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  • Telos - Syriza: l’autre défaite du populisme de gauche

    Avec un retard de 9,4 points sur le parti conservateur de la Nouvelle Démocratie de Kyriakos Mitsotakis (qui a obtenu 33,2 %, contre 23,8 % au Syriza), le parti d’Alexis Tsipras a subi aux élections européennes du 26 mai 2019 une défaite électorale que l’on peut même considérer, sous certaines conditions, comme une « défaite stratégique »[1]. Certes, Syriza demeure une formation politique significative, mais semble perdre sa position centrale sur l’échiquier politique. Les élections législatives anticipées annoncées par Tsipras le soir même de sa défaite électorale et prévues pour le 7 juillet prochain vont décider du sort de ce parti de la gauche radicale.

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  • Regards - Grèce : au matin du coup d’État

    Le courage politique d’Alexis Tsipras n’aura pas suffi à faire éviter à son pays un accord humiliant qui inflige un camouflet au "non" de ses électeurs. Quelles chances cette issue laisse-t-elle aux gauches européennes de construire une alternative ?

    Au petit matin, le premier ministre Grec a dû signer un accord très défavorable pour son pays. Comme le dit lui-même Alexis Tsipras, c’était avec un fusil sur la tempe. Nous ne ferons pas ici la liste de ces dispositions, au choix, récessives ou humiliantes. Cet accord a été imposé moins de huit jours après un "non" clair et net des Grecs à cette politique d’austérité et de domination. Il fallait les punir. Il devait être clair pour tous les peuples européens qu’il n’y a pas d’espace pour la remise en cause des politiques libérales.

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  • Le discours d'Alexis Tsipras devant le Parlement européen dans son intégralité, doublé en français.


    Alexis Tsipras : « Nous voulons trouver un... par publicsenat

  • Libé - Trouble dans la démocratie Arnaud ESQUERRE sociologue et Luc BOLSTANSKI sociologue

    L’annonce d’un référendum en Grèce a suscité une indignation quasi unanime des dirigeants européens. Est-il si choquant que des citoyens soient consultés sur une question éminemment politique qui les concerne directement?

     

     

    L’annonce par le Premier ministre Tsípras de l’organisation d’un référendum a suscité, en France et en Europe, des réactions indignées de la part de dirigeants, qu’ils appartiennent au monde politique, économique ou médiatique. Cette annonce, intervenue après des mois de vaines négociations, a été la réponse du gouvernement grec à un rapport de force politique qui, au niveau des instances européennes, n’a cessé de pénaliser non seulement les Grecs, en tant que citoyens, mais aussi en tant que membres de l’Union européenne. Qu’est-ce qui semble motiver cette indignation presque unanime ?

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  • Le Monde - Alexis Tsipras : « Non à une zone euro à deux vitesses » Par Alexis Tsipras (Premier ministre de la Grèce)

    Le 25 janvier, le peuple grec a pris une décision courageuse. Il a osé contester la voie à sens unique de l’austérité rigoureuse du Mémorandum, afin de revendiquer un nouvel accord. Un nouvel accord qui permette à la Grèce de retrouver le chemin de la croissance dans l’euro avec un programme économique viable et sans renouveler les erreurs du passé.

    Ces erreurs ont été payées cher par le peuple grec. En cinq ans, le chômage a grimpé à 28 % (60 % pour les jeunes), et le revenu moyen a diminué de 40 %, tandis que la Grèce, conformément aux statistiques d’Eurostat, est devenue l’Etat de l’Union européenne (UE) ayant l’indicateur d’inégalité sociale le plus élevé.

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  • La Tribune - Grèce : comment Tsipras a renversé la situation

    En agissant avec prudence et détermination, Alexis Tsipras a su contourner la stratégie du "noeud coulant" des Européens. Désormais, la pression est de nouveau sur Angela Merkel.

    Et si, désormais, la pression dans l'affaire grecque s'exerçait surtout sur les... Européens ? A mesure que l'on se rapproche de la date cruciale du 9 avril, où l'Etat grec devra débourser 458 millions d'euros au FMI, on assiste en effet à un remarquable retournement. Progressivement, le gouvernement grec, en ayant su ne pas céder sous la pression de ses créanciers, retrouve une position de force qui est celle, naturelle dans les négociations de ce type, du débiteur face à son créancier et où ce dernier doit accepter les conditions du premier ou risquer de tout perdre

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  • J. Dray : "Le programme de Tsipras est plus social-démocrate que proche de Mélenchon"


    J. Dray : "Le programme de Tsipras est plus... par franceinter

  • Le Monde - Le parti Syriza est-il l'avenir de la Grèce?

    Favori des législatives du 25 janvier, le parti de la gauche radicale grecque dirigé par Alexis Tsipras conteste la politique d'austérité. Ses propositions se heurtent cependant au poids de la dette et aux attentes des créanciers européens et internationaux...

    - L'austérité ne sert qu'à faire progresser l'extrême droite, par Alexis Tsipras (leader du parti d’opposition de la gauche radicale grecque Syriza).

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  • Costa-Gavras : "Tsipras fait ce que beaucoup d'hommes politiques ne font pas"


    Costa-Gavras : "Tsipras fait ce que beaucoup d... par franceinter