de Kyriakos Mitsotakis (qui a obtenu 33,2 %, contre 23,8 % au Syriza), le parti d’Alexis Tsipras a subi aux élections européennes du 26 mai 2019 une défaite électorale que l’on peut même considérer, sous certaines conditions, comme une « défaite stratégique »[1]. Certes, Syriza demeure une formation politique significative, mais semble perdre sa position centrale sur l’échiquier politique. Les élections législatives anticipées annoncées par Tsipras le soir même de sa défaite électorale et prévues pour le 7 juillet prochain vont décider du sort de ce parti de la gauche radicale.

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  • Libé - L’ami américain de Varoufákis

    L’économiste James Galbraith a accompagné les négociations du premier gouvernement Tsípras sur l’avenir de la Grèce en Europe. Il raconte dans un livre ce travail dans un «cabinet secret» redoutant une panique bancaire qui aurait rendu la crise incontrôlable.

    Que se passe-t-il en Europe ? Un référendum victorieux pour une sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE), une élection présidentielle autrichienne invalidée, une crise économique qui n’en finit pas de se propager, la tentation du repli… Dans ce climat de confusion générale, il faut entendre la voix de l’économiste américain James K. Galbraith, professeur à la Lyndon B. Johnson School de l’université du Texas dont le regard n’a pas quitté l’Europe depuis 2010, moment où la Grèce subit de plein fouet les conséquences du désastre bancaire et financier mondial : «Les bases de la débâcle du Brexit ont été posées en juillet 2015, quand l’Europe a écrasé le dernier gouvernement progressiste pro-européen que l’Union européenne est susceptible de voir - le gouvernement de Syriza élu en Grèce six mois plus tôt......

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  • Pascal Cherki (PS) : « Syriza est la forme moderne du Parti socialiste » (Partie 2)


    Pascal Cherki (PS) : « Syriza est la forme... par Lopinionfr

  • Mediapart - Syriza et l'Europe : quelles conséquences pour les gauches françaises ?

    Débat avec :
    Yannick Jadot, eurodéputé EELV
    Christian Paul, député PS et l'un des chefs de file des « frondeurs »
    Clémentine Autain, Front de gauche
    Alexis Bachelay, député PS et responsable du courant « Cohérence socialiste »


    Syriza et l'Europe : quelles conséquences pour... par Mediapart

  • Slate - Fin de partie pour Syriza? Pas si vite… Par Fabien Escalona, Enseignant à Sciences Po Grenoble

    Les commentaires sur l’accord entre la Grèce et l’Eurogroupe ont transformé la défaite provisoire de Syriza en déroute définitive. Il faudra pourtant plusieurs mois pour savoir si c’est vraiment le cas.

    Depuis l’arrivée de Syriza au pouvoir en Grèce, deux logiques s’affrontent au sein de la zone euro, sur les plans à la fois économique et politique.

    D’un côté, les membres de l’Eurogroupe conditionnent leur soutien financier à une consolidation budgétaire drastique et à des «réformes structurelles» allant dans le sens d’une déréglementation des marchés des biens et du travail. De plus, les autorités européennes affirment que les choix démocratiques d’un peuple ne peuvent pas contrevenir aux traités européens, ni aux exigences des créanciers publics d’un pays. En somme, quels que soient les choix politiques du peuple grec, il lui est dénié la possibilité de rester dans la zone euro et d’y mener des politiques alternatives, sous peine de blocus financier et monétaire.

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  • L'Express - Balas: "Syriza est sur la ligne officielle de la gauche européenne"

    Quelques socialistes, issus de l'aile gauche du PS, étaient présents lundi soir lors du meeting de soutien à Syriza, avec le Front de Gauche et EELV. Parmi eux, Guillaume Balas, secrétaire général du courant Un Monde d'Avance, revient pour L'Express sur le sens de ce soutien.
     
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  • Pour eux-mêmes, pour l'Europe, les Grecs doivent voter Syriza

    En portant Syriza au pouvoir, les Grecs obtiendront une réduction de dette bien plus importante qu'en renouvelant Samaras. Ils pourraient contribuer à changer la donne en Europe, au point de pousser l'Allemagne à sortir elle même de la zone euro. par Jean-Pierre Vesperini, Professeur agrégé des Facultés de droit et des sciences économiques

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  • Marianne - "Le Monde" lance une fatwa contre Syriza

    Il faut saluer la persévérance du Monde pour décrédibiliser Syriza, le parti de gauche alternative, à la veille des élections législatives grecques. C’est du travail de pro. Pour le journal de déférence aux marchés, l’enjeu se résume à un choix cornélien : soit Syriza perd et l’austérité continuera, soit il gagne et l’austérité devra continuer.

    Voilà. Ce n’est ni manichéen ni diabolique, comme il se doit pour un grand journal.

    Reprenons. Le 5 janvier, Le Monde titre : « Une éventuelle victoire de Syriza ne sortirait pas la Grèce d’une spirale de l’échec » (pourquoi voter alors ?). Le lendemain, c’est : « Grèce : Merkel et Hollande fixent les règles du jeu avant les élections » (bis repetita).

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