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  • L'actualité des socialistes du 23 au 1er juillet (revue de presse bi-mensuelle)

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • 20 minutes - Parti socialiste: «La gauche se trouve ailleurs dorénavant»

    Sympathisants d’un PS en sale état, ils naviguent entre désillusions et espoir d’un renouveau…

    C’est la désillusion finale et les lendemains qui déchantent pour le Parti socialiste. Jamais depuis sa création en 1969, le PS n’avait connu une défaite si cuisante à la présidentielle et aux législatives. Abîmé par l’impopularité du quinquennat Hollande, rongé par les divisions entre légitimistes et frondeurs, le parti est en lambeaux.

    La démission tardive du premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, les départs successifs de Valls et de Hamon, l’un pour rejoindre la majorité présidentielle, l’autre pour créer son mouvement dans l’espoir de refonder la gauche, n’ont rien arrangé

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  • Le Monde - Le Parti socialiste à l’heure de la refondation

    Le parti se réunit samedi en conseil national. Chassé de l’Elysée après le quinquennat Hollande, réduit à une trentaine de députés à l’Assemblée, le PS d’Epinay se sait arrivé à un tournant.

    Réuni en conseil national samedi 8 juillet, le Parti socialiste va se donner une nouvelle direction collégiale d’une quinzaine de membres placée sous le signe du renouvellement.

    Chassé de l’Elysée après le quinquennat de François Hollande, réduit à une trentaine de députés à l’Assemblée nationale et pris en étau entre La République en marche et La France insoumise, le PS d’Epinay se sait arrivé à un tournant.

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  • Le JDD - Quitter ou non le PS? Les proches de Benoît Hamon refusent de choisir

    En annonçant qu'il quittait le PS pour lancer son "mouvement du 1er juillet", Benoît Hamon a laissé ses amis socialistes désarçonnés. Même si ces derniers ont unanimement salué la démarche, très peu d'entre eux ont osé quitter à leur tour le parti.

    "J'ai décidé de quitter le Parti socialiste." Pour les hamonistes, c'est un vrai coup de tonnerre qui s'est abattu samedi dernier sur la pelouse de Reuilly à Paris. Très peu d'entre eux avaient en effet été mis dans la confidence de la décision de Benoît Hamon de claquer la porte du Parti socialiste. Considérant que le parti où il militait depuis pourtant plus de trente ans avait "peut-être fait son temps", l'ancien candidat à la présidentielle a annoncé la création de son propre mouvement : le "mouvement du 1er juillet", sur lequel il compte bien s'appuyer pour occuper une place centrale dans la refondation de la gauche.

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  • "France, rendez ce monde meilleur", lance Edward Snowden sur franceinfo.fr

    Edward Snowden a appelé la France à devenir "une force progressiste" en matière de droits de l'Homme et à "rendre ce monde meilleur", en dialoguant avec Jean-Michel Jarre sur franceinfo.fr, mercredi 5 juillet.

  • Paris Match - Le casse tête de la nouvelle direction du PS

    Samedi 8 juillet, la nouvelle direction du Parti socialiste (PS) sera désignée à l’issue d’une réunion à huit clos, alors que ce parti s'est émietté depuis les législatives.

    Le drapeau est à terre. Et personne au PS n’est encore en mesure de le ramasser sur un champ de bataille dévasté : submergés par la vague En marche ! des derniers mois, les socialistes n’ont plus ni leader ni même, à en croire certains de ses anciens dirigeants, de raison d’être. C’est dire l’ampleur de la tâche qui attend la nouvelle direction qui doit être désignée ce samedi 8 juillet à l’issue d’une réunion à huit clos du conseil national, « le Parlement » des socialistes, dans un hôtel parisien. En ruine, le PS repart donc de zéro. Ou presque. Et personne ne se fait la moindre illusion. « Ce sera très long, ca va prendre des années », confie sans détours Matthias Fekl, l’ancien ministre de l’Intérieur symbole de cette génération François Hollande battue en juin dernier dans les urnes.

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  • Libé - Un PS en quête de renouvellement change de tête

    Le changement, c'est maintenant ! Réuni en Conseil national ce samedi, le Parti socialiste s'est donné une nouvelle direction collégiale. Chassé de l’Elysée après le quinquennat de François Hollande, réduit à une trentaine de députés à l’Assemblée et pris en étau entre la République en marche et la France insoumise, le PS d’Epinay se sait arrivé à un tournant. Le premier secrétaire et figure emblématique du parti Jean-Christophe Cambadélis en a tiré les conséquences en annonçant son départ au soir du second tour des élections législatives. 

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