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International - Page 26

  • Arte - Indonésie : la puissance, l'islam et la démocratie (1/2) Le géant invisible

    Premier pays musulman au monde, l'archipel indonésien est l'une des nouvelles puissances émergentes en Asie du Sud-Est. En deux volets, un documentaire passionnant sur son histoire et sa marche vers l'avenir. Première partie : Le géant invisible. Riche d'immenses ressources naturelles, l'Indonésie a mis fin à quatre siècles de colonisation hollandaise au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Ponctuée d'épisodes tragiques, sa conquête de l'indépendance et de la démocratie n'ont pas été sans heurts.

    Premier pays musulman de la planète en nombre d'habitants et plus grande nation insulaire, elle est en passe de devenir, malgré de nombreux écueils, un nouveau géant asiatique. Plongeant dans son histoire et son passé récent grâce à de nombreuses archives, Frédéric Compain brosse un tableau complet de la société indonésienne et des enjeux auxquels elle doit faire face. Une fresque passionnante, nourrie par les éclairages de témoins et d'analystes de premier plan (hommes politiques, responsables religieux, historiens, économistes, défenseurs des droits de l'homme, journalistes…).

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  • Le Vent se lève - « Podemos ne voulait pas réinventer la gauche mais reconstruire un espace d’émancipation » – Entretien avec Juan Carlos Monedero

    À travers cet entretien, Juan Carlos Monedero, co-fondateur de Podemos et professeur de science politique à l’Université Complutense de Madrid, revient sur les faiblesses de la logique populiste défendue par Íñigo Errejón. Nous donnions le mois dernier la parole à Jorge Lago, membre du Conseil citoyen de Podemos, pour qui la logique populiste et la transversalité sont indispensables pour construire de nouvelles identités politiques. Juan Carlos Monedero considère, au contraire, que ces logiques annihilent les « véritables possibilités de changement » en voulant « séduire » à tout prix. Il revient également, au cours de cet entretien, sur l’avenir de Podemos et son rapport au PSOE, l’homologue espagnol du PS, et sur la dispute de l’espace politique de la gauche en Espagne. L’analyse comparative avec la France et l’Italie qui est livrée à la fin de cet entretien ouvre de nombreuses pistes pour comprendre quelle stratégie la gauche française devrait aujourd’hui adopter et donne à réfléchir sur l’importance du renouvellement des leaders politiques.
     
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  • Envoyé spécial - Un bref moment d'optimisme – 25 mai 2017 (France 2)

    Exceptionnellement pour "Envoyé spécial", Amos Gitaï signe une version 52 minutes du long-métrage documentaire A l’ouest du Jourdain, qui est sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes.

  • Le Vent se lève - Que retenir de Vistalegre II, le congrès de Podemos ?

    Ce week-end avait lieu à Madrid le très attendu Vistalegre II, le deuxième congrès de Podemos. Les résultats du vote des inscrits ont renforcé le leadership de Pablo Iglesias sur l’organisation, au détriment de son numéro 2 Iñigo Errejón. Cet article revient sur cet événement fondamental dans l’histoire du jeune parti, le contexte dans lequel il s’est tenu et les enjeux qu’il dessine pour les années à venir. 

    En octobre 2014, Podemos tenait son premier Congrès à Madrid, dans le Palacio Vistalegre. Après une percée inattendue lors des élections européennes du mois de mai, cette « assemblée citoyenne » avait pour but de fixer les contours de l’organisation, jusqu’alors présentée comme une plateforme citoyenne. Au terme de Vistalegre I, Podemos adoptait des structures caractéristiques d’un parti politique, afin de donner corps à une « machine de guerre électorale » destinée à remporter le scrutin décisif du 20 décembre 2015. C’est la liste de Pablo Iglesias, Claro que Podemos, qui s’était alors largement imposée face au secteur anticapitaliste. Le projet Claro que Podemos était incarné par 5 figures aujourd’hui considérées comme le « groupe promoteur » du parti : Pablo Iglesias, Juan Carlos Monedero, Luis Alegre, Carolina Bescansa… et Iñigo Errejón.

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  • L'Humanité - Équateur. La révolution citoyenne, ou la « décennie gagnée »

    Les Équatoriens élisent ce dimanche leurs président et députés. Lenin Moreno, aspirant aux plus hautes fonctions de l’État, entend approfondir les politiques d’inclusion sociale et avancées économiques de son prédécesseur, Rafael Correa.

    Élu président à la surprise générale en 2006, Rafael Correa passe aujourd’hui la main. L’élection de cet économiste aux plus hautes fonctions de l’Équateur avait alors pris tout le monde de court. À l’époque, la nation andine n’était plus que l’ombre d’elle-même. L’État n’en avait que le nom, tant son rôle et ses missions avaient été réduits à la portion congrue. L’économie était asservie aux organismes financiers internationaux, conséquence de la dollarisation. Avec son mouvement Alliance Pays (AP), Rafael Correa bouscule ce décor moribond, en s’inscrivant dans la dynamique des changements structurels à l’œuvre avec l’avènement des gouvernements de gauche et de centre gauche dans l’hémisphère Sud du continent. Il impose alors son propre sillage avec « la révolution citoyenne », que ses partisans qualifient de décennie « gagnée ».

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  • L'Obs - Espagne: l'avenir politique du chef de Podemos se joue ce week-end

    L'issue d'une guerre fratricide au sommet de Podemos, le parti espagnol qui avait redonné espoir à la gauche radicale en Europe, se joue ce week-end, avec à la clef le maintien au pouvoir de son chef Pablo Iglesias.

    Ce qui avait commencé comme un débat sur la stratégie entre Pablo Iglesias et le numéro deux Inigo Errejon, co-fondateurs de ce mouvement anti-austérité proche du grec Syriza, a tourné à la foire d'empoigne.

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  • Libé - Podemos, crise de têtes

    En Espagne, le parti de la gauche radicale, devenu en deux ans une des premières formations du pays, se débat dans des querelles d’egos et des  divergences de ligne entre ses chefs, Pablo Iglesias et Iñigo Errejón.

    Prenez un parti qui vient tout juste de naître, ou presque, ajoutez un succès électoral vertigineux au point de devenir la troisième force au Parlement, additionnez le fait qu’il se compose de familles diverses et parfois antagonistes, et vous obtenez une situation explosive. Celle-là même que connaît Podemos, la formation issue de «l’indignation citoyenne» qui a bouleversé l’échiquier national, exprimant un puissant désenchantement envers la classe politique traditionnelle.

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  • Huffington Post - Les Tunisiens sont plus favorables à une démocratie libérale selon une étude de l'Université du Maryland

    73% des Tunisiens pensent que "la Tunisie est mieux lorsque la religion et la politique sont séparées".

    Tel est le résultat d'une étude menée par l'Université du Maryland sur la Tunisie entre 2013 et 2015 financée par l'AFRICOM et le bureau de recherche navale du Département de la Marine des États-Unis.

    Sous le nom de "Tunisie, un oasis de paix et de tolérance: Les résultats d'une enquête", l'étude a interrogé 3070 tunisiens de plus de 18 ans entre mars et mai 2013, puis entre avril et août 2015 afin de voir si leur perception avait évolué.

    Selon cette étude, s'il n'y a aucun changement dans les attitudes envers l'égalité des sexes, d'autres valeurs ont évolué.

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  • L'Obs - "La 'poutinisation' du monde est en marche"

    Pour le spécialiste de géopolitique François Heisbourg, avec la chute d'Alep et l'intervention du Kremlin dans l'élection américaine, la Russie impose désormais ses règles sur la scène internationale.

    Expert en géopolitique, François Heisbourg est conseiller spécial à la Fondation pour la Recherche stratégique. Il a notamment écrit "Secrètes histoires. La naissance du monde moderne" (Stock, 2015).

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  • Le Figaro - L'Espagne est-elle un laboratoire politique pour la gauche française ?

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - Mélenchon et Macron sont les deux figures françaises à gauche qui déstabilisent le PS. Pour Christophe Barret, malgré des différences, la poussée comme les limites de Podemos et de Ciudadanos en Espagne modèlent la recomposition politique européenne.


    Christophe Barret est historien et spécialiste de l'Espagne. Il vient de publier Podemos, pour une autre Europe aux éditions du Cerf.

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  • Mediapart - Podemos: le déchirement?

    En février prochain se tiendra à Madrid l'Assemblée "refondatrice" de Podemos. Une crise sans précédent oppose au sein du mouvement deux stratégies politiques mais surtout les deux principales personnalités du parti: Iglesias et Errejon.

    99 162 personnes viennent de voter pour définir les règles selon lesquelles se déroulera la prochaine « Assemblée de refondation du Parti » dite Vistalegre II, (deux ans après la première Vistalegre fondatrice). Il s’agissait de trancher entre  les deux principales propositions, celle de Pablo Iglesias et  celle de ĺñigo Errejón. Le premier proposait que les motions présentées à l’Assemblée et la désignation de leurs auteurs à la direction (Consejo ciudadano) ne soient l’objet que d’un seul scrutin. Errejón quant à lui proposait deux scrutins séparés l’un concernant les documents l’autre les personnes aspirant à la direction.

     Quant aux « Anticapitalistas » animés par l’eurodéputé Miguel Urbán, la députée au parlement d’Andalousie Teresa Rodriguez et le maire de Cadix José María Gonzalez (Kichi), après avoir tenté une « conciliation » ils ont semble-t-il gardé profil bas en attendant l’Assemblée où ils proposent, comme ils l’avaient fait lors du premier Vistalegre, un document politique « horizontaliste » en opposition avec  le « verticalisme » des deux autres. 

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