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  • Le Figaro - Sexe et mensonges : Leila Slimani s'attaque aux démons intimes du Maroc

    Dans une enquête qui paraît le 6 septembre prochain, la lauréate du Goncourt 2016 se livre à un réquisitoire en règle contre une société qui n'offre d'autres choix aux femmes que d'être vierge ou épouse, tout en consommant le sexe comme une marchandise.

    Bienvenue dans la «société du mensonge». Une société qui sacralise la virginité tout en étant la cinquième consommatrice mondiale de pornographie sur Internet. Dans son nouvel ouvrage, Sexe et mensonges*, Leila Slimani se confronte aux démons intimes de son pays d'origine: le Maroc.

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  • Un tuyau à partager : c'est l'égalité qui porte la richesse - Le billet de Nicole Ferroni

    Nicole est ravie de démarrer le "Demorand" avec un pdg, Antoine Frérot, avec lequel elle a beaucoup de points communs... Le billet d'humeur de Nicole Ferroni dans le 7/9(8h55 - 30 Août 2017)

  • Olivier Faure - "Ce qui est proposé aujourd'hui c'est précisément ce qu'avait refusé le PS l'an dernier"

  • Paris: un cadre du PS en "soins intensifs" après avoir été agressé par un député macroniste

    Le premier secrétaire de la fédération PS des Français de l'étranger, Boris Faure, est en "soins intensifs" après l'agression commise mercredi par un député REM, M'jid El Guerrab, a indiqué ce jeudi sa famille dans un communiqué.

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    France 24 - Le PS et REM "condamnent" l'agression d'un cadre PS par un député REM

    PARIS (AFP) - Le Parti socialiste et la République en Marche ont "condamné" jeudi dans des communiqués distincts les "actes de violence" commis à l'encontre du premier secrétaire de la fédération PS des Français de l'étranger, Boris Faure, par un député REM, M'jid El Guerrab.

  • PS - Des ordonnances insoutenables

    31 août 2017

    La présentation des ordonnances aujourd’hui par le Premier ministre et la ministre du Travail a confirmé de nombreuses craintes qui s’étaient fait jour au cours de la concertation avec les organisations syndicales et patronales. Les ordonnances reposent sur un déséquilibre dans la relation entre les employeurs et les salariés que le Parti socialiste ne peut soutenir.

    Ainsi, la disparition des Comités d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail est confirmée avec la fusion des instances représentatives du personnel, à l’exception de quelques secteurs à risque. C’est oublier que tout travail peut comporter des dangers pour un salarié, notamment celui du harcèlement. Avec la fusion, les élus auront moins de temps à consacrer à ces questions et seront moins nombreux pour le faire. De même, la remise en cause d’une partie des critères de pénibilité est un coup supplémentaire porté à la santé des travailleurs.

    L’abandon du mandatement syndical dans les entreprises de moins de 50 salariés et la possibilité de recourir à l’adoption d’un accord d’entreprise par un référendum d’initiative patronale constituent une profonde remise en cause de la place des syndicats dans l’entreprise. En ouvrant ces deux possibilités, le gouvernement ne tient pas compte de l’asymétrie du rapport de force entre salariés et employeurs, que les syndicats rééquilibraient jusque-là. Les salariés seront fragilisés face aux pressions d’une direction qui souhaiterait, par exemple, baisser les salaires ou augmenter le temps de travail. Quant à la création de la rupture conventionnelle collective, où va-t-on ?

    La mise en place d’un barème obligatoire pour les indemnités en cas de licenciement abusif, avec un plancher bas et un plafond également très inférieur à la jurisprudence, constitue une ligne rouge invariable pour le Parti socialiste. Il s’agit d’une mesure qui n’a pour but que de permettre à des employeurs parfois mal intentionnés de provisionner le coût d’un licenciement injuste et injustifié. Plus encore, à partir du moment où un barème obligatoire est fixé, on peut même s’interroger sur l’utilité des prud’hommes !

    Autant de raisons qui avaient conduit en 2016 le Parti socialiste à refuser la première loi travail. Il réitère aujourd’hui son désaccord sur le contenu des ordonnances prises par le gouvernement. Si la concertation a été saluée avec raison par les organisations syndicales, elle n’a pas permis d’arriver à l’équilibre revendiqué par le gouvernement. Les ordonnances permettront surtout de licencier plus facilement tout en protégeant moins efficacement.

  • BFMTV - Hamon prêt à créer son propre groupe politique au Conseil régional d’Ile-de-France

    Benoît Hamon, ex-candidat à la présidentielle et toujours conseiller régional en Île-de-France, a quitté le Parti socialiste le 1er juillet dernier, date qui a donné son nom à son nouveau mouvement. Il est à présent sur le point de fonder son propre groupe au Conseil régional.

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  • Benoît Hamon menace de "balancer la vérité" sur les campagnes présidentielles de Royal et Hollande

    L’ambiance est trèèèèèès loin d’être excellente au Parti socialiste. Mais Benoît Hamon, accusé par les proches de François Hollande d’avoir détourné de l’argent de sa campagne présidentielle, reste relativement serein, renvoyant ses détracteurs à leur jalousie face à son succès.

    Cette sérénité pourrait s’expliquer par un moyen de pression dont dispose l’ex-prétendant à l’Élysée. Ainsi apprend-on dans Le Canard Enchaîné, à paraître le 29 août, que l’ex-ministre de l’Éducation nationale a fait appeler les hollandais pour faire passer ce message

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  • Le Parti socialiste condamne fermement l’agression de Boris Faure

    31 août 2017

    En fin de journée, une altercation a eu lieu à Paris entre Boris Faure, Premier secrétaire de la Fédération socialiste des Français de l’Etranger, et un député de La République En Marche, M’jid El Guerrab.

    Si les circonstances restent encore à éclaircir, il semble établi que notre camarade a reçu des coups, notamment de casque de scooter, d’une violence telle que les pompiers ont été contraints de le transporter en urgence à l’hôpital où il a dû subir une opération chirurgicale.

    Le Parti socialiste condamne avec la plus grande fermeté cette agression. Rien ne saurait justifier un tel déchainement de violence. Toutes les conséquences de cet acte devront être tirées.

    Nous adressons notre fraternel soutien à notre camarade, à sa famille et à ses proches. Qu’ils sachent que la famille socialiste est unie derrière eux.

  • Marianne - Opposition à la réforme du code du travail : le PS aimerait faire oublier son soutien à la loi El Khomri

    Pour retrouver des couleurs, le Parti socialiste veut se draper de rouge en jouant à fond la carte de l'opposition à la réforme du code du travail. Pour cela, il va déjà falloir faire oublier leur soutien majoritaire à la loi El Khomri...

    On n'est jamais à une contradiction près. Depuis l'élection d'Emmanuel Macron, le Parti socialiste recherche un second souffle. Après avoir soutenu dans sa grande majorité une ligne résolument social-libérale durant cinq ans, notamment lors des débats sur la loi El Khomri, difficile de trouver le bon créneau face à la volonté libérale réformiste de l'ancien ministre de l'Economie de François Hollande. Au risque d'un sérieux claquage à force de contorsions.

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  • Non Fiction - Chronique Scolaire - le pragmatisme critique en pédagogie

    L'histoire des pédagogies nouvelles est marquée par une orientation pragmatiste qui a souvent correspondu à une perspective émancipatrice en éducation. Mais les travaux en sociologie de l'éducation montrent que, paradoxalement, les pratiques pédagogiques qui favorisent l'autonomie des élèves semblent plus favorables aux élèves qui maîtrisent déjà des savoirs pré-requis

    L’optimisme des pédagogies nouvelles

    Au XIXe siècle, le socialiste Pierre-Joseph Proudhon, dans une étude qu'il consacre au travail, met en lumière l'importance de prévoir la constitution d'un plan d'éducation ouvrière. Cet auteur accorde une place centrale au travail, en considérant que toutes les idées, y compris métaphysiques, en sont sorties. Les idées naissent de l'action. Ceci constitue un renversement à la fois religieux et philosophique : au commencement n'est pas le verbe, mais l'action. Proudhon affirme par ailleurs que l'observation introduit la démocratie dans l'éducation : dans ce cas, les apprenants ne reçoivent plus dogmatiquement un discours, mais ils se fient à leurs observations pour juger. Corrélativement, il considère la démocratie comme une « démopédie », une éducation du peuple.

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