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loi travail

  • PS - Présentation des ordonnances Macron-Pénicaud devant le conseil des Ministres

    Le Parti Socialiste a rencontré la plupart des syndicats représentatifs des salariés durant le mois de septembre et a entendu leurs analyses et leurs commentaires sur les ordonnances Macron-Pénicaud visant à modifier le code du travail.
     
    Ce qui ressort de ces échanges est clair : l’application des ordonnances ne bénéficiera pas aux travailleurs. Le Parti Socialiste maintient son opposition contre ces ordonnances.
     
    Cette volonté de bouleverser le code du travail n’apportera aucune solution nouvelle dans la lutte contre le chômage, ni aucun progrès social pour les salariés.
     
    Non, faciliter les licenciements n’améliorera pas la condition des travailleurs.
     
    Non, prévoir le coût d’un licenciement abusif, à travers le plafonnement des indemnités prud’homales, n’améliorera pas la condition des travailleurs.
     
    Non, exclure les syndicats des négociations dans les petites et moyennes entreprises n’améliorera pas la condition des travailleurs.
     
    Par ailleurs, les ordonnances ne répondent pas aux besoins réels des entreprises. Elles n’ont pas besoin de pouvoir licencier plus facilement pour recruter mais de carnets de commande remplis et d’une relance de l’investissement productif et de l’innovation.
     
    Enfin, ces ordonnances sont archaïques. Elles ne tiennent pas compte de la mutation des formes de travail et oublient les victimes de l’ubérisation croissante. Elles n’apportent rien non plus à la sécurisation des parcours professionnels, initiée par la gauche et laissée à l’abandon pour le gouvernement d’Edouard Philippe.
     
    Pour toutes ces raisons, le Parti Socialiste appelle le gouvernement à se ressaisir, à écouter les syndicats, à organiser de nouvelles concertations et à revoir sa copie.

  • Libé - DESINTOX Non, le rôle de la branche n'est pas préservé par la réforme Pénicaud

    Selon les ordonnances, la branche ne sera compétente que sur un nombre limité de sujets. Sur tous les autres thèmes, l'accord d'entreprise, désormais, primera. En mieux comme en pire.
     
    La branche préservée par les ordonnances Pénicaud, voire renforcée, selon certains commentateurs ? C’est la petite musique qui bourdonne autour du nouveau tripatouillage du code du travail. «Il y a de grandes carences, notamment le fait qu’on n’a pas inversé la hiérarchie des normes. C’est toujours la branche qui va s’imposer à l’entreprise», disait ainsi Eric Ciotti, député LR, en début de semaine sur BFMTV. 
     
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  • L'actualité des socialistes du 1er au 7 septembre

    CODE DU TRAVAIL

    Le Monde - « Banalité et radicalité d’une nouvelle destruction du droit du travail » Par Emmanuel Dockès, Professeur de droit à l’université Paris-Nanterre

    Dans une tribune au « Monde », le juriste Emmanuel Dockès considère que les ordonnances constituent une régression profonde ainsi qu’une nouvelle preuve de la dérive autoritaire de la société.

    Cela a été claironné pendant la campagne électorale et répété tout l’été. On était prévenu. Et pourtant, la présentation des projets d’ordonnances, jeudi 31 août, arrive encore à surprendre. Une communication lénifiante, une concertation assez vide mais globalement paisible, l’annonce de droits nouveaux… Un esprit de modération semblait à l’œuvre. C’est là qu’est la surprise.

    Francetvinfo - Code du travail : le PS soutient les mobilisations syndicales du 12 septembre

    Cette question de la participation ou non du PS à la manifestation du 12 septembre a suscité quelques remous ces derniers jours au sein même du parti.

    Le bureau national du Parti socialiste a pris sa décision. Le PS affichera son "soutien" à toutes les initiatives syndicales contre la réforme du code du travail, a affirmé lundi 4 septembre le numéro deux du parti Rachid Temal."Le PS, respectueux de l'indépendance syndicale, soutient toutes les initiatives syndicales contre la loi Pénicaud en appelant à des démarches unitaires", a-t-il précisé. "Le PS va éditer un tract national contre la loi Pénicaud et appelle ses fédérations à mener des actions de mobilisation."

    LA MISERE

    Observatoire des inégalités - La misère persiste en France, l’un des pays les plus riches au monde

    5 septembre 2017 - La France compte deux millions de personnes vivant avec moins de 672 euros par mois, 3,8 millions de mal-logés et 3,9 millions de bénéficiaires de l’aide alimentaire. La grande pauvreté persiste en France.

    Le seuil de pauvreté le plus utilisé en France vaut 1 000 euros mensuels. Sous ce seuil, on trouve à la fois de personnes qui vivent dans la misère, mais aussi des familles modestes qui disposent d’un logement et de conditions de vie décentes. Combien sont réellement les plus pauvres ? Plusieurs méthodes permettent de le savoir [1].

    En France, 2,3 millions de personnes vivent avec au mieux 672 euros par mois pour une personne seule, ce qui correspond au seuil à 40 % du niveau de vie médian, selon l’Insee (données 2014). Pour elles, il est quasiment impossible notamment de se loger dignement sans compter sur des compléments de revenus : l’aide de parents, d’amis, des petits boulots ou du travail non déclaré.

    SOCIALISME

    La Vie des Idées - Changer la sociologie, refaire de la politique

    À propos de : Bruno Karsenti, Cyril Lemieux, Socialisme et sociologie, EHESS

    Le socialisme est-il mort ? Voué à céder la place aux flux libéraux et aux reflux nationalistes ? Dans un petit livre stimulant, B. Karsenti et C. Lemieux suggèrent que son destin a partie liée avec la crise intellectuelle qui affecte les sciences sociales, et plaident pour une sociologie de combat.

    Bruno Karsenti, Cyril Lemieux, Socialisme et sociologie, Éditions EHESS, Paris, 2017, 192 p., 12 €.

    La sobriété du titre ne doit pas tromper. Socialisme et sociologie est un texte engagé, publié en pleine campagne présidentielle, dans lequel le philosophe Bruno Karsenti et le sociologue Cyril Lemieux assument leur volonté de « reprendre prise intellectuellement sur la situation » (p. 9) face à la crise politique que traverse l’Union européenne, et notamment face au regain des populismes.

    EX-DEPUTES

    Libé - Ex-députés : la voie étroite de la reconversion

    Défaite aux législatives oblige, l’heure est au plan B pour les anciens élus du Palais-Bourbon. Si certains ont facilement rebondi, beaucoup sont toujours hantés par leurs années à l’Assemblée. Le retour à la vie quotidienne n’est alors pas une mince affaire.

    HOLLANDE

    Le Monde - A la tête de La France s’engage, François Hollande veut revenir dans l’arène publique

    Il cachait de moins en moins son envie de peser dans la vie politique. François Hollande a officiellement pris, mardi 5 septembre, la présidence de la fondation La France s’engage. Près de quatre mois après avoir quitté l’Elysée, François Hollande a été élu dans la soirée par le conseil d’administration de la fondation. L’ancien président de la République a déclaré, dans un communiqué :

    « La France s’engage est un projet que j’ai lancé comme président de la République et qui se poursuit aujourd’hui dans le cadre d’une fondation.

    PS

    Europe 1 - La "verdisation" du PS ou comment l'art de la synthèse a bloqué le parti

    Les socialistes n'arrivent pas à trancher. Le communiqué final du bureau national est un modèle du genre : "le PS soutient les manifestations syndicales contre la loi Travail, mais n’appelle pas explicitement à manifester". La beauté d’une motion de synthèse en une seule phrase ! Le "soutien sans participation", ça vous rappelle quelque chose ? On est là au cœur des errances actuelles des socialistes : pas d'accord entre eux sur le mot d'ordre, les uns ayant déjà appelé à se joindre aux cortèges de la CGT le 12 septembre, d’autres n’excluant pas de défiler derrière Jean-Luc Mélenchon le 23 septembre, les derniers refusant catégoriquement de s’afficher à la remorque des uns ou des autres tant que l’unité n’a pas été trouvée, mais n’excluant pas de lancer leur propre journée de mobilisation.

  • Slate - Code du travail: comment Hollande a lancé la révolution Macron

    Sans la loi portée par Myriam El Khomri sous le quinquennat Hollande, la marche aurait été trop haute pour faire passer la réforme du code du Travail voulue par Emmanuel Macron.

    Les contempteurs de François Hollande qui soutiennent aujourd’hui la politique d’Emmanuel Macron ont vite oublié que, sans la loi portée par Myriam El Khomri dans le gouvernement de Manuel Valls, la réforme du code du travail à laquelle la ministre Muriel Pénicaud et le chef du gouvernement Edouard Philippe ont travaillé tout l’été n’aurait pas pu être menée. N’en déplaise aux laudateurs du président qui se complaisent encore dans le Hollande-bashing, la loi Travail de 2016 a ouvert la voie aux ordonnances qui doivent être adoptées le 22 septembre et introduiront cette réforme. Sans cette première étape, la marche aurait été trop haute pour que la concertation menée avec les syndicats eût pu être menée sans éviter le clash.

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  • Les décodeurs du Monde - Les questions que vous vous posez sur la réforme du code du travail

    La réforme du code du travail est un projet complexe, qui suscite de nombreux commentaires et interprétations. Que contient le texte ? Qu’est-ce qui va changer pour les salariés français ? Les Décodeurs proposent de répondre aux questions les plus fréquentes des lecteurs
     
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  • L'Obs - Code du Travail : entre 223.000 et 400.000 manifestants pour le premier jour de mobilisation

    Emmanuel Macron a fait face, ce mardi 12 septembre, à la première mobilisation sociale de son quinquennat avec un appel à des grèves et manifestations partout en France lancé par des syndicats qui dénoncent, en ordre dispersé, la réforme du Code du Travail comme une "régression sociale".

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  • Alternatives Economiques - LOI TRAVAIL Les vraies leçons de l’étranger

    La cause est entendue : avec les ordonnances présentées la semaine dernière par Muriel Pénicaud, la France va enfin se (re)mettre à l’heure européenne et engager les réformes du marché du travail grâce auxquelles ses voisins ont pu s’extirper de la crise. Mais quelles réformes ont-ils mené exactement ?

    Des réformes au long cours

    Un récent dossier de la Revue de l’Ires rappelle que nos voisins n’ont pas attendu 2008 pour flexibiliser leur marché du travail. Ces réformes s’étalent souvent sur une trentaine d’années. En Espagne, par exemple, c’est en 1988 que sont prises les premières mesures de flexibilisation de l’emploi, « autant pour répondre aux besoins des entreprises dans une économie de plus en plus ouverte que pour contourner les règles contraignantes de fonctionnement du marché du travail issues de la période franquiste ». La France elle-même n’est pas en reste, l’économiste Anne Fretel rappelant que selon les données de la Commission Européenne, sur la seule période 2000-2017, ce ne sont pas moins de 170 réformes du marché du travail qui ont été menées dans l’Hexagone.

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  • Luc Carvounas (PS) : "Nous soutenons tous les mouvements syndicaux qui s'opposent aux ordonnances"

    Luc Carvounas, l'un des 29 rescapés du PS à l'Assemblée nationale, est l'invité de Yaël Goosz à J-1 de la mobilisation contre la réforme du Code du travail. 

    .... "Les choses sont très claires", assure le député du Val-de-Marne, rappelant que son groupe -le Groupe Nouvelle Gauche- a "voté à l'unanimité contre les ordonnances" réformant le Code du travail, le 13 juillet, à l'Assemblée nationale. "Nous sommes contre et nous allons encore le redire", lors du vote de la loi de ratification, précise-t-il. "Nous, le Parti socialiste, soutenons tous les mouvements syndicaux qui s'opposent aux ordonnances Macron-Pénicaud."

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  • France Inter - Thomas Piketty au micro de Léa Salamé

    Thomas Piketty s'exprime pour la première fois sur la politique économique du gouvernement Macron et la réforme du code du travail.

  • Dominique Méda : "En Allemagne, le taux de pauvreté des salariés est de 23%, contre 8% en France"